disclaimers : rien ne m'appartient, l'histoire et les personnage sont à JKR, shakespear ou autre.

Merci à Dreyd, Théalie, Onarluca et kitty-hp-16 pour leur review, elles m'ont fait très plaisir.

Je tiens aussi à m'excusé pour la mise en page, car elle n'est pas ce qu'elle devrai... mais j'arrive pas à faire mieux..

chapitre 7 : le début de la fin...

« Viens douce nuit,

Nuit aimante au front sombre et

Donne moi mon Roméo

¤Pour une fois nous sommes d'accord petite Juliette, que Draco vienne et vit¤

Et quand je mourrai,

Découpe le en petite étoile,

¤Oulala, tu deviens un peu macabre là, tu devrais te calmer... ¤

Il rendra si belle la face du ciel que le monde

Amoureux de la nuit ne se souciera plus du soleil.

J'ai acheté un domaine d'amour,

¤j'avoue que sur ce point je ne suis pas pressé, on s'est rapproché avec Malfoy mais pas ce point...et bien que j'ai pris plaisir au baiser que nous avons partagé, je ne suis pas près à ... qu'est-ce que j'ai dit ??? ¤

Mais je ne la possède pas et Bien que je sois vendue,

Je ne suis pas prise plus...

Le jour est plus ennuyeux,

Comme la veille d'une fête pour l'enfant impatient,

Qui a des robes neuve et ne peut les porter (...) »

¤Oh tais toi, tu m'énerves à jacasser comme ça ! Laisse moi penser ! Draco ou es-tu ? Et depuis quand je t'appelle Draco ???)

Soudain, la porte s'ouvrit sur Jeanne,

« Elle apporte des nouvelles ! S'écria Juliette

Quelles sont les nouvelles ? »

En voyant le visage défait de la vielle femme, Harry su ce qui s'était passé. Tybalt n'était plus, tué de la main de Roméo. La panique envahit peu à peu Harry ... Est-ce que Roméo était blessé ? Et Draco ? Comment allait-il ? Oh Merlin faites qu'il aille bien, Faites que je ne me sois pas trompé. En s'apercevant, qu'il commençait à se comporter comme Juliette, Harry tenta de se calmer et à écouter le récit de la nourrice, il y aurait sûrement des informations...

« Tyblalt, n'est plus, et Roméo est banni

Roméo l'a tué, et il est banni. »

J'ai raison, pensa Harry, la roue su destin s'est enclenché... Nous devons quitter ce monde avant qu'il ne soit trop tard ! Oh Draco, rejoins moi vite ! Il nous faut trouver la raison de notre présence...


« Bannissement !

Soyez clément. Dites ' la mort !

L'exil est terrifiant, bien plus que la mort.

Ne dites pas bannissement »

°Oh Tait-toi Roméo, s'écria Draco, toujours sous le choc. Comment cet idiot pouvait-il souhaiter la mort !! Et dire que j'ai été comme lui ! Je ne veux pas mourir moi ! Je ne veux plus mourir Oh Harry, Qu'allons nous devenir ? °

« L'affliction c'est éprise de toi,

Te voilà marié au malheur.

Tu es banni de la ville de Vérone,

Soit patient, le monde est vaste et grand » s'écria Frère Laurent.

« Il n'y a pas de monde hors des murs de Vérone,

Être banni d'ici, c'est l'être du monde,

Cet exil c'est la mort... »

Draco, écouta Roméo un instant, ressentant dans ses paroles un étrange écho. Il avait été comme lui, pendant longtemps il avait cru que le manoir était son endroit à lui. Il avait cru qu'il n'y avait pas de monde, pas d'autre réalité ou vérité en dehors de celle de son père. Il avait cru en ce dernier, cru qu'il savait tout. Puis un jour, son rêve avait explosé face à la réalité. Il l'avait vu sans les déformations de l'amour. Il avait compris quel cauchemar était la vision de son père, son héros, et il avait été brisé. Il comprenait les sentiments de Roméo, cette horreur de sois, de son nom, de ces actes et il était parti. Il avait voulu devenir un autre, voir par lui même ce qui l'entourait. Grâce à ça, il avait changé, même si personne ne l'avait compris.

Roméo devait le comprendre lui aussi, c'était son seul moyen d'avancer. Il entendit soudain, quelqu'un frapper à la porte. Le silence se fit dans le pièce. Draco sentait la peur monté en lui : ° Et si on les avait trouvé ? Harry ? Tu ne m'aurais pas menti ? Je ne veux pas mourir... °Un immense soulagement l'envahis en entendant la voix de la vielle femme.

« Où est le seigneur de ma dame ? »

« Viens Roméo »

Draco se retrouva face à la femme, en pleure.

« La mort est au bout de tout. » Dit la nourrice.

La peur saisit Roméo, puis Draco, °Harry ? °

« Parles tu de Juliette ?

Où est elle ? Comment va t elle ?

Que dit mon épouse de notre amour détruit ? » S'exclama Roméo.

« Elle ne dit rien, Monsieur,

Et ne fait que pleurer.

Elle crie 'Roméo !' puis retombe. »

« Comme si ce nom, lancé tel un mortel canon, l'assassinait.

Oh, instant maudit soit la main qui tua son cousin. »

Draco sentit le malheur tombé sur les épaules du jeune homme. Il sentit le désespoir l'envahir.

« Je te croyais d'un caractère mieux trempé

Ta Juliette est vivante,

En cela tu es heureux.

Tybalt voulait te tuer, mais c'est toi qui l'as tué

En cela tu es heureux.

La loi te menaçait de mort, amical, elle t'exile.

En cela tu es heureux.

Les bénédictions pleuvent sur ta tête. »

Roméo, se reprit et regarda la nourrice qui lui parlait

« Un anneau qu'elle m'a dit de vous remettre. »

« Cela ranime mon bonheur. »

Le frère Laurent poussa alors, Roméo vers la porte.

« Va retrouver ton amour comme il fut décidé,

Monte à sa chambre et vas la consoler, vas.

Mais attention veille à l'heure du guet,

Où tu ne pourras plus gagné Mantoue.

Tu attendras qu'on proclame ton mariage

Qu'on réconcilie vos familles,

Que tu sois pardonné et rappelé,

Deux millions de fois plus heureux que tu ne te lamentais en partant.

Fait vite.

Sois partie avant le jour.

Reste à Mantoue »

« Merci. »


« Oh mon dieu."

La main de Roméo a versé le sang de Tybalt.

Oh coeur serpent, caché sous un visage de Fleur,

N'y a-il jamais eu si vil livre cacher sous reliure si belle ?

Tant de perfidie logée en un palais si merveilleux ?

Dirai-je du mal de celui qui est mon mari ?... »

Harry écoutait Juliette s'époumoné depuis des heures. Il soupira en pensant qu'il comprenait ce qu'elle ressentait. Elle l'agaçait à se lamenter, mais il comprenait.

Il connaissait cette trahison, Petigrew avait trahis tous ses amis et sa vie à lui Harry, n'était que la conséquence de cette trahison. Malfoy aussi l'avait trahis. Il avait brisé la relation qu'ils avaient, il avait arrêté de le provoquer, il l'avait oublié. Et même là, il le continuait à trahir cet relation, il la trahissait, en arrêtant d'être Malfoy à ses yeux, en devenant peu à peu Draco, Draco, tout simplement.

Un bruit se fit entendre à la fenêtre, derrière le rideau se trouvait l'objet de leur tourmente. Lentement, Juliette s'avança vers son Roméo, et tandis qu'elle le pennais dans ses bras, un soulagement l'envahis.

¤Draco t'es là ? Tu vas bien ? ¤

°Oui Harry, je n'ai rien... Qu'allons nous faire ? Je sens que la fin approche... comment sortir d'ici ?°

Harry était dans les bras de celui qui avait été son ennemi, et s'y sentait bien, ils étaient dans une situation incroyable, une épée au dessus de la tête, mais il ne s'était jamais sentit aussi bien.

¤Je ne sais pas... Dumbledore avait dit que cela durerait 48 heure, nous devons nous en approché, peut-être auront nous de la chance. ¤

il sentit des lèvres parcourir son cou.

¤Qu'est-ce que tu fais ? ¤

°Je crois, que Roméo console sa Juliette... à moins que ce ne soit l'inverse...°


Elles n'étaient de rentrer que depuis deux jours et déjà, l'état du père de Belle était en amélioration. Le retour de sa fille avait été plus efficace que n'importe quel médicament.

Hermione, qui avait toujours rêvé d'avoir des soeurs, commençait à penser, en voyant celles de Belle qu'elle n'était pas si mal en fille unique. Elle comprenait ce que la jeune fille avait voulu dire en disant que ses soeur était un peu dispersé, elle comprenait son inquiétude. Marinette et Javotte étaient un mélange de Pavatti et Luna, distraite, commère, obsédé par la mode et les sorties avec en plus une dose d'égoïste et d'égocentrisme qu'Hermione n'avait jamais rencontré auparavant.

La Gryffondor ne comprenait pas comment les deux jeunes femmes pouvaient sortir, s'amuser en sachant leur père alité et leur soeur envahis pas les travaux ménagers. En effet, depuis le premier matin, Belle n'avait pas eu une minute de repos. Elle s'était occupé de son père, avait cuisiné, lavé, frotté les moindres recoins de la maison. Hermione avait été choqué de voir la crasse et les toiles d'araignées qui avait élu domicile durant leur absence. A croire, de la maison n'avait reçut ne serait-ce qu'un coup de balais depuis leur départ.

Les activités de Belle rendaient la vie d'Hermione ennuyante, monotone. Elle retournait à une vie d'observatrice ce qui l'agaçait au plus haut point.

Par la présence du Serpentard, elle s'était habituée à avoir une vie intellectuelle parallèle à celle de Belle et cette vie lui manquait. Le Serpentard lui manquait. Hermione n'avait jamais trouvé que l'amitié était une chose facile. Avant Poudlhard, sa facilité à assimiler les données, à comprendre les problèmes, son intérêt très tôt pour la lecture l'avait tenu éloignée des autres, et quand des choses étranges avaient commencées à se produire en sa présence, cela avait empiré.

En fait, avant de rencontrer Harry et Ron, elle n'avait pas eu de véritables amis. Ensuite, par leur intermédiaire, elle avait appris à apprécier et à être apprécier de Ginny, de Seammus, de Neville, et d'une certaine manière même de Luna. Mais avec le Serpentard, elle avait l'impression, qu'il cherchait à la connaître parce qu'elle était elle Hermione Granger, et pas l'ami d'Harry où le cerveaux sur patte comme certain l'appelait. Et cette sensation était étrange, nouvelle et le plus drôle c'est qu'elle aussi s'intéressait à celui qu'elle continuait à appeler le Serpentard.

Ce dernier ne lui avait toujours pas révélé qui il était et elle ne parvenait pas à reconnaître cette voix pourtant familière.

Au fil des jours, elle avait appris à le connaître et durant leur séparation, elle avait revécut leur rencontre, leurs discussions, et elle avait pris conscience d'une chose : il ne correspondait en rien à l'image du Serpentard.

Ces derniers étaient réputés pour leur ruse, leurs façon de se croire supérieur aux autres, et surtout à ceux qui comme elle venait de famille Moldu, leur méchanceté, et leur hypocrisie. Rien de bien attirant me direz vous, mais lui était différent, ou du moins, il semblait différent.

En repensant à leur première conversation, elle s'était souvenu de ce qu'elle avait perçut dans sa voix : il y avait tout d'abord de la joie avec une pointe d'excitation, comme si il était heureux de sa présence, heureux de partager cette aventure avec elle. Mais il y avait aussi une certaine gêne, ou plutôt une retenu teinté d'appréhension. Comme si il avait peur qu'elle le reconnaisse et peut-être qu'elle le rejette.

Mais pourquoi l'aurait elle rejeté ? Parce qu'il était Serpentard ? Elle avait toujours eu du mal à croire qu'il était tous le reflet de leur maison. Les Poufsoufle ne sont pas tous 'bon et gentil' Erni Macmillan est imbuvable, rien que de pensé elle avait des frisson de dégoût, et Harry avait lui aussi failli finir chez Serpentard, ça ne faisait pas de lui quelqu'un de mauvais pour autant. Ce qui montrait bien que chacun avait différente facette et pouvait choisir laquelle montrer.

Elle repensa à ce que son Serpentard lui avait dit, comme quoi il avait déjà reçu une leçon, qu'il avait compris certaines choses et qu'il avait changé sur certain point. Peut être était-ce pour ça qu'elle ne le reconnaissait pas, peut-être l 'avait elle connu différent. Mais aujourd'hui, elle se moquait de ce qu'il avait été, elle ne pensait qu'à celui qu'elle avait appris à connaître, et cette personne là lui manquait.

La semaine octroyée par la bête s'étirait en longueur et Hermione avait hâtes de retourner au manoir et de revoir son nouvel ami, de rentrer au château pour s'assurer que Ron ailles bien et que Harry... elle pouffa en le revoyant vêtu de sa robe blanche et se demanda ce qu'il faisait habillé de la sorte.

Les jours s'écoulaient lentement, doucement et Hermione se surpris à les compter, puis lorsque le dernier jour arriva elle compta les heures.

Dans six heure on ira se coucher, dans quatre heures on sera sur le chemin du retour, plus qu'une heure...

BELLE MAIS QU' EST CE QUE TU FAIS ? TU AS OUBLIER LA BAGUE !!! RELEVES TOI ET VAS CHERCHER LA BAGUE ! Mais Belle comme toujours ne l'entendis pas et s'endormis sans penser à la bague.

Après avoir vainement lutter, Hermione sentit le sommeil l'emporté à son tour...

Le lendemain, rien n'avait changé. Elles étaient toujours dans la petite maison, et Belle comme tout les matin c'était levé la première pour préparé le petit déjeuné, le reste de la journée de déroula sans comme la semaine passé, entre la cuisine, le ménage et les partie de cartes avec le convalescent. La seul différence était qu'Hermione hurlait en vain dans le tête de Belle pour lui rappelé la promesse faites à la bête. Le soir venu, Belle se coucha et fit un rêve étrange, elle rêva de la Bête, elle rêva de lui allongée sur le sol, mourante. A cette image, la jeune fille se réveilla en sursaut.

« Mon dieu qu'ai-je fais ? J'ai failli à ma promesse, la Bête, qui a été si bonne avec moi, je l'ai oublié » dans sa tête résonnèrent les dernières paroles de la Bête ' Soit, tu peux y aller, mais je veux ta promesse que tu reviendraS dans huit jours, ou bien les conséquences pourraient être tragique.' Ces paroles, plus le souvenir de son rêve la firent frissonné, elle ne méritait pas la confiance que la Bête, lui avait donné. Elle se leva d'un bond, et courut chercher la bague, qu'elle pausa à sa place sur la table de nuit. Puis s'endormis.

Hermione, qui avait partagé le rêve, ou plutôt le cauchemar de Belle, ne réussit pas à s'endormir. La vision de la Bête, agonisante la terrorisait : son ami partageait il toujours le corps de la Bête ? Était-il lui aussi en danger ? Elle se rendait compte qu'elle était attachée au jeune homme, plus qu'elle ne l'imaginait, elle ne supportait pas l'idée de le perdre sans savoir qui il était. Et s'il disparaissait complètement, et si...et si il mourrait ? Elle ne le supporterai pas...non...Dumbledore ne laisserait pas une telle chose se produire...Il ne laisserait pas ses élèves mourir de cette façon, c'était inconcevable. Elle s'efforça de se calmer, de se concentrer sur autre chose que la Bête mourante, pour essayer de glisser vers la sommeil.

En se réveillant le lendemain, elle était de retour au manoir. Comme d'habitude, elles se dirigèrent vers la cuisine pour retrouver Marie. Elles discutèrent de choses et d'autre, mais l'esprit des deux jeunes filles étaient fixés sur la Bête qu'elles allaient revoir l'après-midi. Le temps passa avec une lenteur incroyable, et quand enfin deux heures sonnèrent à l'horloges elles se précipitèrent dans la bibliothèque. La bête n'était pas là. Elles attendirent un instant, anxieuses, puis un flash les traversa, la bête dans le rêve était dans le jardin. Sans perdre un instant, elles s'élancèrent vers la porte. Sans s'arrêter, elles traversèrent couloirs et salles, avant d'arriver devant l'entrée de la roserais. Elles s'arrêtèrent, à bout de souffle, jetèrent un coup d'oeil à droite et à gauche et s'avancèrent à petit pas dans le chemin. Elles cherchaient partout, essayant de trouvé un signe de la présence de l'autre, et au détour d'un chemin ils apparurent, à même le sol, les yeux clos, immobiles.

« La bête !! Réponds moi, s'il te plait »

Tu es là ? Répondis-moi s'il te plait

Le silence leur répondit. Éclatant en sanglots, Belle se précipita vers Bête.

« Bête, Bête, s'il te plat, ne meures pas, ne me laisse pas seul... réponds »

Hermione, elle se savait que dire, elle regardait la bête son ami sans vie, elle n'avait pas les larmes de Belle pour pleurer cette personne qu'elle avait appris à aimé, oui, à aimé.

« Tu... n'as... respecté... ta promesse... tu n'es pas... revenu...je meure... de chagrin... »

Le murmure de la Bête l'éleva dans l'air porteur pour les deux jeunes filles d'un espoir merveilleux

°Hermione ? Je vais bien...un peu groggy...tu m'as manqué...°

« Je ne te laisserai pas mourir ! Tu ne peux pas me laisser, je t'aime trop pour supporter ta perte... »

¤Merci Merlin tu es vivant ! j'ai cru que je t'avais perdu j'étais... ¤ elle ne termina jamais ça phrase, car devant elle la Bête s'était transformé. Il était devenu humain. Il était devenu...toi...

Et à cette instant, elle sentit son esprit s'embrumé, puis quitter le corps de Belle, et avant qu'elle n'ait eu le temps de comprendre, elle rejoignait le monde des rêves.


Clic-clac, clic-clac.

Ron ne comprenait pas.

Clic-clac, clic-clac.

Ginny ne se réveillait pas, Clic-clac, Clic-clac pas plus que le Serpentard. Clic-clac, clic-clac. Ils semblaient tout deux heureux dans le monde du rêve.

Clic-clac, clic-clac.

Et le plus étrange c'est qu'ils semblaient se chercher à l'intérieur de leur rêve, leurs corps s'approchaient l'un de l'autre, malgré les efforts de chacun pour les en empêcher.

« Mais pourquoi ne se réveille t elle pas ? Ça fait au moins une heure qu'elle et comme ça !! C'est pas normale ! »

Il finit pas se lever.

« Je vais aller chercher de l'aide, c'est pas normal... »

« Reste là, ça sert à rien. »

Ron se tourna vers Neville le regard interrogateur.

« Tout d'abord, ça ne fait pas une heure, mais dix minutes, et je te ferais remarqué que toi tu as mis une demi heure pour émergé, et ton sommeil n'était pas aussi paisible que ces deux là, et surtout parce que personne ne t'entends. Il reste environ deux heure avant la fin du...jeux ? Et ce n'est que là que là que les professeurs arriveront. Imagine toi que Marrietta Edgecombe est dans ses rêves depuis plus deux heures !! »

A ces mots Ron se laissa tomber, repris la tête de Ginny sur ses genoux, et après un moment de silence dit.

« Dis moi Neville, dis moi o tu as atterri... »

A ces mots, le jeune homme sourit.

« Je suis devenu Z »

« Z ? C'est qui Z ? »

« Z, c'est quelqu'un qui réussit à sortir de sa condition, quelqu'un qui est passé par dessus les préjugées. »

Devant le regard curieux de ceux qui l'entouraient, il poursuivit.

« Je dois prévenir que Z n'est pas humain...c'est une fourmi » Il chuchota le dernier mot, ne sachant quelle réaction il allait obtenir, et celle si ne se fit pas attendre, ils éclatèrent tous de rire.

« Arrêtez ! Je ne veux voir personne se moquer de Z !! » S'écria-t-il d'une voix sèche et imposante qui calma ses camarades en une seconde.

Ils le regardaient à présent étonné, voire choqué : Neville n'avait jamais parler à qui que se soit sur ce ton. Il arrivait à peine à se défendre lui-même et, là, il montait sur ses grands chevaux pour une... fourmi ? Celle-ci devait être spéciale.

« Désolé, Neville »

Tous se tournèrent vers Parkinson, car c'était elle qui avait parlé.

Ron se demanda un instant s'il ne rêvait pas. Où s'il n'avait pas atterrit dans un univers parallèle. Ça expliquerai tout : Neville autoritaire, Parkinson gentille avec un Griffondor, Ginny et Zabini...

« C'est rien. » Lui répondit le jeune homme de sa voix habituelle. « Je disais donc que Z était une fourmi, une fourmi malheureuse dans un monde fermé à toute liberté, où chacun a une tache et une seule, une fourmi que tout le monde considérait comme inutile, sans intérêt, maladroite enfin vous voyez le genre, et cette petite fourmi, qui semblait bien mal partie, a réussi devenir quelqu'un, elle est devenu le roi de la fourmilière, a survécu à des aventures incroyables, elle a même vaincu le général Mandibul. Et grâce à lui j'ai compris que j'étais quelqu'un et j'ai décidé de ne plus me laisser faire, comme vous avez pu vous en rendre compte...Tiens Ginny se réveille »

Tous les regards convergèrent vers la jeune fille dont les yeux commençaient à papillonner. Elle humidifia ses lèvres, avant d'ouvrir les yeux en grand. Elle regarda autour d'elle puis voyant Zabini toujours endormi, se leva d'un bond, et en trois pas hésitant elle le rejoignit. Tout cela sous le regard éberlué des Gryffondors et des Serpentards. Sans leur accorder la moindre attention elle pris la main du jeune homme et commença à lui parler d'une voix inaudible pour les autres.

Toujours sous le choque, les personnes dans la grande salle assistèrent à l'incroyable réveil de jeune homme. A peine leurs mains s'étaient-elles jointes que son corps commença à réagir. Dès ses premières paroles, ses yeux commencèrent à s'ouvrir, et ses lèvres à se fendre d'un doux sourire jamais vu sur un Serpentard.

Avant que Ron ait pu dire un mot, elle posa sa tête sur la poitrine de Blaise en prenant soin de poser leurs mains réunies contre sa joue. L'autre main de jeune homme se souleva, comme si une volonté propre la guidait, et commença à caresser les cheveux de la rousse.

« Mais qu'est-ce qui se passe ici ? » Demanda Ron qui sortait enfin de sa stupeur. Mais personne ne lui répondit car un bruit de chute se fit entendre.

D'un même mouvement, tous les visages se tournèrent dans la même direction.

« Oh, Par Merlin pas eux aussi !! »

Cette phrase raisonna sans que personne ne sache si c'était une voix intérieure ou extérieure qui avait parlé.

Et voilà, un nouveau chapitre de fini, snif, snif...et c'était probablement l'avant dernier.

J'esserai de ne pas mettre autant de temps pour poster le prochain. Merci à tous et à bientôt