INCONNU

DISCLAIMER : Aucun des personnages de Harry Potter ne m'appartient, ils sont la propriété exclusive de JKR. L'histoire présente et quelques nouveaux personnages viennent de l'esprit brillant de SilverDragon161.

RATING : Pour ce chapitre, plus que pour les autres, un gros R.

REPONSES AUX REVIEWS : (merci à tous ! si vous avez le temps, dites moi ce que vous pensez de la suite). Tout d'abord je tiens à vous dire que je suis toute impressionnée car c'est la première fois que je publie quelque chose sur fan fiction et j'ai lu pas mal de vos écrits (oui, oui, je suis pas super comme revieweuse mais je me soigne lol) que j'ai beaucoup aimés.

Céline.s : merci pour ta review, je compte mettre en ligne les suites assez rapidement car traduire cette histoire est un vrai plaisir. Si tu as lu jusqu'au 5eme chapitre, sache que les suivants sont vraiment drôles et ils seront bientôt prêts. Tu me diras ce que tu en penses si tu as le temps.

Ddy : Coucou ! Je suis contente que tu aies aimé ces deux premiers chapitres. Comme je le disais à Céline, je serai très rapide dans la mise en ligne des chapitres donc le 4eme arrivera d'ici deux jours. Ce troisième chapitre répond déjà à une partie de tes questions, et le prochain aussi. Pour la cicatrice, elle est effectivement cachée par les cheveux. Le passage avec la crème m'a aussi beaucoup fait rire. Tu verras, la suite sera de plus en plus drôle avec des pensées de Draki-chou-chéri (oui oui, j'ai lu ta fic lol) complètement confuses. J'adore. N'hésite pas à me dire ce que tu en penses. Ça me fera plaisir (que ce soit bien ou mal) et ça fera aussi plaisir à l'auteur. Bisous.

Lee-NC-Kass : salut, merci pour la review ! Ça me touche beaucoup. Alors pour la suite, ce sera rapidement fait. Pour ce qui est de Draco, j'irais bien le sauver moi-même ! (Lol). Vous avez vu juste, Draco est HABITUE à être agressé, à tel point qu'il le nie complètement, faisant passer ça pour de l'expérience c'est le meilleur moyen pour lui de ne pas s'apitoyer sur son sort. En fait il est resté très enfant, vous verrez par la suite. Comme un enfant, l'enfant qu'il était lors des premiers abus, il se sent coupable. Pour lui, tout est de sa faute alors c'est normal qu'on l'agresse selon lui, puisqu'il est faible. C'est triste, mais décrit très drôlement. Quant à Harry, c'est clair que le coté chevalier calme et serein lui va très bien.

Tête de Nœud : merci beaucoup. Tu verras que la suite est à la hauteur du début. J'aime beaucoup ta fic « quelqu'un de nouveau ». A bientôt.

Zanzan : Merci, j'essaye de garder le ton de l'histoire originale, quitte à éviter les traductions littérales (au fait, je suis une traductrice, lol). J'adore traduire cette fic, elle est si drôle et si juste, même si le pauvre Draco est un peu malmené. J'attends le 10eme chapitre de SilverDragon161 avec impatience, mais je ne vais pas la jouer Misery moi non plus. Gros bisous à toi et j'espère que ce chapitre ne te décevra pas, même si c'est moins facile d'adapter ce qui suit lol. (ps :bien bien, « un portrait de toi ».)

Blue Helios : il faudra attendre le chapitre suivant pour savoir de qui il s'agit, même si on s'en doute un peu. J'ai effectivement lu Mistakes (hier soir d'ailleurs) et j'ai beaucoup aimé, même si Draco se retrouve encore dans les problèmes jusqu'au cou. Je pense que le ton employé par l'auteur est toujours très juste. Merci pour tes encouragements et j'espère que la suite te plaira. CHAPITRE 3 : SAY MY NAME.

« Nique moi si je te laisse encore mettre ce truc sur moi, » ai-je dit. Quand il a essayé de bondir sur moi, à mon grand regret, je me suis enfui. Je veux dire, s'il me sautait dessus pour une autre raison, je serais resté, sans aucun doute. Mais il est hors de question que je reste pour ça. En plus, pourquoi il n'a pas juste utilisé la putain de magie, pour me guérir, merde ?

J'ai détalé par la première échappatoire que j'ai vue, qui s'avérait être un vestibule et, malheureusement, c'était une voie sans issue. Je pouvais l'entendre derrière moi.

J'ai vite bifurqué sur la gauche, j'ai ouvert une porte et j'ai atterri dans une pièce sombre, pour trébucher sur tous les trucs possibles étalés sur le sol, puis je suis tombé sur quelque chose – moelleux – confortable- un lit ! (note de la traductrice : ben tiens !)

Il a débarqué dans la chambre derrière moi, et sans plus d'avertissement, comme mon dos lui était offert, et que j'étais allongé sur le ventre, il a sauté sur moi. Il m'a plaqué sur le lit avec succès. Heu...je ne viens pas juste d'échapper à ce genre de situation ?

Oh, bien, je ne m'en plains pas avec lui, si seulement il pouvait débarrasser ses doigts de cette pommade ou alors s'il en faisait un meilleur usage. Non, attendez là. Idée dangereuse. Je m'en tiendrai à la vaseline, merci.
En me tortillant sous lui, j'ai réussi à me retourner pour me retrouver sur le dos, légèrement haletant alors que je levais les yeux vers lui. Il était à califourchon sur mes jambes, et il me regardait avec une expression choquée, comme s'il ne pouvait pas croire à ce qu'il venait de faire.

« Ça ne te fera pas mal si tu ne te débats pas, » a-t-il dit. « S'il te plait, fais moi confiance,» a-t-il presque supplié. Combien de fois ai-je entendu ça ?

Mais bon sang, je suis un crétin face aux supplications de cet homme. Mais je l'ai mine de rien gratifié de mon regard le plus méchant, même si j'aurais pu faire mieux à condition qu'il arrête de me faire tourner la tête.

« Ok, fais le ! » suis-je parvenu à aboyer. Il a hoché la tête avec reconnaissance, et il a doucement baissé ses mains vers ma taille pour la toucher. J'ai serré les dents, et j'ai respiré profondément en fermant les yeux et en tournant ma tête sur le coté. Mec, ça tue ce machin vous ronge comme de l'acide !
Il était doux pendant qu'il l'appliquait sur mes blessures, et il l'a étalé du bout des doigts. « Désolé, c'est presque fini, » a-t-il murmuré. Pourquoi murmure-t-il ?

La douleur se dissipait lentement, merci Merlin. Son toucher était délicat alors qu'il me massait pour faire pénétrer la crème. Puis j'ai senti son autre main toucher légèrement mon ventre, et faire remonter sa caresse jusqu'à mon torse. Ça a embrasé ma peau je sentais sa chaleur alors que ses doigts me touchaient à peine.
J'ai retenu ma respiration et j'ai tourné ma tête vers lui. J'ai ouvert les yeux et je l'ai regardé. Ses mains se sont subitement retirées et ses yeux se sont agrandis. «Je suis tellement désolé, » a-t-il dit, comme s'il ne croyait pas ce qu'il avait fait.
Mais ses caresses étaient les plus chaleureuses que j'ai jamais senties, et je mentirais si je disais vouloir qu'elles s'arrêtent. « Je suis tellement désol » a-t-il répété.

Alors qu'il parlait, je me suis hissé sur mes coudes, sans le quitter des yeux, alors que son visage s'approchait lentement du mien, ses excuses répétées avaient baissé de volume.
Il s'est penché vers moi au ralenti, sa chemise de soie caressant mon torse. Comme il s'est arrêté à quelques centimètres de mon visage, ma respiration s'est faite tremblante et je l'ai aidé à combler l'écart entre nous. Ses lèvres touchant les miennes semblaient faire exploser mon monde, elles consumaient mon corps. Elles étaient si chaudes, pourtant si tendres et aimantes. J'ai approfondi le baiser en entourant sa taille de mes bras, et en le tirant plus près de moi alors que je me recouchais sur le lit.
Son corps a complètement recouvert le mien. Il a eu l'air de se relaxer quand j'ai fait cela, et puis j'ai entendu un gémissement des plus érotiques venir du fond de sa gorge. Ses mains se sont presque instantanément posées dans mes cheveux, enlevant le ruban de soie qui les tenait en arrière.

J'ai tendrement fait passer ma langue sur sa lèvre inférieure, dans une requête intime pour entrer, qui a immédiatement été comprise puisqu'il a ouvert la bouche, et sa langue s'est reliée à moi pour jouer les guides touristiques.
Ma bouche était en feu alors que nos langues dansaient l'une avec l'autre avant de poursuivre leur exploration.
C'était tellement excitant de sentir sa langue parcourir mon palais, et d'entendre ensuite son gémissement que j'ai moi aussi gémi.

Mais après, cette connerie de besoin d'air s'est incrustée, et j'ai été obligé de me reculer, haletant, soudain gémissant quand il a mordillé ma lèvre inférieure, et qu'il a tracé la plus sexy des lignes de baisers de mes mâchoires à mon cou.
En arrivant à mon cou, il l'a minutieusement examiné, et je dois dire que ce docteur n'a eu aucun problème à m'extirper un autre gémissement. Ok, je parie qu'il a un diplôme pour ça !

Ses mains ont quitté mes cheveux et elles ont lentement frôlé mon torse, traçant des sillons qui me faisaient trembler sous son corps.
Il a aimé l'effet produit et il a vite cherché d'autres manières de provoquer cette réaction. Et laissez moi vous dire qu'il les a trouvées – toutes, je crois, et ça rien qu'en se concentrant sur la partie supérieure de mon corps.
Il a commencé à lentement descendre le long de mon torse, donnant des petits coups de langue pour caresser ma peau, tandis que ses mains s'aventuraient plus bas, avant de s'arrêter à ma ceinture. Merde, ne stoppe pas ici.

Je sais qu'un Malfoy est toujours censé contrôler la situation, mais bon sang, j'ai lâché les rennes depuis un moment. J'ai gémi à nouveau et j'ai rejeté ma tête en arrière sur le matelas, mes doigts emmêlés dans ses cheveux sombres et indisciplinés, à hauteur d'épaules.
Prenant ma réaction pour une invitation (je ne me plains absolument pas là), il a glissé ses pouces dans mon pantalon, et en les recourbant, il les a descendu avec une lenteur infinie.
Une torture, dis-je. Une torture !
Ma peau est en feu, je vous le jure. Jetez de l'eau sur moi et elle s'évaporera ! Quelqu'un veut y cuisiner des œufs et du bacon ?

J'ai soulevé mes hanches en grognant, afin qu'il puisse complètement enlever mon pantalon, pendant que ses baisers ont continué à descendre le long de mes cuisses. C'est une torture totale.

Il est remonté sur mon corps, ses lèvres reprenant les miennes, et je lui ai donné le baiser le plus profond que je pouvais, ma main gauche posée sur son visage pendant que ma main droite descendait le long de son dos.
Il a eu l'air de faire attention à ma taille, s'assurant de ne pas la saisir trop fortement ce qui est une bonne chose. Une fois encore, il est descendu le long de mon corps, effleurant ma peau sur son chemin. Je me suis cambré, gémissant encore lorsque ses doigts ont passé mon nombril, et haletant quand ils ont agrippé mon érection.

Il m'a souri avant de baisser la tête et de commencer son assaut, et WHAOU, ses lèvres ont pris des cours ou quoi ! Il en a embrassé le sommet, léchant l'excitation qui s'en dégageait, puis, sans plus d'avertissement, ses lèvres ont sauté sur mon membre dur, et il l'a doucement sucé, sa langue allant de haut en bas sur la longueur sans la moindre gentillesse.
Je me suis encore cambré, mes hanches remontant pendant que mes doigts se perdaient profondément dans sa chevelure. Je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir supporter ça.

Ma respiration était laborieuse, mes yeux fermés et ma tête rejetée en arrière mes doigts étaient agrippés à ses cheveux tandis que mes hanches remontaient. Sa bouche a continué son assaut et lentement, il m'a pris au fond de sa gorge. C'était merveilleux. Sa langue passait sauvagement sur ma longueur alors qu'il commençait à bouger de haut en bas, avec ses lèvres qui m'entouraient à peine.
Puis il m'a repris au fond de sa gorge. J'ai poussé un grognement lorsque mes hanches ont rencontré sa bouche à mi-chemin. Je ne peux pas attendre plus longtemps. J'ai tiré une dernière fois sur ses cheveux, j'ai remonté mes hanches et je suis venu.
J'ai joui vite et fort, remplissant sa bouche de ma semence, et il a tout léché, n'en perdant pas une seule goutte.

J'étais haletant, effondré comme de la gelée sur le lit, avec lui sur moi ses lèvres tendrement revenues sur les miennes.
J'étais doucement mais sûrement à nouveau en contact avec la réalité grâce à la sensation de ses lèvres qui frolaient les miennes. J'ai commencé à l'embrasser aussi et, dans un juste retour des choses, j'ai roulé sur lui, le maintenant sous mon corps.
J'ai souri face à son visage légèrement choqué, j'ai embrassé ses lèvres et je l'ai regardé alors que ses yeux se fermaient et qu'il laissait échapper un gémissement dans ma bouche.

A mon tour de lui montrer ce que je sais faire ! Oh que ça va être drôle.

Mes mains ont lentement glissé le long de son torse, déboutonnant sa chemise au passage Son torse bien fait, lentement dénudé s'est offert à moi et à mes lèvres. J'ai voyagé vers chaque téton, en prenant bien soin de les rendre aussi durs que la grosse bosse entre ses jambes qui me suppliait de la prendre.
Je l'ai entendu gémir et j'ai senti que ses mains enfouies dans mes cheveux se crispaient. J'ai passé le bout de mes doigts sur le renflement de son pantalon et j'ai été récompensé par un grognement profond de mon partenaire sexuel.

J'ai commencé à enlever son jean, avec son aide bien entendu. Et le voilà, levé, littéralement, mon prix. J'ai été rapide à le prendre loin dans ma bouche, et d'après la réaction du mec, je peux dire qu'il a aimé.
Ses hanches ont poussé fort, m'amenant à prendre plus de sa longueur (pas que je m'en plaigne). Un gémissement sonore s'est échappé de ses lèvres, alors que son dos s'est complètement cambré l'éloignant du lit. Hum, je crois que je vais essayer d'obtenir cette réaction à nouveau. Il a l'air plutôt souple. Je l'ai tourmenté encore en faisant courir ma langue sur le sommet, et en refusant de sucer.

Dois je vous rappeler que je fais ça depuis que j'ai huit ans, donc puisque j'ai vingt et un ans maintenant, j'ai appris pas mal de choses sur l'art du plaisir sexuel.

Je l'ai léché, ensuite lentement, j'ai commencé à sucer. Son corps se tordait sous le mien comme il gémissait, la tête rejetée en arrière.
« Oh mon Dieu – oui.» L'ai-je entendu réussir à murmurer. J'aime quand ils parlent, surtout lui. J'ai sucé plus fort, ensuite j'ai bougé de haut en bas sur sa longueur, sa poigne se resserrait sur mes cheveux tandis qu'il approchait d'un orgasme à faire perdre la raison.

« DRACO ! » Il a seulement fallu un petit coup de langue pour le faire déborder, ses hanches sont remontées alors qu'il a libéré sa semence profondément dans ma gorge.
J'ai aimé l'entendre crier mon nom c'était si beau lorsque ça a passé ses lèvres. Mais encore, tout avait l'air, et était, bien, quand il s'agissait de ses lèvres.

Je suis remonté vers son visage en souriant, et j'ai embrassé ses lèvres tendrement avant de me retirer et de me coucher à coté de lui.
Dès que je me suis éloigné, ses bras ont enserré ma taille, me rapprochant plus près de son corps.
« Hum, Draco, tu sens bon, » a-t-il murmuré dans mon oreille, me faisant trembler avec son souffle chaud.
J'ai embrassé sa joue en souriant. « Toi aussi... » Attendez une minute. Quand lui ai-je dit mon nom ? Jayson ne l'a jamais dit, moi non plus...heu – question.

A suivre...