Ce coup-ci c'est une véritable imbécilité je ne sais pas d'où je sors ça mais c'est tout ce que j'ai a mettre, l,histoire ne se tient plus, mon chapitre non plus, les réactions des personnages sont terriblement no-where, je dois encore pouvoir prier pour que le bon dieu me vienne en aide et m'envoie ce qu'on appelle une bonne idée. Mais malgré tout ce n'est pas si pire.
Chapitre 13 (ouah, ça porte malheur!)Rencontre
Boris Baklov avait très mal dormi. En fait il n'avait pas dori. Il avait passé sa nuit à cuisiner. Dès qu'il était en colère il cuisinait, ça l'aidait à se défouler. Après il mangeait les plats qu'il avait fait. Dans ce cas ils étaient très nombreux. Si nombreux que Boris avait passé deux heures au gym pour s'assurer de ne pas prendre 10 livres en 1 nuit. Rien de mieux que de soulever des poids à 2 heure du matin pour se donner la forme et favoriser la digestion du 4e repas de la journée. À 4 heure tapante, il vit Tana entré, tandis qu'il rangeait ses altères et fut fier de son initiative, il n'avait aucune envie de croiser le jeune homme.
C'était ce jour là qu'il devait lui donner les antidotes expérimentales, qu'il avait trouvé dans un délai de trois semaines! Il regarda quelques instants le jeune homme se jeter sur un pauvre pusching-ball sans défense.
Bo-Dans son état, ce n'est pas une bonne idée, mais tant qu'il tient debout, tant qu'il tiendra debout...
Boris sortit, laissant le gymnase faiblement éclairé derrière lui, le bruit produit par les coups de Tana sur le psching ball se répercutant sur tout les murs de la salle. Il frissona en fermant la porte. Des monstres, des machines, c'étaient pire que des machines. Il en avait fait des bêtes. Plus sensibles que les humains normaux, mais cachant cette sensibilité derrière une dureté et une agressivité si grandes qu'on avait peine à croire qu'ils appartenaient au genre humain. Mais dans l'abbaye, quels étaient les personnes qu'on pourrait dire appartenir au genre humain? C'était tous des bêtes, des monstres.
-Des mutants, tous des mutants,se dit il. J'aurais du leur acheter des X-men. Des mutants, des monstres et des machines. (Il jeta un regard en arrière) des mutants...
Il pris la direction de sa cuisine privée pour s'attaquer a son pain de viande.Il avait une petite fringale. Dans sa chambre, il y avait un mini bar, un salon, une cuisinette et une chambre à coucher bien sûr. Il tapa le code d'accès, mais dès que la porte eu coulissé pour révéler son salon, il devina que quelqu'un était entré. Quelqu'un qui n'avait pas besoin du code d'accès. Un intru! C'était le plus grand problème qu'apportait son logement. Voltaire ou tout autre membre de sa famille ayant les responsabilités nécessaire avait accès à toutes les pièces du manoir.
Boris poussa un soupir, ferma les yeux et inspira profondément tandis que la porte se barrait derrière lui. Le système de sécurité enclenché plus personne ne pourrait sortir, sans code impossible. Il reconnut une effluve et rouvrit les yeux à toute vitesse. Cette odeur? Il secoua la tête.
Si c'était ce qu'il pensait, il devait faire comme si de rien n'était. Il jeta un coup d'oeil au pain de viande. Il n'était plus aussi tentant, bien que les bouchés qui y avait été prises laissait entendre qu'il était excellent.
-Non, pas maintenant, je n'ai plus faim, dit-il au paté, comme pour convaincre le plat qu'il n'était pas question d'insister il ne le mangerait pas. Comme si le pain de viande allait protesté!
Boris se laissa tomber sur son divan, une main sur la petite table qui s'éparait le fauteuil du sofa, l'autre sur son front. Faire comme si de rien n'était, c'était si simple. Il avait fait ça toute sa vie après tout. Quand Voltaire dit quelque chose faites-le. S'il disait tue cet homme, il l'aurait tué, peu lui important de qui il s'agissait. L'action avant, les remords après. Il n'avait jamais rien connu d'autre. Il décidait bien certaines choses par lui-même, mais pour le reste il n'avait pas eu le choix. Fais ceci, fais cela tu vivras, fais comme ci fais comme ça tu mourras, ta pierre tombale est déjà gravée alors...
Boris se remit debout, pensé à ça ne changerait rien. Ce qui était fait, était fait. On ne peut pas revenir en arrière même avec la meilleure volonté qui existe. Combien de fois l'avait t'il répété à Kai, pensa t'il en souriant. Ce qui lui fallait c'était une bonne douche. Pour oublier, pour enlever tout le sang qui lui salissait les mains, le sang de Spencer, de Yann, de Kaï, de Tana, de Brian, de Shitan, d'Anna, de Kayla, de Tania et de Riana. Tous des innocents et tant d'innocentes. Comment avait-il pu être aussi imbécile? Une douche, il lui fallait une douche bien froide, pour éteindre le feu qui le brûlait depuis si longtemps. Il disparu dans la salle de bain sous le regard noir de deux perles bleus.
-Ainsi, tu en ai rendu a parlé à ce que tu manges, lança Anastasia en sortant de l'ombre que fesait le mini-bar du salon.
Un choc sourd se fit entendre, suivit d'un juron qui précéda de peu un Boris fulminant. Sa chemise détachés flottait sur ses épaules. Il avait presque oublié qu'il y avait quelqu'un et c'était pris au jeu.
Anas-On peut savoir quelles folies tu as fais avec mes fils?
La phrase lui fit l'effet d'une douche froide, peut-être qu'au fond ce n'était pas ce qui lui fallait.
Bo-Tes fils? (Une lueur malicieuse brillait dans son regard)
Anas-Oui mes fils!
Bo-Oh, mais il me semble que tu as des atomes crochues avec certains de tes...
Anas-La ferme! Silence! Shut up! Ce que tu voudras, mias je ne suis pas venu te parler de ça!
Boris s'assit sur le divan et tapa sur le coussin à coté de lui pour inviter la jeune femme à s'asseoir, elle s'exécuta.
Bo-Qu'est-ce que tu veux que je te dises?
Anas-D'abord Yann.
Bo-Yann ( il sourit). Il se trouve trop petit. Tout le monde le dépasse de deux têtes, même sa mère est plus grande de lui. Il se compare à un oisillon. Manque de confiance...
Anas-Je ne te parle pas de ses complexes!
Bo-Oh! Excuse moi(sur un ton sarcastique) Il a le cancer du poumon, la scarlatine t la rubéole.
Anas-Pardon? La scarlatine? (elle est prête à sauter au plafond)
Bo-Essaie de condenser en 10 personnes une trentaine de problèmes médicaux. Selon leurs capacités physiologiques. Yann n'est pas très résistant.
Anas-Et Spencer?
Bo-Cancer de la peau, c'était pas une très bonne idée, il détestait déjà assez sa face comme ça, maintenant il est près à se jeter en bas d'un pont. Il a aussi le virus du Nil et il me semble, quoi déjà ? Ah oui, brûlure au 3e degré. Il s'est enfermé.
Anas-C'est bien assez, et Tana?
Bo-On passe par dessus Tana, d'accord?
Anas-Pourquoi?
Bo-Pour rien, il a la polio, la mono, la lèpre, un surdévelloppement musculaire, je déteste ces trucs c'est de l'auto destruction, la bactérire mangeuse de chair et le Sras.
Anas-Pourquoi tout ça?
Bo- C'est un des plus résistants des dix. Il pouvait en prendre. Mais il est trop dur avec lui. Il ne se laisse pas récupérer. S'entraîner à 4 heures, c'est 2 heures d'avance sur son planning.
Anas-QUOI?
Bo-Je ne sais pas à quel heure tu fait commencer tes filles, mais avant six heures moi...Au fait, tu devrais décaler d'une heure votre entrainnement, Tania doit réapprendre à marcher.
Anas-Quoi?
Bo-À parler aussi, mais j'aurais cru que tu t'en serais rendu compte.
Anas-Qu'est-ce que tu lui as fait?
Bo-C'était ça ou je la tuais, (Il avait comme une boule dans la gorge maintenant)
Anas-Mais pourquoi?
Boris se racla la gorge. La jeune femme l'avait pris par le bras et serrait craintivement son énorme main entre les siennes à la recherche de réconfort. C'était trop grand ce quel entrevoyait, trop terrible.
Bo-Je l'ai rendu aveugle, sourde, muette, elle a une jambe mécanique et je l'ai amputé d'un bras. J'ai trouvé une manière de faire repoussé les os et les membres et dans trois semaines il n'y paraitra plus, mais en attendant elle se promère en chaise roulante et il faut qu'elle marche et qu'elle parle pour demain.
Anas-Tu es cinglé. C'est affreux! On n'handicape pas les gens comme ça! Surtout quand ils sont en pleine santé.
Bo-Oui je sais, c'est lui faire vivre un calvaire, mais je ssai que ça va marcher. J'en suis sur à 110 .
Anas-Comment ça?
Je me suix coupé une jambe l'autre mois. Celle que j'ai maintenant est une vrai. Elle a repoussé, grâce au médicament que j'ai trouvé (elle n'est même pas inquiète, remarqua t'il, déçu) Mais imagine, toutes les vies qu'on croyait gachées, tous les handicapésretrouveront l'usage de leur membres. Les muets parleront, les aveugles verront, les sourds entendront. Les brulés auront une belle peau neuve, qui ressemblera à celle qu'ils avaient avant et elle sera réelle! Les gens atteint du cancer y survivront. Les maladies incurables disparaîtront!
Anas-C'est les agurments de Voltaire ou les tiens? Franchement! Tu essaies de te convaincre toi même. C'est bien beau tout ça, mais tu fais tes tests sur le dos d'innocents. Reste t'il quelque chose d'humain en toi pour réaliser ce que tu fais?
-Ça je suis au courant. Oui j'essaie de me convaincre que ce que je fait est pour le mieux. Oui, ce sont des innocents qui supportent les tests. Oui, j'ai des remords, si c'est ce que tu veux savoir. Tu imagines peut-être que j'ai emputé Tania avec joie? Tu penses peut-être que ça m'as fait plaisir d'entendre mes propres fils hurlé à la mort tandis que JE découpais leur entrailles pour y mettre les pires atrocités ? Tu crois sûrement que je jubilais quand leur signes vitaux faiblissait tandis que je les ai fait passé sous le bistouris les uns après les autres? Tu me vois peut-être sourire à chaque morceaux d'eux que je mutiles?Eh bien, tu te trompes! Chaquen cri qu'ilsa ont poussé je l'ai poussé aussi. Chaque gouttes de sang qu'ils ont versé, je l'ai versé aussi. Je me suis autant dégouté que je les ai dégouté. Chaque coups qu'ils ont encaissés, je l'ai reçu aussi. À chaque fois qu'ils ont tombé je les ai relever pour ne pas tomber aussi. Oui j'ai de la peine, oui je m'hais, oui je ne peut plus me regarder en face. Mais comprend une chose , moi et eux toujours partagés les mêmes souffrances, sans le savoir. Alors que toi tu n'as pas eu a supporter un centième de ce qu'ils ont vécu. Pour nous la souffrance physique est comme un bonjour. Nous avons grandit avec cette souffrance. Mais eux tout comme moi, il y a quelque chose qu'on ne supporte pas. Même si parfois on se linpose nous-même. C'est quand notre coeur déjà écorcher viens se fracasser sur les rochers que tu parsèmes tout le long de ta route. La souffrance moral tu piges? Alors dit ce que tu voudras mais pour savoir, comprendre et vivre tout ça il faut bien que quelque part je sois un peu humain.
Anas-Oh mon dieu! Quand aller vous arrêter de tout me déballer comme ça? Je vais craquer moi.
Bo-Je ne disais que ce que je pensais et...
(Sa voix se brisa, il lui était impossible de parler, la boule dans sa gorge avait la taille d'une orange et elle augmentait de volume u fur et à mesure qu'il parlait et qu'il prenait conscience de la conséquence de ses actes)
Anas-Et?
Il secoua la tête pour dire non, et pour chasser la poussière qui c'était installé dans son oeil.
Anas-Oh, Boris! Je sais que vous avez souffert. Je sais que mon père ne t'as pas laissé le choix, il ne t'as jamais laissé le choix alors.. Mais tu ne peux pas t'imaginer ce que ça peut me faire de te revoir après toutes ses années!
Elle se jeta sur lui et éclata en sanglot. Elle avait été une mauvaise mère, une mauvaise fille et une mauvaise femme. Boris l'installa sur ses genoux et posa une main sur sa chevelure éclatante. Elle frissona en sentant les doitgs se glisser entre ses cheveux pour venir caresser sa tête. Des doitgs qui maniaient le scalpel à la perfection. Qui appuyait sur la gachette d'un fusil comme s'ils étaient nés pour cette action. Une main qui pouvait broyé des crânes. Qui brandissait le fouet avec une précision meurtrière. Mais qui savait également se montrer d'une douceur dont peut d'hommes savait faire preuve.
Bo-Je l'imagines très bien.
Anastasia se redressa brusquement et s'empressa de s'asseoir devant lui, pour que la table basse les sépare et qu'elle évite de ce laisser aller ainsi. Elle lui adressa un sourire gêné. Boris se renfrogna et croisa les bras sur son torse à demi découvert par sa chemise entrouverte en s'enfonçant dans son divan.
Anas-Et les autres?
Il poussa un grognement et fixa son attention sur une des toiles accrochées sur le mur. Ce n'était qu'un arbre à première vue. Mais si on observait bien l'écorce de cet arbre on pouvait remarquer une main qui s'accrochait à l'une des branches. Rien que la main d'une petite fille qui essayait de grimper dans un arbre. Il se tourna vers Anastasia en l'entendant se recler la gorge. Il fixa la main qui glissait sur la cuisse dénudée de la jeune femme. Son regard revint au tableau puis valsa entre la mian peinte et celle qui se déplaçait innocement, igorant les résultats de son geste. C,était le même main. La droite, la même main, exactement la même main, la même main. Il poussa un soupir.
Anas-Alors?
Boris sursauta, il se remémora la petite Anna, qui avait ses problèmes cardiaques, il l'avait rendu anémique. Riana avait tellement mal réagis au virus qu'il avait fallu tout lui enlever, les virus bien sûr.Shitan avait la malaria, le choléras et ele s'en sortait bien . Il se souvint aussi des cancers, le foie pour Riana, celui du sang d'Anna et les pauvres Kayla et Tania. Il avait été trop loin avec ces deux là. Il frissona en se rappelant les cris de Kayla. Juste après le bal il l'avait attrapé et.. Ça avait été pire qu'une boucherie.
Anas-Réponds!
Il tressaillit, la voix était devenu un peu trop tranchante à son goût.Il n'avait plus l'habitude de se disputer avec elle.
Bo-Change de ton!
Anas-J'ai dit réponds, quelles ignonimies as-tu fait sur mes filles?
Bo-Tes filles? Je tiens à te rappeler qu'elles sont nées en Inde. Que leur mère était une pauvresse nommé Tina qui les as vendu qui les a vendus au plus offrant de manière à ce qu'elle se retrouvent sous la tutelle de Voltaire.Tu les as prit en pitié et les as mit sous ton aile et fait comme si elles étaient tes filles. Tu a remplacés tes fils avec elles parce que tu te débrouillais mieux avec les filles qu'avec tes enfants. Et je ne sais pas ce que tu leur as fait pendant leur entrainement, mais elles charment n'importe qui inconsciemment ou pas, elles sont peut-être très bonnes au Beyblade mais elles dévoilent tellement leur corps, que tout le monde essaie d'abuser d'elles. Elles s'attirent les pires ennuis. Et chaque fois c'est moi ou un des garçons qui doit rattrapé le coup et les sortir du mauvais pas dans lequel elles se sont mises.
Anas-Chaque à son chevalier servant attitré?
Bo-Oui, Shitan a Spencer, Anna a Yann, Kayla a Kai et Tania a Tana.
Anas-Et Riana?
Bo- Oh, tu peux être sûre que Bryan est tout à elle.Malheureusement l'inverse ne s,est jamais vérifier.
Anas-Qu'est-ce que tu insinus?
Bo-Est-ce que les demoiselles étaient là quand ils auraient eu besoin d'elle? Non! C'est un amour à sens unique qu'ils ont. Elles les charment pour qu'ils les protègent et elles se contrefichent de ce qu'ils peuvent ressentir. Prenons Tana par exemple, chaque fois que Tania a failli se faire agresser, il est intervenu en sa faveur, et se malgré les punitions et les chatiments qu'il encourait. Mais quandTana se faisait attaquer, humilier, battre, fouetter, la seule personne qui le défendait c'était lui. Même s'il aurait eu honte de se faire protéger par une fille, il aurait voulu rien qu'une fois être protéger par Tania. Pour lui prouver qu'elle n'est pas uniquement attirer apr son pouvoir, qu'elle tient à lui.
Anas-C'est lui qui t'as dit ça ou tu interprètes?
Bo-J'inteprètes, mais c'est ce qu'il m'aurait dit s'il m'en avait parler. Je comprends plus de choses que j'en ai l'air. Contrairement à certaines personnes.
Anas-J'imagines que c'est pour moi que tu dis ça? C'est à cause de ce que je t'ai fait, n'est-ce pas?
Bo-Est-ce que je te demande ce que tu fais moi? C'est vrai ça, pourquoi tu n'irais pas les voir "tes filles" si tu veux tant savoir ce qu'elles ont? Peut-être qu'elles le savent!Et qu'est-ce que tu fais ici à cette heure de toute manière? C,est quoi, tu as fait ta ronde et tu es aller voir Tana?
(Elle se figea)
Anas-Quoi, comment... as-tu?
Bo-Ah, oui, j'oubliais, c'était votre petit secret. Tu devais avoir tellement honte de toi. Si ton père avait appris que tu étais une pédophile et que tu t'amusais avec ton propre fils, il t'aurait sûrement renier. Ou du moins, il aurait fait cessé ton petit jeu... Ti ne l'avais pas fait assez souffrir, c'était quoi ton problème? Tu n'avais pas été assez hypocrite, assez mauvaise? Tu n'avais pas terminer ta vengeance? Pourquoi Tana plus qu'un autre de toute manière? Qu'est-ce qu'il t'as fait? Ah attends ne dis rien, je sais pourquoi tu es ici. Maintenant que son corps est mutilé tu cherches du plaisir ailleurs, c'est ça hen? Tu ne peux plus le regarder en face tellement il te dégoute?
Anas-Arrête, je... ce n,est pas ça. (Elle déglutit, la culpabilité la submergeait.)
Bo-Avoue, tu l'as brisé (Boris c'était levé et sa colère allait en grandissant, tout comme sa voix) Tu les as tous brisés d'une manière ou d'une autre. Spencer c,est en l'abandonnant, Yann, c'est en le dégradant, Bryan c,est en l'igorant, Tana c'était en le torturant , Kaï c'était en le rejetant et... et... moi, tu ... as préféré y aller lentement, morceaux par morceaux, n'est-ce pas?
Sa voix avait tremblé un peu plus à chaque mot qu'il ajoutait.
Anas-Oui, j'ai été mauvaise, j'ai fait l'odiote, j'ai jouer à l'autruche tout en me piégeant moi-même. Je vous aimais mais je vous détestais en même temps. Tout est tellement embrouillés. Si seulement mon père...
Bo-Ne m'en parle pas!
Anas-Mais ce que j'ai fait est fait et comme tu le disais, même avec la meilleure des volonté on ne peut pas revenir en arrière. Je n'ai plus qu'a recoller les morceaux. Il me faut juste un peu de temps.
Bo-Ce que tu es désespérante! Il y a des choses que même le temps n'efface pas. Des plaies qu'il ne referme pas. Des blessures qui ne cicatriseront jamais. Des paroles et des gestes qui ne s'oublient pas.
Anas-J'aimerais tant que tu me pardonnes, Je... Moi non plus je n'ai pas eu le choix.
Bo- C'est bon.(il s'assit, croisa les jambes et les bras une expression indéfinissable sur le visage) Vas-y, de toute manière on est parti pour parler toute la nuit!
Anas-Tu sais que les filles ont été droguées?
Bo-Génial! Tu sais que certaines substances qu'elles ont ingérés sont contre-indiqué avec les drogues.
Anas-Non, tu ne le savais pas. Eh bien moi aussi je me suis drogué et bon la drogue me faisais completement décroché et je me suis remises à boire. (Boris roula des yeux exaspérés)Je suis devenu une maniaque. Mon père m'a enfermé dans les quartiers des Darksisters pendant 4 ans en espérant que j'arrêterais mais c'était peine perdue.Une fois par an je sortais pour, tu devines quoi... Le reste du temps j'entrainais les filles ou bien je pensais à...
Le grognement que le Russe poussa la dissuada de terminer sa phrase. Elle ne l'attendrirait plus ainsi.
Je, j'ai pu sortir de ma prison il y a trois semaines. J'ai fait des promenades en voitures, je me suis senti revivre jusqu'à ce que au tournant d'un couloir, je te vois dans le gym par la baie vitré , en train d'entrainer Yann. Tu ne m'as pas vu, mais je me suis rendu compte de toutes les choses que j'avais ratées. Ou que je ne vivais plus, l'amour par exemple. Et j'ai vu Tana entrer dans le gym, je me suis rappeler mes escapadades...Mais j'aurais du venir te voir. Pour rattraper le coups il faut que tu me pardonnes, qu'on reprenne le temps perdu en repartant à zéro. Tu comprends? Je me suis perdue, j'ai oublié tout ce que tu m'avais dit et les préceptes de ma mère, je suis redevenue le monstre que je détestais tant. J'ai compris que je peux changer et que tu peux changer toi aussi.
Boris se leva une nouvelle fois, se gardant bien de regarder la jeune femme, il disparut dans la cuisine, mais il ne revint pas dans le salon. Anastasia se mit debout a son tour et entra dans la cuisine. Boris était appuyé sur son balcon, les épaules affaisées, il laissa échapper une plainte faisant penser à un petit garçon dont les prochains choix vont influencer le cours entier de sa vie. Elle s'approcha de lui, silencieusement puis posa une main tremblante sur son épaule. Le vent souffla fesant volé comme une cape la chemise détaché qu'il portait.
Anas-Tu vas attraper la mort.
Bo-Je ne serais pas le seul et de toute manière je l'ai déjà attrapé.
Il rentra et referma la porte fenêtre derrière elle.
Anas-Boris, je comprends ce que tu peux ressentir, je n'ai pas oublié, regarde.
Elle glissa sa main sous sa blouse et en retira le dessin de Tana qu'elle déplia pour lui montrer.
Bo-C'est drôle moi non plus je n'ai pas oublié. Je me suis fait fermé une porte au nez deux fois déjà. Je n'ai pas envie que ça se reproduise.
Elle ne prononça pas un mot, mais lui sourit (avec un vrai de ses sourires) et elle l'embrassa avec tendresse. Il rougit, ce qui était rare chez lui, et qui allait bien avec ses cheveux bruns roux.
Bo-C'est bon, on reprend tout du début, mais arrête de tourner le couteau dans la plaie.
Elle se hisssa sur la pointe de ses chaussures pour l'embrasser à nouveau. Il la soule va dans ses bras et lui rendit son baiser. Bientôt ils se blotirent l'un contre l'autre.Et nous allons les laisser la dans leur ébats amoureux. Pass'qu ça va en devenir!tention!
Il devait être 7 heures du matin. Kayla poussait docilement sa soeur sur son fauteuil. Elle droit devant elle comme une automate et réagissait au moindre mouvement de Tania avec empressement. Elles semblaient toutes deux revenir de très loin. Au départ elles ne croisèrent personnes. Puis Tana se retrouva dans le même couloir qu'elles .
En apercevant les deux jeunes filles, il se figea. Kayla continua d'avancer jusqu'à ce que sa soeur pousse un cri strident, d'une manière insoupçonnable, elle avait détecter la présence de Tana.
Elle ne l'avait pas vu car il aurait été peu probable qu'elle puisse le voir, tout ce qu'il y avait devant elle se résumair à un mélange de formes floues aux contours incetains et de brouillard. Elle aurait voulu lui dire quelque chose mais ses cordes vocales avaient épuisées le peu d'énergie qui leur restaient pour son cri précédant. Elle aurait vuolu entendre sa voix, mais ses oreilles ne percevaient même plus les cris déments que poussait une personne impitoyablement fouetté, et ce même si ses cris se seraient répercuté sur tout les murs du chateaux à l'infini.
Il suffit d'un regard à Kayla, pour qu'elle comprenne tout le sérieux du moment.
Kayla-Je te la laisse, il faut qu'elle marche ce soir, occupe t'en bien.
Elle avait dit des quelques mots comme s'il s'agissait d'une bagatelle, laissa sa soeur dans le fauteuil devant le jeune homme hébété et disparue au bout du couloir.
Tana fit quelques pas vers elle puis s'arrêta. Ses jambes le faisait atrocement souffir et ne lui laissait aucun répit.
Tana-Tania?
Elle releva la tête une expression stupéfaite sur le visage.Elle l'avait entendu! Comment se faisait il qu'elle l'entendait lui et pas les autres? Cette constatation, au lieu de la laisser bouche bée, la fit se mettre debout. Tana de son coté, comprit à ses yeux voilés qu'elle était aveugle. Il lui suffit de voir sa tenue pour comprendre qu'elle n'était pas dans son assiette(elle ne se serait jamais habillé comme ça normalement), bien que l'expression de son visage le lui ai fait comprendre dès le début. Elle sautilla sur un pied pour s'approcher de lui et se rattrapa sur lui quand elle faillit tomber, elle se rattrapa d'une main.
Tana-Tan...?
Elle posa l'index sur les lèvres du jeune homme pour lui interdire de parler, elle l'entendait toujours, mais ça lui faisait une drôle d'impression. Tana la prit maladroitement par les épaules pour l'empêcher de tomber. Il remarqua que la gêne que lui apportait normalement ce geste n'était pas là. Comme si ça lui était devenu naturel. Il s'aperçut alors de l'absence de maquillage sur le visage de la jeune fille, c'était donc ça! Elle s'appuya sur ses deux jambes en grimaçant, mais lui adressa un sourire. Elle caressa de sa main droite le visae du jeune russe pour s'assurer qu'il s'agissait bien de qui elle croyait qu'il s'agissait. Il ne bougea pas d'uncentimètre, comme pétrifié.
La jeune fille qui se tenait devant lui ne ressemblait en rien à la jeune fille qu'il connaissait. Elle était beaucoup plus fragile et encore plus douce. Ces détails le firent blêmire, mais elle ne s'en rendit pas compte,elle ne le voyait pas.
Elle ouvrit la bouche, comme pour dire quelque chose, mais rien ne sortit. Elle se mordit la lèvre inférieure tandis que les larmes lui montait aux yeux. Il la serra contre lui, démonté.
Tana-S'il te plait surtout ne pleures pas, tu peux me frapper, tu peux me gifler, tu peux crier si tu y arrives mais ne pleure pas, j't'en pris.
Par on ne sait quel miracle :
Tania-Vraiment?
Tana la serra plus fort contre lui.
Tana-Oui, tant que tu me parles, tu peux faire ce que tu veux, tout ce que tu veux sauf pleurer.
Tania-D'accord, merci(murmua t'elle au creux de son oreille)
Et alors elle l'embrassa.
C'est ici que je termines la fic, pas toute la fic mais le chapitre, c'est mieux ainsi, 11 pages c'est long à lire, alors à écrire! Je vous en parles pas! Ça va faire deux semaines que je bosses comme une folle sur ce chapitre, bon d'accord une seule semaine.
Tana-Pourquoi je suis sentimental?
-Arrête avec cette corde tu va t'étrangler!
Tana-Si je ne redeviens pas moi même c'est ce que je fais!
Anastasia Tania et moi- Oh non, tu peux pas nous faire ça!
-Ouf Ray l'as arrêter, une chance qu'il m'aime bien lui, oh zut j'oubliais, je le paye en nature! C'est pour ça qu'il est si gentil! (Je vous dit à plus avant que ça ne se corse!)
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