Bonjour tout le monde! (Surtout à mes deux revieweurs! )
Donc, voici le chapitre deux. Il est plus long et j'ai décidé de le couper en deux, question de suspence, ne! Héhé, je suis sadique avec mes lecteurs, je ne les ménage jamais! Oui, bon, je viens au fait : je n'ai pas encore fait de disclaimer (Mauvaise, très mauvaise fille! èè) Vi, je sais v.v désol
Disclaimer : Tout les personnages de Gladiator (Maximus, Commodus, Quintus etc…) appartiennent seulement à Ridley Scott et compagnie. Ceux qui sont de ma création, je les soulignerai au passage. Dans ce chapitre, un nouveau personnage apparaît, je ne dirai pas son nom mais vous devinerez qu'il m'appartient! Je tiens beaucoup à mes créations, donc, pas touche! Ceci est une œuvre de fiction. Mes créations n'ont aucun lien avec des personnages, situations et lieux ayant réellement existé. Toute similitude avec des faits réels serait totalement fortuite.
Genre : Romance, Action/aventure, Angts et Drama.Bon, voici sans plus tarder…
Caput II
Una cogressio ut spero nec exsugo
Une rencontre pour que l'espoir ne se tarisse…
Des pas dans la neige…Lourds, incessants, bruyants…Une respiration accélérée, qui n'avait pas de fin, saccadée par le manque d'air…Un visage, si jeune et pourtant…Sale, désespéré, fatigué, méconnaissable. La silhouette cachée sous une tunique de loup et un manteau de la même fourrure courait, courait sans arrêt. Aucune branche, aucun obstacle ne pouvait l'empêcher d'aller au devant de son destin. Ses cheveux mouillés étaient parsemés de feuilles qui s'y accrochaient lors de la course, de boue lorsqu'elle tombait et de flocons de neige qui se déposaient lentement sur sa tête foncée. Son corps souffrait de tant d'efforts mais sa tête ne voulait pas écouter sa conscience.
J'y arriverai, il le faut…J'y suis presque! Il ne faut pas arrêter de courir!
Mais soudain, son pied glissa sous une racine et elle trébucha. Ses genoux étaient en sang et ses paumes étaient irritées par la chute. Une vive douleur la fit grogner mais elle se releva et continua sa route.
Rien, absolument rien ne pouvait l'empêcher d'arriver à son but. Les arbres s'éloignaient, il y avait de moins en moins de végétation sur son chemin. Enfin, la silhouette était arrivée à destination. Elle débaucha sur un camp, ses pieds marchèrent dans la terre boueuse et l'odeur qui se faufila juste qu'à ses narines l'a fit renifler de dégoût. Elle reprit son souffle, ses poumons en furent soulagés. Ses yeux scrutèrent l'entourage: il y avait quelques tentes rouges, des torches enflammées éloignant la noirceur qui s'installait, des enclos de bétails, et des emblèmes dorés représentant un aigle avec d'étranges symboles.
Mais pour elle, tout était clair, elle était enfin arrivée. Son cœur en fut fort soulagé et en souriant, la silhouette s'avança.
Mais dans quelle tente est-il?
Elle marchait sans faire le moindre bruit et se dirigea nonchalamment vers un des campements. Toutefois, elle ne vit pas que deux gardes l'avaient repéré. Ils prirent leurs armes en main et accourut vers la silhouette. Tous deux pensaient qu'elle était une espionne germaine.
-Consisto! N'avance plus! Elle s'arrêta soudainement, prise sur le fait et se retourna. Les deux hommes tenaient leurs glaives fermement et ne la quittaient pas du regard. Elle déglutit, son cœur s'accéléra dans sa poitrine.
-Ich Ihnen will kein Übel. Ich möchte Ihren Chef sehen. Elle grogna et ferma les yeux. Cela faisait trop longtemps qu'elle n'avait pas parlé avec autres gens que les barbares et avait presque totalement perdu les mots de sa propre langue. Elle se maudit de la faute qu'elle venait de faire et essaya tant bien que mal de prononcé quelques mots :
-J-je…n-ne veux…pas mal. Elle fit de grands gestes de ses mains pour exprimer son refus de leur faire quoique ce soit de malsain mais trop tard : le premier homme fonçait sur elle. Elle se baissa et la large lame siffla au-dessus de sa tête. Elle se recula et mit ses mains proche de son corps, serrant les poings. Elle humidifia ses lèvres, ses sens étaient maintenant en alertes. Le garde avança une seconde fois et essaya de la toucher mais elle l'esquivait à chaque attaque, elle était beaucoup plus rapide que lui, qui était ralentit par le poids de son armure.
Elle se reculait toujours en esquivant chaque assaut et l'homme grognait à tous ses coups manqués. La jeune fille jeta un rapide coup d'œil dans son dos, ils étaient rendus à la lisière de la forêt. Elle se colla finalement à un arbre et le soldat, croyant qu'elle se rendait, prit un grand élan dirigé vers son cou. Au dernier instant, elle se baissa et la lame s'incrusta dans l'écorce du végétal. L'homme essaya de la retirer mais peine perdue, elle était enfoncée trop profondément.
La jeune fille profita de ce moment d'inattention pour l'assommer plusieurs fois avec une grosse branche qui était non loin d'elle. Il recula, étourdit et s'accroupit en plaquant sa main sur son front où du sang s'écoulait lentement. Elle lâcha la branche et enleva rapidement sa cape de fourrure pour la mettre autour de la tête de l'homme. Elle serra le tout avec la corde et fit un nœud. Le garde s'empressa de réagir en essayant d'enlever le vêtement mais n'y parvint pas. Son compagnon fonça sur la fille. Elle tourna sa tête, tout son attention était dirigé à son nouveau combattant.
Il était plus petit et plus rapide que l'autre. Elle réussit quand même à l'esquiver plusieurs fois mais après quelques minutes, il déjoua ses feintes et lui trancha l'avant-bras. La jeune fille cria et couvrit la plaie de sa main. Elle était profonde et le sang commençait à se répandre sur ses vêtements de fourrure blanche. Sa tête lui tournait un peu, la douleur lui faisait mal, certes, mais n'était pas insoutenable. Elle se demanda si elle avait une chance de battre un de ses hommes entraînés à tuer, si elle s'en sortira vivante et en un seul morceau. Ses questions restèrent en suspension, seul le temps pourrait le lui dire…
Le soldat eut un sourire satisfait et s'approcha d'elle pour l'achever. Toutefois celle-ci n'avait pas dit son dernier mot : elle tourna sur le côté et la lame se planta à quelques centimètres plus loin de son épaule gauche. Elle donna fortement un coup de pied sur l'arrière de son tibia gauche, là où il n'y avait pas de protection. La jeune fille toucha un nerf et l'homme s'accroupit dans un gémissement de douleur.
Elle se releva et tenta de retourner au camp mais l'homme lui fit un croche-pied. Elle lâcha un cri de douleur quand elle s'écroula de tout son long sur la neige tâchée de son sang. Elle avait atterrit sur son bras blessé. La fille se redressa tout de même et alla derrière l'autre soldat, toujours en train d'essayer de dénouer la corde qui l'étouffait. Elle tenta d'aller de plusieurs côtés mais l'homme était vif comme un lièvre et l'empêchait de faire un pas. À cours d'idée, elle donna un coup de pied dans le derrière du soldat à la cape sur la tête et il perdit l'équilibre pour tomber sur son compagnon.
Elle aurait rit jusqu'à s'en décrocher la mâchoire si elle n'avait pas été si faible et si un autre problème n'avait pas surgit de nulle part : un autre romain avançait avec précaution vers elle. Il lui ordonna d'une voix sèche :
-Bouge pas. Ne fais pas un seule geste.
-C-C'est une espionne ! Tue-la ! Cria le soldat en essayant de se dégager de son ami étendu sur ses jambes, celui-ci poussant des cris. Le guerrier lui jeta un regard malveillant et sortit son glaive de son fourreau. La jeune fille fit le même jeu qu'avec les deux autres soldats : elle évita tous ses assauts avec agilité. Toutefois, ses paupières devenaient lourdes, trop lourdes pour elle…
Alors qu'elle ne s'y attendait pas, l'homme coupa son épaule d'un geste rapide et précis. Elle se recula en essayant de toucher sa blessure mais sa main lui faisait trop mal. Elle cria de rage tant que la douleur était insupportable. Sa tête lui infligeait une souffrance atroce et elle sentait qu'elle allait s'évanouir d'un moment à l'autre : elle avait perdu trop de sang…
Ils ne comprennent pas ce que je viens faire ici…Je vais mourir…Je ne suis pas une espionne…
Elle tomba sur le sol, épuisée. Mais malheureusement, elle n'était pas inconsciente. La vie semblait être injuste, elle avait souhaité avoir une mort indolore. Elle entendit des pas dans la neige qui se rapprochaient de plus en plus d'elle, dans quelques instants, tout allait être finit. Mais une chose attira son attention : sous sa main, elle sentait une texture rugueuse et froide…une roche. Une idée s'illumina dans son esprit exténué. Elle attendit que le soldat soit assez près d'elle et dans un dernier espoir, elle se releva et le frappa sur le menton. Celui-ci ne s'y attendait pas et ne fit aucun geste pour l'arrêter. Il recula et tomba sur la neige, la bouche en sang.
Elle fit pareille pour l'autre homme qui venait de se lever : elle lui lança la grosse pierre en pleine figure. Celui-ci hurla et jura de douleur. Elle reprit sa roche couverte de sang et alla vers le dernier soldat. Elle vit qu'il était en train d'enlever sa cape nouée autour de son cou. Un sourire de satisfaction orna son visage pour disparaître à l'instant même. La jeune fille se tenait au-dessus de lui et maintenant, visait la tête. Ils se regardèrent pendant quelques secondes, qui durèrent une éternité, lui semblait-il…Elle prit son élan pour le frapper mais une lame se pointa en dessous de son menton. Ne sachant pas comment réagir face à cet imprévu, elle crut bon de laisser retomber la pierre derrière son dos qui atterrit dans un bruit sourd.
-Retourne-toi lentement vers moi. Elle obéit et fit face à l'homme derrière elle. Il était beaucoup plus grand qu'elle et imposant. Ses traits étaient calmes et neutres, il gardait son sang-froid. Elle remarqua qu'il avait la peau plus foncée que ses autres confrères. Ses cheveux noirs et courts étaient parsemés de petits flocons de neige. Il possédait une belle amure et elle en conclut qu'il devait être haut gradé. Elle attendit qu'il parle mais celui-ci ne faisait que la fixer. Elle se sentit intimidé et baissa ses yeux verts.
-G-gén-néral Maximus, bégaya l'homme qui avait tranché l'épaule de la jeune fille. Celui-ci lui jeta un regard.
-Expliquez-moi, centurion Arius, ce qui ce passe ici. Son attention se reporta vers la fille, qui chancelait légèrement. Un haut le cœur lui prit et elle se sentit comme tombé dans un grand puits noir. Son esprit avait quitté sa tête mais son corps restait toujours debout, oscillant dangereusement telle la balance de la déesse Maat lors d'un grand conseil. Maximus ne la quittait pas du regard, sachant qu'elle allait sombrer dans l'inconscience d'un moment à l'autre. Il remarqua son épaule et son avant-bras en sang, ses hommes ne l'avaient pas totalement épargné.
C'est une chance qu'elle soit encore en vie…-G-général, je l'ai aperçu qui entrait dans notre camp. C'est une espionne, elle m'a parlé en germain. Elle est sûrement venue tuer l'empereur.
-Je suppose qu'elle vous l'a dit ? Dit-il sarcastiquement, ne croyant pas qu'une fille de son âge pouvait détourner les gardes et tuer Marc Aurèle.
-N-non, mais, elle est avec les barbares ! Ils ne veulent faire que du mal ces chiens pouilleux ! Maximus l'a regarda. Certes, elle portait les habits des Germains et était aussi sale que l'un d'entre eux mais ça n'en faisait pas nécessairement d'elle une barbare. Il voyait qu'elle devenait de plus en plus faible, ses yeux s'étant fermés et sa poitrine se soulevant plus lentement…Mais il devait régler cette erreur avant qu'un de ses hommes décide de la tuer sur un coup de tête. Le général savait qu'elle n'était pas une germaine, elle n'avait pas les mêmes traits bestiaux qu'eux. Il aurait plutôt pensé qu'elle faisait parti d'un autre clan ou peut-être…ou peut-être était-elle romaine, comme eux ? Il aperçut quelque chose dans la base de son cou qui l'intrigua.
Il fronça légèrement ses sourcils noirs, se demandant ce que cela pouvait être. Il baissa sa garde, sachant qu'elle ne pouvait pas s'enfuir. Elle ne bougea pas d'un pouce et se laissa faire quand l'homme mit ses cheveux sales derrière sa nuque. Ils découvrirent une sorte de symbole rougeoyant, marqué au fer.
-Regardez tous : ce n'est pas une espionne, c'est une esclave. Les hommes furent tous gênés de l'humiliation qu'ils venaient de subir et baissèrent la tête.
-Que faisons-nous d'elle maintenant ? Demanda un des soldats.
-Oui, elle s'est sûrement enfuie. Je crois que…La jeune fille ne put entendre le reste de la conversation qu'elle se laissa tomber, épuisée…
£££
-Ancêtres, je vous demande conseil. Mère bénie, venue à moi avec le désir des dieux pour me guider dans les brumes de mon futur, surveille mes pas. Père béni, prends soin de ma femme et de mon fils, garde toujours une épée près d'eux. Chuchotez-leur que je ne vis que pour les tenir contre moi. Ancêtres, je vous honore et essayerai de vivre avec la dignité que vous m'avez enseignée.
Après avoir finit sa prière à la lumière bienveillante de chandelles blanches, Maximus embrassa tendrement la statuette représentant son épouse. Il la remit sur la petite table et alla à une chaise pour se reposer. Il appela son serviteur qui était aussi un de ses plus fidèles amis.
-Cicero. Celui-ci apparut instantanément. C'était un homme ayant une chevelure châtaigne qui lui arrivait un peu en bas des oreilles. Une longue cicatrice le défigurait à la hauteur de sa bouche. Il était un peu plus petit que son maître et en arrivant devant lui, il lui tendit un verre d'eau. Maximus le remercia dans un soupir et Cicero souffla sur les bougies de l'autel.
-As-tu du mal à exécuter ton devoir, tel que les gens attendent de toi? Le domestique avança un peu et dit presque mystérieusement :
-Parfois je fais ce que je veux faire. Le reste du temps je fais ce que je dois. Maximus lui sourit et en frottant sa barbe, il conclut :
-Je crois, mon ami, que nous ne rentrerons pas à la maison après tout. Cicero hocha simplement de la tête et regarda la forme allongée dans le lit.
-Qu'en penses-tu ? Lui demanda son maître.
-Elle possède un courage sans borne et une peur infranchissable pour s'opposer à trois soldats romains. Mais doit être extrêmement insouciante du danger qu'elle a frôlé.
-Je pense la même chose. Je crois qu'elle s'en sortira malgré tout, elle est solide pour une gamine de son âge. Ils la regardèrent pendant quelques secondes, les couvertes chaudes recouvrant son corps blessé se soulevant sous sa respiration redevenue normale.
-Oh ! J'ai apporté quelque chose pour elle, se rappela Cicero, sortant de sa torpeur et celle de Maximus. Il disparut et réapparut avec des vêtements dans ses bras. Puis, les déposa au bout du lit.
-Quand elle se réveillera…Hum, je vais changer ses pansements pendant que j'y pense. Il se dirigea vers la jeune fille mais fut interrompu par la poigne de Maximus serrant son poignet.
-Non, je vais le faire, proposa-t-il, laisse-moi m'en occuper et va te reposer. Il est tard mon ami.
-Oui, lui répondit Cicero en souriant. Bonne nuit général. Il regarda son domestique sortir de la tente rouge et prit les bandelettes de lins trempés dans le vin pour désinfecter les plaies. Il s'approcha doucement de la jeune fille et s'agenouilla près d'elle. Son domestique l'avait débarbouillé et maintenant il découvrait un vrai visage. Elle avait la figure ovale, des lèvres légèrement charnus, couleur vermeille. Elle avait une petite cicatrice sur la lèvre supérieure, en dessous de la narine droite. Ses paupières étaient closes et il ne pouvait pas voir la couleur de ses yeux, mais lui semblait-il qu'ils étaient marrons. Son nez n'était pas trop gros, ni trop rond, il était juste en harmonie avec ses autres traits.
Ils avaient dû couper le haut de sa tunique de fourrure pour la panser et l'avait couvrit de plusieurs couvertures de laine pour qu'elle n'attrape froid. Il sortit ses bras d'en dessous des couvertes et enleva doucement le passement en sang de son avant-bras. Il la changea et au contact de l'alcool sur sa peau, la jeune fille lâcha un petit cri et ses sourcils foncés se contractèrent. Maximus fit une pause, s'assura qu'elle ne s'était pas réveillé et continua sa tâche sans aucun autre problème.
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J'espère que vous avez aimé ! Oui, c'est un peu méchant car on ne connaît pas encore l'identité de la mystérieuse fille mais ça viendra dans le 3eme chapitre et si je reçois beaucoup de review ! Bon, en parlant de ça, j'y réponds !
Amé Phœnix : Salut ! Je suis contente que tu sois (comme moi) ma première revieweuse ! Je ne te remercierai jamais assez car c'est toi qui m'a mit accro à Gladiator et tout ce qui y touche. (Tu comprends avec le « tout » soulign ? loll ;) ) Je sais qui a rien de mauvais à date car je l'ait prit du film en le mettant dans mes propres mots, v.v Je suis contente par contre que tu apprécies mon écriture ! Des fois, je me trouve tellement nulle parce que je trouve que j'écris trop moderne, tu vois ? Eh bé, tu l'as la suite, j'espère que toi et Morena m'aurait donné des reviews demain matin, quand je vais me réveiller à midi, loll. Bien sûr que je sais que c'est ton film préféré, tu me prends pour une banane ou quoi ? (Ne dis RIEN, okay ?!) Ah ! Ça on sait pas ma chère Amé, en ce qui concerne ton personnage préféré, la vie nous envoie pleins de surprise des fois ! Peut-être que tu as raison pour la jeune fille qui apparaîtra plus tard, au 4eme chapitre je crois. Bon, vala, j'attends plus que ta longue review pour louanger ce chapitre. Loll, moi, prétentieuse, nan ! ;)
Docteur Gribouille : Ahh ! Une nouvelle revieweuse ! Nice, je suis contente ! :D C'est vrai, nous ne sommes que deux à écrire sur Gladiator et il y a peu de présences de vrais fans de ce film par ici, c'est dommage. Enfin, je suis sûre que tu trouveras ton bonheur sur fanfiction car du talent, on en manque pas et je connais pleins de fics sur SDA, HP et POTC qui sont excellentes ! Oui, loll, c'est tiré du film mais dans mes propres mots. Il y aura quelques bouts que ça sera comme ça, tout au long de ma fic, car j'inclus de nouveaux personnages dans le film et ça le modifie, donc, la fin ne sera pas pareille. (Enfin, on ne sait pas ce qui peut arriver, je ne peux pas vraiment m'avancer !) Enfin, j'espère que cette suite t'a plu et j'arrête de parler moi ! Merci encore pour la review et bixous à toi aussi!
Je n'attends plus que vos remarques ! Plus j'aurais de reviews, plus vite la suite arrivera ! Ciao !
Câlins,
Cybel
