Auteur : Amy mais on me surnomme mmyyymmmyyy(Vengeance Mai et Aya !!)
Adresse : ou maikufree.fr (pour les emails d'auteur et review)
Origine : Gundam Wing avec un perso cross over Ramdass de Princesse Sarah
Disclaimer : Les G-boys ne sont pas à moi malheureusement, dommage j'aurai bien voulu Duo……il est……..très appétissant !Ramdass ne m'appartient pas non plus ! Mais Theo m'appartient je suis formel
Genre : Un peu de tout, kawai, yaoi, pov
Couples : 1 x 2 , 3 x 4 , 5 x 6 , Ramdass x Allen
Remerciement : Merci à tous ceux qui me soutiennent et aiment ma fic, en autre Reiyel, Cora,Kao ( vrai fada de cette fic ), Sephy, Salome, et encore plein d'autres .
Merci aussi a ma beta Azalea a qui vous devez cette superbe mise en page
Note de l'auteur : J'avais plus de pc pendant une semaine, alors système D pour s'occuper c'est d'écrire la suite de la fic .
La Cité d'Argent
Chapitre 9« Pensées de Zan »
Je me vois dans le noir, je regarde autour de moi, je vois Wufei, il me semble si loin, je lui crie « Wufei, je t'aime, reviens ! ! ». Mais au fur et à mesure que je me rapproche de lui, il s'éloigne de plus en plus, je me mets alors à pleurer toutes les larmes de mon cœur, et lorsqu'il disparaît de ma vue, je me mets à hurler « Nonnnnnnn ! ! ! ! ! ! ! ! ».
Je me réveille en sursaut, le corps en sueur, mes vêtements complètement trempés. Je passe ma main sur mon visage, un rêve….ce n'était qu'un rêve heureusement. Me sortant de mes pensées, un domestique fait irruption dans ma chambre :
- Prince !
- Qu'il y a-t-il ?
- Votre ami vient d'être retrouvé !
- Wufei…..
- Oui, votre père l'a ramené, il y a de cela quelques instants.
- J'arrive tout de suite ! !
Le domestique s'en alla, pendant que je sortais de mon lit et me changeait. J'enlevai mes vêtements trempés et j'enfilai un jean bleu et un t-shirt noir. Puis je me précipitai hors de ma chambre en direction de l'infirmerie. Arrivé à celle-ci, je ne pris même pas la peine de frapper et entrais sans plus attendre. Dans la pièce se trouvait déjà mon père et Ramdass, et sur le lit….mon tendre amour, son visage était sale, il semblait si fragile et si vulnérable a cet instant. Je regardai son ventre, et vit avec soulagement, une petite forme sur celui-ci, preuve que notre enfant était toujours présent. Mon père prit alors la parole :
- Je l'ai trouvé dans un cul de sac, son pouls est très faible et il faut le soigner au plus vite.
Il ne m'en fallut pas plus pour me mettre au travail. Mon beau-père et mon père s'occupèrent de déshabiller Wufei, pendant que je rassemblai le matériel dont j'allais avoir besoin pour le soigner.
Une fois celui-ci prêt à l'emploi, je me retournai vers Papa et Ramdass et me mis à rougir comme une collégienne, mon petit ami était entièrement nu, et mon beau-père lui nettoyait le visage avec de l'eau et un gant de toilette pour lui faire retrouver toute sa beauté pendant que mon père cherchait dans une des armoires de quoi le couvrir.
Quand Beau-Papa vit ma tête, il se mit à rigoler et s'exclama :
- Zan, tu l'as déjà vu quand même !
- Oui……mais….
- Mon fils est comme moi, il passe plus de temps dans l'acte que sur les caresses du corps, sourit mon géniteur.
Mes joues s'empourprèrent encore plus en réalisant que c'était vrai, mais c'était pas de ma faute ! Wufei et moi, on avait peu de fois fait l'amour, on avait pas pris le temps de se regarder, nos yeux étaient tellement emplis de désir que nous en devenions pressés de ne faire plus qu'un.
Malgré le fait que j'avais fait de la première fois de mon amant un véritable enfer, que je l'avais fait pleurer, il avait accepter la douleur, il n'avait jamais hurler. Mais même lorsque nous avons recommencé à joindre nos corps, dans l'espoir d'atténuer sa douleur et de lui laisser un meilleur souvenir, nous n'avions pas passé beaucoup de temps à nous caresser.
Nous n'avons pas passé ne serait-ce qu'une minute à regarder nos corps, pourtant je savais à quel point mon tendre amour était beau, rien que de le regarder dans les yeux, et j'étais séduit en un instant, sa beauté se lisait en premier dans ses yeux, l'expression tendre que j'y lisais, je ne pouvais m'en détacher , je pouvais y rester prisonnier pendant une éternité s'il le fallait.
Je me rapprochai de Wufei, et entrepris de l'examiner , avec l'aide de mon stéthoscope, j'écoutais les battements de son cœur, puis je pris sa tension et son pouls. Son état ne me semblait pas des plus encourageant, en posant une main sur son front, je pouvais rajouter à cela une forte fièvre.
Je m'empressai de prendre un linge humide, et de le déposer sur son front, dans l'espoir de lui procurer un semblant de fraîcheur. Je le vis soudainement cligner des yeux douloureusement.
Ils les ouvrit lentement, et je pu distinguer que son regard était assez flou. L'instant d'après, il les refermait, mort de fatigue, ce qui était assez compréhensible.
Il était sûrement sous-alimenté, il brûlait de fièvre, il paraissait si faible. Je m'en voulais de ne pas avoir contrer les paroles de mon père le jour où il s'est enfui, cela l'aurait empêché de fuir inutilement, j'espérais seulement maintenant ne pas les perdre, lui et le bébé.
Pendant la semaine qui suivit, Wufei ne reprit pas connaissance, il avait été très affaibli et n'avait repris connaissance que peu de fois et encore ce n'était que pendant un court instant. Chaque jour, je recommençai les mêmes gestes, un examen complet sur la santé de mon amour, puis je lui faisais sa toilette, le gardant toujours propre et contemplant sa beauté, je réalisais maintenant, quel présent j'avais acquis ou plutôt le trésor qui s'était intéressé au pauvre être que j'étais.
Malgré la faiblesse de Wufei, j'arrivai à le nourrir, lui faisant avaler de nombreux potages, et de temps en temps il se débattait faiblement, comme s'il voulait dire que ce n'était pas bon, mais au final, je lui faisais avaler tout de même l'assiette entière.
Il avait été durant toute cette semaine une poupée, mais pas n'importe laquelle, c'était une poupée dont je prenais le plus grand soin, tel un collectionneur, mais cette poupée était vivante, elle n'était pas de porcelaine certes, mais d'une fragilité pourtant.
Tout le monde, dans le palais, était dorénavant au courant que nous l'avions retrouvé, mon tendre amour, et je me souviens que les deux premiers jours ,après que mon père l'ai retrouvé, avaient été particulièrement éprouvants et extrêmement dures, nous vivions dans l'angoisse que l'état de Wufei n'empire, en plus de cela, mon père éprouvait beaucoup de regret, il pensait que c'était de sa faute.
Ce n'en était que plus dure, pas simplement pour moi, mais pour mon père, mon beau-père, tous les autres et même mon dragon adoré qui devait se battre pour survivre, et c'est pour ça que je pris la décision de faire cesser la culpabilité de mon père, car même s'il était vrai que c'était lui qui avait causé la fugue de mon aimé, c'était grâce à lui qu'il est là devant nos yeux.
Mon père s'était enfermé dans sa chambre, après avoir passé plus d'une heure à aider de Ramdass à nettoyer chaque parcelle de saleté qui se trouvait sur le corps du petit ami de son fils, sans nulle doute faisait-il cela pour expier ses fautes, depuis qu'il avait rejoint sa chambre, il n'en était point sorti, même pour le dîner.
Ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase, je retroussai mes manches, je sentais que j'allais m'engueuler avec mon père, mais c'était nécessaire à son rétablissement, j'avais monté les marches d'un pas rapide, très agacé, j'étais très fatigué à ce moment , déjà deux jours que je veillais mon amant, j'avais décidé que mon père n'allait pas s'y mettre aussi et que foi de Zan, j'allais lui faire avaler sa culpabilité ! !
« Flash Back »
J'en ai marre, marre de la culpabilité de mon père ! !
J'entrais en défonçant carrément la porte, je me dirigeai sans attendre vers la fenêtre, et j'ouvrai des geste large et rapide les rideaux qui étaient restés fermés sûrement depuis l'isolement de mon père.
Je me retournai et dirigeai mon regard vers l'endroit où se trouvait en question celui-ci. En le regardant, j'eus l'impression de revoir le comportement de ma sœur quand elle boudait, elle s'enfermait dans sa chambre, se mettait sous les couvertures et elle attendait le soir venu, que moi ou papa arrive, l'un pour s'excuser, l'autre pour la réconforter et l'empêcher de bouder plus longtemps.
- Papa, sors de là ! On dirait Gaëlle !
- Zan, pas maintenant……..
- Oh que si maintenant, ce qui est fait est fait et ne peut être modifié.
- Malheureusement…….
- Mais ce n'est pas une raison de culpabiliser ! Tu l'as retrouvé et son état s'améliore de jours en jours, petit à petit la fièvre finira par disparaître.
- Est ce qu'il s'est réveillé …….?
- Tout à l'heure, il a ouvert les yeux durant quelques secondes…….mais il est encore très faible, il s'est rendormi tout de suite.
- ……….
- Tu veux venir voir ton petit-fils ou ta petite-fille ?
- Hein ?
- Je vais passer à Wufei sa première écographie, je vais vérifier l'état de santé du bébé.
- Tu ne crois pas que c'est un peu trop tôt ?
- Je ne pense pas, il entame sa 3ème semaine de grossesse.
- Il entre donc déjà dans son 2ème mois humain, c'est ça ?
- Oui. Alors tu viens voir ou tu restes là à jouer les loques ?
- C'est bon, c'est bon, je viens !
L'amas de couverture ,devant mes yeux, commença à s'affaisser tandis que mon père en émergeait les traits fatigués, de grosses cernes sous les yeux. Il avait l'air complètement détruit, la tristesse se lisait sur son visage et je tenais à la faire disparaître, quitte à me faire crier dessus pour insolence ensuite.
- T'es franchement pas beau à voir, papa ! toi qui prétend être un apollon, tu passes pour un clochard là !
- Oh ça va ! Je me sentais pas bien, ça arrive à tout le monde !
- Mouais ! Qu'est ce que dirait maman ?
- Ah…..euh…..c'est à dire…..
- T'as aucune excuse ! Alors je veux plus jamais te voir dans cet état, compris ?
- Zan, je te prierai de baisser d'un ton. Ca non plus ta mère ne l'aurait pas apprécié.
- Désolé papa, mais dans ton état, je peux pas faire autrement.
- Tu veux qu'on aille lui demander ?
- ………………
- et toi Allen, ta réaction n'est-elle pas injuste ? demanda une voix.
- Ramdass…..dit avec surprise et lenteur mon père.
- Ton fils vient te remonter le moral et parce qu'il hausse un peu la voix, tu irais le raconter à celle qui fut ton épouse. Est-ce là l'attitude qu'un roi, qu'un père et un mari doit avoir ?
- Je…..
- Réfléchis bien à ton comportement Allen, tes enfants t'aiment et veulent te voir heureux, accepte le.
- Vos enfants, interrompis-je.
- Quoi ? demanda avec surprise mon beau-père.
- J'ai dit vos enfants, vous êtes tous les deux nos papa, autant l'un que l'autre.
Ramdass mit sa main sur son visage. Je devinai aisément combien ma déclaration l'avait ému. Mais je pense qu'il était temps qu'il comprenne que nous n'avions pas un mais deux pères, et je pense que mère aurait été d'accord avec moi.
Je l'aime autant que j'ai aimé ma mère, et je l'aime encore. Je me souviens qu'au départ, ca n'a pas été facile parce que nous sentions que c'était une trahison envers notre mère, mais si maman avait donné le don d'enfanter à Ramdass c'est qu'elle comptait sur lui pour s'occuper de notre père, de nous, et qu'elle avait accepté leur relation.
Mon père se leva, se rhabilla convenablement, prit la main de son mari et se dirigea vers la porte tandis que j'en faisais de même.
« Fin Flash Back »
Finalement, l'écographie avait révélé de bons résultats, le bébé allait parfaitement bien, il n'avait pas trop souffert de la sous-alimentation de Wufei, et j'avais fait des photos de notre enfant pour les montrer à mon amant, à son réveil.
J'étais encore aux côtés de celui-ci et lui caressais doucement les cheveux, quand il ouvrit les yeux, beaucoup plus difficilement que la semaine dernière. Je posai ma main sur son front et constatai avec soulagement que la fièvre avait totalement disparu.
Son regard avait l'air égaré mais au fur et à mesure que le temps s'écoulait, ses yeux se fixèrent sur ma personne avec un mélange de peur et de tendresse dans son regard.
Sans doute craignait-il que mon amour change pour lui par rapport au comportement qu'il avait eu précédemment.
Je lui souris doucement et lui caressais tendrement la joue, il me regarda surpris, en murmurant mon prénom. Je voulais à tout prix qu'il ne panique pas et qu'il ne s'affaiblisse pas davantage. J'essayai donc de le rassurer avec des paroles réconfortantes :
- C'est fini Wufei…
- Tu….nous…..finit….
Je me traitais mentalement d'idiot, j'aurai dû être plus précis dans mon explication.
- Nan bien sur, mais tu n'as plus à t'inquiéter, tout est arrangé.
- Ton père me hait……
- Non c'est faux, il t'adore et il aime déjà notre enfant, en le voyant, il a été émerveillé.
- En le voyant ?
- Oui.
Mon sourire s'agrandit et je prenais les quelques photos du bébé, prises quelques jours plus tôt sur la table de chevet, les tendis à Wufei et attendis sa réaction. Il regarda chacun des clichés attentivement pendant quelques minutes et se tourna vers moi ;
- c'est…….je vis bien qu'il n'arrivait pas à finir sa phrase, je la finis alors pour lui.
- Oui, c'est notre enfant. Wufei avait les larmes aux yeux et était visiblement très ému.
- Mais quand ?
- Il y a quelques jours pendant que tu étais inconscient, j'ai procédé à une écographie pour voir l 'état du fœtus sous l'œil bienveillant de Papa et Ramdass.
- J'ai été inconscient très longtemps ?
- Quand mon père t'a retrouvé, tu avais déjà perdu connaissance, c'était 5 jours après ton départ.
- Et ensuite ?
- Depuis une semaine s'est écoulée, tu avais pris froid et couvait une forte fièvre.
- Une semaine…..
- Durant les deux premiers jours après ton retour, ton état était très sérieux, tu n'arrêtais pas de transpirer, je me suis beaucoup inquiété ,tu gémissais dans ton sommeil, pendant cette période, Papa t'a veillé et Ramdass a insisté pour que je me repose un maximum.
- Ton père m'a veillé…..
- Oui, il n'a pas arrêté de culpabiliser à ton sujet.
- Alors pourquoi a-t-il été si cruel dans ses propos la dernière fois que nous nous sommes parlés ? ! s'emporta mon amant.
- Calme toi, Wufei, il ne faut pas que tu t'énerves, le rassurais-je passant ma main une énième fois dans ses cheveux. Mon père est inquiet, il ne veut pas dire à propos de quoi mais j'ai l'impression que ça concerne son frère, ajoutais-je.
- Son frère ? Tu veux dire celui qu'il appelle Shinji et que nous autres, pilotes, appelons Treize.
- Oui, mon père a toujours eu peur qu'il s'en prenne à nous car il a déjà essayé auparavant.
- Ah bon ?
- Oui, il s'en était pris à Gaëlle et si on était pas arrivé à temps, qui sait ce qu'il aurait pu faire.
Mon petit ami digérait doucement mes paroles, essayant de se calmer, puis il me sourit avec une pointe de gène.
- Et tu sais si notre enfant sera……. ?
- Enfin Wufei ! Il est trop tôt, souris-je.
Wufei rougit de la tête aux pieds, sans doute avait-il compris que j'avais raison. Je lui caressais la joue en lui disant :
- Laisse faire la nature et le temps, mon amour, nous l'aurons cet enfant que nous attendons maintenant avec tant d'impatience.
- Je serai patient alors.
- J'en suis certain.
Nos visages se rapprochèrent pour ne former plus qu'un et nos lèvres s'unirent pour danser sur un rythme endiablé mais où la tendresse était tout de même reflétée. Ce baiser, à lui seul, nous prodiguait tout l'amour que nous avions l'un pour l'autre et qui durerait éternellement.
« Fin Pensées de Zan »
« Pensées de Heero »
Tout le monde est inquiet, l'état de Wufei préoccupe l'esprit de tous, bien que nous savons qu'il est en voie de guérison, mais nous savons malheureusement qu'il est toujours inconscient.
Chacun de nous cherche à s'occuper à sa manière, mais cette occupation est veine car nous ne pouvons pas oublier que notre ami et frère d'arme est à l'infirmerie, qu'il a failli mourir et que Zan tient le coup, je ne sais par quel miracle, malgré lui.
Après une concertation générale, nous décidâmes d'aller voir nous même ce qu'il en était. Arrivés dans la salle de repos où séjournait Wufei, nous toquèrent mais nous ne reçûmes aucune réponse alors nous décidâmes d'entrer, Gaëlle la première.
Au sifflement admiratif que celle-ci poussa, nous n'avons pas eu de mal à deviner que quelque chose de soit « mignon » soit « sexy » se passait devant ses yeux. Alors je la soulevais d'un geste rapide, fit quelques pas de côté et la reposais à terre.
Je compris alors l'émerveillement de ma petite amie, nos deux tourtereaux s'embrassaient avec passion et tendresse, et il n'y avait pas lieu de douter que Wufei allait nettement mieux ! !
- Faut pas se poser la question de savoir comment Wufei a guéri si vite, annonçais-je à moitié mort de rire.
Et le rire se généralisa tandis que le couple se cachait, se fondant presque l'un dans l'autre, rouge de confusion.
- Il ne faut pas se moquer des autres si tu ne veux pas qu'on se moque de toi, Heero, interrompit une voix.
Nous nous retournâmes vers l'auteur de ces paroles et virent Ramdass adossé à la porte, le sourire aux lèvres, mais il lui manquait son turban.
- Content de te revoir parmi nous et en forme, Wufei.
- Merci Ramdass, c'est bon de tous vous revoir.
- Beau papa, tu as enlevé ton turban….annonça Gaëlle d'un voix, estomaquée.
- Disons que je me sentais pas encore totalement lié à cette famille, alors…..
L'atmosphère devint soudain lourde et silencieuse.
- Beau Papa…
- Tu te souviens de notre première dispute, Gaëlle ?
- C'est difficile d'oublier le mal que j'ai fait ce jour là.
- Lorsque ta mère est apparue, je me sentais beaucoup mieux, parce que je me sentais pardonné par elle pour le vol de votre père, mais je me sentais encore distant à votre égard, je me voyais toujours comme un domestique alors je gardais mon turban. Et il y a quelques jours, quelqu'un m'a dit certaines choses qui m'ont retiré cette distance pesante.
- On avait peut être peur de te l'avouer, Daddy, fit Zan.
- Daddy ? demanda Ramdass, incrédule.
- Beau papa c'est pas assez affectif et tu fais parti de notre famille, donc ce sera Daddy.
L'indou avait carrément les larmes aux yeux et dit d'une voix pleine d'émotion :
- Je ne sais pas quoi dire…
C'est à ce moment que j'ai remarqué que Allen se tenait près de la porte et s'avançait vers son mari pour lui entourer la taille de ses bras. Il lui murmura :
- Alors ne dit rien et accepte le, tu fais partie de notre famille et ce pour toujours. Naka Elfa (Je t'aime).
J'ai réalisé à cette instant que nous faisions tous partis de cette immense famille et que notre bonheur ne faisait que commencer même s'il allait être parcouru d'embûches, la grossesse de Wufei était déjà un pas vers ce bonheur ainsi que notre amour pour nos conjoints respectifs.
A suivre…..
Amy : Alors vous en pensez koi de ce chap ? Review pour me dire ce que vous en pensez
