Milady2 : Wéééé ! Mission accomplie ! I'm happy ! Je t'ai estomaquée ! lol Bon, puisque ton Auror Alert s'est mis en route, je te laisse lire et je te saoule pas plus (ce que je peux être rasoir qd je veux ! lol)

Benichoukos : J'ai un nouveau reviewer !!!! (une nouvelle ?? Oo) se précipite et embrasse sur la bouche. Scène 1 : T un mec : Youpi ! Merci ! Hein ? non, pas dsl pour le bizou ; Scène 2 : Aaaah ! J'avais pas vu que... Euh... bon, excuse hein ? Quoi ? Ça te gêne pas ? Bon, attends là, je te présente une copine à moi )

Dji : Dés que j'ai un moment, je vais voir le "voyage de Skadia" pour me faire une idée, promis! Passioné? Plus besoin de maquillage, mes joues sont assez rouges ;-) Biz

C un scandale ! Tout à fait d'accord avec toi ! C vrai quoi, pk j'ai pas plus de reviews ? :'( lol, pas grave, j'envoie déjà pour mes reviewers présents et pour les très utopiques lecteurs qui laissent pas de reviews ;-)

Bon, la 7ème année est intégralement écrite également, déjà, dc, je me vois mal réécrire tout pour toi lol. Bon, c pas mal, sur 5 propositions tu en as... euh... quatre qui s'approchent de la vérité. T voyant ? lol (pardon, trois, y'a une ch'tite erreur :-D)

Bon, je vous mets ce chapitre comme mise en bouche. (à noter qu'à partir de là et des chapitres qui suivront pour la 7ème année, une de mes lectrices et désormais grande correspondante mail a haï, abhorré, exécré, cette chère Séléné lol)

Deuxième partie (et 7ème année) : HP et la comédienne au double jeu

(Normalement, on reste sur le point de vue de Harry, mais là, on va parfois aller voir du côté de Séléné ce qui se passe, comme dans ce premier chapitre...)

Chapitre 1 : Aussi à l'aise qu'un serpent dans son trou (La si charmante Séléné cachait bien son jeu, mais jugez plutôt par vous-mêmes... Ce chapitre est court pask'il sert un peu de passerelle entre la partie précédente et celle-ci.)

Le début juillet avait déposé sur les villes un voile de chaleur fort agréable. Néanmoins, et malgré les habituels rires et bousculades des enfants en vacances, quelque chose n'allait pas. Personne n'aurait su dire pourquoi, car tout semblait parfaitement normal, et pourtant...

Pourtant certaines personnes restaient cloîtrées chez elles alors que, les étés précédents, leurs enfants couraient avec les autres au grand soleil, pourtant des réservations – si minimes soient elles – dans certains hôtels avaient été annulées, pourtant on croisait dans la rue certaines personnes anxieuses et pressées qui semblaient toujours avoir peur qu'on les suive, avec leur manie de regarder alentours.

Tous ces événements auraient pu passer inaperçus dans la mesure où ils étaient assez restreints, mais les Moldus étaient tout de même inquiets, ils le sentaient, quelque chose clochait.

Et les habitants de Sutterton le savaient mieux que n'importe qui d'autre. Aucun d'eux ne s'approchait plus de la maison abandonnée, à la sortie du village, dont chaque ouverture était cloisonnée. Avant, les gens passaient devant sans la voir, maintenant, ils la craignaient.

Cela durait depuis seulement quelques jours, depuis que des planches étaient apparues aux fenêtres et à la porte. On n'avait vu personne s'occupait de cela, tout semblait avoir été installé dans la nuit. On avait fait venir la police pour vérifier si des squatteurs n'avaient pas décidé d'occuper les lieux.

Les gendarmes n'avaient trouvé personne mais, le lendemain, les planches qui avaient été retirées de la porte pour qu'ils puissent entrer avaient retrouvées leur place, et l'épicier du coin racontait à qui voulait l'entendre qu'il avait entendu des drôles de bruits venant de l'intérieur.

La police était revenue, n'avait trouvé personne, et les planches s'étaient une fois de plus remises en place seules malgré un guet assuré par les gens du village. Cette fois-ci, ils n'avaient plus fait appel aux autorités, mais les adultes avaient mis en garde leurs enfants qu'ils recevraient une sacrée correction s'il leur venait l'idée de rôder du côté de la maison close.

Jamais conseil ne fut aussi légitime, car quelqu'un s'était bel et bien installé dans la demeure. En réalité, en cette belle journée d'été, ils étaient cinq à s'y trouver.

Il y avait parmi eux un petit homme quasiment chauve et d'une extrême nervosité qui s'appelait Peter Pettigrow, un couple qui se nommait les Lestrange, une jeune fille qui paraissait s'ennuyer ferme et qui se faisait appeler Séléné Hilton, et enfin un cinquième personnage, qui vous faisait froid dans le dos avec son visage serpentin, que l'on connaissait sous le nom de Lord Voldemort.

- Maître, je persiste à penser que nous aurions dû profiter de cette occasion pour le tuer, disait Bellatrix Lestrange. Nous...

- Mettrais-tu en doute mes décisions, Bella ? demanda Voldemort d'une voix glaciale.

- Non, bien sûr que non, répondit rapidement la femme. Mais enfin...

Elle lança un regard éloquent en direction de Séléné, assise tranquillement dans un fauteuil. La jeune fille éclata de rire.

- Allons, allons, dit-elle avec un sourire narquois. Nous sommes dans le même camp, chère Bellatrix. Douter de moi, c'est douter des capacités de votre maître.

- Vous voyez ! rugit la femme en pointant un doigt sur Séléné. Elle ne vous considère pas comme son maître !

- Bien sûr que non, répondit très calmement Voldemort. Nous avons trouvé un arrangement, n'est-ce pas Séléné ?

- Je n'aurai su dire mieux moi-même, assura-t-elle en balançant son bras devant elle, comme si elle s'inclinait devant Voldemort.

Il y eut un claquement sec et un homme apparut dans la pièce. Il avait un visage cireux et des cheveux mi-longs, noirs et gras.

- Ah ! Te voilà Severus, dit Voldemort d'un ton satisfait. Quelles sont les nouvelles ?

Severus Rogue ne répondit pas immédiatement et croisa le regard de Séléné, qui eut un sourire amusé.

- Tiens donc ! Vous êtes un Mangemort ? Voilà qui est amusant.

- Alors ce que j'ai entendu dire est vrai, remarqua Rogue dans un souffle.

- Séléné a rejoint nos rangs depuis un certain moment, en réalité, expliqua Voldemort. Nous attendions juste le bon moment pour qu'elle se dévoile.

Rogue plissa des yeux, il ne semblait pas convaincu.

- Elle a tissé certains... liens avec Harry Potter durant l'année précédente et il s'agit de la fille de Remus Lupin... La fille d'un loup garou.

Séléné éclata d'un rire sonore.

- Avoir du sang de loup dans les veines ne diffère pas vraiment que d'en avoir de serpent, il me semble. Quant à Harry... Je suis une bonne comédienne, n'est-ce pas ? J'avais rejoint le combat de Voldemort peu après la première fois où il m'avait capturé.

Un frémissement parcourut les Mangemorts lorsqu'elle nomma le Seigneur des Ténèbres et celui-ci hocha la tête.

- Excellente comédienne, confirma-t-il. Mais pour le moment, Severus, c'est ton rôle qui m'intéresse.

- Comme vous l'aviez supposé, Dumbledore a pris les mesures qu'imposait la situation. Mais il ne m'a évidemment rien dit. En revanche, je peux vous confirmer ce que vous pensiez, il leur a bel et bien fait appel et ils devraient arriver au début de l'année scolaire.

Rogue semblait vouloir éviter d'en dire trop devant Séléné. Celle-ci paraissait cependant se ficher totalement de ce qu'il racontait. Elle battait la mesure avec son pied en fixant Peter Pettigrow d'un regard insistant mais vide d'expression, qui le mettait mal à l'aise.

- C'est parfait. J'ai tout ce qu'il faut pour les accueillir, le tout est d'être patient. Vous...

- Pourquoi vous embarrassez-vous avec cette loque humaine ? demanda soudain Séléné.

Les Mangemorts la regardèrent comme si elle était folle. Personne n'interrompait le Seigneur des Ténèbres ! Pourtant, Voldemort se contenta de regarder Queudver à son tour.

- Il a son utilité, assura-t-il. Et il me servira bientôt.

- Si vous le dîtes, après tout, vous devez savoir ce que vous faîtes.

Elle sauta au bas de son fauteuil et fixa Rogue.

- Je savais que vous ne supportiez pas Harry mais de là à imaginer que vous puisiez être un Mangemort, il y avait une crevasse... Vous devriez être un peu plus prudent quand même.

- Quoi ! Comment...

- Séléné a raison, il serait fâcheux que l'un de mes plus précieux espions se fasse prendre, Severus.

Les Mangemorts semblaient perplexes. Voldemort écoutait cette fille alors qu'il était le plus puissant mage de tous les temps ? Leur hésitation déplût fortement à Voldemort mais Séléné l'arrêta avant qu'il ait pu faire quoi que ce soit.

- Attendez Voldemort, je crois qu'ils n'ont pas très bien compris la situation.

Elle fit face à Bellatrix Lestrange.

- Puisque, de toute évidence, vous avez besoin de preuves, je vais vous en fournir. Vous voulez savoir pourquoi je suis plus qu'une simple Mangemort ? C'est très facile, lancez-moi le sortilège Doloris.

- P... Pardon ?

- Tu as très bien compris, Bella. Fais ce qu'elle te dit, ordonna Voldemort alors qu'un sourire se dessinait sur ses lèvres minces.

L'occasion était trop belle, la femme détestait véritablement les manières de cette gamine. La jeune fille ouvrit grand les bras en signe d'attente et Bellatrix leva sa baguette.

- Endoloris ! rugit-elle.

Le sort frappa Séléné en pleine poitrine et elle recula sous le choc. Mais elle ne tomba pas à terre en se contorsionnant. Elle accusa le coup quelques secondes puis releva un visage crispé mais affichant un sourire mauvais.

- C'est tout ce que vous pouvez faire ?

La femme resta un instant interdite puis relança le sortilège avec plus de rage que la première fois. Séléné ne tomba pas non plus cette fois-ci. Au bout d'un moment, elle saisit sa propre baguette et la dirigea vers Bellatrix Lestrange.

- Endoloris !

La femme fut projetée à terre et son corps continua à trembler après que Séléné eut relevé sa baguette.

- La douleur est une force, dit Séléné avec un sourire satisfait. Si tu la ressens, c'est que tu vis ; si tu vis, c'est que tu peux te battre. Pas encore convaincus ?

Rodolphus Lestrange, le mari de Bellatrix, l'aida à se relever. Les quatre Mangemorts fixaient Séléné avec stupéfaction mais celle-ci retourna s'asseoir dans son fauteuil et bâilla ouvertement avant de recommencer à battre la mesure en fixant le plafond.

- Je suppose que cette petite démonstration vous aura suffie... ENDOLORIS ! tonna Voldemort.

Cette fois, les quatre hommes et femme furent violemment jetés à terre.

- Ne vous avisez jamais plus de douter de mes choix, dit froidement Voldemort.

Séléné leur lança un sourire sournois pour ponctuer l'avertissement du mage.

- Maintenant, Severus, retourne à ton poste. Bellatrix, Rodolphus, rejoignez Lucius et restez avec lui jusqu'à nouvel ordre.

Après leur départ, Séléné secoua la tête en poussant un soupir.

- Pitoyable... Et vous comptez sur eux pour parvenir à vos fins ? On n'est pas sorti de l'auberge...

- Ils resteront à mes côtés et ce sont de puissants sorciers.

- Heureusement que vous ne faîtes jamais de généralités, commenta-t-elle en regardant Pettigrow d'un air sceptique.

Elle se leva de nouveau et s'étira.

- Enfin, ça prouve au moins que j'avais raison.

- Et à quel sujet ? demanda Voldemort sur un ton d'avertissement.

- Allons, soyons honnête entre nous, répondit Séléné en faisant comme si Queudver n'existait pas. Je ne doute pas une seconde que vos Mangemorts vous soient dévoués corps et âmes mais vous admettrez qu'aucun d'entre eux n'est très futé. Bien que je sois certaine que vous appréciez cela – ce que je comprends tout à fait, vous pouvez en être sûr – il me semble difficile de demander à l'un d'entre eux de vous seconder personnellement alors qu'ils n'osent même pas prononcer votre nom.

Elle s'approcha de Queudver et rapprocha sa bouche de son oreille.

- Lord Voldemort, murmura-t-elle d'un ton lugubre.

L'homme tressaillit et lança un regard inquiet à son maître. Séléné secoua la tête avec dédain.

- Vous voyez ce que je veux dire.

- Tu n'as pas eu le temps de craindre mon nom, puisque tu as été élevée chez les Moldus, remarqua Voldemort.

- Oh, je ne crois pas qu'il y ait de rapport. La totalité des enfants de Moldus inscrits à Poudlard craignent votre nom autant que les autres... Vous savez que je suis puissante, c'est la raison pour laquelle vous me vouliez à vos côtés. Pour le moment, il est évident que j'ai encore des progrès à faire mais, quand le moment sera venu, notre association sera sans nul doute efficace.

Voldemort eut un sourire mauvais.

- Je n'espérai plus trouver quelqu'un comme toi, admit-il. Nous allons faire de grandes choses ensemble, et notre collaboration ne fait que commencer. Je vois comme mes Mangemorts commencent déjà à te craindre, alors que tu es si jeune. Tu pourrais passer pour ma fille...

- Votre petite-fille... sans vouloir vous vexer, mais...

Elle se tourna de nouveau vers Pettigrow.

- J'ai déjà des parents, après tout, n'est-ce pas Queudver ? Je me demande d'ailleurs si tu ne posséderais pas certaines informations au sujet de ma mère, peut-être sais-tu où elle se trouve ?

- M...Moi ? Non, pourquoi je le saurais ? balbutia Pettigrow.

- Tu as bien compris dés le départ que Tara Milten était ma mère, non ?

- Que dis-tu ? rugit soudain Voldemort.

- Ah oui, c'est vrai qu'il ne vous a rien dit, et je n'y ai plus pensé après. Il l'a su dés qu'il m'a vu, à cause de mes yeux, il paraîtrait que j'ai ceux de ma mère. Je suppose qu'il a également compris que Remus Lupin était mon père, par la même occasion.

- Je... Je... Je ne voulais rien vous cacher ! s'écria Queudver, effrayé par le regard que posa son maître sur lui. Je n'étais pas sûr et...

- Tais-toi ! J'ai été négligent avec toi, je n'ai plus pris la peine de vérifier si tu me dissimulais certaines choses depuis longtemps, je ne pensais pas que tu en valais la peine... Mais Lord Voldemort ne supporte pas qu'on lui taise ce genre d'information.

- Maître ! Non ! Je vous en supplie !

Séléné haussa les épaules et sortit du salon pour monter à l'étage. Lorsque Voldemort lança le sortilège Doloris, un sourire apparut sur son visage.

- Ouh ! Ça doit faire mal, ça, murmura-t-elle.

(à suivre !!)

Ooooh ! Qu'il est beau le bouton « go » en bas à gauche !! Vous trouvez pas ? On dirait qu'il vous appelle : « Cliquez-moi ! Cliquez-moi ! » ;-)