Chapitre 3 : Novembre
Mercredi 1 Novembre
Je n'ai pas pu résister à cet appel, je suis sortit en courant, je sentais le vent se frotter contre moi, je sentais beaucoup d'odeur au risque de m'enivrer. J'entendais tous les bruits de la forêt, je me dirigeais vers elle dans un brouillard glacial. Je suis entré dans cette forêt et j'ai retrouvé la meute, elle jappait de joie et de fierté. C'était la pleine lune, le Loup noir s'approcha de moi.
- Cette nuit est particulière, puisque nous accueillons un nouveau membre dans notre meute. Puisse t il trouver ici ce qu'il lui manque !
La meute se déplaça vers un rocher, sur lequel grimpa le chef et lança l'appel.
- Loup Ô loup, venez à mon appel.
- Nous sommes là répondirent ils.
- Acceptez vous Danse avec les Loups ?
- Nous l'acceptons.
- Danse avec les Loups acceptes tu nos lois et l'autorité de notre meute ?
Quelque chose me poussa à le dire.
- Oui j'accepte !
- Loups Ô Loups, il a su montrer sa bravoure et son courage, il ne nous décevra pas !
Le brouillard se dissipa laissant voir une belle lune ronde et dorée, venant du tréfonds de moi je me mis à hurler, comme si je l'avais toujours fait. J'étais un loup, un Homme-Loup, pas un loup garou car j'étais conscient de ce que je faisait j'étais un homme qui marchait sur les mains et les pieds. De chaque côté du rocher du conseil se trouvaient les loups anciens, sur la gauche de jeunes loups, sur la droite des louves qui surveillaient leurs louveteaux. Ce fut le chant de Jalal qui fit partir les loups, seul le chef me dit ceci « Désormais tu fais parti de notre clan de la Morsure Noire, sois en digne et ne faillis pas à tes promesses. ».
Je suis sorti de la forêt, je me redressais, Jalal se posa sur mon épaule j'étais très fatigué, je suis allé dans ma maison pour me rafraîchir et me changer.
Bonne nuit, euh non bonne journée !
Jeudi 2 Novembre
J'ai revérifier la date de la lune rouge c'est bien le 15 Novembre. Il me tarde d'y être.
Bonne nuit.
Vendredi 3 Novembre
Bonjour … c'est Ginny, je te prie de me pardonner, mais il s'est passé quelque chose de grave de très grave. Je n'ai pas pu lire ton journal, car tu l'as bien protégé, mais j'ai vu cette plume dedans, et j'ai commencé à écrire après un long moment, j'ai eu très peur de revivre ma première année. Mais j'ai lu juste que le journal n'affichait que ce qui pouvait m'intéresser. J'étais rassurée que ce ne soit pas un Journal de Tom Jedusor N°2.
Que c'est il passé ? Je ne le sais pas exactement, juste ce que j'ai vu. C'était au repas du soir, tu n'étais pas à table, cela m'a paru un peu étrange, mais la discussion à notre table était très animée. Dehors, il pleuvait et il y avait du brouillard, je m'en souviens car jamais je n'avais vu le plafond de la Grande Salle ainsi. Une furie est entrée dans la Grande Salle en poussant des cris grinçants qui me cassaient les oreilles. Cette furie se jeta sur Cho et commença à lui mordre les bras, à lui planter ses griffes dans sa tête, dans ses bras. Cho s'était mise à hurler de terreur et de douleur. Elle tomba au sol les cheveux défaits, les bras ensanglantés, elle regardait avec terreur l'oiseau qui lui faisait face, il était magnifique. Puis la fureur de l'animal se retourna contre Crabbe et Goyle. Les professeurs avaient sorti leurs baguettes excepté Dumbledore, qui leur demanda de ne rien faire au risque de blesser un élève. Le phénix se posa devant le directeur et chantonna une chanson, qui me fit vibrer, et je n'étais pas la seule à ressentir ce genre de chose. Dumbledore regarda le phénix les yeux brillant d'une colère sans limite, j'étais stupéfaite ! C'était la première fois que je le voyais dans un tel état. Il se leva. Il prononça quelques paroles au professeur Rogue ainsi qu'au professeur Flitwick. Chacun s'occupa de ses élèves. Dumbledore discuta avec le professeur Chourave qui mit sa main devant sa bouche pour étouffer une exclamation. Harry annonça que c'était Fulcran qui avait sûrement des problèmes, car c'était son phénix, mais ils ne comprenaient pas pourquoi il s'était attaqué à Cho. Ron était aux anges surtout quand le phénix avait reporté son agressivité sur les Serpentard. Mais il était déçu qu'il n'ait même pas donné un coup de griffes à Malefoy. La rumeur se répandit comme quoi tu avais disparu et assassiné par je ne sais plus quel mangemort. Avec Harry, Hermione et mon frère on s'est regardé, on savait que ce qui t'arrivait et ce qui s'était passé dans la Grande salle étaient liés. On nous a reconduit dans nos maisons respectives. Nous, on voulait en savoir plus. Quand tous les élèves de Poudlard furent retranchés dans leurs maisons, Harry a ressorti sa cape ainsi que sa carte et nous sommes sortis aux nouvelles. Le meilleur endroit étant à proximité du bureau du directeur. Hagrid est passé devant nous son arbalète au poing, il marmonnait ces mots « Incroyable, inimaginable, impensable, comment en est on arrivé là ? Et comment il est arrivé là ? » Il monta les escaliers, on est monté aussi et on a écouté à la porte.
- Alors Hagrid ?
- Je l'ai retrouvé professeur Dumbledore.
- Il était où ? Demanda le professeur Chourave.
- Dans la forêt interdite dans un état lamentable, couvert de sang inanimé, il a des contusions sur tout le corps, Madame Pomfresh a très peur que l'une de ses blessures entraîne des complications.
- Comment cela ? Demanda le professeur McGonagall.
- Il aura une bosse, il sera bossu.
Un grand silence plana dans le bureau, un silence désolé. Je n'osais regarder les autres, je savais que cette bosse signifiait une apparence difforme. Ne m'en veux pas, tu le dis toi-même tu n'es pas un top modèle de Sorcière Hebdo, mais cette bosse te condamne à des moqueries incessantes. J'en suis vraiment navrée.
- Mais il y a autre chose, annonça Hagrid.
- Comment cela ? Demanda le directeur.
- Quand je suis arrivé, il y avait une meute de loup qui l'encerclait, je me suis approché lentement prêt à une attaque, généralement les loups ne se mesurent pas aux géants. Ils ont montré leur colère et leurs crocs, mais celui qui semblait être leur chef les a fait partir. Il ne resta plus que lui entre Fulcran et moi, il s'est mis à hurler et il a disparut dans le brouillard. Un silence pesant remplit la pièce. Quelqu'un se leva et marchait. Nous avions entendu ce que nous voulions. Nous sommes allés voir à l'infirmerie tu étais sur le lit, inconscient de ce qui serait ton lendemain. Pompom n'était pas là sûrement en train de courir après une potion. Harry a retiré la cape, nous n'osions te regarder. Harry s'approcha de la porte de l'infirmerie pour faire le guet, Ron et Hermione étaient occupé à te regarder. Quelque chose attira mon regard c'était ton journal, je me suis penchée de telle manière à le prendre sans qu'ils me voient. J'a du m'approcher de très prés de ton visage, je n'ai pu retenir une larme. J'ai pris ton journal et le cachant nous sommes sortis. Je n'osais pas l'ouvrir, pourtant j'étais très curieuse de savoir ce que tu décrivais comment tu voyais notre monde. Je voulais voir notre monde à travers tes yeux. Finalement je l'ai ouvert avec une impression d'avoir violer quelque chose. Les seuls mots que j'ai pu lire furent : « C'est-à-dire que tu ne laisseras lire que ceux qui en seront digne. Et tu pourras bloquer quelques passages qui pourraient les gêner. De plus, on ne peut écrire sur le journal qu'avec cette plume d'ailleurs elle reste tout le temps dans le journal. C'est une plume que Jalal m'a donnée, elle repousse l'encre si quelqu'un de non autorisé veut écrire dessus. » Dont ton journal ne me fait pas suffisamment confiance pour lire ce que tu as écrit en un sens ça me rassure car je n'ai plus trop l'impression de violer ta vie. Quand j'ai essayé d'écrire pour te laisser un petit mot, j'ai tracé un trait qui resta visible quelques secondes avant de disparaître. Alors je t'ai raconté ce que nous avions vécu de tes évènements.
Au fait je te remercie pour cette journée où tu es intervenu, j'ai grandement appréciée. Ne t'inquiète pas j'ai fustigé Ron comme il se devait pour le cocard …
Bonne nuit
Samedi 4 Novembre
J'ai mal de partout à croire qu'un troupeau de dragon m'est passé sur le corps. Je les avais reconnu, ils avaient attaqué Ginny, ce jour là je n'ai pas fait attention à eux, mais maintenant je les reconnais bien. Ils ont eu peur que je les reconnaisse. C'était Cho qui avait réussi à s'accoquiner avec Crabbe et Goyle pour s'en prendre à Ginny, car elle croyait qu'elle était avec lui.
Je suis fatigué.
Bonne nuit
Dimanche 5 Novembre
Je vais un peu mieux, une chose étrange quand je t'ai ouvert ce matin, je me suis rappelé que tu te trouvais hier dans ma poche gauche alors que normalement tu as une poche réservée… J'ai pris conscience de ce qui est écrit pour Vendredi, mais certains passages sont illisibles, tu me les caches ? Je vois que c'est Ginny Weasley qui a lu mon journal. Quelque part je me sens découvert, mais rasséréné, car je sais, je sens qu'elle n'a pas de viles intentions. Je sais que tu me demandes de te raconter cette « journée » je n'en ai pas le courage, peut être que demain ? Personnes n'est venu me voir aujourd'hui, je m'y attendais, un peu mais j'avais espoir que le T.I. vienne, ou bien Ginny Weasley pour lui dire qu'elle peut y mettre de temps en temps ses impressions. Mais personne, peut être que demain …
Bonne nuit.
Lundi 6 Novembre
J'ai pu me lever et je suis assis dans un fauteuil, Pompom ne me regardait pas en face, je lui ai demandé pourquoi, elle ne voulait pas me le dire, finalement après insistance elle me présenta un miroir.
J'ai pleuré, oui pleuré longtemps, j'avais mal à mon corps mais aussi dans mon corps, j'avais mal en moi, je ne me reconnaissais plus, complètement difforme. J'étais devenu mon propre étranger … Je comprends pourquoi personne n'est venu. Jalal est venue, je ne voulais voir quoi ou qui que ce soit, je lui ai même crié après en la repoussant lui disant que je n'étais plus moi, mais elle a insisté, j'ai craqué, mes larmes on recommencé à couler, je ne réalisais pas ce qui m'arrivait. Elle chanta essayant de me rassurer, son chant était triste mais je le reconnus, ce chant c'était celui que j'adorais. Je me suis laissé emporté en lui demandant pardon pour ma réaction, elle me fit signe qu'elle ne m'en tenait pas rigueur. Je l'ai supplié de ne pas m'abandonner, une phrase résonna dans ma tête difforme « Une meute n'abandonne jamais un de ses membres » Mais je ne voulais pas repenser à cette maudite journée.
Bonne nuit.
Mardi 7 Novembre
Je dois raconter, au moins je ne rêverai plus de cette maudite journée !
Je me promenais dans les couloirs, quand on m'attaqua par derrière, je suis tombé en avant, le sort d'entrave était en cours. Puis j'ai reçu un coup sur la tête. Quand j'étais revenu à moi, j'étais dans la forêt interdite et trois silhouettes braquaient leurs baguettes sur moi, ils portaient des cagoules.
- Tu nous reconnais ?
Je fixais leurs regards, leur morphologie.
- Crabbe, Goyle et Chang ! Murmurais je
Ils enlevèrent leur cagoule marron, leurs visages ne reflétaient que haine et vengeance.
- Oui tu nous as reconnu nous avons attaqué Ginny.
- C'était vous ? M'écriais je.
- Oui répondit Crabbe un peu déstabilisé. Tu ne nous avais pas reconnu ?
- Si vous ne m'aviez pas attaqué aujourd'hui je ne vous auriez pas reconnu, mais maintenant je fais certains liens.
- C'est pourquoi nous allons te réduire au silence.
Plusieurs sorts sortirent de leurs baguettes, me torturant, j'étais bousculé d'un côté de l'autre ma tête se cognat fortement sur les rochers. J'étais sur le bord d'une falaise, je chutais et m'écrasais en bas, j'entendis un craquement sinistre dans mon dos et je commençais à être dans les vapes. Ils se sont approchés de moi, ils voulaient faire croire que j'étais entré volontairement dans la forêt et que j'avais chuté de la falaise. Chang s'avança c'était la plus déterminée, elle pointa sa baguette vers moi, quand un hurlement se fit entendre. Ils furent surpris par la meute qui montrait ses crocs. Ils se sont enfuis. Le chef s'approcha de moi et lécha le sang qui se répandait sur ma nuque. Il prononça la phrase puis je sombrais dans le néant.
J'ai été sobre, j'ai revécu ces évènements avec horreur, et quand je me vois je pleure.
Bonne nuit.
Mercredi 8 Novembre
C'est aujourd'hui que je sors de l'infirmerie, Pompom m'a donné une canne pour me déplacer dans les couloirs, car avec mon dos je suis courbé vers l'avant, j'ai besoin d'une canne pour marcher normalement. Pompom avait laissé la porte ouverte, car je ne voulais pas sortir, affronter le regard des autres, voir dans leurs yeux ma propre déchéance. Mais je ne pouvais pas rester enfermé indéfiniment. Je suis sorti pour le repas de midi. Il n'y avait aucun bruit dans les couloirs. Claudicant je marchais dans le couloir, imaginant tous les commentaires. Je suis arrivé devant la grande porte qui était fermée. Je posais la main dessus, j'entendais les rire et les discussions, une boule se coinça dans ma gorge, et mon estomac se noua. Je poussais la grande porte qui s'ouvrit dans un grincement sinistre. Les conversations tombèrent, la salle devint silencieuse. Tous me regardaient, moi le bossu. Les Serpentard me regardaient de face avec horreur, les Gryffondor m'observaient de biais, les Serdaigle étaient très gênés, mais ceux de ma maison n'osaient même pas me regarder. Quand aux professeurs … Je n'ai pu résisté, je me suis retourné, et je suis reparti dans l'autre sens en essayant de courir, mais j'ai trébuché et je me suis étalé de mon long sur le dallage, j'ai fermé les yeux pour qu'ils ne me voient pleurer. Espérant que je me réveillerai d'un mauvais rêve. Mais personne ne bougea. Je me suis levé et j'ai bifurqué dans le premier couloir J'ai parcouru quelques mètres avant de m'effondrer contre une colonne en pleurant. Seul j'étais seul je resterai seul et difforme. Mes parents étaient introuvables, ils ont disparu, personne ne sait où ils sont. Je me relève et je marche tant bien que mal vers le jardin, dépassant le hall je sortis sur le jardin. Je me suis arrêté sur le pas de la porte. Je me mis à courir, courir pur ne plus penser allez droit devant, droit vers l'inconnu, droit vers le néant. Courir pour échapper à ce qui se présentait à moi. J'arrivais enfin à la forêt et je m'appuyais sur un arbre. Je fermais les yeux espérant que quand je les ouvrirais tout ce cauchemar aura disparu. J'ouvrais lentement mes yeux et croisa deux pupilles dorées. Le chef de meute se tenait devant moi et m'observait. Je ne savais pas quoi faire.
- Tu ne dois pas regarder en arrière, vas de l'avant.
- Regardes moi, m'écriais je.
- Oui je te vois, tu possèdes quelque chose d'extraordinaire, mais tu ne le sais pas encore.
- Quoi ?
- A toi de le deviner, ce n'est par hasard que nous t'avons adopté dans la meute, chaque membre a un rôle, une place. Par exemple, je ne suis pas le chef, mais le guide le conseiller, et un ami. Il me fixa à ce mot. Si tu es ici c'est pour une raison, à toi de la découvrir. Mais ne déçoit pas la meute.
Il me fixa encore quelques secondes puis il ajouta.
- Vie comme si rien n'avait changé, réalise tes projets, tes envies, en bref vie ! Tu n'es plus seul.
Cette phrase se grava en moi, je n'étais plus seul, où sont ils alors ? Le loup se préparait à partir.
- Comment tu t'appelles ?
Il me regarda.
- Olua, ça signifie Loup des éclairs.
- Moi c'est …
- Je le sais, coupa le loup Danse avec les Loups, dans mon langage ça une autre signification.
- Laquelle ?
- Tu le découvriras bien assez tôt.
Il sauta dans un fourré quand j'entendis quelqu'un m'appeler.
- FULCRAN !
Je me retournais c'était le T.I. qui arrivaient. Quand ils furent à ma hauteur ils restèrent silencieux. Je les regardais l'un après l'autre. Ils avaient l'air désolé. Je fermais les yeux. Harry posa sa main sur mon épaule doucement je sursautais.
- Ca va ? Me demanda Hermione un peu hésitante.
- Ca va répondis je en montrant que mes pleurs n'étaient plus.
- Tu sais on ne te laissera pas tomber, continua Ron.
Je ne dis rien, mais mon regard devait être très expressifs car ils souriaient. Ron ramassa ma canne qui était par terre et me la présenta.
- Es tu prêt à affronter la vie ?
Je le regardais et je pris la canne.
- Oui.
- Bon retour à Poudlard, murmura Hermione.
-Merci.
Nous commençâmes à marcher, j'étais plus lent, ils s'arrangèrent pour ne pas me laisser en arrière. Le silence planait j'essayais de le casser.
- Au fait j'ai vu le Loup Noir.
- Ah, répliqua Harry en cachant son inquiétude.
- Il a entendu comment vous m'avez appelé. Visiblement il a apprécié ce surnom.
Nous sommes entrés dans l'école je suis resté sur le pas de la porte hésitant.
- Viens.
Je me laissais guider par le T.I. vers la grande salle, il n'y avait personne, sur une table était déposé un plat contenant de la nourriture.
J'ai passé la journée avec eux, ils m'ont redonné le sourire, Ginny est venue nous rejoindre. Elle était un peu gênée. Je ne savais pas pourquoi je supposais que c'était ma nouvelle morphologie. Mais on a discuté un peu à l'écart des autres, elle était inquiète de ma réaction à cause de ce qu'elle avait écrit, mais je l'ai rassurée.
Ce soir mes condisciples de Poufsouffle se sont occupés de moi, peut être pour se rattraper de ces années où ils m'ont oubliés.
Bonne nuit
Jeudi 9 Novembre
J'ai eu peur ce matin, je ne voulais pas sortir, mais finalement je me suis levé. Tous les cours ont été revus pour que le T.I. soit avec moi, il est de notoriété Poudlarienne que j'étais sous la protection du T.I. Malefoy a annoncé que Saint Potter s'occupait maintenant des infirmes. Il voulait plus s'attaquer à Harry en m'utilisant. Il m'écoeurait, il avait rouvert une blessure qui commençait à se refermer. Harry allait répliquer mais le professeur Rogue qui était dans les parages intervint.
- Malefoy ! Je vous enlève 100 points pour vos paroles ! Et que cela ne se reproduise plus.
Nous étions tous surpris, que Rogue enlève des points à Malefoy.
Le Serpentard s'en retourna écoeuré d'une telle situation a vrai dire il s'en souciait que son mentor l'agresse ainsi. J'ai pu lire dans le regard de Rogue, un dégoût incommensurable, dégoût sur ce qu'il venait de faire
Bonne nuit
Vendredi 10 Novembre
Il reste cinq jours pour la potion, je ne sais pas si je la ferai, je n'en ai plus envie, pourtant quelque chose est restée en moi, quelque chose de l'ancien Fulcran, qui me pousse à la faire.
Bonne nuit
Samedi 11 Novembre
Je viens de me rendre compte que j'ai raté Halloween de toute manière je n'avais pas le cœur à ça.
Bonne nuit
Dimanche 12 Novembre
Le ferais je ?
Bonne nuit
Lundi 13 Novembre
Oui.
La meute m'a appelé, je me suis rendu compte avec horreur que mon infirmité se retrouvait dans ma métamorphose.
Bonne nuit
Mardi 14 Novembre
Non
Bonne nuit
Mercredi 15 Novembre
Je l'ai fait
J'ai longuement hésité à la faire. J'étais devant mes ingrédients ne me décidant pas à réaliser la potion. Finalement mes doigts commencèrent à la préparer, je contrôlais le temps j'étais à l'heure, je pouvais voir la lune rouge à travers la fenêtre. La potion fût prête, mes doigts agrippèrent le verre et je l'ai bu en entier. Quel goût infâme ! Je me disais que j'avais peut être fait une belle sottise, Je tombais en pâmoison un épais brouillard m'enveloppa. C'était un brouillard épais doré, il émanait de lui une douceur et une chaleur apaisante. De la nuée dorée, une silhouette apparue, je la voyais trouble, puis mes yeux s'habituèrent et je pu voir l'animal le plus magnifique : un loup doré. Ce n'était pas comme si on lui avait appliqué des feuilles d'or sur son poil, non c'était de l'or pur qui brillait, j'avais l'impression que sa fourrure était statique. Il me fixait avec ses yeux d'un saphir éclatant.
- Est-ce que c'est toi qui a fait la potion ?
- Oui répondis je hésitant et inquiet.
- Pourquoi ?
- Disons que mon père m'a envoyé un livre sur les animagus, j'ai senti qu'il voulait que j'en devienne un. Mais je n'avais pas le courage d'attendre deux ans. J'ai un peu joué au hasard avec les livres et je suis tombé sur cette potion. J'ai voulu savoir de quoi j'étais capable, d'autant qu'elle révélait qui était l'animagus du préparateur. Alors j'ai réuni les ingrédients. Puis j'ai été maltraité, je ne voulais plus la faire car elle était un vestige de mon passé. Finalement je l'ai réalisé pour affirmer que mon passé est toujours mon présent et qu'il sera mon futur.
Les saphirs du loup étaient passés d'un état furieux à désoler puis curieux et fier.
- En fait je suis déjà en toi.
- Comment cela m'étonnais je
- Depuis que tu as la marque tu m'as été révélé et je suis entré en toi par le sang. Il suffisait que je te sois révélé chose qui est faite.
J'étais perplexe.
- J'ai une question, mais elle est terre à terre et elle risque de ne pas vous plaire.
- Poses la quand même, il n'y a pas de mauvaises questions.
- Quand je me métamorphose en vous…
- Toi, coupa le loup
- J'ai mon handicap ?
- Non répondit doucement le loup. En faite la potion que tu as préparé, tu l'as légèrement modifiée en l'exposant aux rayonnements de la lune rouge, aucun de tes caractères physiques ne sera visible sur moi, je suis le reflet de ton toi intérieur, de ton âme. Vois tu, tu as changé morphologiquement, mais intérieurement tu es resté le même, tu ne t'es pas découvert entièrement. Veux tu que l'on fasse dans les règles ?
- Je ne sais pas finalement être animagus ce n'est pas si simple, si quelqu'un l'apprenait ?
- Je te le répète personne ne saura que c'est toi, aucune de tes caractéristiques physiques n'apparaîtra sur nous.
- Me pousserais tu vers quelques choses qui est interdit, lui demandais je amusé…
- N'oublies pas qu'en Inde le loup est considéré comme le mal incarné. Il affichait ce qui aurait pu être pris pour un sourire diabolique
- Comment tu t'appelles ?
- Lupaurum est mon nom.
- Cela signifie ?
- Loup d'or. Bien finissons en !
Lupaurum devint si brillant que j'ai dû fermer les yeux. Quand je les rouvrais, il n'était plus là, mais j'étais à quatre pattes. Il y avait un miroir brisé devant moi, j'ai regardé, je fus étonné, j'étais Lupaurum. Une envie s'empara de moi je suis sorti. Sur le balcon je pouvais voir la lune rouge. Elle était magnifique. Un hurlement sortit de mes entrailles et je me mis à hurler de joie, de peine. Un long hurlement qui montait vers le ciel. Un hurlement qui attira des loups de la forêt interdite, qui se mirent à m'accompagner. Nos hurlements devaient s'entendre à l'autre bout de la terre. Toutes les maisons s'étaient éveillées. J'ai pu voir tous ces élèves qui m'observaient avec un regard mi admiratif mi apeuré. Je m'étais arrêté de hurler et je repris de plus belle, accompagné de ma meute.
Je suis rentré dans la pièce, au simple désir de redevenir humain, je récupérai ma forme normale. Je suis sorti rapidement et je suis rentrée dans ma maison. Les autres tentaient désespérément de voir le loup doré, ce qui fait que j'ai pu monter à ma chambre sans être aperçu.
Bonne nuit.
Jeudi 16 Novembre
Tout le monde s'est levé excité et ayant envi de parler de ce loup doré. Certains ressortaient les inévitables histoires sur le méchant grand loup. D'autres étaient admiratifs. Le T.I. marchait avec moi et on se posait les questions. Qui est il ? D'où vient il ? Pourquoi on ne l'avait pas vu avant ? Hermione fidèle à elle-même chercha dans les lires et apporta un semblant de réponse.
- Les loups dorés n'apparaissent que tous les 1000 ans à peu près, ils possèdent une aura bienfaitrice, mais ce n'est précisé sur quels critères. La dernière apparition remonte à la fondation de Poudlard. On raconte qu'ils ont un rôle important à jouer. Que leur pureté n'a d'égale que les licornes, bien qu'ils les surpassent. Une chose curieuse, les loups dorés sont fait avec de l'or pur, leur chair, leur sang. Ainsi quand on en blesse un, un sang d'or coule. Beaucoup donnent de grandes propriétés à ce sang mais aucune n'a été vérifiée. La seule chose que l'on sait avoir un loup doré peut porter bonheur à celui ou celle à qui il a juré fidélité. Mais si quelqu'un a le malheur de tuer ou de blesser le loup doré, alors l'abomination de la désolation s'abattra sur lui pour l'éternité, il ne sera plus rien, il n'existera plus.
Nous fûmes impressionnés, chacun je pense souhaitait que le loup doré lui soit fidèle. Mais j'aime ma liberté et je ne promettrai aucune fidélité.
Bonne nuit
Vendredi 17 Novembre
Le loup doré est toujours à l'ordre du jour, chacun espérant l'avoir, autant jouer au scrabble avec Voldemort. Je t'étonne ? Mes parents m'ont appris à ne pas avoir peur d'un nom.
Bonne nuit
Samedi 18 Novembre
Je les fait tourner en bourrique, je me suis fait apparaître dans un coin, puis dans un autre, les élèves ne savaient plus où donner de la tête, je me marre.
Bonne nuit
Dimanche 19 Novembre
Je dois rejoindre la meute, je me suis transformé en loup de la meute, j'ai essayé d'éviter les pièges tendus par les élèves pour attraper le loup doré car la chasse avait été lancée. Je suis sorti du château. Je suis allé dans la forêt interdite, j'ai entendu les aboiements du chien de Hagrid. J'entre dans la forêt, je me sens bien, dans mon élément. J'arrivais dans une clairière où tous les loups de la forêt étaient là, au milieu du cercle se tenait Oulua.
- Que vienne Ulio.
Tous me regardèrent, je me suis avancé.
- Ulio signifie celui qui marche debout. TU as rencontré notre cœur et notre cœur, nous ne faisons qu'un avec lui, avec Lupaurum, le Loup d'Or, ou le Loup au Cœur d'Or. Fais le venir que tous nous puissions l'admirer.
Je me suis transformé en Lupaurum, je voyais dans leurs regards leur admiration.
- Lupaurum connais tu tes responsabilités ?
Je me retournais vers Oulua.
- Je ne savais pas que j'avais des responsabilités. J'étais un peu effrayé.
- Tu dois jurer fidélité à quelqu'un.
- Puis je jurer fidélité à un groupe ?
- Oui tu peux, tu as quelqu'un en vu ?
- Peut être mais je suis indécis, je voudrais le faire sans qu'ils le sachent.
- C'est possible, sache que personne ne peut te tuer, il n'a que toi qui peux choisir de mourir et ton sang peut ramener à la vie, ce qui est devenu inerte. Ton sang est tellement pur qu'une goutte peut suffire pour guérir toutes les maladies, les empoisonnements et les blessures.
- Pourquoi alors il y en a si peu ? Demandais je
- Il n'apparaît que lorsque des choses importantes peuvent se produirent.
- Mais pourquoi alors tous ces morts ?
- Car il y a une chose qu'il faut prendre conscience, que ce sang ne peut fonctionner qu'avec ceux à qui tu as juré fidélité.
Je restais sans voix.
Je redeviens le simple loup boiteux Ulio.
Oulua se leva signifiant que la réunion est levée. Les loups disparurent, ils voulaient juste voir Lupaurum. Je suis sorti de la forée quand quelque chose se jeta sur moi
- Je le tiens ! S'écria une voix que je connaissais bien. !
Donnant un coup de rein je me dégageais, et je me mis à courir et je me retournais rapidement en montrant les crocs et en poussant des hurlement de fureur. J'avais gonflé ma fourrure pour paraître plus gros. Devant moi se tenais Ginny, Harry, Hermione et Ron leurs baguettes braquées sur moi. Je me montrais le plus hostile possible. Visiblement je les impressionnais, je riais au fond de moi.
- Harry vérifie où se trouve Fulcran !
Ainsi ils s'inquiétaient pour moi ? Héhéhé
Harry sortit sa carte et la scruta.
- Il doit être par ici, il est juste devant nous.
- Mais devant nous c'est ce loup ! Je me demande même si ce n'est pas un loup garou !
- Ne dis pas de sottises, murmura Hermione, ce n'est pas parce que la lune est pleine que c'est forcément un loup garou. Les loups garous sont sur deux pattes !
- Je ne vois qu'une seule solution, annonça Harry en baissant sa baguette. Et je me demande pourquoi je ne l'ai pas remarqué plus tôt. Pourtant c'est visible comme le nez au milieu de la figure.
- Que veux tu dire Harry ? Demanda Ginny.
- Que ce loup est Fulcran.
- Quoi ? S'écrièrent les autres.
- Fulcran ? Appela Harry.
Je me suis métamorphosé en homme sous leurs regards interloqués.
- Fulcran s'étonna Ron incrédule.
- Et qui veux tu que je sois ? Répliquais je amère.
- Tu es animagus Loup ? Demanda Hermione.
- Oui et non … En fait je me transforme en loup que durant une certaine nuit.
- C'est une nuit en particulier ?
- Celle qui voit la lune pleine culminer. Je me transforme alors en loup à cause de la marque de la meute de la Morsure Noire. Je suis devenu un de leur frère. Que faisiez vous dehors ?
- On était en chasse du loup doré.
- Justement on en a parlé, le chef de meute a dit qu'il arriverait malheur à celui qui le blessera. De plus, vous risquez de ne pas tomber sur moi la prochaine fois ce sera un Loup Garou.
Ils restèrent silencieux.
- Je crois qu'il vaut mieux aller se coucher.
Ils acquiescèrent, je crois qu'ils hésiteront à courser Lupaurum
Bonne nuit
Lundi 20 Novembre
Ils n'ont pas encore abandonné l'idée de capturer Lupaurum GRRR
Bonne nuit
Mardi 21 Novembre
Une nouvelle élève est entrée à Poudlard, il s'agit de Sora SOMBRE. Sombre elle l'est, les cheveux extrêmement noirs, une peau un peu pâle accentuant la couleur de ses cheveux des yeux légèrement en amande noirs, je la qualifierai de beauté sombre. Elle s'était maquillée sombrement. On sentait qu'il émanait d'elle des ondes noires, je pense que ce n'est qu'une impression. Elle fut envoyée à Serpentard. A oui ! Elle vient de Durmstrang et elle n'a aucun accent. Pourtant je suis étrange quand je la regarde et je ne suis pas le seul Ron la fixe avec sa bouche ouverte. Drago s'est déjà précipité sur elle, et elle a l'air de l'accepter.
Bonne nuit
Mercredi 22 Novembre
Enfin mes parents sont venus pour me voir, quand ils m'ont aperçu leurs yeux ses sont embrumés, mais ils étaient heureux de me voir en bonne santé. Ils m'ont expliqué qu'ils ne pouvaient pas venir plus tôt car Voldemort les cherche. J'ai demandé pourquoi et c'est là que ce révéla toute l'horreur mais aussi la joie. Ma mère était à Serpentard, suite à des erreurs de jeunesse elle se fit mangemorte. Voldemort voulait qu'elle devienne sa femme, mais quelque chose a retenu ma mère et Voldemort s'en est aperçu, Il lui ordonna de tuer un moldu comme preuve d'obéissance et ce moldu était mon père. Quand elle s'est présentée à lui ça été le coup de foudre, elle a renoncée à Voldemort qui a juré de le lui faire payer. Le problème étant que sa marque la rend facilement repérable et ces derniers temps ils avaient dû déménager plusieurs fois. Finalement je ne pourrai pas les rejoindre à Noël, ils ont trop peur de ce qui pourrait se passer. Je suis triste.
Bonne nuit
Jeudi 23 Novembre
Je suis en train de digérer que Noël ne se passera pas en famille.
Bonne nuit
Vendredi 24 Novembre
Héhéhé ! J'ai fait une apparition dans les couloirs de l'école, ils m'énervaient à vouloir piéger Lupaurum alors j'y suis allé la nuit. Je suis allé au centre du château. J'ai amplifié ma voix par un sonorus et je me suis transformé. J'ai pensé à la mauvaise nouvelle et j'ai hurlé dans les couloirs. Il a résonné dans tout le château. En plus celui-ci est conçu de manière à ce que le moindre bruit soit amplifié. Alors imagines la terreur des élèves dans leur maison, je me suis mis à courir dans les couloirs en hurlant de joie et en riant, je suis passé devant les maisons bien sûr tant qu'à faire ! Les professeurs sont sortis dans le couloir, je les ai fixé pendant deux minutes, montrant ma fierté et pour les défier. Ils sont resté plantés là devant moi pétrifiés. Puis ils se sont mis à ma poursuite ! Imagine un loup doré aux yeux de saphirs jouant à cache cache dans Poudlard avec les profs au train ! J'étais mort de rire, surtout à voir Rogue se précipiter sur moi, visiblement il n'aime pas les ballades à 2h00 du mat'. Je n'imaginais pas McGonagall ainsi. Le professeur Flitwick était le seul à prendre plaisir à une telle course. Quand à Chourave elle y allait mollement. Dumbledore lui il n'avait pas bougé se contentant de regarder la course. Je pense qu'il riait intérieurement. Un moment donné, je suis monté sur un escalier qui bougea, les profs se disaient qu'ils allaient m'avoir facilement, mais mon pelage à la particularité de résister aux sorts. Ainsi tous les sorts qu'ils m'ont jetés ont ricoché sur moi. J'ai hurlé de rire, visiblement ils n'aimaient pas mes réactions. L'escalier vira et je semais mes poursuivants. Je marchais tranquillement quand je me suis retrouvé devant le directeur. Mon sang n'a fait qu'un tour, je le jaugeais du regard, il me fixait de ses yeux rieurs. Il leva son bras, je me mis en défense, prêt à toute éventualité. Il me désigna une direction, il m'indiquait la sortie. Je le regardais amusé, il me fixa en riant, et je pris la direction opposée, je suis retourné dans la pièce aux escaliers. J'entendais Dumbledore leur dire la direction que j'avais prise, ils se mirent à courir. Mais ils étaient devenus un peu plus intelligents, Ils m'attendaient avec des sourires de vainqueurs de chaque côté de l'escalier. Je les ai regardé et j'ai sauté dans le vide pour atterrir sur un autre escalier qui m'amena dans un couloir différent, j'entendis Rogue jurer. Ouah ! J'ai poussé un hurlement de rire rien que pour les faire mariner ! La course poursuite dura jusqu'à 4h00 du matin. Ils étaient fatigué pas moi, mais il fallais que je dorme aussi. J'avais appris que si je dormais durant deux heures, c'était comme si j'avais dormi durant toute une nuit.
Tu te demandes comment j'ai caché mon absence dans mon lit ? J'ai enchanté mes couvertures. Je suis allé dormir dehors, avant que les autres ne se réveillent je suis retourné dans mon dortoir.
Bonne nuit
Samedi 25 Novembre
Devine de quoi tout le monde a parlé ? De mon escapade, je riais en silence je me demande comment ils ne ses sont pas rendu compte que c'était moi. Ron rêvait de me capturer, mais Hermione le ramena sur terre en disant qu'avec cinq profs aux trousses j'avais réussi à leur échapper durant deux heures ! Quand je parle de moi là c'est de Lupaurum. C'état amusant de les voir, au moins ils ne pensaient plus à se taper dessus !
Au fait en première année, le Choixpeau ait hésité entre Serpentard et Poufsouffle, finalement il a vu que je recherchais plus les rires que d'être guindé ! J'ai décidé ce soir de m'introduire dans la maison des Gryffondor. Comment ? J'ai eu la journée pour réfléchir et je vais me faufiler en douce, j'ai remarqué que certains laissaient la porte entrouverte. Héhéhé je sens que cette nuit je vais bien m'amuser.
Bonne nuit
Dimanche 26 Novembre
Mémorable ! C'était mémorable ! Neville a laissé la porte ouverte un instant, j'en ai profité, le loup a la capacité de se déplacer silencieusement sans que personne ne le remarque. J'ai attendu que tous dorment, je suis monté doucement dans un dortoir et pas n'importe lequel, celui de Ron et de Harry. J'ai de suite repéré le lit de Ron, punaise ce qu'il peut ronfler ! J'ai grimpé sur son lit, seuls mes yeux de saphirs brillaient dans l'obscurité. « Hermione » murmurait il dans son sommeil ! Hahaha s'il savait ! J'ai un sauté sur son lit, il a commencé à ouvrir les yeux « Mhhh ? » J'ai émis un petit jappement il s'est mis à hurler ! J'ai sauté du lit en hurlant de rire. Les autres se sont réveillés en râlant.
- Ron tu n'as pas fini ?
- Il était là ! Sur mon lit !
- Qui ?
- Le loup !
Ils se sont tous mis à me chercher, Hermione est entrée furieuse d'un tel tapage à 3h00 du matin. Quand ils lui expliquèrent la raison, elle s'est moquée d'eux. Non mais on ne se moque pas de Lupaurum ! Je suis sorti du lit de Dean et en rampant je suis arrivé derrière Hermione, les autres me voyaient, les lâches ils n'ont rien dit à Hermione ils voulaient que je lui fasse peur ! J'ai bondi sur elle en hurlant puis sans attendre je suis descendu dans la salle commune, que j'avais agrandi avant de faire mon coup car le cri de guerre des Lions avait été lancé, la chasse pouvait commencer ! Tous les lions sont descendus dans leur salle, et une course poursuite s'en est suivi, je me suis amusé comme un fou à courir au milieu d'eux, j'étais insaisissable, je glissais entre leurs doigts, je bondissais de partout en poussant des hurlement qui ressemblaient plus à des fous rires. D'ailleurs ils riaient eux aussi ! Le professeur McGonagall entra dans sa maison en se demandant ce qui se passait, elle ouvrit le portrait j'en ai profité pour bondir sur elle, j'ai dû lui faire peur car elle a poussé un cri de terreur avant de se ressaisir. J'en ai profité je suis sorti. Dans le couloir j'ai poussé un hurlement de rire qui se répercuta dans les couloirs.
Bonne nuit
Lundi 27 Novembre
La rumeur circula dans toute l'école, le courage des lions n'a pas suffit à capturer le loup, il était trop rusé. Les Gryffondor se faisaient charrier par les Serpentard. Ah Ouais ? Ils se croient plus malin ? Ok ! Je vais leur faire une démonstration made in Lupaurum !
Bonne nuit
Mardi 28 Novembre
J'étudie le cas Serpentard !
Bonne nuit
Mercredi 29 Novembre
J'ai trouvé, le mot de passe est : Pureté, mon œil ! Ce soir grande partie de rire !
Bonne nuit
Jeudi 30 Novembre
Comment Finir en beauté le mois ? En titillant les Serpentard et plus précisément Malefoy ! Ah si Ron, Harry et Hermione avaient pu voir ça ! Je me suis infiltré chez les Serpentards, effectivement leur maison était piégée, mais j'ai changé les pièges de manière à ce que ce soit eux qui tombent dedans. J'allais monter dans le dortoir des Garçons quand j'ai changé d'avis, ils pourraient deviner que je suis un garçon, j'ai hésité à poser mes pattes sur l'escalier des filles mais heureusement rien ne se passa, à noter pour plus tard que les animagus peuvent passer. Aucun enchantement n'était en cours sur les escaliers, après avoir bien agrandi la salle commune, je suis entré dans les dortoirs des filles. Je me suis arrêté près du lit de la nouvelle, je sentais bien qu'elle avait une aura très particulière pourtant pas agressive du tout, je me suis laissé admirer quelques secondes son visage serein. Puis je lui ai soufflé dans la nuque. Elle murmura quelque chose comme « Laissez moi dormir ! » Je recommençais et elle tourna son visage vers moi, elle me regarda un instant, elle m'a touché la tête comme pour mieux sentir ma fourrure, puis elle m'a souri. Mauvais signe ça ! Je me suis jeté sur le côté juste à temps avant que Parkinson ne bondisse sur moi avec un filet pour emprisonner Sombre ! Moua ! J'ai poussé un hurlement de rire, mais dans les yeux sombres de la nouvelle j'ai lu quelque chose de très spéciale. Je bondis hors de la chambre avant que les autres ne réagissent.
- Le loup est dans la maison Beugla Parkinson J'arrivais juste au bon moment, il n'y avait personne dans la salle. Les premiers arrivés furent les garçons, le premier fut enfermé dans un filet, les suivants se retrouvèrent par terre. Malefoy est arrivé, je lui ai fait le tour de la salle, il doit en connaître chaque recoin maintenant. Les filles sont arrivées en renfort, Parkinson en premier, je fonçais sur elle Malefoy sur les talons, j'ai un peu attendu la baleine soufflante il bondit sur moi mais je bondissais sur Parkinson qui s'étala sur le dos avec Malefoy scotché sur elle ! Moua j'ai hurlé de rire, et je n'étais pas le seul ! Il s'est relevé précipitamment, mais Parkinson l'agrippa pour l'embrasser plus longuement, finalement Malefoy n'a pas cette réputation de tombeur ! Il se releva et se remis à me courser, mais au moment où il allait m'atteindre, je suis passé entre ses jambes et donnant un coup de griffes sur le fond de son pyjama, je livrais les motifs de son caleçon à tout les Serpentard qui se mirent à rire, c'est sûr qu'un caleçon blanc avec plein de petits cœur et de petits ours étaient plutôt extraordinaire pour un Malefoy ! Je suis resté une heure de plus chez les Serpentard pour montrer qu'ils ne sont pas supérieurs aux autres ! La sortie s'ouvrit, je m'attendais à ce que notre maître des potions entre, aussi je n'ai pas pris la sortie de suite me disant que Rogue était assez vicieux pour me tendre un piège. Effectivement la sortie était ouverte les Serpentard essayant de me pousser vers elle, mais je n'allais jamais vers elle. Ils étaient quand même assez redoutables en ruse mais pas assez pour Lupaurum, pas assez pour le loup. Rogue entra dans la salle se demandant ce que faisaient ses Serpentard qui visiblement fatiguaient, la nouvelle me regardait étrangement, mais je ne perdais pas de temps à chercher, j'ai sauté sur Rogue et je lui ai pris quelques cheveux, que j'ai collé sur cette page, tu pourra la cacher si c'est nécessaire ! Pouah j'ai du me laver la bouche 15 fois !
Résultat du match :
Poudlard : 0
Lupaurum : 3 (profsGryffondorSerpentard)
Prochaines Victimes : Poufsouffle, si je la faisais en dernier il y aurait des doutes.
Bonne nuit
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Salut tout le monde ! Voilà le mois de novembre est passé, laissez moi vos impressions vos joies vos peines, vos humeurs vos colère vos déceptions ...
Je vous souhaite à Tous un bon et joyeux noël avec tout ce qui s'en suit !
