Voilà le nouveau chapitre ! Bon, celui-ci, est plus sérieux, pas vraiment axé sur les gaffes enchaînées de Draco et tout ça... Enfin, un peu quand même au début...

Disclaimer : ouais, ouais, on sait...

Je rappelle que ceci est un SLASH les enfants !


RAR :

Nyonoshii : Wooh. Wooh wooh wooh ! Alors là, je dois avouer que je suis vraiment super touchée ! :D vais ptet arrêter de danser sur ma chaise parce que le chat me regarde bizarrement, là... Suis contente que ça te plaise :) et j'espère que la suite te plaira tout autant ! Petit Harry reste chez Draco, hum, mais que va-t-il se passer ? lol ! VanMark, ben c'est Igor hein, il est terrible... lol c'est un mini-Dumbledore ! T'inquiète pas, si tu deviens folle, les hommes en blanc sont là pour t'aider... :D

Bonnes fêtes à toi aussi, j'espère te revoir au prochain chapitre !

Phoenix20 : merci :p valà la suite !

Tiffany Shin : valà la suite, les choses n'avancent pas beaucoup dans ce chapitre, ça ira mieux dans le prochain !

Onarluca : Harry et ses réactions... mouarf mouarf mouarf :D Pauvre Draco, quand même, coincé avec un crétin qui rigole sans pouvoir s'en empêcher... Merci pour le compliment, voilà la suite !

Nyny-chan : voilà la suite ! J'espère que tu riras autant ! Quoi que, ça se veut un peu plus sérieux... Ouais, « ça se veut », pas dit que ça le soit vraiment, hein...

Kaorulabelle : merci ;) Désolée pour le bac blanc et les devoirs mais, pfiou, que c'est dur les vacances ! lol

Minimay : contente que ça te plaise :) voilà la suite, j'espère que ça te plaira autant !

Lexy-kun : d'accord d'accord, Melle ! alors comme ça, les baisers te plaisent ? lol ! Mais c'est vrai, c'est très très dur de faire un petit déjeuner... mettre le café... mettre le filtre... mettre l'eau... mettre en marche... mettre dans une tasse... mettre du sucre... Hey, gosse de riche un jour, gosse de riche toujours ! niark niark niark ! Quant à la personne qui les a surprit... Tu vas très vite les savoir...

Crackos : Ah bah ça le Drake, il déchire tout ! Faut quand même y aller pour en enchaîner autant... ( oh, pauvre Drake ) Pis bah Harry, hein, c'est un grand nounours au cœur gros comme ça, il est toujours – ou presque – gentil le Ryry !

Zed Oras : Ryry, c'est un peu comme euuuh... Charles Ingalls, dans le petite maison dans la prairie : il est sympa Charles, il aide tout le monde... Ouais ok, mauvaise comparaison, le Charles, c'est un thon, le Harry c'est un Dieu ! Enfin, les choses changent un peu dans ce chapitre... T'inquiètes plus pour les rires diaboliques, lui est donné des boules quiès :D niark niark niark...

Alinemcb54 : suis contente que ça te plaise :) voilà la suite, j'espère te revoir pour le prochain chapitre !

Zaz : rooog, c'est pas encore pour ce chapitre mais dans le prochain, promis, j'arrive à le caser ! Tu aurais dû demander un bavoir pour Noël, décoré de charmants éphèbes sautillant dans la prairie... ouh, là c'est moi qui bave... Bah le prochain dîner... il est pas pour tout de suite... mais bon, Harry aime teeeeeellement son Drakichou adoré ! Et puis c'est bien vrai, ça, elle est où la brosse à dents ? Et le caleçon ? niark niark niark !

Et valà ! Merci encore pour vos reviews :) J'espère que Papa Noël a été généreux avec vous, et sinon, bah vous prête mon arbalète pour que vous mangiez du rêne au nouvel an !

Sur ce, bonne lecture !


Draco se laissa tomber dans le canapé et alluma la télévision. Si, du temps où il était à Poudlard, on lui avait dit qu'il habiterait un appartement moldu, qu'il travaillerait avec des moldus et qu'il aurait des appareils moldus, il aurait éclaté de rire. Mais les choses étaient bien différentes, depuis.

Harry s'installa à côté de lui. C'était agréable de ne sentir aucune animosité de sa part. Ils zappèrent, se moquant joyeusement des programmes tous plus idiots les uns que les autres. Ni l'un i l'autre n'étaient fatigués, ils prirent une bière en continuant à regarder la télévision.

Au bout de quatre bières, Draco était à moitié affalé sur Harry, se souvenant qu'il n'avait jamais ô grand jamais tenu l'alcool. Mais le brun n'était pas vraiment dans un meilleur état que lui. En manque de bière, ils entamèrent le whisky. « C'est pour fêter ma fusion, tu comprends ! lança Draco en éteignant la télévision.

-Ouais, ça se fête, une fusion, marmonna Harry. Il est bien Vincent, je l'aime bien, c'est un brave gars.

-Essaye pas de te le taper, d'une, il est avec Igor, de deux, t'es avec moi !

-Mais Drake, on faisait seulement semblant ! Hein ?

-Euh, ouais, ouais... » Ils se regardèrent longuement. « Comment qu'on faisait semblant déjà ? demanda innocemment Potter.

-Ouais, me rappelle plus, renchérit Draco. Faut qu'on s'entraîne, pour le... le prochain dîner...

-Ouais, faut de l'entraînement... »

Et ils se jetèrent joyeusement l'un sur l'autre pour s'embrasser à pleine bouche, la bouteille à moitié vide de whisky allant rouler sous le canapé.

Draco se réveilla avec un mal de crâne abominable. Il était étendu dans son lit. Seul. Et habillé. Merci Merlin ! pensa-t-il en se remémorant la fin de la soirée. Oh Merlin. Ils avaient vraiment fait ça ? Ma vie est finie... Je peux me pendre.

Ils sortit lentement de sa chambre. Le salon était jonché de bouteilles de bière vides, et la bouteille de whisky, vide elle aussi, trônait fièrement sur la table basse. Il se traîna lamentablement à la cuisine ; Potter avait la tête posée sur la table, amorphe, devant un verre d'aspirine. « 'Jour » marmonna Draco. Harry releva la tête et lui lança un regard ensommeillé. « Drake, dis-moi qu'on n'a pas dansé devant une redif de la star'ac.

-On n'a pas dansé devant une redif de la star'ac, répondit Draco.

-Oh Merlin. Dis-moi qu'on n'a pas sonné à la porte du voisin pour lui dire qu'on l'aime de tout notre cœur.

-On n'a pas sonné à la porte du voisin pour lui dire qu'on l'aime de tout notre cœur.

-Dis-moi qu'on s'est pas jeté l'un sur l'autre pour s'embrasser.

-On ne s'est pas jeté l'un sur l'autre pour s'embrasser.

-Oh Merlin. Aspirine ? » Draco accepta avec grâce en s'étalant à côté du brun. Et ô malheur, on sonna à la porte. Harry se traîna encore plus lamentablement que Draco jusqu'à la porte, jetant un coup d'œil par le judas. Il ouvrit et Vincent lui offrit un large sourire. « Bonjour bonjour ! J'vous ai apporté des croissants. T'as l'air de t'être pris une cuite d'enfer, Harry.

-'Jour.

-Bah je passais dans le coin en revenant du coiffeur, alors voilà, suis passé vous faire un petit coucou et vous remercier pour la soirée d'hier ! Draco n'est pas là ?

-Cuisine.

-Tu es sûr que tu vas bien ?

-Mal au crâne.

-Au fait, le voisin vous dit bonjour ! » Harry se claqua joyeusement la tête contre le mur et Vincent le regarda quelques minutes, son paquet de croissants à la main. « Tu sais, ce n'est pas en te cognant la tête que ta migraine va partir. » fit-il finalement en se dirigeant vers la cuisine d'un pas joyeux.

Draco était bien content d'avoir pris sa journée. Harry avait fait de même et, après le départ de Vincent, ils s'étalèrent dans le canapé pour se rendormir aussitôt.

Harry se réveilla avec une douleur vissée au cou. Il se massa lentement la gorge ; évidemment, s'endormir assis n'était pas toujours confortable. Il baissa la tête et eut un léger sourire. Draco était étalé de tout son long dans le canapé, la tête sur ses cuisses.

Il se dégagea lentement, veillant à ne pas le réveiller, écrivit rapidement une note qu'il posa sur la table basse et quitta l'appartement de bonne humeur.

Draco se réveilla brusquement. Il jeta un coup d'œil à sa montre-bracelet. 15h. Une note l'attendait sur la table.

Merci pour la soirée ( tu as bien lu Drake, je te remercie ! )

Au plaisir de te revoir.

Harry.

Draco esquissa un sourire. Il se replongea dans le canapé, fixant le plafond.

Le lundi, Draco était toujours de bonne humeur pour aller au travail. Il haussa un sourcil en entrant dans la galerie. Sa secrétaire eut un sourire crispé. « Bonjour, Mr. Malfoy.

-Bonjour, Louise. Du courrier ?

-Euh... oui... » Elle lui tendit une pile de lettres et y ajouta le journal. « Louise, je ne...

-Monsieur, sauf votre respect, je crois que vous devriez vraiment le lire. Il... il est paru samedi... » Draco fronça les sourcils, lâcha les lettres sur le bureau de la jeune femme qui serrait les dents, attendant la crise.

En première page de la Gazette s'étendait deux photos. L'une du Grand et Célèbre Harry Potter, l'autre du Misérable Fils de Mangemort Draco Malfoy. Sous la haine se cache une passion torride !article p. 2 à 6 ! Draco resta un long moment à fixer le journal, hébété. Louise secoua la tête. « Mr., je ne sais pas d'où vient cette rumeur complètement stupide... L'article a été écrit par Rita Skeeter... Encore cette vermine ! Je suis désolée, Monsieur. Dois-je appeler votre avocat ? » Draco resta silencieux. Il s'assit sur le bureau de la jeune femme et ouvrit le journal. Ses yeux s'arrêtèrent sur un passage, qu'il relut plusieurs fois.

Les deux jeunes tourtereaux ont été surpris par notre source en train de s'embrasser follement dans le bureau du célèbre Harry Potter. Notre contact assure que l'ambiance était 'torride' et que rien ne semblait pouvoir les décoller l'un de l'autre. La réelle question est, sans aucun doute, comment le Survivant, Sauveur du monde sorcier, a put tomber aussi bas pour s'acoquiner avec le tristement célèbre Draco Malfoy, fils du mangemort Lucius Malfoy qui a reçu il y a quelques années le Baiser du Détraqueur.

Tomber aussi bas ? Alors ainsi, parce qu'il était le fils de Lucius Malfoy, il devait être comme son père ? Malgré tout ce qu'il avait fait durant la guerre, malgré son ordre de Merlin Première Classe, malgré le fait qu'il ait mis sa vie en danger un nombre incalculable de fois pour récolter des informations et les transmettre à l'ordre du Phoenix, il était considéré comme un moins que rien ?

Louise se leva, fit le tour de son bureau et posa une main réconfortante sur le bras de son patron. Elle était triste pour lui. Il n'était pas gentil, mais jamais il n'avait été incorrect avec elle. Il la payait bien, tout en sachant qu'elle restait des heures pendue au téléphone – sur le compte de la galerie – avec sa meilleure amie. Il lui envoyait une rose à la Saint-Valentin. Une carte à Noël. Il lui offrait une prime pour son anniversaire. « Monsieur, personne ne va croire les rumeurs stupides que lance cette pauvre idiote de Skeeter. J'ai pris la liberté de convoquer Mr. Potter à dix heures, et d'annuler vos rendez-vous jusqu'au déjeuner. » Draco releva la tête pour regarder sa secrétaire. Il lui fit un léger sourire. « Merci, Louise. Vous êtes réellement la meilleure secrétaire du monde... Allez, dites-moi la vérité.

-Trois de nos clients ont déserté.

-Lesquels ?

-Elgon, Sten, et Marshall.

-Les plus gros et les plus influents bien sûr... Quoi d'autre ?

-Un paquet de lettres d'insultes. Deux artistes ont demandé à retirer leurs peintures de la galerie.

-Rien de positif, je suppose ?

-Euh... vous avez été élu 'homme le plus sexy de l'année' par un magazine gay. Ils vous envoient une invitation pour une séance de photos.

-Oh, génial. Je suis l'homme le plus sexy de l'année.

-Monsieur... Il y a pire.

-Oh Merlin... quoi ?

-Sans... sans les contributions d'Elgon, de Sten et de Marshall, je ne sais pas combien de temps la galerie va tenir. Ils étaient nos plus gros clients, sans eux... Presque la moitié de nos ventes, Monsieur. Les dons, les vernissages, ils y étaient... Et je ne doute pas qu'ils appelleront probablement les clients qu'ils ont amené chez nous. J'ai appelé votre avocat samedi. Selon les termes du contrat avec VanMark, il y a six mois de test, afin de voir si les deux galeries tiennent la route. Et, au terme de cette période, le contrat peut être brisé.

-Dans six mois, nous serons en faillite, n'est-ce pas ?

-Le comptable a dit que si nous ne retrouvons pas très vite de nouveaux clients, nous fermerons boutique dans trois mois. Mais déjà deux de nos artistes phares veulent retirer leurs œuvres, et j'ai peur que d'autres fassent la même chose, Monsieur... » Elle baissa la tête, désemparée. « On a trois mois pour redresser la barre, donc ? Eh bien, désolée Louise, mais vous allez faire des heures supplémentaires. Cette galerie tiendra, même si je dois investir mon propre compte en banque jusqu'à la dernière noise ! Et cette foutue fusion aura lieue ! On a fait trop de sacrifices pour en arriver là. On a un vernissage le 8, organisez-en un autre pour le 15, avec Mirnof. Trois mois qu'il emmerde tout le monde pour se trouver une galerie, bah il va l'avoir ! Mettez le paquet, et invitez le plus de journalistes possible, surtout ceux qui sont de notre côté. » Louise releva la tête, souriante. « Bien, Monsieur ! Je vais faire cela sans attendre.

-Oh, et trouvez-moi l'adresse de cette garce de Skeeter. » Louise eut un sourire innocent. « C'est... regrettable, je crois que la pauvre femme s'est faite agressée par un chien... » Draco éclata de rire. Il était l'une des rares personnes au courant que Louise était une Animagus non déclarée. Un charmant labrador couleur sable aux yeux aussi bleus que la jeune femme.

Harry fit un signe de tête à la secrétaire et entra dans le bureau de Draco. Celui-ci l'attendait, assis à son bureau. « Harry.

-Drake.

-Installes-toi » Le brun prit place dans le canapé longeant le mur. « On fait quoi ? demanda-t-il.

-Eh bien, pour commencer, qu'est-ce qui se passe pour toi ?

-Lettres d'insultes, quelques clients perdus, mon patron veut me virer.

-Ok, moi je suis au bord de la faillite. Je suppose que c'est la personne qui est entrée dans ton bureau l'autre jour ?

-Mon assistante. Virée sur le champ, avec assurance de ne pas retrouver de boulot avant quelques temps.

-Ok. Bon, maintenant, voyons l'aspect positif des choses. VanMark ne risque pas de croire que c'est du bidon ! Alors là, c'est grandiose... Un véritable petit couple ! » Les yeux de Harry étincelèrent de colère et il se leva, abattant un poing sur le bureau. « Alors toi, tu trouves ça génial parce que tu vas avoir ta fusion à la con ? Merde, Drake ! Je ne suis pas gay ! Je gagne quoi, dans l'histoire ? Je suis sur la sellette, mon patron veut me virer de mon poste parce que je lui fait perdre des clients, je suis fui comme la peste par tous ces foutus homophobes ! Bordel, arrête de penser à ta petite personne cinq minutes ! Je suis dans la merde la plus totale, alors que je n'ai fait que te rendre un service ! Je savais que j'aurais dû refuser... Y'a vraiment que le pognon qui t'intéresse !

-Harry...

-Ferme-la, je n'ai vraiment aucune envie de t'entendre ! Je fais quoi si je suis viré ?

-Parce que tu crois que pour moi c'est mieux ? Si je n'arrive pas à redresser la barre dans trois mois, je n'ai plus rien ! cria Draco en se levant à son tour. J'ai passé des années à construire cette galerie, à asseoir ma réputation ! Et à cause de cette poufiasse de Skeeter, je suis sur le point de tout perdre ! Et après, tu oses dire que je suis nombriliste ? Je suis autant dans la merde que toi ! » Harry prit une profonde inspiration. « Le problème, Malfoy, c'est qu'à la base, c'est de ta faute ! C'est toi qui t'es foutu dans la merde en racontant à ton pote que tu es gay et que tu sors avec moi ! C'est toi qui m'a demandé de t'aider à t'en sortir ! Merde, j'ai été sympa, tu as vu ce que je me prends ?

-Mais qu'est-ce que j'y peux si ta crétine d'assistance est allée tout balancé ? Tu peux pas surveiller ton personnel, aussi ? Ca n'arriverait jamais chez moi ! » Harry serra les poings. « Malfoy, tu fais ce que tu veux, je m'en contrefous, mais tu nous sors de ce bordel !

-Et je fais quoi ? Je jette un Imperium à ta pauvre conne d'assistante pour qu'elle aille dire que c'est faux ? Tu sais très bien qu'il n'y a rien à faire ! Maintenant que la rumeur est lancée, rien ne peut la démentir !

-Ca, c'est ton problème, Malfoy. Je te jure que tu ferais mieux de trouver un moyen.

-C'est une menace ? lâcha froidement Draco.

-C'est un conseil. » répliqua sèchement Harry. Il quitta le bureau en claquant la porte. Louise entra quelques minutes plus tard et tendit à son patron une tasse de thé. « Eh bien sûr, tout le monde a entendu notre engueulade » lâcha platement Draco. La jeune femme secoua la tête. « J'ai jeté un sort d'insonorisation sur votre bureau, Monsieur.

-Louise, épousez-moi... » Elle eut un sourire. « Monsieur, je suis déjà fiancée...

-Voyons, Louise ! Je suis certain d'être mieux que votre fiancé. Bon. Ca vous dit de déjeuner avec moi ?

-Avec plaisir, Monsieur.

-Louise.

-Oui ?

-Qu'est-ce que je ferais sans vous ? » Elle éclata de rire. « Oh, rien Monsieur ! Vous êtes trop tête en l'air et impulsif, vous ne seriez rien sans moi !

-Et en plus, vous êtes modeste ! La femme idéale, vraiment.

-Monsieur, puis-je vous poser une question ? » Draco prit une gorgée de son thé. Thé à la menthe, parfaitement sucré et infusé. « Vous venez d'en poser une mais je vous en offre une autre, si vous le désirez.

-Vous... vous semblez triste. Et Mr. Potter le semblait aussi. Monsieur, est-ce réellement une simple rumeur sans aucun fondement ?

-J'adorerais pouvoir vous dire oui, Louise. Le problème, c'est que Potter et moi avons bel et bien été surpris en train de nous embrasser dans son bureau.

-Monsieur. Une autre question.

-On leur donne la main, ils vous bouffent le bras... Oui ? Excusez-moi, Louise, je suis un peu – mais vraiment pas beaucoup, hein – sur les nerfs.

-Pourquoi est-ce que Mr. Potter et vous-même semblez au bord des larmes, Monsieur ? » Draco lança un regard à sa secrétaire et esquissa un léger sourire. « Ce sont sans doute le fait de voir les problèmes s'accumulaient à une vitesse folle depuis que cet article est paru... » Louise baissa les yeux. « D'accord, Monsieur. Si vous le dites... » Draco poussa un soupir et avala son thé d'un trait.


Et valà... hum... un tit peu plus sérieux, pas vrai ? Pas taper !!!