C'est encore moi et la suite, j'ai de plus en plus envie de faire du mal à Kai, de le faire souffrir lui et ses proches. C'est pas très gentil mais bientôt je vais le mettre de coté il commence à m'ennuyer je reviendrais sur lui un peu plus tard, un truc est sur je les adore lui et les demolitionboys,c'est soit leur coté mauvais garçons soit le fiat que Tana est très beau... Bon assez comme ça je continu!
Chap. 9 Qui a mal au coeur, à mal à l'esprit...
Heureusement il ne croisa plus personne d'autre et pu se laisser tomber dans son lit, " Dans le centre de recherche une machine égrenait ses données aussi inlassablement qu'au départ: Perte de conscience du sujet prévu dans 5...4... 3... 2...1..., maintenant"
Kaï s'endormit sans ce rendre comte de ce qui se passait à présent autour de lui ni de la pierre qui ricochait sur sa fenêtre.
Il se réveilla en sursaut tout ses membres plein de courbature tout son corps tendu comme s'il était encore sous l'influence de la diabolique machine de son grand-père.
-Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhrrrrrrrrgggggggggggggg!
Une cri inhumain l'avait tiré de sa léthargie. Qui avait bien put crier comme ça?
Une petite roche ricochait sur sa fenêtre,c'était la raison de son réveil. Il avait enlever ses ailerons avant de s'endormir et vu le poid qu'ils avaient avant qu'il ne sombre dans le sommeil, il n'avait aucune envie de les mettre à nouveau. Il aperçut le cadre qui représentait Anastasia. Quel sentiment étrange! Il n'y avait pas plus de 2 jours cette femme était une totale étrangère, depuis quelques jours c'était sa tante et depuis à peine quelques heures sa mère.
Il finit par jeter un coup d'oeil vers sa fenêtre pour apercevoir Kayla qui lui faisait signe de venir la rejoindre dans sa chambre. Il n'eut même pas une minute d'hésitation et rejoint tout de suite la jeune fille en voyant l'expression de son visage. Quand il entra dans la pièce qui avait habrité la jeune fille durant presque toute sa vie il se sentit submerger par la nostalgie. Il avait passer tout ses week-ends dans cette endroit avec Kayla.
Celle- ci était vêtu pour le moins légèrement avec sa jupe longue qui volait au moindre coup de vent en dévoilant ses cuisses et sa chemise à demi ouverte qui découvrait le reste.
Kaï- Qu'est-ce qu'il y a ?
Sa voix était plutot fatigué, un peu trop au gout de Kaï.
Kayla- T'as un gros problème, hen? Avous!
Kaï- Avouer quoi?
Kayla- Avouer tout ce que tu as sur le coeur, si j'ose m'exprimer ainsi, mais avant regarde bien ce que j'ai a te montrer!
Elle avait allumer une télévision dans un coin de la pièce et l'avait planté sur la scène d'un film durant la quelle des orphelins se racontaient les souvenirs qu'ils avaient de leur parents.
Kayla-Des souvenirs que tu n'auras jamais semble t'il, non?
Kaï serra les poings mais, n'eu pas d'autre réaction, c'était mieux ainsi, il lui faudrait tout son sang froid pour supporter ce qu'elle allait encore lui montrer. La seconde image du téléviseur était un enfant dont les deux parents étaient en train de s'occuper.
Kayla- Des parents que tu n'auras jamais, qui ne se sont jamais occupé de toi et dont tu n'as aucun souvenir.
Sur ce point elle se trompait car Kaï, à l'instant même ou elle prononçait ses quelques mots, avait vu une image refluer en en lui. Sa mère, lui et sa mère. Il pleurait et sa mère criait. Il tenta de chasser ce tableau de son esprit. ll ne voulait pas s'en souvenir. Il sentait que s'il réentendait ce qu'elle lui disait son être entier réagirais très, très mal.
Il ne voulait pas se souvenir de ce qu'elle lui avait dit.
Pendant ce temps, la télé continuait de montrer des familles soudées qui semblaient très heureuse, Kaï s'accrocha à ses images pour ravaler le souvenir qui montait en lui et menaçait l'engloutir. Il devait oublier, mais les images ne l'aideraient pas, tout ce qu'elles faisaient c'était lui montrer ce qu'il n'avait pas, ce qu'il n'avait jamais eu et ce qu'il n'aurait jamais. Kayla continuait sa tirade, bien que cela lui soit totalement inutile, le jeune homme était complètement submergé, il n'entendait rien, mais il perçut une phrase, une seule, la pire...
Kayla- Et tout ça, c'est de ta faute, parce que tu n'as pas de coeur!
Tandis que la phrase faisait son bout de chemin dans son esprit, il perdit tout contrôle sur son souvenir et sur son être. Sa main droite se crispa sur son épaule gauche comme si une douleur insupportable le transperçait de aprt et d'autre d'un coups. Son bras s'enfonçait dans son torse cherchant les battements de son coeur qui restaient imperceptibles. Sa respiration s'accéléra, il baissa la tête pour ne plus voir ses familles nager dans le bonheur et cette fille qui se prétendait amoureuse de lui. Il ferma les yeux pour perdre de vue Anastasia qui rentrait dans la pièce où il se trouvait il y avait 11 ans. La vision, au lieu de dispraître, s'intensifia, les contours qui jusque là étaient flous se précisèrent. Il ne pourrait plus la soutenir, mas il ne devait pas voir. Il ne fallait pas qu'il l'entende...
Anastasia entra pour voir Kaï sourire à son approche. L'enfant de 3 ans comptait demander à sa mère où étaient passer ses frères durant les dermiers jours. En voyant la manière dont elle le regardait son sourire déserta son visage. Il n'aviat jamias vu sa mère le regarder avec des yeux emplient d'une telle haine. Elle s'avançait vers luii d'un pas mécanique et décidé.
-Maman?( une pointe d'inquiétude sonnait dans la voix du petit garçon)
-Je te déteste! (La voix de sa mère était dure, froide, sec et tranchante, mais si froide et haineuse, si froide, non pas froide, glaciale!) Tu ne me sers à rien et je ne comprendrais jamais comment j'ai pu m'imaginer qu'un jou, je pourrais t'aimer! Tu as gaché ma vie, je te déteste!
Ele le dominait de toute sa grandeur d'adulte, de toute sa haine et de toute sa froideur qui la rendiat inhumaine( ce froid qui pénétrait en Kaï, qui s'insinuait dans son petit coeur à chaque mot qu'elle ajoutait, qu'elle lançait souvagement sur lui telle des armes).
-Maman?( la peur était dominante dans sa voix)
-Je ne suis pas ta mère, comment as-tu pu t'imaginer qu'une jeune fille de 18 ans telle que moi pourrait être ta mère? Tu n'as jamais eu de mère ou de père. Je t'ai pris avec moi par pure pitié. Tu n'es qu'un monstre un sal petit monstre qui ressemble à un petit garçon! Mais personne ne pourra jamais aimer un être tel que toi. Et puis d'ailleurs qui pourrait apprécier un être qui n'aime pas en retour?
Les yeux du petit Kaï s'embuèrent de larmes, son coeur cherhcait rempart ou s'accrocher, boué de sauvetage où se rattraper pour ne pas sombrer dans cette océan de peine qui avait fini par l'entourer. Qu'avait-il fait?
-Mais, mam...( sa voix fut stopper net)
-Ne m'appelle pas comme ça! Tu as voulu le mal qui t'arrive. C'est de ta faute si ma vie est gaché. Quant à la tienne, elle a été gachée le jour où tu es venu au monde! Tu n'es que quantité négligeable, jamais personne ne s'occupera de toi sinon ils en paieront les frais comme moi. Tout les gens qui te croiseront ne ressentiront pour toi que de la haine ou de la pitié. Tu es détestable.
Il secouait la tête, les larmes roulant sur ses joues, refusant d'accepter ce qu'elle lui disait tandis qu'elle réduisait toute l'existance de l'enfant à néant. Tandis qu'elle réduisait l'existance de Kaï à néant.
-J'ai fait l'erreur de ma vie en te prenant chez moi. Je ne te répetterais jamais assez que je te déteste. Tu ne feras jamais rien de bon pour quiconque dans ta vie. Tu ne pourras jamais racheté les fautes que tu as commises envers moi.
Le petit garçon reculait vers la porte, effrayé par cette personne qui avait été sa mère et qui l'affublait de tout les défauts de l'humanité et même plus.
-Va t'en et ne reviens pas! Je t'excecre, je te déteste, je te hais! Va t'en, laisse moi en paix, tu n'as pas déjà fait assez de mal? Pars! Monstre!
Le petit hésita et n'aperçut que trop tard la lame qui se planta dans son épaule gauche. Il sortit foudroyé par la douleur et la peine. Il ne comprenait pas toujours pas ce qu'il avait fait, mais une chose était claire dans sa tête alors qu'il essuyait ses larmes: c'était de sa faute tout ce qui lui arrivait! C'était de sa faute, sa faute uniquement à cause de lui. C'était sa faute!
Kaï ouvrit les yeux aussi vite qu'il le put mais il était trop tard, il n'avait pas fallu plus d'une fraction de seconde pour qu'il revoit tout. Il voulait oublier ce secret si lourd une autre fois, il n'avait jamais demander à se rappeler. Pourquoi lui avait t'on fait ça? Une phrase remonta à son esprit: c'est ma faute, c'est ma faute. La culpabilité! Mais il n'avait rien fait! Il sentit quelque chose au coin de ses paupières, des larmes! Non il n'allait pas pleurer, pas encore! Il cligna des yeux et eu beau secouer la tête rien n'y fit.
Un sentiment d'abandon le submergeait quand il sentit la main de Kayla retiré celle qui était toujours crispé sur son épaule. Quand les doigts de la jeune fille effleurèrent son torse, Kaï le sentit qui battait à toute vitesse, son coeur! Il se rendit compte que la jeune fille était agité d'un léger tremblement qu'elle tentait de contenir. Il s'apperçut que lui même tremblait. Il tremblait de tout ce froid qu'il avait reçu à la naissance, c'était sa faute ce qui lui arrivait... NON! Il n'était pas responsable de tout les malheurs de la terre!
Il réussit a contrôler son tremblement et à l'arrêter. Il releva la tête , lentement pour ne pas intensifier le bourdonnement qui lui vrillait les tympans. Il cherchait son souffle mais maintenant il pouvait la voir, Kayla, cette fille indéchiffrable qui avait réussi à le mettre dans cet état. Malgré les larmes qui lui brouillaient la vue et les gouttes de sueur qui lui brulait la rétine il la fixait droit dans les yeux.
Kaï Qu'est-ce que tu en sais?
Sa voix était brisée, elle sonnait étranfement venu de la part de Kaï, mais sa voix n'était qu'un des morceaux cassés, son être tout entier était brisé, il avait toujours vécu
avec une volonté, un coeur et un esprit brisé, mias il l'avait caché. Si bien cach. qu'il see l'était caché à lui-même. Et elle, elle était venu réveiller sa blessure et tourner le couteau dans la plaie comme on dit, elle l'avait fait se révéler à lui-même.
Kayla elle n'en menait pas large, elle avait voulu montrer à Kaï ce qu'elle savait faire pour qu 'il cesse de lui faire de la peine. Elle avait voulu se venger et manifestement elle avait fait mouche. Quelque chose en elle lui faisait mal, très mal de le voir dans cet imposture. Il semblait démuni sans ses ailerons, ses épaules affaisées, une main à nouveau crispé sur l'une de ses épaules justement, les marques bleus sur ses joues à demi effacer par ses larmes et sa sueur. Une terrible culpabilité l'envahissait et non sans fondement. Elle baissa les yeux, incapable de le voir dans l'état dans lequel elle l'avait mis plus longtemps.
Kayla- Excuse moi, je n'ai ... pas réfléchi, Je...
Kaï de son coté se sentait très insignifiant et se demandait pourquoi il s'attendrissait encore en la voyant si désolée et triste alors qu'il n'aurait du lui en vouloir pour ce qu'elle lui avait fait. Mais après tout ce n'était pas sa faute non, elle n'avait pas réfléchi, elle ne voulait pas faire autant de mal, non?Et alors, elle n,avait reculé devant rien pour le pousser dans ses derniers retranchemants, ne lui laissant aucun répit, non? Kaï se demanda si c'était ça aimer, être avec une personne qui puisses vous faire pleurer et rire et pouvoir lui pardonner pour ce qu'elle vous a fait après... Peu importe, Kaï ne lui pardonnerais pas tout de suite , elle l'avait blesser trop profondément. Malgré tout il ne pouvait s'empêcher de la trouver attendrissante avec ses petits sanglots qu'elle essayait de retenir qui lui restait coincé dans la gorge et il se sentait mal de la voir aussi chamboulé à cause de lui. C'est la faiblesse sans doute songea t'il. Il fit un pas vers elle.
Elle poussa un petit cri et disparu derrière une porte, sa jupe virevoltant derrière elle. Kaï se stoppa net, même s'il l'avait voulu, il n'aurait pas pu faire un pas de plus.
" Rechute du sujet prévu maintenant, les effets vont à nouveau se manifester." La machine de Voltaire continuait de disserter sur les effets du traitement que Kaï avait subi.
Quand Kayla sortit de la salle de bain vetue d'un pantalon et d'une camisole noirs Kaï ressentais les mêmes souffrances que lorsque son grand-père l'avait testé en endurance. Elle s'approcha de lui avec lenteur refusant de le brusquer. Kaï recula pour s'appuyer sur le mur ébranlé par la douleur qui l'habitait à nouveau. Quand il sentit le soufle de la jeune fille sur son cou, il souhaita de tout coeur pouvoir reculer encore, mais il était dans une impasse.
Kayla caressa ses joues, retirant ce qui restait de bleu dessus, la douceur et la tendresse qui emprêgnait ce geste firent frissoner Kaï d'un frisson qui ne l'avait jamais parcouru auparavant. Il aurait tout donner pour que cet instant dure à tout jamais, pour quechaque fois que les mains de Kayla l'effeurent, ce soit avec cette tendresse. Il retint la main sut sa joue alors que la jeune fille s'apprêttait à la retirer. Il ne voulait surtout pas lire la pitié qu'il y aurait dans les yeux de Kayla alors il garda les siens bien fermé, pour bien graver cet instant dans sa mémoire.
Il la sentit fondre en sanglot et se jeter dans ses bras. Il tenta de ne pas s'effondrer, de ne pas lui montrer toute la faiblesse qui l'habitait. Il en avait assez montrer.
Kayla- Kaï, je suis désolée, je n'ai pas penser que..., je ne voulais te faire si, oh Kaï, pardonne moi.
Il glissa sur le mur, gardant Kayla dans ses bras tandis que la douleur courait partout dans son corps. 5 minutes, il n'avait pas fallu plus de 5 minutes pour que la souffrance se réveille à son tour. 5 minutes de répit qui a présent était terminer.
Il s'étala de tout son long à terre, ouvrit les yeux pour voir ceux de la jeune fille( qui l'encombrait de son poid) des yeux pleins d'inquiétudes. Il ne put s'empêcher de pousser un soupir de découragement.
Kaï- Arrête moi ça.
Kayla- Quoi? Qu'est-ce que tu as ? Je t'ai fait mal?
Kaï s'apprêta a offrir une réponse négative puis se ravisa.
Kaï- Oui,... (il attrapa la main de la jeune fille et la posa sur son coeur qui battait la chamade)... là.
Kayla- Oh Kaï pardonne moi, par pitié!
Kaï se sentit encore plus mal quand il la vit fondre en larme, les siennes avait désertés son visage qui était tordu par la douleur. Il tenta de dire quelque chose mais rien ne sortit. La position dans laquelle il se trouvait le mettait drôlement mal à l'aise tout en le réconfortant de la sentir si prêt de lui et si compatissante. Il se serait bien relevé pour ne pas laissé croire qu'il souffrait encore mais c'était faut après tout et de toute manière, Kayla se préoccupait bien peu de son état comparé à la peine qu'elle laissait s'échapper d'elle. Elle enfouit son visage au creux de son cou. Kaï fut secouer d'un long frisson, d'un frisson s'en fin qui le secouait de la tête au piedL'intimité qui c'était installé entre eux eu tot fait de révéler à Kayla que le jeune homme tremblait comme une feuille morte. Elle posa une amin glacée sur son front brualnt.
Kayla- Tu es bouillant de fièvre!
Bouillant? Le terme était mal choisi, Kaï avait terriblement froid, mais bien un des symptome de la fièvre.
"Symptomes et effets secondaire vont à présent se manifester sur le sujet" La machine psamoldiait imlassablement les répercution à long terme du traitement exercer sur Kaï.
Celui-ci tomba évanouit pour peut-être ne plus jamais ce réveiller au grand désespoir de Kayla qui songea que c'était sa faute.
C'est dur non? Mais bon je suis de plus en plus sadique avec Kai et je compte le rester et m'attaquer bientôt au pluis gros morceaux de cette fic, la suite! Elle sera mise sur le site en même temps que ce chapitre mais en attendant j'aimerais remercier Leenaren qui suit avec enthousiaste mon histoire, et qui semble bien être la seule à le faire...
Mais peu importe, l'important n'est pas la quantitée mais la qualité, merci Leenaren de rester fidèle à Rdi et au coeur solitaire!
