Disclamer : Aucuns de ses personnages ne sont à moi. Ils appartiennent tous à la grande folle imagination de J.R.R Tolkien. Ceci est un slash entre deux hommes, homophobes s'abstenir.
De plus, j'ai imaginé une petite fin toute cute. Dites-moi en des nouvelles.
Moments magiques :
Épilogue
En 1999, en Nouvelle-Zélande, dans la roulotte de Karl Urban, se trouvait deux hommes, bien au chaud, nus, dans un lit, collés l'un contre l'autre. Dehors, se trouvait une grande forêt qui servait au tournage de la forêt de Fangor. Il faisait noir et le ciel était couvert par d'épais nuages, menaçant à tout moment, un orage, mais cela importait peu les deux amoureux, qui avaient enfin un moment seul loin de leurs amis.
- Karl, murmura Orlando. Karl, répétat-il en embrassant le torse de son amant pour le réveiller.
- Huumm, gémit ce dernier en souriant aux douces carresses de son amour.
- Tu crois qu'ils se doutent de quelque chose, répéta Orlando pour la cinquième fois.
- Orli, soupira Karl. Pour la je ne sais plus combien de fois, non, ils ne peuvent pas se doutent de quelque chose… On est trop bon acteur, plaisanta-t-il.
Orlando sourit et plongea son regard dans les beaux yeux bruns de son amant. Il repensa à sa première rencontre avec Karl… Ce fut un coup de foudre, si puissant, que Orlando avait cru faire une crise cardiaque. Bon, c'était peut être exagéré, mais il l'avait aimé dès la première seconde, comme s'ils s'étaient toujours connus.
Karl soutena le regard de son amant et fini par rire :
À quoi tu penses en me regardant comme ça, demanda-t-il avec un ton langoureux.
À notre première rencontre, répondit Orlando en l'embrassant d'un chaste baiser. À notre premier baiser… C'est comme si…
- Comme si on c'était toujours connus, compléta Karl avec un sourie d'amusement.
Karl trouvait attendrissant les petites remarques d'Orlando sur le destin. Il ne se lassait pas de cette innoncence enfantine. Cependant, il devait admettre que, parfois, il se plaisait à croire que le destin les avait choisis.
- Et toi, reprit Orlando avec une voix érotique. À quoi tu penses en me regardant comme ça ?
À ça, répondit son amant en se mettant à califourchon sur Orlando et en le couvrant de baisers.
Pendant que les deux amoureux continuaient leurs débats, dehors, comme un voleur, un homme regardait la roulotte, perché en haut d'un arbre. Lorsqu'il vu la lumière s'éteindre, il eut un sourire de nostalgie, ce qui lui causa quelques larmes.
- Je les envie mon amour, sanglota l'homme à haute voix. Eux, ils sont heureux et ensembles… Tu me manques tant… Mais je t'ai promis. Si tu savais comment cette promesse me fait mal… Donne-moi un signe amour, pleura Legolas. Je veux savoir que tu es près de moi…
Soudainement, ses longs cheveux blonds se mirent voler librement au souffle d'un vent chaud et nouveau. Ce vent chassa les nuages orageux, en dévoilant une lune rayonnante. Toute aussi rayonnante qu'il y avait des siècles auparavant. La même lune qui avait fait briller le corps angélique de son amant. L'homme blond sourit :
- Je t'aime aussi Éomer, mon amour, déclara Legolas avant de retourner se camoufler dans les profondeurs de cette forêt qui le cachait depuis longtemps.
Voilà, un petit slash qui fini tout cute. Mais là, c'est la vraie vraie fin, sauf si je reçois environ une dizaine de reviews qui me demande de poursuivre… Je sais que c'est du chantage, mais bon, je veux pas me forcer pour rien.
En tout cas, je vous aime quand même.
Bisous ! Ivy
Reponse aux reviews :
Moi : Merci, c'est vraiment nice ce que tu m'as écris. J'espère que la suite t'as pas déçue.
Marie-eve : Wow, ton admiration, je suis très honorée, sincèrement. Et j'ai une fan, en plus, j'ai vraiment été touchée par ta review. Merci milles fois pour tes encouragements, tes félicitations et ton appréciation. En passant, si tu veux voir une autre fic que j'écris, sur Harry Potter(en faite, c'est plus des recueils de poésie), au cas où tu le souhaiterais. Merci encore pour ta review.
