INCONNU
DISCLAIMER : Rien ne m'appartient, tout est à JK Rowling et SilverDragon161.
RATING : Là c'est sûr, c'est un R. Attention, si vous n'aimez pas les relations qui vont au-delà du bisou entre hommes, ne lisez pas ce chapitre ! Vous êtes prévenus.
Mauvaise nouvelle, ce chapitre est un des derniers. Il y en aura un ou deux autres après et puis rideau. Cette fic va beaucoup me manquer. Encore merci et bravo à SilverDragon161 de nous avoir régalés avec son génie.
R.A.R
Onarluca : Je suis d'accord avec toi : Draco doit mettre du sien avec Harry. Le problème c'est que cette nouille n'arrive même pas à comprendre que ses symptômes ne sont pas ceux de la haine mais de l'amour. Mais Harry n'aurait pas dû le laisser tout seul. Enfin bref, voici la suite et voyons voir si tout fini bien. Les choses sont beaucoup moins calmes. A bientôt et j'espère que tu n'auras pas attendu trop longtemps ce chapitre.
Lee-NC-Kass : Vous rentrez en seconde ! Ouah ! Je n'arrive pas à croire que les profs continuent à traumatiser les élèves avec leurs conneries de « il va falloir travailler comme des esclaves pour réussir cette année ». Ils se croient à la fac ?! Le prof de français vous a déjà fait le coup du « l'année prochaine, il y a le bac alors au boulot ! » Je vous rassure, ils parlent beaucoup mais en réalité, comme c'est eux qui corrigent, ils ne vous en donneront quand même pas trop. Bon courage à vous quand même.
Pour Draco, vous avez raison, il est mimi quand il est jaloux (c'est l'adjectif que j'ai utilisé moi pour qualifier Draco à SilverDragon161 alors on va rester sur mimi ) Pour la fille je ne sais pas du tout, je crois que j'en ai marre de chercher et je crois que je vais demander à l'auteur. Je pensais aussi à Ginny mais vu les fringues, elle aurait légèrement mal tourné elle ! lol Quoique, avec l'exagération typique de Draco. Je suis hallucinée qu'il ne comprenne pas qu'il est amoureux. Il est en plein déni le pauvre.
Innocentes ? Vous ? On va dire d'accord mais moi, avec mon esprit tordu, je n'avais pas pensé à ce genre de choses en groupe pour les Gryffondor (comment je suis une menteuse !)
Moi aussi j'ai trouvé Harry très possessif et pourtant pas du tout attentionné. Genre l'homme de croc magnon qui ne veut pas qu'on touche son steak de mammouth et qui ne s'en occupe pas pour autant. Il n'aurait pas dû laisser Draco tout seul à la fin. Mais en fait, Harry le laisse car il est très jaloux de Fred. Il y a fort à croire que ce chapitre va être celui des explications, non ? C'est un des derniers en plus (l'auteur ne sait pas si elle en fait un ou deux derrière).
Je vais aller traduire ce nouveau chapitre car il n'est pas facile. Bon courage pour vos cours.
Bizz Bizzz.
Zanzan : C'est clair que la version anglaise est terrible. Il n'est pas toujours facile de trouver les expressions appropriées mais tant que le ton est gardé et que l'auteur est contente, mon boulot est fait. Je ne sais pas ce que tu as pensé de ce chapitre 11 en anglais mais j'espère que tu as eu une petite pensée pour moi, qui dois traduire un tas d'expressions particulières et que je n'utilise pas tous les jours ;-). Merci pour tes encouragements (je voulais te l'écrire en plusieurs PS mais je crois que ça aurait fait un peu « je manque d'imagination alors je te pique tes lignes »). A bientôt.
Merci.
Céline S : Merci pour ta review et j'espère que ta rentrée s'est bien passée. Je suis d'accord avec toi, Harry aurait quand même dû attendre Draco. Ils ne vont jamais se parler franchement ces deux là ? (si tu as lu le chapitre 11, tu sais bien que si, ils vont le faire lol). Cette fic est toujours aussi drôle et j'espère que la version française du chapitre 11 te plaira (pas facile de traduire le lemon ! lol).
A bientôt et gros bisous ; Pas de problème, je te dis dès que j'ai msn ;
Alfa : Mdr, j'ai adoré ta review. Bon, ok, Fred a été un peu loin mais il m'a vraiment fait rire, contrairement au moment où j'ai lu que Harry était parti sans Draco. Heureusement que le nouveau chapitre arrive vite, comme ça tu sauras si tu dois sortir la tronçonneuse ou pas. Lol. Je te remercie beaucoup de lire cette histoire et je te souhaite bonne lecture. A bientôt.
Vif D'Or : Merci beaucoup de continuer à lire cette histoire. Je suis d'accord avec toi quand tu dis que si Harry avait moins parlé avec la pétasse, il aurait vu que Draco n'était pas intéressé par Fred. A mon avis, tu es dans le vrai aussi pour l'idée que Harry veut rendre Draco jaloux. Mais le pauvre, il fait la bise à une fille et, en retour, il voit Draco embrasser Fred sur la bouche (même si Draco n'était pour rien dans cette affaire.). A la première lecture, j'ai trouvé que Harry était vraiment ignoble d'avoir laissé Draco, mais après coup, je me demande si je n'aurais pas fait la même chose en voyant l'être que j'aime et qui passe son temps à me repousser, embrasser une autre. Moi aussi en lisant que Harry était parti, je suis restée scotchée devant mon écran à essayer de faire défiler le texte alors qu'il n'y en avait plus J'espère que tu n'auras pas trop attendu ce chapitre. J'ai essayé de le traduire assez rapidement. Grosse bise à toi et à bientôt.
Antigone : Hello et merci beaucoup d'avoir conseillé cette fic à tes amies. Pour la review, mieux vaut tard que jamais ;-) Moi aussi, j'ai du mal à croire que Harry ait laissé Draco en plan mais vu le caractère bien trempé de Draco, ça va saigner (enfin, il dit que ça va saigner, comme il dit ses quatre vérités à Mme Thompson, n'est ce pas ? lol). J'espère que le chapitre 11 te plaira autant que les autres, c'est un des derniers (il en reste un ou deux après celui-ci). Encore merci beaucoup et à bientôt.
Antigone 2 : J'espère tu n'auras pas attendu trop longtemps lol !
Céline 402 : Ok chef, je me mets au boulot immédiatement pour traduire la suite ! Merci beaucoup à toi et, moi aussi je la trouve terrible cette fic. A bientôt et bonne lecture, elle sera bonne, crois moi ;-) Gros bizzous.
Yami Aku : Coucou you ! Merci beaucoup pour ta review, je suis bien d'accord avec toi, le chapitre précédent était vraiment très drôle. J'adore vraiment cette fic. Il est clair que Draco n'a vraiment pas eu de chance à ce barbecue et je n'aurais pas du tout aimé être à sa place. Fred m'a vraiment fait hurler de rire avec sa tentative de séduction (j'ai moins ri quand il a embrassé Draco). J'espère que ce chapitre te plaira, bonne lecture !
Pour la rentrée, j'espère qu'elle s'est bien passée. Quant à ta fic « les yeux du cœur » (j'adooore), prends surtout le temps qu'il faut pour nous pondre une merveille. Bizbizz
Her-mio-neu : Merci beaucoup pour ta review. Je crois aussi que Harry n'a pas attendu Draco parce qu'il l'a vu se faire embrasser. Pauvre Draco, il n'a vraiment pas de chance. Il manque de se faire manger tout cru par les Gryffondor et après, Harry le laisse en plan. Enfin, je principal est que ça nous fasse toujours rire. J'ai beaucoup aimé le coup de Neville qui est prêt à lancer un sortilège impardonnable à Draco lol. J'espère que la suite te plaira aussi. A bientôt. Bizz bizz
Sevie Snake : Je vois que tu es en plein remaniement de tes fics ! Je vais quand même prendre le temps de les lire comme ça je pourrai mieux voir le changement. Pour cette fic, il est clair que j'adore le passage où Fred drague Draco (limite lourd, ça me rappelle tant de souvenirs de dîners chez des amis, ou de boite de nuit, avec le lourdingue de service...). Je crois aussi que Harry est parti parce qu'il a vu Roméo embrasser Draco. Pauvre Draco. Pauvre Harry. Voyons si les choses s'arrangent dans ce chapitre. J'espère qu'il te plaira, je pense que oui (sauf si je l'ai mal traduit et alors là, toutes mes excuses). Bonne lecture et à bientôt. Au fait, si tu veux psychanalyser Draco, il faut que tu saches que le psy n'a pas le droit de coucher avec ses patients ;-)
Shany-Blue Pendragon : « C'est quoi cette fin de chapitre à la noix ? » mdr, c'est exactement ce que je me suis dit en le lisant. Voici donc la suite. Bonne lecture !
Loreilaï Yuy (bientôt Maxwell) : Aaah ! Tape m'en cinq ! lol. Toi tu voulais remplacer les « je le hais » par « je l'aime » et c'est ce que je voulais faire en traduisant. J'avais envie de mettre des parenthèses partout où Draco disait « je le hais » pour ajouter « je l'aime et je le nie à mort ». mdr. Donc en fait, ça ne fait pas rire que toi. C'est génial que tu aies réviewé cette fic parce que tes reviews sont vraiment sympas.
C'est clair qu'il est très jaloux (derrière chaque « pétasse » se cache un Draco qui hurle « je suis jaloux !! »). Pour les Gryffondors qui font les trucs en groupe, je me demande aussi si l'auteur sous entendait autre chose lol. En tous cas merci beaucoup à toi et j'espère que ce chapitre te plaira. Bizz
Emilie : Toi aussi tu veux bien psychanalyser Draco ? Ok, mais je te rappelle que le psy n'a pas le droit de coucher avec ses patients. Alors, moins motivée maintenant ? mdr Il est clair que la phrase « si ce n'est pas de la haine, je ne sais pas ce que c'est » m'a fait aussi beaucoup rire. J'ai eu envie d'entrer dans l'histoire pour lui expliquer comme à un gamin de quatre ans lol. Fred en dragueur était aussi très drôle. J'espère que ce nouveau chapitre te plaira. Bizz bizz et merci.
Lexy - Kun : C'est vrai que Harry fait preuve de manque de discernement par rapport à l'histoire de Jason. Ton point de vue se justifie complètement. A mon avis, Harry est tellement aveuglé par sa jalousie qu'il blâme Draco parce que Fred le drague, mais bon, c'est vrai aussi que Draco n'a rien fait pour encourager Fred, au contraire. Il l'a traité comme il traite Harry. Je pense que Harry est trop possessif et que ça altère son jugement. Moi aussi quand j'ai lu la fin je suis restée incrédule. Je me demandais si Harry avait vraiment eu le culot de laisser Draco alors qu'il l'aime. Mais oui, il est bel et bien parti. Et non, Harry ne s'est pas cassé avec la pétasse (il ne manquerait plus que ça). C'est net, ce surnom lui va bien. Il est vrai qu'au début, j'étais over énervée contre Harry et puis je me suis mise à sa place. Je comprends que le fait de voir Fred embrasser Draco l'ait complètement refroidi, s'il les a vu, mais c'est étrange qu'il ne soit pas intervenu. Sinon c'est vrai que ce chapitre était très drôle, mis à part Hermione qui se permet de faire des sourires à Draco devant Harry et qui le menace après. Une histoire se vit à deux et elle n'a pas à mettre son grain de sel dans leurs affaires. Quoi que quand elle lui sort qu'elle ne le toucherait pas, même avec un balai de trois mètres, ça m'a fait délirer. Bref, j'espère que ce chapitre te réconciliera (et ME réconciliera, merci SilverDragon161) avec Harry. A bientôt et merci beaucoup à toi. Bizous.
Miss Take : Salut et merci d'avoir pris le temps de me laisser un tit mot. Je suis contente que cette fic te plaise et que ma traduction soit à la hauteur de la fiction originale, qui est une perle quand même. Je suis d'accord avec toi, Draco est un peu champion dans l'art de prendre les mauvaises décisions mais là, je crois qu'il a réfléchi un peu parce que Fred va rester sur sa faim. Tant mieux. Je ne pense pas que Harry ait pensé avant d'agir, il était englué dans sa jalousie et ça lui a fait perdre tout sens commun (il aurait quand même pu entendre que Draco ne répondait pas aux avances de Fred à table). Il va falloir qu'il se fasse pardonner. J'espère que la suite te plaira. Bye bye et à bientôt.
Gothiquegirl : Merci beaucoup. J'espère que tu aimeras aussi ce chapitre. A bientôt.
Dark Lizard : Coucou ! « miss trad' en chef », alors ça c'est adorable ! L'image de la guimauve déguisée en roc colle très bien au personnage de Draco dans cette fic je trouve. Et oui, c'est clair qu'au bout du 10 eme « je le hais », il devenait ridicule (mais tellement mimi tout touchant et tout drôle...j'ai déjà dit mimi ?) Je crois que je me répète aussi. Et dans ce chapitre, il est plus parano que jamais c'est net. Voici le 11eme chapitre, je pense qu'il n'est pas du tout décevant (en tous cas SilverDragon161 en est contente, moi aussi). Merci de continuer à lire ce délire made in Australia. A bientôt.
Chris 52 : Merci beaucoup, ta review m'a fait mourir de rire. Trop excellente, vraiment. Je vais essayer de te répondre sur le même mode que le tien, parce que c'était vraiment génial.
Fred : je suis pas un violeur, je ne ferai rien à Draco.
Draco : Y'a intérêt Weaslaid, sinon je te fais manger mon poing.
Fred : je préfèrerais manger autre chose (clin d'œil)
Draco à Chris 52 : c'est un porc. Mais je hais toujours Potter.
Harry : C'est ce qu'on va voir ma puce. T'as pas envie de te retrouver à nouveau dans mon lit ? Tu te rappelles la première fois qu'on s'est retrouvé dans ce lit ?
Draco tout rouge : Non mais j'en ai marre !! je veux rentrer à ma maison à moi !
Black Nemesis : Fais pas ton gamin sinon Chris 52 va faire les gros yeux !
Draco : Ben non ! Chris m'aime bien, au moins ! Vous vous passez votre temps à m'embêter.
Harry avec un regard avide : Je n'ai pas envie de t'embêter, j'ai plutôt envie de...
Fred : Moi aussi mais moi, j'ai l'avantage de ne pas l'avoir planté tout seul chez mon frère. T'es mal là, Harry.
Harry : Toi, dès que j'ai fait mon mea culpa à Draco, je m'occuperai personnellement de te refaire les dents. T'as dragué mon amour !
Black Nemesis : Et si on laissait Chris 52 lire la suite au lieu de faire preuve une fois de plus de notre folie ?
Draco : Nooooooon ! Je ne veux pas la suite, je ne veux plus souffrir !!!!!
Harry : Merci beaucoup et bonne lecture Chris !!!
BlackNemesis : Voilà, je n'aurais pas dit mieux.
Melhuiwen : Salut toi, la flemmarde. Lol. Non mais c'est normal quand même d'avoir la flemme après la rentrée, ce n'est pas la peine d'être désolée. Ouah, j'ai lu le début de ta fic ce matin, comme c'est bien ! lol. Remarque, vu ta façon de traduire, je voyais bien que tu étais bonne écrivain (et puis aussi avec le one shot, pardon j'ai oublié le nom !!). C'est clair que Draco est adorable dans ce chapitre. Le pauvre. Hermione m'a carrément énervée (pas besoin d'un balai de trois mètre pour que je le touche !!!) et Harry aussi (non mais comment ça on laisse le blondinet tout seul ?!) mais bon, s'il a vu Fred embrasser Draco, ça l'a peut être énervé un peu. N'empêche que Fred m'a fait délirer dans le rôle du dragueur complètement lourd. Espérons que Draco va ouvrir un peu les yeux et arrêter de flipper. Ce chapitre est un des derniers, oui, il n'en reste plus qu'un ou deux après (enfin selon les humeurs de notre écrivain de génie). Ce chapitre devrait te plaire. Il est drôle. A bientôt et merci. Bisoux
CHAPITRE ONZE : EXPLOSION D'EMOTIONS.
Il. Va. Mourir ; oh ça va être douloureux. Cette saleté de Gryffondor. Cette saleté de stupide Gryffondor. Cet...cet hypocrite. Comment ose-t-il agir en suivant son stupide, stupide petit cerveau. Je. Vais. Le. Tuer ; oh ça va faire mal.
Je suis là, devant la porte de son appartement – bouillonnant de colère. Je veux vraiment, vraiment lui faire mal.
Je ne peux pas croire qu'il m'ait laissé. Il m'a laissé tout seul avec...des Gryffondors. Et après m'avoir promis qu'il ne le ferait pas ! Je...Je...Je vais teeeellement, teeeellement lui faire mal.
Je lève le poing et je tambourine à la porte – disons plutôt que je donne de grands coups de poing à la porte. Peu importe ; j'obtiens l'effet escompté – mon attention voulue et hautement méritée.
Je vais le tuer.
J'attends trop longtemps – ou du moins je pense que ça fait trop longtemps que j'attends. C'est vrai, pour quoi il me prend – quelqu'un qui va attendre tranquillement devant la porte, pendant que monsieur prend tout son temps ? Je ne crois pas, moi. Ces quelques secondes sont une pure perte de mon temps.
« POTTER ! SORS TON SALE CUL DE LA, MAINTENANT ! »
Oh je suis énervé. Espérons que ça suscitera son attention. Oh, et ça marche.
La porte a été – carrément – arrachée de ses gonds. Et, waou...Voilà un Gryffondor trèèèès en colère. Est-ce que les yeux d'une personne peuvent vraiment prendre cette couleur ? Bien, c'est le cas.
« Qu'est ce que tu veux ? »
J'ai l'impression que je ne suis pas le seul à être de mauvaise humeur. Mais hé, j'ai une meilleure raison d'être de mauvaise humeur.
En pointant mon doigt sur sa poitrine, je lui siffle exactement je que je 'veux'.
« Tu m'as laissé à cette fête. Tu n'as pas tenu ta promesse ; tu m'as laissé avec tous ces Gryffondors. » Et, juste pour appuyer mes mots, je frappe durement sa poitrine avec mon doigt.
En ricanant histoire de se moquer de moi (non, vraiment – Potter se moque de moi), il s'appuie nonchalamment contre l'encadrement de la porte. « Oh, je ne sais pas trop. Tu avais l'air vraiment très intime avec Fred. » Il a pratiquement craché le prénom, son sourire moqueur s'agrandissant sur son visage d'habitude très beau. Pas que je le trouve très beau, ou quoi que ce soit, parce qu'il ne l'est pas. Il est laid ; il est laid ce taré, laid.
Mais quand même – Fred ? Non mais qu'est ce que ça peut vouloir dire ? Pourquoi diable aurais je l'air intime avec Fred ? Je veux dire, beurk !
« Fred ? Pourquoi diable voudrais tu que je soies intime avec cet...Cet...beuh ! Je ne veux même pas imaginer que je pourrais devenir intime avec lui. Potter, c'est vraiment, vraiment dégoûtant, » dis je. Je suis pratiquement sûr que mon écoeurement se reflète sur mon visage. En fait, j'espère bien que c'est le cas, parce que, ben, BEUH !!
Potter a soulevé ses sourcils oh si bruns, et ses yeux verts m'observent, me donnant l'impression que mon âme entière est sondée comme un livre. Je déteste quand il me regarde de cette façon. Ça me fait me sentir coupable, comme si j'avais menti, et que si c'était le cas, bien, il verrait.
Ensuite il hoche la tête, comme s'il était satisfait de ce qu'il avait vu...ou peut être lu ? Il tient la porte ouverte, me faisant un signe de tête pour que j'entre.
En le regardant méchamment – pour faire bonne figure – j'entre dans la pièce, le trop familier salon, et je m'assois sur le trop familier canapé.
« Alors, voudrais tu bien gentiment m'expliquer pourquoi tu m'as laissé tout seul exactement ? » Je demande en le fusillant du regard alors qu'il entre dans la pièce.
Potter a la décence de baisser la tête, en bougeant un peu les pieds, et, alors qu'il murmure des mots qui, j'en suis certain, ne pourraient pas être entendus même avec un amplificateur, il rougit.
Je vais m'arranger pour faire durer son embarras.
« En anglais, s'il te plait, » dis je en m'appuyant sur le canapé et en croisant les bras sur mon torse, dardant mon regard argenté sur le petit brun mal à l'aise. Je vais le faire se tordre de douleur, se ratatiner, rougir, gémir, pénétrer, et...Whoua, mes pensées semblent partir dans une direction totalement opposée. Je ne veux pas faire gémir Potter, ni le faire – pénétrer...Oh il fait chaud ici, ou c'est juste moi ?
En levant les yeux vers moi, le rouge de ses joues s'amplifiant, il baisse une fois de plus la tête et, une fois de plus, il y a un murmure.
Oh, c'est en train de tourner au ridicule.
En levant les yeux au ciel, je soupire avec irritation. « Tu sais, je ne dis pas que je suis vieux et que mon ouie diminue mais – JE NE T'ENTENDS PAS ! » Là, ça devrait entrer dans son gros, gros crâne de Gryffondor.
Encore une fois, Potter lève les yeux vers moi, puis, en détournant les yeux vers le coin de la pièce, il ouvre la bouche. Avec un peu de chance, il parlera en anglais et il sera assez clair pour être entendu. Je peux seulement espérer.
« Je – J'étais...j-j-jelmphmos. »
Oh pour l'amour de Merlin.
« Potter, je ne sais pas de quoi j'ai l'air à ton avis, et je suis désolé d'être porteur de mauvaises nouvelles, mais : je ne comprends pas la langue incompréhensible que tu sembles parler couramment. »
En me lançant un regard ennuyé, Potter passe ses doigts dans son épaisse, épaisse tignasse. Mec, cette pièce semble devenir de plus en plus chaude. Oula, où est l'air conditionné ?
En me tournant le dos, Potter fourre les mains dans les poches de son jean, son dos étant la seule chose sur laquelle je peux poser les yeux à présent. Pas volontairement, bien entendu. Je veux dire, il a un cul très laid.
Merlin, que cette pièce est chaude.
« Je dis que j'étais...j – jaloux. Voilà, tu es content maintenant ? »
Hum...
Que puis je dire ? C'est la chose la plus drôle que j'aie entendue de toute mon existence.
Oh – non, la découverte des sous vêtements roses de Blaise était quelque chose de drôle, mais là c'est récent.
J'éclate de rire assez rapidement. Mes mains viennent vite se croiser sur mon ventre, mes yeux se ferment alors que je sens un point de coté douloureux arriver, et je tombe du canapé – assez peu gracieusement.
Je suis à présent, dans une position très peu digne d'un Malfoy, sur le sol, hystérique. Mes bras tiennent ma taille, j'ai les larmes aux yeux, et de temps en temps, j'arrive à pointer un doigt dans la direction de Potter, avant que ma main soit encore nécessaire pour tenir mon ventre.
« T – Toi...j – j – jal. »
Oh c'est trop. Potter, jaloux d'un Weasely. Potter, jaloux à l'idée qu'un Weasely puisse m'arracher à lui. Oh, c'est trop dur à croire.
« Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle là dedans ! » Aboie Potter, il ressemble presque à un enfant boudeur.
Cet air parvient seulement à me faire rire encore plus, tenant mon ventre encore plus fort. Satané point de coté – il gâche tout.
Au final, je réussis à essuyer quelques larmes et je regarde en l'air pour voir Potter – il semblerait que je me soies retrouvé dans une position étrange. Je regarde Potter à l'envers, ma tête inclinée vers l'arrière afin que je puisse le voir.
« T- tu crois qu'un Wea – un Weasley va m'arr – m'arracher à toi ? Et puis quoi encore ! » Je parviens à haleter cela, avant de succomber, une fois de plus, à un fou rire hystérique – suis-je en train de rire bêtement ?
Oh, c'est trop drôle pour être ignoré. Je n'ai jamais rien entendu d'aussi stupide de toute ma vie. Je – Je...Pourquoi Potter me regarde-t-il de cette manière sombre, mystérieuse et amusée ?
Je – Je n'aime pas ce regard. Ai-je dit quelque chose ? Qu'est ce que j'ai fait ? Qu'est ce que j'ai dit ? Oh. Sainte. Mère. De. Merlin. J'- J'ai...J'ai plus ou moins dit que j'étais à lui. Je...je viens de dire à Potter que je ne le quitterais pas.
« Tu ne me quitteras pas ? Personne ne peut t'arracher à moi ? Et puis quoi encore ? Draco, si je ne te connaissais pas mieux, je penserais que c'est une espèce d'allusion. »
Me voilà maintenant en train de secouer la tête avec frénésie, me remettant vite sur mes pieds, et trébuchant alors que je me lève. « Je – je...je voulais dire que...Que je n'étais pas...Que toi...Weasely...Je... »
Argh !
Potter hoche lentement la tête, en avançant tranquillement vers moi ; ses yeux verts semblent animés d'une lueur que je déteste identifier comme une lueur d'amusement.
« Bien entendu ; tu voulais dire ça sans que ça ait une quelconque implication. C'est juste une figure de style. » Dit-il - ou ronronne-t-il ?
Mais je suis content qu'il comprenne. Je veux dire – ouf ! J'aime bien la façon dont il a résumé les choses.
A présent je hoche la tête, pour marquer mon approbation totale, qui vient du cœur, à sa remarque. Je suis heureux qu'il ait eu la réponse à ça. C'est vrai, je n'étais pas dans le bon état d'esprit quand j'ai dit cela. J'avais ce point de coté malfaisant, c'est ce point de coté malfaisant qui m'a fait dire ça. Il m'a fait dire une chose que je ne pensais pas. C'est maaaalfaisant... !
Potter penche la tête sur le coté, ses yeux verts toujours rivés aux miens alors que danse en eux l'amusement et d'autres petites émotions bizarres que je préfère ne pas décrire.
Il s'approche toujours de moi, et pourquoi je n'arrête pas de hocher la tête ? C'est clair, qui j'essaye de convaincre là ? Lui, bien entendu. C'est vrai, je sais parfaitement bien que je ne m'intéresse pas du tout à Potter, peu importe ce que je dis ou ce que je pense. C'est clair, c'est évident, je le hais. Je ne peux pas me passer de lui – pour l'embêter ! Je ne peux pas me passer de l'embêter. Mince, mon esprit commence à s'obstruer.
Potter est maintenant à quelques centimètres de moi et il me sourie. Le genre de sourire idiot qui lui va à merveille, parce que c'est vraiment, vraiment, un idiot.
« Hum...Je – Je dois y – y aller...hum...main...maintenant. » Mince, j'ai bégayé. Réfléchis, espèce de bon à rien de cerveau, je te l'ordonne ! Réfléchis !
Potter ! Enlève immédiatement ce sourire idiot de ton visage ! Il ne fait aucun bien à mon cerveau obstrué, tout léger. En fait, ce satané sourire et ces yeux animés ont un effet plutôt néfaste sur mon cerveau. Je t'ordonne de reculer immédiatement. Non ! Ne fais pas le contraire...Je...je...je...
Oh Merlin...
Ces lèvres rouges, pécheresses, diaboliques viennent de se poser sur une propriété privée. Je les sens frôler mes lèvres, les touchant à peine. Je peux sentir son souffle sur mon visage, et la chaleur de son corps m'irradie. Quand ces lèvres pécheresses s'éloignent des miennes, il est trop tôt pour les retirer. Alors pour faire entendre ma plainte – je me maudirai pour ça plus tard – en poussant un petit gémissement.
Je sais qu'il y a un satané sourire suffisant sur son visage, mais, d'une manière ou d'une autre, d'une manière ou d'une autre – Merlin seul sait comment – mes yeux se sont fermés. Je peux aussi sentir ce petit sourire suffisant alors que ses lèvres descendent sur les miennes, encore et encore, et cette fois, en appuyant plus.
Je fonds instantanément. Je peux sentir chacun de mes os se transformer en gelée. Je peux aussi sentir mes genoux se dérober et commencer à protester contre le fait de devoir me porter. Mais ça va. Il y a deux bras solides qui entourent ma taille pour me maintenir debout, alors ça va. Je ne tomberai pas.
Je sais que j'aimerais le repousser, je le veux vraiment, vraiment, vraiment – hum – vraiment. Mais peut importe le sortilège qui m'est jeté, il est très puissant. Je...je vais devoir m'abandonner ; il n'y a pas d'autre solution.
Hmm...
Je peux sentir quelque chose passer sur ma lèvre inférieure ; quelque chose qui semble causer un frémissement bien visible. Mais, comme je l'ai dit, je n'ai pas d'autre choix que de laisser ce sortilège prendre possession de moi. Je le combattrai plus tard.
J'entrouvre les lèves, un gémissement s'échappant de ma gorge quand je sens sa langue glisser à l'intérieur de ma bouche, prête pour une exploration des plus plaisantes.
Mes mains s'accrochent désespérément au tissu de sa chemise, mon corps se cambre contre le corps plus grand de Potter. Ses bras se resserrent autour de ma taille alors qu'il me tire plus près de lui, la chaleur de son corps m'entraînant plus loin, me faisant sombrer dans ce sortilège.
Je crois que mes poumons et mon cœur vont exploser hors de ma cage thoracique. Lentement, sa langue se retire dans son antre, ses lèvres reculent lentement, avec un petit bruit. Dès que ses lèvres quittent les miennes, je prends une profonde respiration – ou plusieurs respirations profondes, si vous voulez absolument entrer dans les détails techniques.
J'ouvre peu à peu les yeux quand je sens qu'on me caresse tendrement la joue. Mon regard rencontre son regard vert brumeux. J'ouvre la bouche pour dire quelque chose mais, dès que je le fais, ces lèvres malfaisantes sont de retour sur les miennes, faisant taire tout ce que mon esprit pourrait essayer de faire remonter à la surface. Apparemment, mon cerveau n'arrive pas à aligner trois mots, mais il n'a aucun mal à faire sortir des gémissements du fond de ma gorge.
Une fois encore, je sens tout et n'importe quoi s'effondrer. Une fois encore, ce sort malfaisant, malfaisant m'a été jeté. Une fois encore, je sens mon corps se cambrer contre un corps musclé, alors que mes mains se resserrent encore sur le tissu, essayant de me retenir de tomber.
Une fois encore, je sens cette langue qui me demande l'autorisation d'entrer, et une fois encore, je lui laisse le champ libre.
Mes bras entourent lentement les épaules solides, mes doigts atteignent cette moquette trop épaisse et indisciplinable de cheveux noirs ; j'enroule une mèche autour de mon doigt. Je ne comprends pas vraiment ce que j'ai l'intention de faire, mais je pense vraiment que la température a dramatiquement augmenté dans la pièce.
Merlin, il fait chaud !
Merlin, Harry a une saveur délicieuse !
Je sens ses bras me rapprocher plus près de lui – je ne sais même pas comment c'est possible. C'est clair, je ne pense pas qu'une minuscule feuille de papier puisse se glisser entre nous.
Mais qui suis-je pour lutter ? Le plus près je suis, le mieux je me sens. Et qu'est ce que je me sens bien.
Je peux sentir la chaleur de son corps m'irradier de son plaisir et de sa joie – honnêtement, je peux les sentir. Je peux sentir son excitation, autant qu'il peut sentir la mienne, je pense. C'est une bonne chose qu'il me tienne, parce que sinon, je serais une flaque sur le sol.
Je serais incapable de marcher pendant au moins trois heures, au minimum.
Il stoppe le baiser, ce qui en soit, a un bon et un mauvais coté. Le bon coté, c'est qu'à présent je n'ai pas à m'en faire de mourir d'un manque d'oxygène. Mais le mauvais coté, c'est que ça laisse à mon petit cerveau malfaisant, le temps de penser à ce que je fais.
Est-ce que je veux vraiment continuer ça ? Est-ce que je veux vraiment ça ?
Je suis confus. Vraiment confus ! Normalement, je suis connu pour savoir ce que je veux dans la vie – je ne dis pasque j'obtiens toujours ce que je veux, mais je sais ce que je veux la plupart du temps. Normalement, je suis celui qui prend les devants. Mais quand cela concerne Potter, et ma vie ? Et bien les choses deviennent un peu confuses.
Mais dès que je commence à réfléchir à ces choses, elles s'échappent de mon esprit aussi vite qu'elles y sont entrées ; Potter vient de recommencer à m'embrasser.
Nous nous sommes regardés dans les yeux pendant Merlin seul sait combien de temps. Je ne le voyais pas vraiment, cependant. J'étais trop occupé avec les pensées conflictuelles de mon cerveau malfaisant. Et, pour une fois, je voudrais oublier les conséquences, j'aimerais arrêter d'inquiéter ma jolie petite tête, et juste apprécier ce qu'on me donne. Harry me donne de l'amour. Il me donne ce que je peux juste commencer à imaginer.
Je continuerai cette association d'idées plus tard. Pour le moment, mon esprit a simplement enregistré la sensation que ces lèvres démoniaques et que ces dents me font un délicieux suçon sur le cou.
Je m'entends gémir, ma tête penchant en arrière et se tournant sur le coté, mes bras se resserrant autour du cou de Potter. Les bras autour de ma taille changent de position, l'un d'eux glisse dans mon dos, sa main venant enfouir ses doigts dans mes cheveux en soutenant ma tête. Ça me fait penser à un vampire. Hmm, excitant.
Ensuite, je sens ce tiraillement au niveau de mon nombril, que j'identifie facilement, mais mes pieds touchent rapidement le sol à nouveau, et plus rapidement encore, on me pousse en arrière.
Instantanément, je me tiens plus étroitement, en essayant de penser à quel point Potter doit être fou pour m'avoir poussé. Ça va me faire mal. Mais – ouf – ça ne m'a rien fait. Je suis tombé à la renverse pendant un court instant, en une seconde, mon dos touche quelque chose de moelleux. J'identifie immédiatement le lit. Dieu merci !
Apparemment, Harry est très impatient ; au lieu de marcher jusqu'à la chambre ou alors même de juste flirter dans le salon, il semble avoir décidé de transplaner dans la chambre. N'imaginez pas que je me permette de me plaindre cependant, surtout quand ses mains sont en train d'ôter mes habits.
Je sens qu'un autre gémissement remonte dans ma gorge. Je peux sentir ces mains grandes et talentueuses, parcourir mon corps nu. Je peux sentir qu'elles en tracent la carte – elles l'explorent. Quand ses doigts me caressent de cette manière, je suis au paradis.
Mes mains descendent le long de son dos. Il a seulement réussi à enlever sa chemise – et avec mon aide, bien sûr.
Mais ce jean ? Bien, comme le docteur le dirait à un patient : 'il va falloir qu'il s'en aille.' Du moins, c'est ce que je pense qu'un docteur dirait à un patient. Mon médicomage m'a dit ça une fois ; apparemment je suis allergique à la fourrure. C'est fou, vraiment ; je me suis trouvé en contact avec des tonnes de trucs en fourrure, et pas une fois je n'ai eu de réaction allergique.
Bon, c'était une stagiaire, alors je crois que peux me permettre de douter d'elle – et pourquoi diable suis en train de penser à une stagiaire médicomage quelconque que j'ai rencontrée il y a des années, alors que ces mains et ces lèvres parcourent tout mon corps ? Je suis réellement en train de perdre la tête.
Je glisse mes mains entre nos corps, mes longs doigts tripotant les boutons de ce méchant petit jean. Je le sens tressaillir alors que je descends la fermeture éclair, m'assurant au passage que mes doigts frôlent son membre plus qu'excité. Oh, je suis malfaisant. Je sais que je suis malfaisant- j'ai de l'entraînement dans le domaine et Potter sait que je suis malfaisant.
« Arrête de jouer ! »
Vous voyez ? Potter sait que je suis malfaisant.
Alors qu'il enfouit son visage dans mon cou, il avance ses hanches en avant, dans ma main. C'est un petit animal impatient.
Je ne peux pas m'empêcher de rire, en tournant ma tête sur le coté et en embrassant sa tempe. Une fois encore, je bouge mes doigts afin d'effleurer son membre gonflé, et je me réjouis quand je le sens trembler contre moi, son visage s'enfouissant plus loin dans mon cou, mordant le point où bat mon pouls.
Là, c'est excitant.
Je finis de m'abandonner quand je sens ses dents sur ma veine jugulaire. Je gémis, ma tête rejetée en arrière sur le lit.
Et ce connard. Je peux sentir son sourire suffisant.
« Tu aimes ça ? » Sa voix résonne avec ce ton enroué, juste dans mon oreille. J'essaye de dire non mais il recommence à mordre, juste sur la partie située sous mon oreille, juste sur le point de pression. Encore une fois, je gémis bruyamment. Je crois honnêtement que c'est la première fois que je suis aussi bruyant au lit.
Je donne des coups de hanches quand il commence à mordiller, suivant une ligne de haut en bas sur mon cou. Puis, avec sa langue, il la lèche, provocant des tremblements dans tout mon corps. Je vous jure que c'est suffisant pour me faire déborder de plaisir.
J'essaye d'ignorer l'attention qu'il porte à mon cou, juste pour avoir le temps de retrouver mon souffle et de repousser cet orgasme délirant. Je m'empare de sa virilité, enroulant mes doigts autour. Dès que je fais ça, j'obtiens ma pause tant voulue ; sa tête est rejetée en arrière alors qu'il gémit, ses hanches poussant dans ma main.
Je parviens à faire descendre son jean en bas de ses hanches, aussi loin que je puisse l'emporter. Harry s'occupe du reste, jetant ce bout de tissu à travers la pièce.
Maintenant nous sommes totalement nus. Ça me rappelle la dernière fois que nous étions dans cette chambre, couchés sur ce lit.
Hmm, le plaisir qu'il m'avait alors procuré.
Je suis - assez grossièrement, vraiment – arraché à mes souvenirs quand je sens une main descendre le long de mon ventre, un genou s'enfonçant entre mes jambes. Je connais cet ordre silencieux et je suis plus qu'heureux d'obéir.
Harry se place entre mes jambes. Il repose ses lèvres sur les miennes, et immédiatement, nous somme entraînés dans un autre baiser passionné.
Je peux sentir sa main se diriger vers mon membre vibrant, et, alors que Harry rompt le baiser, ses lèvres touchant toujours les miennes, il murmure le sortilège de lubrification.
Il se recule, ses yeux verts descendent jusqu'aux miens ; je crois qu'il y a quelque chose en eux, comme une demande muette pour pouvoir aller plus loin. Je parviens à hocher la tête ; je serais suicidaire si je disais non, maintenant.
Il me fait un sourire radieux, et je sens ses doigts frôler mon entrée, un d'entre eux pénétrant lentement en moi.
Harry se penche à nouveaux, embrassant mes lèvres, ses doigts occupés à me détendre et à me préparer. Seulement quelques minutes passent avant que ses doigts ne sortent, à mon grand regret, exprimé dans un gémissement. Mais ça va ; je crois que c'est fait pour ça. Je le sens qui se positionne, ses mains le maintiennent à présent au dessus de moi, ses lèvres sont occupées à parcourir mon cou.
Et, doucement, Harry entre en moi, en grognant et en enfouissant son visage dans mon cou. Mes mains se sont posées dans ses cheveux, enroulant une mèche brune autour d'elles. Je me cambre en gémissant son nom.
Nous restons ainsi pendant un moment, à nous détendre dans les bras l'un de l'autre. Mais ensuite, lentement, Harry commence à bouger ; entrant et sortant de moi.
Ma tête est rejetée en arrière, mes yeux sont clos alors que j'essaye de tenir le coup. Ma lèvre inférieure se cale élégamment entre mes dents.
Lentement, il retire son visage de mon cou ; il se met à embrasser, lécher, et mordre ma mâchoire et mon cou offert, gardant toujours le rythme de ses coups de reins.
J'enlève mes mains de ses cheveux, et à la place, j'entoure son dos large de mes bras, me cambrant quand je le sens taper ma prostate, laissant échapper un gémissement qui ressemble plus à un cri. Alors que le même endroit est frappé une fois de plus, je jouis, répandant ma semence entre nos corps.
Au moment où je me libère, Harry se libère, mon nom coulant de ses lèvres alors qu'il jouit.
Haletants, nous restons allongés, sans bouger ; mes bras retombent de l'ex Gryffondor, pour reposer sur les cotés. Le visage de Harry est caché dans mon cou. Après quelques cinq minutes de silence, je l'entends murmurer le sortilège de nettoyage.
Doucement il se déplace, sortant de moi, et, en m'entourant de ses bras, il me guide plus haut sur son lit, sous les couvertures. Harry se couche sur le dos, passant ses bras autour de ma taille, alors que je me blottis contre lui, ma tête reposant sur son torse et mes bras recouvrant son ventre.
Je suis presque endormi quand j'entends un murmure dans mon oreille, je sens un baiser sur mon front ; de même, je sens qu'on caresse mes cheveux sur le coté : « Je t'aime. Je t'en prie, soies encore là demain matin. »
A suivre...
Voici donc un chapitre de clos, j'espère qu'il vous a plu. Personnellement, j'adore ces derniers mots de Harry. Pour la suite, il va falloir attendre que SilverDragon161 update, et ça peut prendre un certain temps.
A bientôt !
