Salut tout le monde ! Alors comment ça va ? Oui c'est une fiction dramatique…
Même dans les moments noirs il ne faut pas perdre espoir …
Réponses aux reviews :
Théalie : Ouais pas beaucoup de chance, mais il a des amis et Sora ….
Alpo : merci, que vas-tu dire pour la fin de cette fic ? Arriveras tu à tenir jusqu'à Mercredi prochain ? Un garçon commun pour un destin hors du commun.
Oxymore : Pour tes deux premières questions les réponses se trouvent ci-dessous pour la chanson c'est une chanson populaire, je ne sais pas qui l'a écrite mais je l'adore !
Chapitre 6 : Février
Jeudi 1 Février
Il a reneigé aujourd'hui, je me suis lancé dans une bataille de boules de neige.
Bonne nuit
Vendredi 2 Février
J'ai lu un livre sur Poudlard, j'ai compris beaucoup de chose, ainsi Serpentard cherchait le pouvoir la magie noire offre la facilité du pouvoir et elle paraît plus forte et plus puissante, mais la magie blanche est plus dure mais plus puissante. Ainsi je comprends pourquoi les mangemorts sont en partie de Serpentard. Car ils recherchent le pouvoir, c'est cette recherche qui les condamne, car ils ne savent pas trouver la limite, ils ne font pas la distinction entre le bien et le mal.
Voldemort s'appuie sur cette soif de pouvoir pour recruter des adeptes, j'ai l'impression aussi que la magie noire exerce un envoûtement.
Bonne nuit
Samedi 3 Février
J'ai croisé Sora on a marché ensemble. Je ne veux pas qu'elle souffre à cause de moi. On a passé la journée ensemble à discuter de tout et de rien. Il y avait des temps silencieux où l'on se regardait le regard avide d'un certain désir, mais nous n'osions passer le cap.
Bonne nuit
Dimanche 4 Février
Les seuls intérêts des élèves c'est de savoir qui sera avec qui. Résilia m'a annoncé que Harry Potter, le Grand Harry Potter irait au bal avec Ginny, elle tenait l'info de…
- STOP ! Est-ce qu'il y a Lavande Brown ?
- Euh… oui, pourquoi ?
- Autant voir Rogue en tutu rose.
- Hein ?
- Oh laisses tomber !
Moi je savais que Harry y allait avec Hermione. Franchement ! Je préfèrerai voir Rogue en tutu rose. Rien qu'à cette pensée j'ai éclaté de rire.
Bonne nuit
Lundi 5 Février
Tu te souviens de Remus Lupin ? C'est un loup garou, il m'a beaucoup aidé quand il était professeur de DCFM.
Je me suis souvenu de ce que m'a dit Olua, que mon sang enlevait toutes les malédictions, mais on ne peut blesser un Loup Doré sans en payer le prix. Seul le loup peut donner son sang et cela ne marche que pour celui ou ceux à qui le loup a juré fidélité. Nul doute que Lupin est engagé dans le combat contre le mage noir. Mais comment lui faire boire mon sang. « …une seule goutte suffit… ». Je me suis piqué avec une aiguille et une goutte dorée est apparue au bout de mon doigt. Il ne me restait qu'à mettre une goutte dans son verre. Et l'occasion se présenta aujourd'hui. Il était à l'école avec une femme plus jeune que lui avec des cheveux rose fluo, il ne manquait que le tutu.
Nymphadora Tonks, elle s'appelle, mais tout le monde l'appelle Tonks, bon … Elle est… disons très catastrophe ! Je la remercie pour son aide imprévue ! En effet, elle était dans une pièce, alors que le Q.I. et moi-même nous étions invité à boire de la bièraubeurre. Elle a fait tomber quelque chose, il est allé l'aider, le Q.I. les regarda, je me suis piqué le doigt et une goutte dorée est tombée dans son verre. Il est revenu, et il a bu son reste, on va voir ce que ça va donner… C'est bien peu pour ce qu'il m'a donné, durant ma troisième année.
Bonne nuit
Mardi 6 Février
C'était la pleine lune cette nuit, Lupin avait été enfermé pour éviter les accidents. Mais ce matin c'est l'effervescence, car Lupin ne s'est pas transformé en Loup Garou. Il a passé toute la journée à l'infirmerie pour vérifier quelle en était la cause.
Bonne nuit
Mercredi 7 Février
Pauvre Lupin, cette nuit non plus il ne s'est pas transformé, du coup des spécialistes sont venus examiner son cas. Des analyses ont été faîtes, rien, normalement dans le sang d'un homme sujet à la lycanthropie, on y trouve certaines particularités, qui n'existent plus dans le sang de Lupin. Il a été déclaré ce soir comme être humain normal. Du coup on est allé fêter ça !
Bonne nuit
Jeudi 8 Février
Lupin est resté à l'école avec Tonks, ils ont annoncé au Q.I. qu'ils étaient ensemble. Le regard de Lupin brillait d'une lueur que je n'avait jamais vu au par avant. Je pense que maintenant ils concrétiseront leurs rêves.
Bonne nuit
Vendredi 9 Février
C'est toujours l'effervescence, la soirée approche. Je ne serai pas là, je n'irai pas, avec qui ? Non je resterai dehors, je ferai sûrement une petite balade.
Bonne nuit
Samedi 10 Février
C'était sortie au Près au Lard, je me suis promené dans le village, j'ai laissé les autres à leurs occupations.
Bonne nuit
Dimanche 11 Février
J'ai reçu une lettre de mes parents, ils ont encore déménagé, effectivement ce matin dans le journal Voldemort avait attaqué un quartier. Harry n'a pas pu fermer l'œil de la nuit, Voldemort était en colère que ma mère se soit enfuie, ainsi que le reste de ma famille.
Bonne nuit
Lundi 12 Février
Plus que deux jours avant que la tranquillité ne revienne
Bonne nuit
Mardi 13 Février
J'ai comme l'impression qu'il n'y a que moi qui ne suis pas contaminé par la maladie de la Saint Valentin.
Bonne nuit
Mercredi 14 Février
Quelle journée ! L'excitation est à son comble, l'école est une vraie fourmilière, j'ai passé toute la journée dehors
Cette soirée, je m'en souviendrai, jamais je ne pensais arriver jusque là ! Je suis trop fatigué pour le raconter maintenant.
Bonne nuit (juste pour la forme…)
Jeudi 15 Février
Bon je crois que je ne peux pas éviter de te raconter cette soirée. Je me lance…
Imagine la grande salle illuminée, j'étais dehors, et franchement je ne voulais pas y aller, et d'ailleurs je n'y suis pas allé, ça devait être sirupeux et tellement étrange. Bref dehors, il faisait froid, mais j'avais chaud. Je voyais tous les élèves en couples se diriger vers cette illumination. Tous ? Non excepté les premières et deuxièmes années et les troisièmes qui n'étaient pas invités, classique… Je les entendais rire et s'amuser. J'imaginais Harry s'amuser avec Hermione, Ron avec Luna, mais je ne savais pas qui accompagnait Ginny. Je me suis promené, dans le jardin, tranquillement, il n'y avait personne. Seul de la musique et des rires résonnaient dans la forêt.
Cela faisait maintenant une heure que je promenais dans cette forêt. J'en ressortis au niveau du lac, le doux clapotis des vagues venant mourir sur le sable me ramena de ma rêverie, quelqu'un était assis sur la berge et pleurait. J'allais repartir éviter cette personne qui voulait sûrement rester seule. Mais ses sanglots ne m'étaient pas inconnus. Je m'approchais silencieusement c'était Ginny Weasley. Elle me remarqua et s'essuya les yeux rapidement du plat de sa main. Elle portait un bustier émeraude. Elle tourna la tête et me sourit, ses larmes finissant de descendre sur ses joues. Je me suis approché et assis à côté d'elle.
-Quelque chose ne va pas ?
Elle resta silencieuse. Je ne devais pas attaquer de front.
- Tu es allée avec qui à la soirée ?
- J'y suis allé avec Dean.
- Tu t'es remise avec lui ?
- Et bien il m'a demandé et je n'ai pas pu refuser. Et ce soir alors que nous étions assis à une table, il a commencé son opération de séduction, au début j'étais méfiante mais il su briser toute mes défenses. Maintenant je me dis que j'étais une idiote de croire aux mots qu'ils disaient. Ou bien je voulais me laisser croire à de telles choses. Bref nous étions arrivés à un certain point d'intimité. Quand une autre fille s'est approchée de nous, il s'est levé et il s'est approché d'elle et il l'a embrassée devant moi. Puis il s'est tourné vers moi en disant le visage affichant une vengeance satisfaite : « Voilà ce que tu mérites ! »
Je mis ma main sur son épaule. Vraiment elle n'avait pas de chance, je me devais de faire quelque chose, je ne pouvais pas la laisser dans cet état. Je l'ai prise dans mes bras comme pour la consoler. Juste à ce moment quelqu'un arriva. C'était Sora. Zut ! Je pensais pouvoir être tranquille mais n'étant pas allé à la fête c'est elle qui est venue à moi.
- Fulcran qu'est ce… commença Sora
- C'est Ginny qui a gros problème, répondis je en lui coupant sa phrase.
Sora s'approcha de moi et se pencha sur Ginny qui penchée sur mon épaule pleurait de tout son corps.
- Chuuut lui murmurais je à l'oreille. C'est un crétin. Faire ce genre de chose à une fille aussi jolie que toi… Tu n'avais strictement rien à faire avec lui.
Je jetais un regard gêné vers Sora qui affichait un sourire désarmant. Elle se leva et alla à la fête. Je me disais qu'au fond de moi je venais de la blesser peut être. Mais elle est revenue avec Harry qui se demandait ce qui se passait.
Juste un petit récapitulatif du lieu. J'étais avec Ginny sur la berge derrière des buissons, de l'autre côté il y avait Sora et Harry.
- Harry attends une petite minute, je voudrais savoir tu es allé à la soirée avec Hermione, alors que c'est juste une amie ?
- Et bien en fait oui, je pensais à plus mais nous en sommes convenu que nous sommes que des amis, en faite elle avait un faible pour Ron.
- Ron ? S'étonna Sora. Mais il n'était pas avec Lovegood
- Si mais finalement ils étaient mal assortis. D'ailleurs c'est Luna qui a suggéré à Ron de se mettre avec Hermione, alors qu'elle-même elle est allée avec quelqu'un d'autre.
- Dites donc c'est la panique chez vous ! Annonça Sora amusé.
- Ben un peu oui, comme Hélène et les garçons.
- Qu'est ce que c'est ?
- Une série française nunuche que regarde mon cousin.
- Ah.
Je connaissais cette série, oui c'est vraiment nunuche ! Ginny s'était calmée et elle écoutait la conversation, elle était étonnée.
- Et toi ? Demanda Harry.
- Comment ça moi ?
- Ben oui tu ne devais pas aller au bal avec quelqu'un ?
- Ah finalement il s'est désisté au dernier moment, mais je suis allée à la soirée, j'ai été invitée plusieurs fois.
Quelque part j'avais mal. Harry s'étonnait sûrement.
- Mais je croyais, que tu étais avec…
- Fulcran ?
- Oui
- J'ai été invitée avant donc je ne pouvais plus me désister.
- Tu disais de Hermione, Ron et moi, mais je pourrais dire la même chose pour toi.
Ils rirent à cette remarque. Puis un silence s'installa.
- Tu voulais me montrer quelque chose ?
- Oui il est arrivé quelque chose à Ginny Weasley. Fulcran l'a trouvée derrière ce bosquet, elle pleurait. Il a réussi à la calmer, et je suis venu chercher son frère, mais il était… très occupé.
Je me levais, laissant Ginny respirer, et reprendre un peu ses esprits. Je suis sorti de derrière le bosquet. Harry tourna sa tête vers moi, et fronça les sourcils. Je lui fis un sourire qui se voulait rassurant. Je laissais Ginny entre ses mains, il saurait plus que moi la consoler. Sora m'accompagna. Un silence entendu s'installa entre nous. Je ne savais pas comment m'y prendre. En plus l'angoisse s'y mettait. Je retournais dans la forêt.
- Fulcran ?
Je me retournais, la neige recommençait à tomber. Le contraste était saisissant. Elle sombre et de noir vêtue dans cette blancheur immaculée. Elle me tendit sa main, je la regardais cette main offerte puis je m'en saisis doucement, elle était fraîche sûrement qu'elle avait froid. Elle m'entraîna dans le château. Je la serrai contre moi comme pour lui communiquer ma chaleur, elle souriait. Elle me fit gravir les escaliers, jusqu'au septième étage. Là elle me désigna une porte, je la poussais et je découvris une pièce que je ne connaissais pas, elle était magnifique chaleureuse. C'était un savant mélange de vert et de jaune.
- Comment tu trouves ? S'enquit elle hésitante.
- C'est magnifique. Quand as-tu réalisée cette pièce ?
- Du début de la soirée jusqu'à ce que je parte à ta recherche.
Je restais coi sans voix. Elle referma la porte. La pièce était rectangulaire, de grands arcs de voûte soutenaient le plafond, des fenêtres de style gothique se trouvaient en face de la porte. Leurs vitres étaient recouvertes de neiges, exceptés au centre de chaque petit carreau qui composait les croisées. Sur ma gauche un feu apaisant vif et vivant dansait une danse que lui seul connaissait. De l'autre côté une tapisserie représentant un blaireau et un basilic s'entrelaçant. Devant l'âtre se trouvait une vieille table culottée en chêne que quatre loups supportaient sur la table était posé un plateau sur lequel reposaient deux verres en cristal et une carafe où dormait un liquide mordoré. Juste à côté sommeillait une réplique de l'œuvre qu'elle m'avait offerte.
- C'est le mien, annonça t elle quand elle vit mon regard s'attarder dessus.
Je lui souriais, elle se rasséréna. Devant la petite table se trouvait un divan qui ne demandait qu'une seule chose d'être utilisé. Deux coussins le mettaient en valeurs. Un tapis moelleux à souhait recouvrait un sol sur les vieilles dalles usées de pierre grise. Le feu éclairé doucement cette pièce de manière à ce que l'ambiance soit intime. J'entendais les bûches craquer, joyeusement sous mes morsures des flammes. Quelque chose attira mon regard sur le montant de la cheminée. C'était un blason que le temps avait complètement érodé.
- Comment as-tu trouvé cette pièce ? Lui demandais je.
- Et bien en passant dans ce couloir en pensant à toi, cette porte est apparue.
Je regardais la pièce quand elle s'approcha du divan elle se trouvait entre le divan et la table. Quand mon regard l'accrocha, le feu se trouvait derrière l'entourant d'une aura chaude. Je me suis mis à la contempler. Ses cheveux étaient lâchés, juste du côté droit une fleur blanche y était plantée. La couleur de cette fleur mettait en valeur le teint de sa peau. Elle portait une robe noire très saillante. Elle partait de son épaule gauche puis passait sous son bras droit. Elle descendait jusqu'à ses chevilles. Mais une fente ornait le côté droit, elle partait du haut de sa cuisse jusqu'en bas, de là où j'étais je pouvais voir une partie de sa jambe droite. Elle avait mis au pied des souliers fins noir à talon. Elle s'était mise un rouge à lèvres d'un rouge sombre et ses ongles étaient de la même couleur. Elle affichait un sourire montrant qu'elle était contente d'avoir atteint son but. Je me sentais misérable dans ma tenue quelque peu négligée, mais elle ne s'en souciait pas. Elle me fit signe de m'approcher et de m'asseoir sur le divan. Ce que je fis, je n'étais pas en état de le lui refuser et même si c'était le cas je ne l'aurais pas fait. Mais je m'étais assis sur un côté, elle s'est assise de l'autre et a versé dans les verres un peu du liquide ambré. Cette couleur était amplifiée par la lumière du feu. Elle m'en tendit un je le saisis en touchant ses doigts, soyeux, fins, des sensations montèrent en moi. Elle leva son verre, je fis de même et dans un tching discret nous entrechoquèrent nos verres. Et je goûtais enfin à ce nectar.
- Comment trouves tu cette boisson ? Me demanda t elle espiègle.
- Elle est magique, comme cet endroit comme celle qui a créé cet endroit.
Mon compliment fit mouche car elle arbora une teinte légèrement rosée sur le visage.
- C'est ce que les Grecs appelait Ambroisie ou nectar des Dieux. Mais tout le monde l'appelle hydromel.
- Je préfère le deuxième, murmurais je
- Pourquoi par ce que tu prétends être un Dieu ?
- Non je voudrais accompagner ma déesse, qu'elle se penche sur moi et qu'elle s'intéresse à moi.
Son sourire s'agrandit et commença à devenir mutin. Elle était assise à l'opposé de moi sur le divan. Elle s'avança vers moi tel un félin.
- Tu m'as ensorcelée avec ton Nectar et maintenant je ne peux plus m'éloigner de toi.
Son visage se trouvait à quelques centimètres du mien, elle s'arrêta là, je plongeais mon regard dans ses yeux de nuit. Je ne voulais pas me rapprocher d'elle encore, ce n'était pas le bon moment, il ne fallait pas précipiter les choses, prendre son temps, se faire languir l'un de l'autre. Je sentais son souffle chaud sur mon visage, je tressaillis, et elle n'était pas aussi insensible qu'elle voulait me montrer. Elle contourna mon visage mais restant qu'à quelques centimètres de ma peau. Son souffle parcourait ma joue puis mon cou, le creux de mon épaule pour remonter jusqu'à mon oreille. J'essayais de maîtriser mes envies. Nos sensations étaient très fortes. Je voyais que sa peau réagissait autant que la mienne. On jouait en quelque sorte à s'enivrer de l'autre jusqu'au point de non retour. Puis nous réclamions plus de sensations. J'effleurais doucement la base de son coup de mes lèvres, elle frissonna de plaisir. Je dessinais un parcours qui partait de la base de son cou jusqu'au calice de ses lèvres. Ce fut notre premier véritable baiser, en celui-ci se déchaînèrent nos passions nos attentes nos espérances, nos envies. Non pas que celui du nouvel an fut anodin, non il était tout aussi important. Non c'était un premier baiser improvisé. Alors que celui là nous le préparions depuis le début, exerçant une douce torture, dont la délivrance fut le scellement de nos lèvres. Les sensations tournoyaient en nous, je la découvrais jusqu'au plus profond de son être, et je me laissais découvrir sans aucune barrière. Le plaisir était total. Puis nous reprîmes notre respiration.
Elle me regarda dans les yeux, je ne voyais aucune mesquinerie ou espièglerie, non un regard pur.
- Je t'aime.
Ces trois mots entrèrent en moi et jouèrent une musique qui me transporta très haut dans le ciel.
- Je t'aime aussi.
Elle frissonna de plaisir. Elle déposa son verre sur le sol et je lui donnais le mien pour qu'elle le mette à côté. Puis reportant son attention sur moi, elle passa ses bras autour de mon cou alors je passais les miens dans son dos.
Nous recommençâmes la recherche, nous cherchant de notre souffle pour resceller notre amour par un tendre baiser. Tous nos sens étaient là concentré sur ce baiser. Puis elle se détacha de moi et s'appuyant sur moi elle se redressa légèrement, mais je maintenais mes mains dans son dos. Elle ne voulait pas sortir de l'enceinte de mes bras. Elle sourit. Je voyais le feu se refléter dans ses yeux leur donnant cet éclat de déesse.
- Tu es belle Sora, c'est tout ce que je trouvais à lui dire dans un moment pareil, mais elle déposa un baiser chaste sur mes lèvres.
- Tu es magnifique.
Elle me trouvait magnifique moi ! Qui ne me regarde plus dans un miroir depuis ce fameux jour !
- Sora…
- Oui ?
- Tu ne m'en veux pas pour avoir dis à Ginny qu'elle était jolie ?
Elle me regarda avec cet air mutin.
- En fait, sur le moment j'étais un peu estomaquée, mais quand j'ai vu ton regard, ce fut comme une explosion de joie. Aussi …
Aie que va-t-elle me faire ?
- …Aussi, il faudra que tu me dises tout le temps que je suis belle.
- Une vrai torture de déesse ça, murmurais dans un sourire.
Elle a éclaté d'un rire rafraîchissant. Elle bougea et se lova sur moi. Je me suis allongé sur le divan, elle s'est allongée sur moi, et posa sa tête sur mon épaule. On commença à se parler, intérieurement, nos espoirs, nos craintes, nos peurs, nos désespoirs aussi. Je lui racontais tout, elle a versé une larme, pour moi cette larme était magnifique, c'était la plus belle chose que je n'avais jamais vue. Mais j'ai hésité à lui parler de la prophétie, de ma prophétie. Elle décela cette crainte, elle n'insista pas au début, puis finalement je le lui ai raconté, elle a frémit et elle s'est mise à pleurer, j'essayais de la consoler, mais elle pleurait s'accrochant moi comme à une bouée. Elle ne voulait pas que je disparaisse. Elle ne voulait pas que j'affronte le mage noir. Mais tout à coup elle s'est mise à rire. Je ne comprenais pas pourquoi elle avait cette réaction, quand elle m'annonça que la prophétie n'était pas entière.
« …Lui seul pourra le vaincre par le sacrifice de sa vie… Et … »
- Le « Et » veux sûrement dire qu'il y a une suite qu'un espoir subsiste.
Elle se retourna et me regarda, les yeux humides. Je ne dis rien, je voulais la croire, je voulais croire, je crois, je la crois !
Nous restâmes enlacé, heureux, ensemble, il me semblait que ce moment durerait une éternité. Je lui caressais ses cheveux, passant mes doigts dans ceux-ci. Elle prit ma main et la posa sur sa joue, aucun mot ne serait assez descriptif et assez fort pour exprimer ce moment si intense.
Ensemble, une nuit
Ensemble une année
Ensemble unis
Ensemble pour l'éternité
Au de la même de la mort
Au de là de ma mort
Contre mon destin
Contre mon futur enfin
Le silence était comme un refuge, Sora se sentait bien car elle s'est endormie sur moi, un sourire sur les lèvres. Je l'embrassais sur son front. Elle était paisible. Elle était belle ainsi blottie contre moi, un vrai trésor caché au tréfonds de l'enceinte de mes bras. Elle se laissait aller, elle savait au fond d'elle que je donnerai ma vie pour elle d'ailleurs c'est ce qui se passera dans un futur plus ou moins éloigné. Mais je ne voulais pas pensée dans un tel moment à cette maudite prophétie. Je la sentis frissonner de froid. J'ai fait apparaître une couverture que je disposais sur elle et sur moi.
La nuit se passa rapidement, je me suis décidé à la réveiller, elle rechigna un peu ensommeillée, mais devant mon insistance, elle me suivit se demandant ce que je voulais lui montrer, nous sommes allés sur la terrasse en haut de la tour Est. Jalal nous attendait avec Fumseck. Mais je ne voulais pas les déranger je me suis installé un peu sur le côté. Sora portant toujours sa couverture s'installa entre mes jambes, appuyant son dos sur moi. Je l'enlaçais. Jalal commença son chant, je sentis Sora frémir à ce chant tout comme moi. Puis lentement comme voulant se faire désirer, le soleil montra le bout de ses rayons. Sora se frotta contre moi.
- C'est magique, m'annonça t elle sous le charme du lever de soleil.
- Oui et il a une signification pour nous.
- Laquelle ? Me demanda t elle curieuse
- Une nouvelle vie s'offre à nous deux.
Elle se retourna pour m'embrasser dans une baiser passionné.
- Oui pour nous deux, murmura t elle en écho.
Quand le soleil sortit de l'horizon nous sommes rentrés dans nos maisons respectives. Je me suis vite changé et je me suis posté devant la maison des Serpentard. Elle en est sortie radieuse. Je l'ai enlacée, et je l'ai embrassée. Quelques Serpentard nous regardaient avec un air dégoûté mais on s'en foutait. On est allé manger, on s'est séparé, car j'étais mal venu à la table des Serpentard, et inversement, les élèves se supportaient mais ils étaient toujours jaloux de leur espace vital. Ils n'étaient pas prêts à accepter notre relation. Je regardais la table des Serpentard, nos regards se croisèrent et nous nous sommes souris. Puis je déviais mon regard vers la table des Gryffondor. Il manquait Dean, sûrement qu'il s'était fait porter pâle. Mais je souris amusé du comportement de Ginny et de Harry. Ils étaient un peu gêné fasse à Ron qui fronçait les sourcils se demandant ce qui se passait. Mais Hermione s'approcha de lui comme une chatte qui avait trouvé une souris et se préparait à jouer avec elle. Elle lui murmura quelque chose, il se mit à sourire en regardant les deux autres, et finalement il éclata d'un rire sonore. Je regardais le Q.I. de plus j'avais une vu plongeante sous leur table. Harry faisait du pied à Ginny ! Et en réponse elle avait posé sa main sur sa jambe. Ils n'allaient quand même pas nous faire une partie de jambes en l'air ?
Mon regard repartit à la table des Serpentard où Sora avait vu le même manège. A la fin du repas je l'ai rejointe et on a passé une agréable journée ensemble.
Bonne nuit
Vendredi 16 Février
Les cours ont repris plus dur, mais je tiens le coup… forcément en ayant que cours le matin…
Bonne nuit
Samedi 17 Février
La journée a été merveilleuse avec Sora, on ne craint plus de se montrer si ensemble, si intimes, si unis. Ça dégoûte certains, d'autres sont étonnés, ou encore amusé, le Q.I. en est joyeux. Peuvent ils comprendre ? N'ai-je pas le droit d'aimer et d'être aimé alors qu'une prophétie annonçant ma mort pèse sur mes épaules ? N'ai-je pas le droit de vivre ma vie ?
Bonne nuit
Dimanche 18 Février
J'ai passé toute la journée dans notre nid avec ma petite Sora, enfin pas si petite que ça ! J'ai l'impression que le fait de lui avoir parlé de la prophétie a consolidé notre amour et nos liens nous sommes plus proche l'un de l'autre vivant intensément chaque moment ensemble de peur de passer à côté de quelque chose de très important.
Bonne nuit
Lundi 19 Février
Ce jour est à marquer d'une pierre noire dans la grande salle, je cherchais Sora, mais je ne la trouvais pas, finalement peu avant le repas du soir je l'ai vue dans un coin sombre, inconscient. Elle était couchée sur le sol, mon sang s'arrêta de tourner, je me suis précipité vers elle. Elle respirait encore, je me suis dépêché de l'amener à l'infirmerie où Pompom l'a pris en charge. Je ne pouvais rien faire je sui resté là toute la nuit. Pompom m'a certifié qu'elle s'en sortirait sans aucun dommage, cela m'a rassuré, mais de te voir ainsi ma Sora j'ai cru t'avoir perdu pour toujours, je ne le supporterais pas.
Bonne nuit ma douce
Mardi 20 Février
J'ai peur, très peur, il m'est arrivé quelque chose de terrible. Cette journée aurait très bien pu être la dernière du monde. C'était la Journée du Chaos.
Comment c'est arrivé ?
J'ai pénétré dans son esprit et j'ai tout vu c'était des Serpentard qui lui avaient fait ça. Pourquoi ? Car elle était avec moi. Je suis sorti de l'infirmerie dans un état qui aurait fait reculer le plus téméraire, je me suis transformé en Lupaurum. Mais je n'étais pas moi-même, c'était comme si j'étais un spectateur, celui qui s'était transformé en Lupaurum était l'instrument de ma vengeance, la haine et la colère en personne. Je suis entré dans la grande salle, ils étaient tous là.
- OUI TOUS LA ! M'annonça une voix sifflante
Qui était cette voix ?
- Qui es tu ?
- TU LE SAIS
La vérité s'imposa à moi, Voldemort avait pris possession de moi, comment l'en extraire ? Il avait profité de ma colère et de ma haine pour s'infiltrer en moi.
La grande salle était silencieuse, les gestes suspendus en l'air comme si le temps s'était arrêté. Ma fourrure était d'un doré sombre, du vert se mélangeait, mes yeux étaient rouges deux fentes rougeoyantes. J'avais l'impression que ma fourrure était métamorphosée en des écailles. Je ne pouvais laisser Voldemort s'en prendre ainsi avec moi. Il avait profité de ma colère et de ma fureur pour entrer en moi. Lupaurum se tourna vers Rogue et hurla de colère, et de vengeance. Le prof est devenu d'un blanc cadavérique. Beaucoup de sentiments se sont bousculés en moi. COLERE, quiétude, HAINE, amour, VENGEANCE, amitié, FUREUR, pitié.
Je me tournais vers Harry, la haine dans le cœur, je me battais en y mettant tous mes moyens. J'entendis un hurlement. Harry était à terre et se tenait le front en hurlant de douleur. Je ne comprenais pas. Mais Voldemort m'a vite fait comprendre le lien de la cicatrise. Je ressentais la douleur, j'aimais sentir cette douleur, mais elle me révulsait aussi. J'ai croisé le regard de Dumbledore, le mage noir me laissa reprendre le dessus un instant espérant le tromper. Le directeur stoppa les autres profs qui avaient tendu leurs baguettes vers moi. Puis Voldemort s'en est pris à Rogue par l'intermédiaire de la marque qu'il portait au bras. Il hurla de douleur, son cri était en moi, je riais d'un rire de dément, Voldemort riait, il riait de ce mal.
Le ciel était noir, très noir, des éclairs striaient cette obscurité. Toutes les lampes s'étaient éteintes. Les éclairs étaient réels, les élèves se mirent à crier. Je bloquais mon esprit automatiquement une prison de foudre or et vert m'entoura. Mais Voldemort avait pu lancer un sort juste avant. Ce sort faisait ressortir toutes les vieilles peurs des élèves. Ainsi des mangemorts aux aspects terrifiant, des Voldemorts, et toute sortes de peurs furent matérialisés dans la grande salle. C'était le chaos, les élèves hurlaient de terreurs, la foudre tombait de toute part brûlant les tables et les bancs. Les professeurs essayaient tant bien que mal de calmer le jeu, mais plus ils en faisaient plus l'ampleur du chaos augmentait.
Il se passa quelque chose d'imprévu, quelque chose que personne ne pouvait prévoir. Le professeur Rogue, Harry Voldemort et moi-même nous nous sommes retrouvés connecté les uns aux autres. Voldemort n'avait pas prévu ce genre de chose sinon ça ne serait pas passé. Tout simplement les occlumancies et les légilimlencies se sont opposées et anhilées.
J'ai vécu l'histoire de chacun, de Rogue, il est devenu mangemort pour abattre son père pour protéger sa soeur et pour le pouvoir. Mais Voldemort tua la sœur de Rogue, ainsi, le mangemort s'est retourné contre son maître. J'ai revécu la vie de Harry sa prophétie, ses doutes, ses peurs, mais aussi ses joies et son amour. Puis ce fut le tour d'une personne que je ne connaissais pas : Tom Jedusort. Au fond il n'était pas aussi mauvais. Mais il a cherché le pouvoir, il s'est imposé aucune limite, ce qui fait que la magie noire l'a englobé, avalé. Tom était mort ou considéré comme tel. Au moment où ils allaient vivre ma vie, j'ai bloqué mes pensées, ma vie ne devait pas être découvert.
Je me concentrais…
J'entendais le chaos…
J'entendais les cris…
Ne pas penser, se concentrer, encore se concentrer… fermer son esprit… Ils sentent ma solitude, mes désespoirs, y mettre toute sa force… bloquer… ils ne doivent pas savoir pour la prophétie….
Ils n'ont pas su pour la prophétie. Mais Rogue, Harry et moi, du moins nos esprits et nos sentiments se sont rejoints, Harry pour ses amis, Rogue pour sa sœur, et moi pour Sora, le même sentiment… la même arme !
Voldemort a crié, je l'entends encore, ce cri il hante mes nuits et ma solitude.
Pas une seule vitre de Poudlard ne resta intacte. Ce cri fut tellement assourdissant que les vitres ont volé en éclats.
Les liaisons se brisèrent il ne resta que Voldemort et moi-même. Je le vis sortir de moi, il ne pourra plus revenir si seulement c'était pareil pour Harry et Rogue. Une pensée monta en moi : Sora… Mon amour pour elle… mon amour pour elle c'est ce qui avait créé ce désastre, mais ce n'était pas réellement cet amour, non c'était la haine et la colère. Non l'amour que j'éprouvais pour Sora, était pur. A cette constatation, je sentis une douleur fulgurante qui fut triplée. Rogue et Harry se remirent à crier. Voldemort porta une main à son front et l'autre à son bras.
Il était épuisé, je l'étais aussi, son regard rouge de serpent croisa le mien bleu de loup.
- ON SE REVERRA !
Il n'a pas pu entendre ma réponse. Oui on se reverra, tu ne seras plus de ce monde, je ne serai plus non plus, mais la perspective et l'idée d'un monde sans toi me réjouissent. Je me mis à rire un rire, un rire léger, rassurant qui contrastait avec le chaos qui régnait, tous étaient sans dessus dessous. Tout le monde me regardait avec crainte, et peur. Oui ils avaient peur de moi, je m'effondrais complètement vidé. La dernière image que j'ai vue c'est Dumbledore qui m'emmenait dans son bureau. Il ne pouvait pas m'amener à l'infirmerie c'était pas quelque chose de normal, d'ailleurs qui a dit que ça l'était ? Personne …
Bonne nuit
Mercredi 21 Février
J'ai ouvert un œil, je suis dans le bureau de Dumbledore, je me sens coupable du Chaos que j'ai provoqué, coupable de mes actes, inconsciemment je pleurais. Elle me manquait, oui elle me manque !
Bonne nuit (triste)
Jeudi 22 Février
J'étais assis sur une chaise en face de Dumbledore, qui me regardait souriant. Je baissais la tête, trop honteux de ce que je faisais.
- Il ne faut pas t'en vouloir. Tu n'étais pas toi-même, quelqu'un était entré en toi, murmura t il.
- Voldemort, murmurais je
- Oui, il ne sait pas pour la prophétie.
- Comment a-t-il fait pour entrer en moi ?
- C'est là un plan qu'il avait mûrement conçu. Il devait provoquer une colère assez puissante pour créer un lien entre cette personne et lui.
- Ce qui signifie qu'il y a des élèves favorables à Voldemort dans l'école, annonçais je sans détour.
Dumbledore regarda le plafond avec cet air gêné.
- Malheureusement oui, mais il nous est impossible de savoir qui. Mlle Sombre n'ayant pu voir ses agresseurs.
- Comment va-t-elle ? Demandais je inquiet.
- Disons que Pompom fait tout pour l'empêcher de sortir de son lit, pour se jeter dans le bureau. Mais Pompom est une ancienne de Serpentard donc elle connaît les armes de ruse qu'emploie Mlle Sombre.
J'ai ri, oui imaginant le combat entre Serpentard. Dumbledore m'a accompagné. Puis le sérieux revient.
- Vous savez je m'en veux pour ce qui est passé.
- Il ne faut pas, au contraire ! M'annonça Dumbledore
- Comment ça ? Demandais je surpris
- Voldemort ne pensait pas avoir affaire à trois occlumances en face de lui, et surtout un occlumance puissant doublé d'un légiliment très efficace. Surtout il ne pensait pas que votre mère vous aurait appris. Quand vous avez bloqué votre esprit, une gangue de protection se forma autour de vous protégeant tous les élèves. Le seul sort que Voldemort a pu envoyé était un sort qui a fait plus de peur que de mal. Saches que tu as réussi là où j'ai échoué.
- Hein ?
- Tu as détruis les liens qui unissaient Voldemort au professeur Rogue et à Harry. Maintenant le professeur est libre de l'influence de Voldemort. Et Harry peut enfin dormir tranquille. Mais surtout tu as fait revivre pour chacun la vie de l'autre ce qui fait que la haine qui existait entre eux, n'est plus. Et pour moi c'est quelque chose de très important. Même si Harry ne peut plus détruire Voldemort il peut le contrer, et le professeur Rogue représente une manne importante. Si ils arrivent à s'entendre nous aurons fait un énorme progrès.
Je restais silencieux, il sourit.
- Et quand à ma prestation ? Demandais je
- Ils ne se souviennent de rien, à croire que leur peur a été tellement forte qu'ils ont oublié le reste.
Au moins Lupaurum n'allait pas être inquiété.
- Je peux sortir ?
- Oui tu peux. Juste une chose maintenant Harry sait pour la prophétie, mais pas Voldemort, car tu t'es protégé contre lui surtout contre lui, ce qui fait que seul Harry est au courant de la prophétie mais il ne sais pas a qui elle est destinée.
- Je pense tout à coup, cette prophétie vous avez dû l'envoyer au départ…
- Oui, répondit Dumbledore.
Je me suis levé et je suis sorti laissant le directeur plonger dans une intense réflexion.
Bonne nuit
Vendredi 23 Février
Je me suis précipité à l'infirmerie. J'avoue j'ai poussé la porte un peu trop brusquement faisant peur à Pompom. Je me suis précipité sur le seul lit occupé.
Sora riait de mon entrée quelque peu explosif. Elle allait bien c'est déjà ça ! On a discuté des différents évènements, il allait falloir jouer serrer. Le problème c'est qu'il allait falloir composer avec Harry et les autres, sans qu'ils sachent qui se cache derrière le loup d'or.
Bonne nuit
Samedi 24 Février
L'annonce est tombée, le ministère a été attaqué par Voldemort, il s'est intéressé plus particulièrement à la section des prophéties. Il a découvert la mienne.
Bonne nuit
Dimanche 25 Février
J'ai passé une mauvaise nuit
Bonne nuit
Lundi 26 Février
Dumbledore m'a convoqué car il sait que Voldemort est au courant, misère ! Si il arrivait à faire liaison avec moi je n'ose pas imaginer. Dumbledore est au courant de « l'histoire » de ma famille, il sait quel secret pèse sur nos épaules. Nous avons échafaudé un plan qui permettrait d'assurer notre victoire en espérant que l'évènement déclencheur soit le plus tard possible. Chaque détaille a été préparé, de manière à ce que Voldemort prenne de l'assurance et commette l'erreur qui nous assurerait la victoire.
Bonne nuit
Mardi 27 Février
Je sens que ce que nous craignons va se réaliser et plutôt que prévu…
Bonne nuit
Mercredi 28 Février
Demain c'est mon anniversaire, j'attends avec impatience les nouvelles de ma famille !
Bonne nuit
Jeudi 29 Février
Bonjour journal de mon amour, il m'est pénible d'écrire quelque chose, mais il est arrivé quelque chose de grave à Fulcran.
Cher Journal c'est Ginny j'ai repris la plume des mains de Sora elle n'arrive pas écrire. Moi-même je suis dans un tel état, même Harry n'arrive pas à me calmer. Juste sache que Fulcran est dans un état proche de la mort et Pompom est très pessimiste, on ne sait pas quoi faire, on est tous dans un état de choc.
Pas de nuit chacun veille Fulcran…
