Finalement je fais des chapitres de plus en plus long et de moins en moins intéressant avec de plus en plus de faute d'orthographes. A vous de démentir cette constatation. moi j'abandonne et j'écris... tout simplement.
Chap 11 Répétition
En soirée Kaï se sentant terriblement pertubé par ce qui venait de se passer pris pour une bonne douche pour se calmer un peu et pour éteindre les désirs que sa jeune amie avait éveillé en lui. Soit calmé ses ardeurs de soupirant. Il n'en revenait pas, lui qui d'habitude avait un contrôle parfait sur toutes ses émotions en était presque allé à faire une déclaration d'amour sous le clair de lune. En plus il était entré en... C'est comme disait un type au parlé cru qu'il avait croisé auparavant. Action réaction érection.
Il y avait quelque chose de très choquant là dedans, surtout depuis que Kaï savait que hors de tout doutes, Kayla voulait un jour avoir des enfants. Cela impliquait plusieurs petites choses très graves. Et ça lui rapellerait sans aucun doutes des mauvais souvenir du temps ... du temps de...
Il secoua la tête pour en chasser ses pensées et sortit de sa douche une serviette autour des reins et une autre sur la tête. Ses cicatrices lui fesaient un mal de chiens songea t'il en commençant a démeler ses cheveux devant son miroir, elle le brûlaient. Il enfila un pantalon(et un boxer pour les perverses qui y auront pensé!) et s'empressa dde renouveler ses bandages, les plaies n'étaient pas complètement cicatrisées. En mettant sa camisole noire il aperçut son reflet dans le miroir.
Le jeune homme qui se trouvait devant lui avait des cheveux bleus comme sa mère et des yeux bruns, pas un de ses bruns (couleur merde),un beau brun, un très, très beau brun. Puis c'était comme si un éclair de génie le foudroyait de pars et d'autre. Ilavait déjà vu des yeux comme ça quelque part! Mais où?
Il cligna des paupières tandis qu'un tableau fesant pensé au pans de son enfance qui lui avait été révéler peu de temps auparavant fesait surface dans son esprit.
-Eh gamin, viens jouer deux minutes tu n'as rien a craindre.
Le petit Kai tendit une main tremblante vers celle que Boris Baklov lui tendait. Le jeune Boris qui ne devait pas avoir plus de 19 ans , la prit avec une douceur que peu de gens lui aurait attribuer. Il n'avait pas encore teint ses cheveux en bleu et ils étaient bruns, tout comme ses yeux qui se faisaient rassurant. Il n'était pas en pointe non plus mais ressemblait plus a la coupe de Tana(je parle de ses cheveux bien sûr). Boris souleva Kaï dans ses bras forts et le serra contre lui avec une tendresse presque paternel.
-Tu n'as rien a craindre, ta maman va très bien, elle va bientôt revenir.
Malgré le calme qu'il tentait de conserver dans sa voix, Boris était nerveux. C'était visible a la manière qu'il avait de passé sa main dans ses cheveux.
-Bo qu'est-ce qui se passe? demanda Kaï d'une petite voix, il n'avait que 2 ans mais il savait parlé et il comprenait que le trouble de Boris, le meilleur ami de sa mère, n'était pas sans explications.
-Je t'ai déjà dit de ne pas t'inquiéter, dit il, après tout ce n'est qu'un mois d'avance. Ajouta t'il pour lui-même.
Il déposa Kaï à terre a coté de Tana qui fesait un casse-tête particulièrement complexe, il y avait 20 morceaux! Spencer jouait avec les cheveux de Yann, fesant des formes bizarres avec la bouteille de gel qu'il avait pris à sa mère, tandis que Yann fesait un chateau avec des blocs de bois. Le chateau avait une seule tourelle car Spencer avait détruit les autres. Boris se mit a faire les cent pas en croisant les bras dans son dos et en passant parfois une main dans ses cheveux.
-Mais qu'est-ce qui se passe?(demandèrent Spencer et Yann en même temps).
Bo-Je vous ai dit de ne pas vous inquiétez...
Tana-Dit Bo, tu fait l'hélicoptère?
Bo-Non ce n'est pas le moment!
Spen-Bo, on fait le chameau, ou encore le taureau.
Bo-Ce n'est pas encore le moment et de toute manière je n'ai pas le temps. Puis vous commencez a être vieux pour des truc dans ce genre là.
Spencer- Mais on n'a que deux ans.
Surprenant alors que les 4 petits garçons sachent tous déjà parler à deux ans, non? Ben il tienne surement de leur papa. Qu'est-ce que je racontes? Désolé, on recommence!
Bo-Et alors?
Tana- Moi j'ai remarqué un truc, les autres gamins ils ont toujours leur papa avec eux et nous on a toujours toi avec nous alors je me demandais si...
Bo- Ben tu n'as pas a te demander, ton père est...
Boris s'arrêta net en apercevant une infirmière qui venait vers eux. Presque aussitot les quatres enfants se jetèrent sur ses jambes et s'y accrochèrent fermement.
Inf-Boris Baklov?
Bo-C'est moi!
Inf- La jeune femme que vous nous avez amenez ce matin, quel âge a t'elle? Et à qui sont ces enfants?(Pointant ceux qui s'accrochait à sa jambe)
Bo- Elle a 17 ans et ce sont les siens.
Inf- Et qui est le futur père et le père de ceux ci?
Bo- La même personne.
Il avait rougit en parlant, c'était parfaitement logique pour une infirmière mais du millieu d'où il venait cette phrase aurait eu un sens: Ils sont fidèles!
Inf- Sans vouloir être indiscrète, serait-ce vous?
Quatre têtes se tournèrent vers lui avec des yeux ronds comme des billes de billard.
Spencer-Réponds..
Yann-...a la...
Kaï- ...madame ...
Tana- ...Bo!
Tousencoeur-Allez réponds!
Bo- Pourquoi?
L'infirmière lui adressa un sourire indulgent.
Inf- Quel âge avez-vous ?
Bo-18 ans...(ou plus songea t'il)Kai ne sait pas a quoi il songe mais moi si hi! hi! hi!
Inf- Vous êtes comme elle très jeune pour être le père mais même si c'est indiscret, concrêtement êtes vous le père de cet enfant qui arrive et de ceux qui s'accroche a vous en cet instant?
Boris baissa les yeux vers les quatres jeunes frères et après avoir échanger un sourire avec chacun d'entre eux(et oui ils savaient tous sourire) il caressa doucement leur cheveux.
Bo- Oui, si on veut...
Inf- Si on veut?
Bo- Passons, comment va t'elle?
L'infirmière sourit encore une fois, elle était ému par ce jeune homme qui encore dans l'adolescence devait faire face au problème d'être parent, il faut dire qu'il était très mignon avec les quatres jeunes garçons qui l'entouraient.
Inf- Elle va bien, son père veut vous voir.
Bo-Quoi, Mr Hiwatari?
Il avait maintenant un air paniqué.
Inf- Oui quoi il y a un problème?
Kaï secoua la tête. Comment ça se fait que maintenant je me rapelle de truc comme ça? C'est presque impossible, je ne serais pas censé avoir accès a ma mémoire,songea t'il. Il retourna dans sa chambre bien décidé a prendre un peu de repos. Mais un gargouillement surprenant l'en dissuada.Mon vieux, il faut que tu manges! se dit-il a voix haute. Il ouvrit sa fenêtre, laissa l'air froid du soir carressé sa peau quelques minutes avant de quitter sa chambre et d'entreprendre une petite escapade à la cuisine.
La fenêtre étant ouverte en bas il n'eut aucun mal a entrer. Il aperçut une dizaine de plat plus succulent les uns que les autres qui semblait l'attendre là sur la table, bien sagement.
Il se précépita vers cet amas de nourriture et en engloutit une quantitée inimaginable en 4 minutes. Disons que là il ne se retint pas pour être pire que Tyson il fut bien pire, je vous laisse imaginer (ou ne pas imaginer)
Ida-Mon dieu seigneur tu viens de faucher 3 heures de travail sur mes fourneaux!
Ida était la meilleure cuisinière du manoir. Elle avait 50 ans bien sonnées et un caractère bien à elle. Ses cheveux blond prenaient ne teinte argentée. Elle était de petite taille, mais son être dégageait une autorit qui imposait le respect envers elle, à tous même à Kaï. C'était pour ça qu'il la vouvoyait...
-Aaahhh!
Kaï ignorait pourquoi mais quelque chose ne tournait pas rond et il venait de se réveiller en sursaut pour comprendre qu'il n'était jamais allé dans la cuisine pour retrouver Ida, mias cela n'empêchait pas qu'il avait les cheveux mouillés comme s'il avait réellement pris sa douche. Mais qu'est-ce qui était vrai et qu'est-ce qui ne l'était pas? Pourquoi ne se souvenait-il pas s'être coucher entre son souvenir de Boris et son rêve de la cuisine?
Il se leva, s'il ne pouvai dormir cela signifiait une seule chose, quelque chose allait mal, très mal. Puis avec un coup au coeur Kaï comprit: Son frère, il y avait quelque chose qui n'allait pas avec son frère.Il tomba sur son lit estomaqué par cette idée folle. Choqué par cette pensée stupide qui tout de suite aurait du sortir de son esprit. C'était tout simplement impossible, quoi qu'avec Voltaire tout était possible. Et pourtant... Comment aurait-il pu lui faire ça? Se lessant tomber les bras en croix sur son matelas Kai fixa le plafond, puis plissant les yeux:
Kai-Tana...
Pendant ce temps...
"Cours, cours, cours plus vite, allez cours, cours plus vite!
Je ne peux pas
Mais il le faut
Mais je ne peux pas
Tu dois courir, elle ne doit pas t'attraper!
Non je ne veux pas me faire rattraper, surtout pas par elle
Alors cours!
J'en peux plus, j'ai mal, tellement mal...
Qu'est-ce que tu préfère elle ou la souffrance?
C'est pas juste!
Alors, cours!
Mais je ne peux pas, c'est pas que je veux pas je PEUX pas!
5 minutes de courses enco...
Ça fait 1 heure que je cours comme un damné!
Mais elle va t'attraper"
Le vent soufflait sur son visage, sur sa peau comme une caresse laissé par la main douce et aimante de...
Tana sursauta et tenta de se redresser dans son lit. Un rêve, songea-t'il en se laissant retomber sur son lit, ce nétait qu'un rêve. C'est alors qu'il se figea, la main caressante était là sur son épaule gauche, une autre jouait dans ses cheveux .
Anas-Tu n'as pas changé, tu as toujours l'air d'un ange quand tu dors...
Tana qui tournait le dos à sa porte ne l'avait pas entendu arriver (remarquer il dormait) elle s'était glissé dans son lit et la main qui caressait auparavant son épaule parcourait son dos. Il ne pouvait pas la voir mais il avait reconnu sa voix.
Tana- Va t'en!
Anas- On ne parle pas comme ça à sa mère.
Tana-Mais...
Elle se pencha vers lui et le retourna de manière à ce qu'il soit face à elle en lui adressant un sourire victorieux.
Anas- Toujours aussi malléable... et mignon.
Tana baissa la tête et le releva aussitot, elle était plus près de lui qu'il ne l'aurait cru.
(Il a tout vu, et il y avait de quoi a voir, elle est en bikini, mais juste le haut, elle porte une jupe longue)
Anas-Tu te souviens la première fois?
(Qui se retourna,elle se remit a caresser son dos)
Tana-Il n'y a pas eu de première fois...
Anas-Bon ben alors, de celle qu'il y a faillit avoir?
Tana-Laisse moi, s'il-te plaît...(sa voix fut engloutit par ses sanglots, tandis qu'elle caressait toujours les cicatrices qui lui zébrait le dos)
Anas-Regarde moi droit dans les yeux!
Tana secoua la tête. Il paniquait, sa respiration s'accélérait, son coeur battait à toutes vitesses. C'était comme l'année dernière, elle s'était glissé dans sa chambre et puis dans son lit alors qu'il dormait et elle l'avait...
Tana avait une excellente raison d'avoir peur. Chaque année elle allait le voir et elle avait les mains plutôt baladeuse, jamias elle ne s'était arêtté à son dos ou son torse. Chaque centimètre carré de sa peau y passait. Tana était bien au-delà de ses frissons que provoquent les caresses habituelles. Par delà la peur qu'elle aille plus loin à chaque fois, par delà l'horreur et le dégout que l'on ressent pour soi-même en sachant qu'on se laisse faire ainsi. Par delà les incroyables désirs que de telles choses peuvent éveiller en vous. Par delà l'impression qu'on prend en partie plaisir à cette expérience. Par delà l'idée que cette femme est votre mère. Parce que Tana était au courant depuis longtemps qu'Anastasia était sa mère. Elle le lui avait dit la première fois, quand il avait 9 ans. Il. y avait quelque chose de terrible là-dedans, c'était sa propre mère qu'il craignait le plus sur la planète. Pas son grand-père, la souffrance il pouvait la supporter, mais physiquement, moralement il n'en pouvait plus. Peut-être craignait-il aussi un peu Boris mais il lui semblait un peu moins, comment dire, hypocrite qu'Anastasia.
Donc par delà tout ça, il y avait le fameux problème de communication. La communication gestuelle allait très bien, mais ce n'était pas pour Tana la meilleure manière de s'exprimer et disons qu'Anastasia monopolisait la conversation dans ce genre de situation.
Tana-T'as pas le droit de faire ça.
Ne re commence pas, tu voudrais pas faire ça, ne laisse pas ta main glissée, ne laisse pas ta main descendre, je t'en pris ne laisse pas ta main glissée ai pitié, tu ferais pas ça, tu voudrais pas faire ça, se dit-il, la suppliant intérieurement.
Anas-Ta mère a toujours tout les droits sur toi.
Tana-Pas sur moi!
Il se recoquevilla sur lui-même laisssant uniquement son dos à porté de main.
Anas-Comment...?
Tana-Une mère a peut-être des droits, mais elle a aussi des responsabilités.
Anas-Lesquelles?(en laissant son souffle effleurer son cou avec douceur)
Tana se retourna à nouveau, appuyé sur le dos, sortant de sa coquille pour ainsi dire, elle s'approcha de lui, l'acula contre le mur eet pendah son visage vers le sien.
Tana-Premièrement une mère doit être une mère et elle doit savoir ce que c'est qu'une mère et ce que ça fait. Et une mère ça protège!
Il avait les larmes aux yeux, trop de craintes, trop de stress acumulé, Anastasia sursauta, les yeux du jeune homme était durs malgré les larmes qui en coulaient.
Tana-Une mère, ça vous soutient, ça vous sourit matin et soir avec un vrai sourire, un sourire pour lequel vous pourriez soulever des montagnes. Une mère, ça vous rassure. Ça vous borde et vous chantes des berceuses le soir quand vous êtes petit. Ça vous prend dans ses bras ou vous ébouriffe les cheveux, pas pour en retirer du plaisir mais parce qu'elle sait que ça vous fait du bien, pas comme une obsédée non plus, mais comme une mère.
Anastasia hocha de la tête, estomaquée.
Tana-Une mère, ça vous cahce les horreurs du minde et quand vous avez ds problèmes, ça vous aide à les régler. Une mère, ça vous parle avec douceur, pas avec une voix mieileuse pour vous enjoler, avec une voix douce, une mère ça vous écoutes quand vous avez besoin de lui parler avec attention et elle fait preuve de délicatesse. Elle sait même quand vous avez besoin de vous confier a quelqu'un. Une mère, ça vous surprotège, ça abolit la violence pour vous éviter de comprendre trop tôt à quel point le monde est pourris. Çâ vous apprend a vivre avec des valeurs et a devenir autonome, ça ne vous laisse pas seul dans le noir sans rien pour vous défendre, elle est toujours derrière vous prête a vous rattraper si vous tomber. Une mère, ça vous suit dans chacun de vos pas, ça trace même parfois un chemin à suivre. Une mère ça ne profite pas de vous bien que d'une certaine manière elle vous laisse profité d'elle. Elle vous offre tout ce qu'elle a, la vie, l'amour, la compassion, l'attention. Ça ne vous jette pas dehors, ça ne fait pas comme si vous étiez son petit ami et ne vous referme pas son coeur au nez. Et ça n'a pas 15 ans a votre naissance! et...et...
Sa voix se brisa, les larmes roulaient en douceur sur ses joues. Mais pas uniquement les siennes, celles d'Anastasia les avaient rejointes sur son visage. La jeune femme se leva et tourna le dos au lit. Ses épaules étaient secoués par ses sanglots.
Tana tenta de s'asseoir sur son lit, mais parvint tout juste à se hisser sur ses coudes avec un gémissement. Il se laissa retomber sur son matelas en poussant un soupir. La jeune Russe se tourna vers lui, ses yeux, luisant de larmes, allumé par une lueur d'inquiétude. Tana déglutit, se préparant au pire.
Anas-Tu as raison, les mères sont tout ça et le pire c'est que tu les as parfaitement bien décrites, la mienne était comme ça. (elle essuya ses larmes et lui sourit) Je suis désoler... pour tout ce que j'ai pu te faire subir.(Elle caressa doucement ses cheveux) Je n'ai jamais vraiment su où j'en étais, mais ton père étais tout comme ti. On dirait qie vous êtes la même personne, comme sortient du même moule, il... enfin, il était vraiment semblable à toi, autant physiquement que moralement ou psychologiquement. Il réagissait comme toi, une tête de cochon avec un coeur tendre et une réputation de dur à cuire.
Tana fronça les sourcils, elle m'attaque, elle pleure, elle se confond en excuses et elle se confit? Une vrai girouette, songea t'il. Elle s'assit à coté de lui et s'apuya nonchalement sur lui...
Tana-Aaaaaaaarrrrrrgggggggghhhhhh!
Anas-Quoi? Qu'est-ce que tu as?
Tana-Moi? rien... (en réprimant une grimace de douleur)
Anas-Ah oui , c'est ça et moi je vais accoucher dans deux heures.
Elle appuya sur son ventre au niveau du nombril.
Anas-Ça te fait mal?
Tana-Non (en grimaçant)
Anas-Et ça? (en mettant son poids un peu plus sur la gauche)
Tana-Aaah! Non(en serrant les dents).
Anas-Vraiment? (elle appuya un peu plus fort)
Tana J't'en pris!(il poussa un gémissement)
Anas-Mais qu'est-ce qui t'es arriver?
Tana-Presque rien...
Anas-Ah vous les hommes, toujours à se plaindre ou à tout nous cahcez aller montre ton bobo à maman.
Tana-Mais puisque je te dis que je n,ai rien.
Anas- Ça va j e n'insisterais pas plus longtemps...
Tana poussa un osupir de soulagemnet quand elle relacha la pression de sur son estomac. Mais elle revint presque aussitôt à la charge et retira les couvertures qui camouflaient son torse.
Elle poussa un cri en voyant l'angle bizarre que formait son épaule droite et le bandage de 5 cm de large qui entourait le bas de son ventre. Le bandage avait du être blanc un jour mais aujourd'hui il était rouge. Rouge sang.
Anas-Presque rien? Qui t'as fait ça? Comment ça c'est passé? Quand s'est arrivé?
La lueur d'inquiétude qui luisait dnas ses yeux rassura Tana. C'était la première fois qu'il voyait son regard allumé de cette étincelle. Savoir qu'elle s'inquiétait pour lui était réconfortant. En fait elle ne pensait pas uniquement à elle. Il pourrait peut-être un jour la considérer comme sa mère finalement. UIl poussa tout de même un soupir exaspéré. SI elle paniquait maintenant, qu'est-ce que se serait quand elle verrait les vrais problèmes.
"Attends avant de paniqué, ma grande, se dit-il, parce que pour l'instant, tu n'as rien vu."
Une fin dramatique qui n'en dit pas plus long, et un chapitre de 10 page! Je suis hyper productive ma parole... Et je met un peu trop de mystère a mon gout et vous qu'est-ce que vous en pensez?