Un visage… un sourire…

Un visage… un sourire….

Chapitre 1 : séjour à l'hôpital

Sydney reprit conscience, la lumière l'éblouit d'abord, puis doucement elle ouvre les yeux.

Bip…Bip…Bip…Bip…

Elle est allongée dans un lit d'hôpital, elle a du mal à se souvenir pourquoi, un homme est assis à côté d'elle, elle a beau chercher dans ses souvenirs elle ne le connaît pas, de l'autre côté elle peut voir Fran.

"Hé… princesse, tu te réveille…."

"Fran…."

"Non, ne dis rien, mais ne t'en fait, tu es à l'hôpital, je reste là, repose-toi."

Sydney trop fatiguée pour articuler quelque chose, écoute le conseil de son amie et se rendors.

Elle se réveille, elle se sent déjà un peu mieux, moins fatigué, l'homme qu'elle avait vu est toujours là, il semble assoupis, elle se redresse et à ce moment une infirmière entre, réveillant le visiteur.

"Bonjour mademoiselle Bristow, comment vous sentez-vous aujourd'hui ?"

"Je me sens bien, mais pourquoi suis-je ici ?"

"Vous avez été renversé par une voiture."

L'infirmière ayant changé la perfusion de Sydney, lui sourit et se retire.

"Et l'infâme conducteur qui vous a renversé est moi."

Sydney se tourne vers l'homme, environ 30 ans, des yeux verts magnifiques, plutôt séduisant.

"Et par faute vous êtes ici depuis 5 jours."

"Vous êtes restez ici pendant 5 jours ? "

"Je voulais m'assurer que vous alliez bien, et bien sûre je vous rembourserais ce séjour à l'hôpital."

"Je connais que très peu de personne qui feraient ceci, merci."

"Disons que j'assume ce qui c'est passé."

"Vous êtes quelqu'un de responsable."

L'homme se contenta de sourire, et Sydney lui trouva encore plus de charme.

"Excusez-moi, je ne me suis pas présentez, Mickaël Vaughn."

"Sydney Bristow."

"Oui votre amie Francie m'a dit votre nom."

"Fran ? "

"Oui, d'ailleurs elle m'a dit de vous dire qu'elle passerait vous voir en fin d'après midi."

Sydney lui sourit, et Vaugh se leva.

"Je vais vous laisser vous reposer, tenez ma carte, appelez-moi quand vous serez sortit, nous réglerons les détails du remboursement."

"Sydney prit la carte, Mickaël Vaughn, CIA, Sydney s'arrêta sur le mot CIA, cet homme serait donc un collègue.

"Vous travaillez à la CIA ?"

"Personne n'est parfait, au dos j'ai noté mon numéro personnel si vous n'arrivez pas à me joindre à mon bureau, au revoir Sydney."

"Au revoir."

Sydney le regarda partir, posa la carte sur la table de nuit et se rendormie.

Une semaine a passé et Sydney est sortit de l'hôpital, elle savoure ses trois semaines d'arrêt maladie, elle toute seule chez elle, Fran travail au restaurant, elle sur sa littérature mais à en fait la tête ailleurs elle repense à ce Mickaël Vaughn, elle fait tourner la carte dans sa main, elle ne sait pas vraiment si elle doit l'appeler, et même temps elle en meurt d'envie, disons qu'il lui a fait une très bonne impression, mais d'un certain côté elle n'ose appeler ça ferait quelque chose du genre : bonjour c'est moi que vous avez renversé, alors parlons de ce remboursement ! Elle ne veut pas vraiment donner cette impression, surtout qu'elle n'est pas comme ça, elle gagne assez bien sa vie pour ne pas avoir besoin de ce remboursement, alors qu'elle se perd dans ses pensées son téléphone sonne.

"Allô."

"Bonjour, je suis Mickaël Vaughn, pourrais-je parler à Sydney Bristow, s'il vous plaît ?"

"C'est elle-même."

"Oh Bonjour, je m'inquiétais de ne pas avoir de vos nouvelles."

"Je vais bien merci, à vrai dire, je n'osais pas vous appeler."

"Je vous fais si une si mauvaise impression que ça ?"

"Non, bien sur que non, mais je n'osais pas appeler et vous dire bon alors ce remboursement, surtout que je n'en pas besoin."

"Vous êtes sure ?"

"Oui, ne vous en faites pas, mais c'était gentil de l'avoir proposé."

"Bien, comme vous voulez, mais puis-je alors réparer mon geste en vous invitant à dîner ? "

"J'en serais ravie."

"Bien, vendredi, ça vous va ?"

"C'est parfait, oh une dernière question comment avez-vous eu mon numéro ?"

"Vous êtes dans l'annuaire, c'est aussi à l'aide de cette merveilleuse invention, que je vais pouvoir venir vous chercher chez vous."

"Très bien allez venez vers 19h00."

"Très bien alors à vendredi."

"Sydney raccrocha, le sourire aux lèvres, elle ne savait pas vraiment pourquoi, mais elle souriait, elle se sentit d'attaque pour continuer sa littérature.

Les personnages ne m'appartiennent pas, ils sont la propriété de J.J.A., et je ne touche rien en contre partie de ce que j'écris.

Voilà mon e mail : pitchoune698hotmail si vous voulez m'envoyer vos commentaires.

Pitch