Désolé pour le temps que j'ai prit. Pour me faire pardonner, je vous envoie la suite qui vous consollera, je vous le garantie. Merci pour les review et n'ayez pas peur, je ne turai pas Ron... enfin, pas avant qu'Hermione ne découvre que c'est vraiment lui qu'elle aime... N'oubliez pas que c'est supposé être un Ron/Hermione...

Bonne lecture!!

Bizous,
Sophia Grint

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Chapitre2 Ne me laisses pas tomber

Lorsqu'Hermione se réveilla, elle était dans son lit et deux personnes se tenaient près d'elle.

-Ron... Harry, on doit absolument aller voir Ron à Poudlard.

Harry avait eu la même letrre et s'était précipité vers la maison d'Hermione et Mathiew. Il avait retrouvé la jeune fille évanouie dans la cuisine.

Elle se leva et alla à son placard pour faire sa valise.

-Hermione, reposes-toi un peu, tu viens de te réveiller.

-Non, Mathiew, tu ne comprends pas, il faut absolument que j'y aille.

-Herm', tu dois vraiment te reposer...

-NON, HARRY! COMMENT PEUX-TU OSER ME DIRE ÇA ALORS QUE TON MEILLEUR AMI EST PEUT-ÊTRE EN TRAIN DE MOURIR?!

-Calmes-toi Hermione. Je suis aussi attristé que toi par la nouvelle, mais je crois que tu dois quand même te reposer. Et puis, on ne sait même pas comment il est, peut-être qu'il se porte aussi bien que nous trois, dit-il en essayant de maîtriser la peur dans sa voix.

-Comment peux-tu dire que je me portes bien?! Tu ne peux savoir comment je me sens en ce moment...

-JE SUIS DÉSOLÉ, MAIS TU N'ES PAS LA SEULE À TE SENTIR AUSSI MAL! MOI AUSSI J'AI DES SENTIMENTS ET CROIS-TU VRAIMENT QUE LA SITUATION ME REND HEUREUX?! JE NE SAIT PAS COMMENT SE PORTE MON MEILLEUR AMI EN CE MOMENT, MAIS J'ESSAIE DE NE PAS DRAMATISER!!!

Hermione regarda son ami dans les yeux et sentit des larmes couler un peu sur sa joue.

-Désolé Harry, je n'aurais pas du m'emporter autant... mais je veux absolument y aller tout de suite, je ne suis pas capable d'attendre plus longtemps, j'ai déjà attendu 10 ans...

-Je comprends Herm', je suis désolé aussi d'avoir crié. Viens, on va aller là-bas tout de suite.

-Je viens avec vous, dit Mathiew d'un air décidé.

-Très bien, dit Harry après un moment de réflexion, mais fais ta valise parce que tu vas en avoir besoin.

Ils prirent un portoloin que le professeur Dumbledore leur avait envoyé et atterirent devant le bureau du directeur. Celui-ci se tenait à leurs côtés.

-Professeur Dumbledore, qu'est-ce qui se passe ? Que lui est-il arrivé? Où est-il?

Hermione s'était précipité sur lui pour lui poser des questions.

-Calmez-vous, miss.Granger. Venez avec moi.

Les trois suivirent le directeur. Harry restait le visage tendu, Mathiew n'avait aucune expression et Hermione tremblait de la tête aux pieds.

Le directeur poussa la porte de l'infirmerie et ce que vit Hermione lui donna un haut-le-coeur. Ron se tenait immobile sur le lit de l'infirmerie. Plus maigre qu'avant, il était nu mais le bas était caché par une couverture et le haut était découvert. Son torse et son dos étaient couvert de cicatrices, résultats des nombreux coup de fouets qu'il avait reçut, mais son visage semblait paisible.

-RON!

Hermione courrut vers lui, pleurant comme elle n'avait jamais pleuré. Elle posa sa tête sur son ventre et prit sa main dans la sienne.

-Que lui est-il arrivé? demanda Harry d'une voix étrangement faible.

-On l'a découvert dans une des cachettes de vous-savez-qui...

-Mais Harry l'a tué, dit Hermione à travers ses larmes.

-Oui, et nous avons arrêté tous les mangemorts, mais il semblerait que trois d'entre eux nous ait échappé, dit Dumbledore.

-Qui?

-Lucius Malfoy, Bellatrix Lestrange et Peter Pettigrow.

-Et pourquoi s'en seraient-ils prit à Ron?

-Probablement parce qu'ils voulaient vous retrouver, Harry et venger leur maître. En s'en prenant à Mr.Weasley, ils esperaient peut-être découvrir où vous vous cachiez et, finalement, vous tuer. Mais Mr.Weasley ne s'est pas laisser faire et il a tenu jusqu'au bout sans jamais avouer où vous vous touviez, même après toute la torture qu'ils lui faisaient subir.

Harry ne sut quoi dire. Son meilleur ami s'était sacrifié pour lui.

-Comment va-t-il? demanda le jeune homme, d'une voix étouffée.

Tout le monde, sauf Hermione qui ne se décollait toujours pas de Ron, se tourna vers Mrs.Pomefresh.

-Il a dut se faire lançer plusieurs sortilèges très puissant, mais on ne sait pas du tout lesquels. Il est présentement dans le coma, mais, les chances qu'il survie sont minimes.

Dumbledore sembla avoir vieillie de 20 ans. Les pleures d'Hermione redoublèrent.

-Non, il est encore vivant, dites-moi qu'il est encore vivant.

-Il l'est encore, mais il ne le sera pas très longtemps. Ça prend un esprit et un corps très fort pour survivre après tout ce qu'il a subit...

-CROYEZ-VOUS QU'IL N'EST PAS ASSEZ FORT POUR ÇA?! C'EST UN DES SORCIERS LES PLUS COURAGEUX QUE J'AI CONNU. IL EST ASSEZ FORT POUR SURVIVRE ESPÈCE DE VIELLIE C...

-Resaisisez-vous Miss.Granger, dit le professeur MacGonagall, ce n'est pas parce que vous avez fini l'école que vous avez le droit de parler comme ça aux membres du personnel.

-Laissez, professeur, intervint le directeur avec un petit sourire, elle à le droit de s'exprimer si elle le désire, il faut bien qu'elle laisse aller ses émotions un peu, c'est là l'une des principales conditions de la jeunesse, rajouta-t-il avec sagesse. Écoutez Miss.Granger, vous devriez aller vous reposer, en fait, tout les trois, vous devriez aller vous reposer, vous en avez tous besoin. Minerva vous montrera vos chambres.

-Harry, dit Hermione d'une petite voix, il va survivre, hein?

Harry, qui n'avait dit mots depuis qu'il avait apprit la raison pour laquelle son ami était dans cet état, tourna la tête vers sa meilleure amie d'un air qu'il se voulait réconfortant, bien que l'angoisse se lisait très bien dans ses yeux émeraudes.

-Oui Herm', il va survivre et nous redeviendrons le trio que nous formions avant. Nous rirons, comme au collège, je te le promet.

-Venez, tous les trois, dit le professeur MacGonagall.

En marchant, Hermione remarqua que l'école n'avait pas du tout changée. Toujours ce côté mystérieux et en même temps magique, bien qu'il se soit un peu assombri. Deux chambre qu'elle n'avit jamais vu se trouvaient devant elle.

-Bonne nuit, dit Mathiew.

-Bonne nuit, répondit Hermione.

Il l'embrassant longuement et elle se laissa faire avant de tourner la tête et de lui dire:
-À demain.

Vers minuit, elle ne dormait toujours pas. Elle se leva et rejoignit l'infirmerie. Elle entra dans la pièce et s'installa sur une chaise près de son ami.

-Ron, dit-elle doucement, Ron, est-ce que tu m'entends? Je suis certaine que tu m'entends. Écoutes, je dois te parler. Je ne sais pas très bien par quoi commencer. Dabord, ta famille va très bien. Malgré ton absence, elle a continué à vivre, même si ça a été très difficile, surtout pour Ginny. Ils vont tous venir te voir demain. Tu sais que tu me manques. Je veux te demander quelque chose: S.V.P. ne m'abandonnes pas. Restes en vie, j'ai besoin de toi. Je ne sais plus si je survivrais si tu me quittait une nouvelle fois... Tu sais, je n'ai jamais oublié ce que tu m'as dit avant de partir. Pendant quatre ans, je refusais de voir d'autres hommes pour la simple et bonne raison que je gardais l'espoir que tu reviennes.

Dehors, l'orage grondait. Le tonerre accusa l'éclair de quelque chose d'incompréensible aux oreilles d'Hermione et l'éclair se défendit en jetant un gros jet lumineux. Pendant un fraction de secondes, la pièce fut empli par un lumière vive et la jeune fille put voir les cicatrices qui ornait le torse de Ron. Elle soupira tandis que la pluie martelait la fenêtre.

-Ensuite, poursuivit-elle, j'ai commençée à m'inquiéter, surtout que tu ne m'écrivais plus. Après, je t'en ai voulu. Je ne voulais plus entendre parler de toi, et maintenant, tous ce que je souhaite, c'est que tu te réveilles, que tu me parles. J'aimerais que tous redevienne comme avant. Tu savais que j'ai rencontré quelqu'un en espagne? Il s'appelle Mathiew Smith, Il prend bien soin de moi, ne t'en fait pas. C'est certain, il ne peut pas te remplacer, enfin, personne ne peut te remplacer. Nous devons nous marier bientôt, mais maintenant, je ne sais plus. En fait, je ne sais plus quoi penser, ni où j'en suis. Je... je crois que je vais te laisser. On se revoit demain.

Elle passa délicatement sa main sur son visage tandis que le tonerre et l'éclaire se disputaient encore. À la vu de son torse une autre fois, elle ne put s'empêcher de porter sa main à sa bouche et de murmurer, dans un souffle:

-Ron, qu'as-tu bien pu subir?

Elle dévia difficilement ses yeux de lui et partit en direction de la bibliothèque, seul endroit où elle se sentait bien, pour une nuit de sommeil qui s'annonçait très courte.

"Hermione? Oui, je reconnais ta voix, même si elle n'est plus aussi autoritaire que toute les fois où Harry et moi faisions des bêtises. Non, elle semble plutôt inquiète, faible, triste, tremblante, vulnérable... Qu'as-tu? Bien sûr que je t'entends, mais je ne peux ni bouger, ni parler, je n'en ai pas la force. Hermione, je t'aime encore, je ne t'ai jamais oublié et je me suis battu jusqu'à la fin pour notre amitié à tous les trois, pour Harry et pour... toi. Tu m'as tellement manquée. Non, ne part pas. Je veux te sentir près de moi, encore, Hermione!!"

À SUIVRE...