Bonjour tout le monde!
se cache afin d'éviter les coups des lecteurs furieux
Alors voila, je sais, j'ai un énooooooooomre retardincalifiable et je m'en excuse.
Au début, le chapitre était bien là, dans mon ordi, tout beau alors je me répetais " je le posterai demain..." et puis unjour ou j'ai voulu le poster, plus rien! Tout mesdocument word, éffacés!!
Suite à cela, j'ai été un peu découragée, mais finalement, j'ai retaper le chapitre 9!! Et oui!
Et comme je vous ai fait patienter longtemps, je ne l'ai pas vraiement relu, donc excuser d'avances l'orthographe que je devine pitoyable.... Plus tard, je le relirait et corrigerai, promis.
Dsl, vous comprendrez que je ne répond pas au reviews mais je tiens à tous vous remercier :
Laika la louve, Ornaluca, Lapieuvredudésert, Arnold, Lysbeth-Beriawen, Orph, Nana13(deux review deux fois merci!), Suppy, underphoenix, Bunny Anoushka Kalika Arwen, Darky, Miline, Vierge, Mietek, Petites sorcières (vives les longues review! waw!o), Kiyoi, Darkyumy, Disturbed angel, Dark amethyste (re-vive les longue review!), Sefadora Firewood, Inferno-Hell, Nienna-lo, greeneyes, Marikili, Draya Felton, Greg, Miss Potter95, Débo.
Merci pour tout vos gentil petit mot, il on contribuer au fait que j'ai finalement continuer la fic malgré avoir perdu 4 chapitres....JE VOUS ADORE!!
Bizouxxx
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Chapitre 9 : Larmes
Blanc.
Tout était blanc.
Il papillonna plusieurs fois des yeux pour les habituer à la lumière.
« Mais qu'est-ce que c'est que ce bordel ? »
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Un homme, les traits tirés, tournait en rond.
- Mais voyons, disait-il, faites preuve d'un peu de bon sens !!!
Et l'autre, un grand brun d'une quarantaine d'année, assit à son bureau, répondait d'une voix lassée :
- Monsieur Lupin, je vous l'ai déjà dit, ce n'est pas moi qui ai pris cette décision, et croyez moi tout cela est fait pour le bien d'Harry…
- Son bien ? Son bien !! Dites plutôt que le ministère veut enfuir un problème qu'il ne sait pas résoudre !!
Le médicomage se leva.
- Peut-être vous croyez vous mieux placer pour le soigner ? cria-t-il à Remus, de rage.
- Et bien je…
Mais il fut interrompu par un petit « toc, toc » timide à la porte.
- Entrez ! cria le médicomage.
Un petite blonde aux yeux vert et où on pouvait discerner une grande timidité,entra.
- Excusez-moi, dit-elle, c'est le garçon. Il s'est réveillé.
Lupin tourna la tête. Harry ?
- Et ? demanda le médicomage.
- Et bien…, commença la jeune fille, …enfin…je crois que vous devriez voir par vous-même.
Elle se tordait nerveusement les doigts.
Le médicomage s'avança vers la porte, précédé par la fille, mais avant de l'atteindre, il se tourna vers Lupin.
- Je suppose que vous voulez le voir aussi.
Sans un mot, lupin le suivi.
Ils traversèrent plusieurs couloirs, toujours dans ce lourd silence. Puis ils arrivèrent à une porte massive sur laquelle était écrit
« Aile ouest – Troubles psychologiques graves »
Lupin frissonna en lisant l'écriteau. Sans un regard pour lui, les deux autres continuèrent. Ils passèrent ensuite par une grande chambre commune, ou plusieurs patients allongés dans leurs lits les regardaient passer. Lupin croisa le regard de l'un d'entre eux, qui avait le regard vitreux.
« Franck… »pensa-t-il.
Quand il passa près de Franck Londubat, il aurai pu jurer avoir entendu un faible « …mus… ». Les larmes lui montèrent aux yeux mais il continua. Il viendrait voir son vieil ami un autre jour.
Puis, les trois arrivèrent dans un long couloir. Le deux médecins s'arrêtèrent devant deux portes. Sur la première était inscrit :
« Chambre 108 : Harry James Potter
Médicomage responsable : Frederik Lambert
Ne JAMAIS ouvrir cette porte sans autorisation ! »
Et sur l'autre :
« 108 – Observation »
-Vous, vous entrer là, lui cracha en vitesse Frederik Lambert, en lui désignant a deuxième porte, juste avant de rentrer par la première.
La jeune fille entra dans la « salle d'observation » , et Lupin la suivi.
Il failli s'étouffer en entrant.
La pièce était petite et sur le mur du fond, il y avait une sorte de vitre qui donnait sur la chambre.
Et c'est cette chambre qui étonna Lupin. Elle était dévastée. Le lit était renversé, la petite commode, en morceaux. Et dans un coin, recroquevillé, un petit garçon aux cheveux noir.
Puis Lupin aperçu le médicomage, près de l'entrée. Celui-ci balaya la chambre du regard et parla :
- Harry…
L'enfant ne répondit pas.
-Harry, répéta l'adulte, Harry, leve toi.
Ce dernier ne bougea pas. Mais il parla.
-Où est-il ?
Frederik soupira, il s'y était attendu.
- Lève-toi.
-Où est-il ? répéta l'enfant, en prononçant bien chaque syllabe.
Le médicomage voulu s'approcher d'Harry, mais quand il lui saisi le poignet, l'autre main du garçon, dans un réflexe rapide, lui griffa tout l'avant-bras.
Puis il planta ses yeux d'émeraude dans ceux bleu pâle du mage.
- Laissez-moi sortir d'ici.
Frederik dégagea son bras d'un geste rapide, et le mis contre sa poitrine.
- En tout cas, répondit-il, tu ne sortiras pas avant d'être calmé.
Le garçon eut un petit rire mais on ne pu juste voir que ses épaules sursauté légèrement.
- Mais je suis calme, répondit-il d'une voix un peu effrayante, peut-être, mais bien calme, c'est vous qui êtes énervé.
Le mage soupira, puis se calmer, en effet. Il serrait les poings.
°°°°°°°°°°°°°°°De l'autre côté du « miroir »°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Comment la situation avait-elle pu dégénérer à ce point ? Comment… comment pouvait-il y avoir autant de colère dans un si petit cœur, dans le cœur d'un enfant ?
Harry était-il donc tellement sensible à tout ce qu'il avait pu vivre que cela l'avait mené là ?
Pauvre gosse…
Car c'était bien un gosse perdu, désorienté, qui se tenait recroquevillé dans cette petite chambre dévastée. Un garçon qui n'avait appris que la colère face aux difficultés.
Le cœur de Lupin battait de l'aile. Il voyait le fils de son meilleurs ami – son neveu, en quelque sorte – souffrir dans l'incompréhension. Ce n'était plus le garçon têtu et solitaire qui tenait tête à Malfoy, mais à nouveau le petit garçon chétif en manque d'affection.
Il posa la main sur la vitre. Cette petite chose insignifiante qui l'empêchait de courir prendre Harry dans ses bras – même si il se débattait.
Lorsque le médicomage entra, son attitude changea. Il retrouva toute sa force et, surtout, sa hargne.
-Harry…
Lupin sursauta. Il entendait comme si il était dans la pièce. Comme il s'y attendait,il n'entendit pas de réponse de ce dernier. Le mage répéta et lui ordonna de se levé.
-Où est-il ?
A nouveau, Lupin eu un soubresaut. C'est vrai, où était-il, le compagnon d'Harry ? Il se promis de trouver une réponse rapidement. Le loup-garou sortit de sa réflexion au son d'un gémissement de douleur.
- Laissez-moi sortir d'ici.
- En tout cas, tu ne sortiras pas avant d'être calmé.
Silence. Un petit rire.
- Mais je suis calme,c'est vous qui êtes énervé.
Remus sourit. Il ne pouvait s'empêcher d'être, comment dire, fière, de la répartie du gamin.En effet, Lambert fulminait et tentait de réprimer son envie de donner une bonne gifle à ce garçon insolent.
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D'ailleurs, face au regard moqueur de Harry, il s'énerva.
- Maintenant, tu cesses de faire le malin, Harry James Potter !! Si tu continue à te croire au dessus de tout le monde, tu vas avoir affaire à moi !! Tu es ici pour un certain temps, je dirai même assez long ! Et t'inquiète pas, on en a maté des plus durs qu'un gamin mal élevé !!
« Pas élevé du tout. » pensa Lupin amèrement tandis qu'il maudissait Lambert en lui lançant des Avada avec les yeux.
Harry lui aussi, fut troublé par le comportement du mage, mais se reprit très vite. Il était fort. Il était fort. Il était fort.
D'une démarche rapide et souple, presque féline, il se dirigea vers la porte car il remarque qu'elle était mal refermée.
Mais malgré sa fureur, l'aîné s'en rendit compte. Il l'attrapa juste à temps par la taille. Harry se retourna vivement, et le griffa à nouveau, mais cette fois, au visage. Après une main posé sur sa joue malmenée, le sorcier ne lâcha pas prise et serra l'enfant par la taille d'une main, et de l'autre, lâchant sa joue, il le gifla.
Le sang de Lupin ne fit qu'un tour. Aussitôt qu'il vit la main se lever pour s'abattre sur le petit visage, il ne pu plus se contenir. Il sortit rapidement de la salle d'observation, et entra rapidement dans la chambre. Il poussa Lambert qui fut projeté contre le mur. Celui-ci, rapide malgré son âge, sortit de la chambre et poussa la porte.On l'entendit cliqueter.
Ils étaient enfermés.
Remus tenait Harry debout par les poignets. Mais bientôt, il se débattit moins, et ses yeux reflétèrent bientôt le désespoir et non plus la folie vengeresse. Il frappa quand même le torse du loup-garou, d'abord rapidement, puis il ralentit, et tendit que Lupin subissait les petits poings sans rien dire – Harry était triste et ses coups s'en ressentaient – il marmonnait :
- Tout ça c'est de ta faute…de ta faute…
-Tu es sur de cela ? demanda calmement Lupin.
Harry releva ses magnifiques yeux émeraude vers lui. Il avait les larmes aux yeux, mais il refusait de les laisser couler. Remus le pris par les épaules et le serra contre lui ; Harry se débattit avec force, mais il ne lâcha pas prise.
- Pleure, ordonna-t-il.
Les larmes coulaient et il n'arrivait plus à les arrêter. Il voulait tellement partir loin d'ici, et tout oublier, comme il l'avait fait quelque année auparavant. Il voulait fuir. Et cette marque de faiblesse l'énervait au plus au point. Il pleura de rage contre lui-même, de désespoir, de tout ce pourquoi il avait empêché les larmes de couler avant. Mais il ne voulait pas. Il se débattait, certain que sortir de cette étreinte lui permettrait de redevenir comme avant, lui permettrait de tout affronter. Il n'avait jamais pensé que pleurer pouvait être un soulagement. Il était persuadé que c'était la défense des faibles et ne voulait plus changer d'idée. En fin de compte, l'oncle avait réussi à lui inculquer une de ses devises.
« Les pleunichars sont des toccards. »
Et cet homme le serrait contre lui, contre son cœur, lui ordonnait de pleurer et lui, il le faisait comme si il avait attendu toute sa vie l'autorisation.
Finalement, il parvint à se dégager et essuya rageusement les dernières larmes en fixant Lupin d'un regard insondable.
La voix de Lambert retentit dans un micro.
« Mr Lupin, veillez sortir immédiatement ! Nous venons de lancer un sort empêchant au garçon de sortir… Lupin vous n'avez rien à faire là ! Sortez immédiatement ! »
Ce dernier se tourna une dernière fois vers Harry et lança tout bas :
- J'te sortirai de là, bonhomme.
Un instant,il crut voisr les yeux d'Harry briller de reconnaisance et d'espoir, mais la seconde suivante, il avait repris son regard noir.
-J'ai besoin de personne.
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Voili,voilou!!
Le prochain chapitre dans pas longtemps...
Dites moi ce dont vus en penser, je répondrai personnelement cete fois!(encore dsl!)
Je rappelle que pour l'orthographe, je relirai le chapitre plus tard, mais j'estime vous avoir assez fais attendre comme ça(non?)
Allez àla prochaine, Bizouxx.