Voici enfin la deuxième partie du chapitre II que j'appellerai chapitre III J'espère que vous aimerez cette belle petite suite ! Je vais essayer d'uploader aux cinq-sept jours. Ça dépend si je reçois des commentaires de mes chères revieweuses ! (Oui, c'est du chantage, et après ? "apparition de Commode qui fait son fameux regard-qui-tue" Quelque chose à ajouter ? Non ? Enjoy ! :D)

Disclaimer : La petite demoiselle inconnue est à moi et j'ai le doit de faire ce que je veux avec, niark, niark, niark ! Martina aussi, je peux te faire souffrir comme ça me tente, donc, sois gentille avec ta créatrice ! Malheureusement, Maximus, Commodus et compagnie ne m'appartiennent pas : ils sont à monsieur Ridely Scott. "chiale"

Genre : Romance, Action/aventure, Angst et Drama.

Caput III
U
na pantasia ut bini aufugio
Un songe pour que deux vies soient sauvées…

Un cri de femme qui résonnent jusqu'à ses oreilles…Les flammes, les flammes intenses qui l'entourent…Les gens qui fuient, qui essaient de se sauver la vie…Le hennissement des chevaux effrayés…Le reflet d'une hache au soleil…Du sang sur la terre, qui s'écoule de plusieurs corps, de plusieurs membres…Ses doigts relâchent les violettes qui tombent au sol…Un visage qu'elle a tant de fois vu heureux…Maintenant horrifié, apeuré, désespéré…Elle veut faire quelque chose, elle doit faire quelque chose…Elle avance…Un cheval blanc qui fonce sur elle, mené par un homme…Ils ne s'arrêtent pas…Ils continuent, continuent et…

-Martina ! La jeune fille se réveilla, le cœur battant. Elle relâcha chaque muscle de son corps engourdis. Elle grimaça quand elle sentit son épaule se déchirée. Elle vit qu'un pansement de lin le recouvrait. Curieuse, elle se demanda d'où il venait et s'aperçut bien vite qu'elle n'avait aucun vêtement qui cachait sa poitrine, qu'une simple couverture de laine. Son cœur s'affola instantanément et elle nota au passage que ses genoux, ses mains et son avant-bras droite étaient aussi pansés. Au moins, aucun risque d'infection. Mais elle se demanda qui l'avait soigné et…déshabillé.

La jeune fille vit des vêtements poser à ses pieds. Gênée par sa demi-nudité, elle décida de s'habiller. Elle essaya au début de contrôler ses cris mais ce ne fut pas un grand succès puisque à chaque mouvement elle sentait une douleur aiguë surgir de son épaule ou de son avant-bras. Elle revêtit premièrement un pagne puis une tunique couleur vin qui lui arrivait juste un peu en bas des genoux. Elle était simple et était accompagnée d'un cordon pour le serrer à la taille. Il y avait une écharpe de même couleur et une cape foncé. Les vêtements étaient un peu grands pour elle, certes mais elle s'en contentait pour l'instant. Elle se recoucha, manquant de chaleur et c'est là qu'elle remarqua qu'elle ne savait pas où elle se trouvait.

Elle fronça les sourcils puis ferma les yeux, essayant de se rappeler quelque chose. Il y avait eu la course dans la forêt, puis la bataille avec les soldats romains et…l'homme qui lui avait sauvé la vie…La jeune fille essaya de se rappeler son nom…

Était-ce Marius ou Marcus ? Non…Manius ?…Il faut que je me rappelle…Oh !

Elle venait de se souvenir pourquoi elle était ici…Il fallait qu'elle retrouve l'homme de ses songes…La jeune fille se leva et grimaça. Elle s'appuya sur plusieurs meubles pour ne pas tomber car ses jambes n'avaient pas totalement retrouvés leur force. Mais elle n'eut pas le temps d'arriver à la sortie qu'une personne entra. La jeune fille recula de quelques pas et regarda le soldat avec un seau d'eau dans les mains. Celui-ci l'aperçut bien rapidement et lui conseilla :

-Tu devrais te reposer, tu as besoin de retrouver tes forces.

-Je…Je n'ai besoin de rien, répliqua-t-elle glacialement. Maximus lui sourit et déposa son seau près du lit. Il revint près de la jeune fille et lui tendit sa main. Elle ne fit rien au début mais elle finit par céder et il l'aida à s'asseoir sur la couche.

-Mes hommes m'ont dit que tu ne parlais pas un mot de notre langue. Une haine monta en elle lentement, sans qu'elle ne put savoir pourquoi. Les Romains n'avaient pas voulut l'écouter et si le général n'était pas intervenu, elle serait probablement morte à cette heure-ci…

-Ils ne savent pas écouter quand on leur parle…Sûrement une envie soudaine de tuer les a rendus sourds…Elle s'interrompit, l'homme continuant de la regarder sereinement. Elle baissa son regard et murmura :

-M-merci quand même…La jeune fille eut le courage de lever ses yeux vers les siens, si ténébreux mais rempli de tendresse et de paix. Il eut un court silence entre eux et le général décida de dénouer sa langue :

-Quel est ton nom ?

-Et le vôtre ? Répondit-elle narquoise. L'ombre d'un sourire amusé passa sur ses lèvres.

-Maximus Decimus Meridus, général des armés du Nord, au service de l'empereur Marc Aurèle. Tu peux me faire confiance, je ne crois pas que tu es une espionne, ajouta-t-il.

-Et pourquoi je ne le serais pas ? Qu'est-ce qui vous le fait croire ? Il la regarda droit dans les yeux. Cette fois-ci, elle ne chancela pas et le tint aussi longtemps qu'il ne détacha pas son regard du sien.

Elle a du caractère, c'est bien. Mais est-elle aussi forte qu'elle le dit et le croit ?

-J'ai vu la marque dans ton cou. Un silence mi-gêné s'imposa. Un fort sentiment inconnu mélangé avec une peur venue de son passé tirailla soudainement son estomac.

Pourquoi je me sens comme ça, tout d'un coup ? Cet homme…J'ai confiance en lui, je suis sûre qu'il ne me fera aucun mal…Il m'a sauvé la vie, il faut que je lui réponde…Mais, enfin, je ne peux pas tout lui dire…

Elle se mordit la lèvre inférieure, un mauvais tic apprit avec les années dont elle n'avait jamais pu se débarrasser. Elle ne se sentait pas nerveuse, ni gênée mais simplement coupable de ne pas pouvoir lui révéler plus…

-Laurentia…Je, je ne peux en dire plus…Elle devint muette après cette dernière. Ça lui faisait mal plus que tout, car c'était comme s'il lui manquait une part d'elle-même.

« Il y a des gens qui possèdent des montagnes d'or et de richesses, de vins et de soies…Moi, tout ce que je veux c'est avoir mon nom pour le crier. » Cette phrase avait été dite par une amie très chère à son cœur, il y a longtemps, lui semblait-il…

Oh Martina…Ma chère Martina, qu'es-tu devenu ?

Le général ne put la fixer et regarda le sol en appuyant ses coudes sur ses genoux. Il ne savait que dire dans de pareille situation. Il ne connaissait aucun mot cette fois pour consoler la jeune fille. Après un silence pesant, où tout les deux étaient perdus dans leurs pensées respectives, Maximus lui dit simplement :

-Je t'ai apporté quelque chose pour te laver…Je serai de l'autre côté. Il se leva du lit et disparut derrière un voile bourgogne. Laurentia s'assura qu'il ne regardait pas et se décrassa rapidement, de peur que l'homme réapparaisse à l'improviste. Elle trempa ses cheveux dans le seau et agita ses longues mèches pour que tombe la saleté. Elle réussit à enlever la boue sèche collée à sa tignasse cuivrée ainsi que les feuilles mortes. La jeune fille trouva sur le coin du bureau une brosse et réussit, après un acharnement qui lui valut mille efforts, à démêler tout ça.

Elle changea ses pansements et remarqua que ses plaies ne lui faisaient plus aussi mal que tout à l'heure. Certes, la plus grave restait son avant-bras mais ses mains et ses genoux étaient pratiquement guérit. Elle passa une main dans son cou et sentit l'empreinte sous ses doigts. Elle parcoura chaque ligne gravée dans sa chair et inspira longuement.

Voulant savoir ce que faisait Maximus, elle alla jeter un coup d'œil de l'autre côté. Laurentia le découvrit torse nu en train de se changer pour la nuit. Elle sourit et se mordit la lèvre dans sa contemplation. Il était si beau, sa peau bronzée par le soleil et son buste musclé par tant d'heures d'entraînements. Elle ne fit aucun bruit et l'étudia quelques instants encore. Il se mit de côté et elle vit un tatouage dessiné sur son épaule gauche « SPQR », la marque de la Légion.

Presque brusquement, une vision lui vint à l'esprit. Dans son rêve, elle se souvenait clairement cette fois-ci, il y avait une forme floue dans un coin sombre qui s'arrachait à l'aide d'une pierre, cette même gravure. Elle fronça les sourcils et se rappela la cicatrice que la silhouette avait au-dessus de celle-ci. Laurentia examina chaque pore de sa peau mais ne vit aucune cicatrice sur son épaule.

Ce n'était pas le hasard si les dieux avaient voulut lui remontrer cette scène oubliée. Un espoir soudain grandi dans sa poitrine : ça devait être lui, c'était l'homme qui allait perdre mais gagner trois fois plus. Elle sourit de satisfaction et retourna à sa couchette.

Maximus réapparut, portant une chemise de nuit. Il regarda Laurentia, puis, ouvrit une grande malle où il sortit des couvertures de laine, chaudes et épaisses. La jeune fille se sentit gênée, elle occupait sûrement son lit. Elle allait lui laisser sa place mais le général lui fit un geste de la main qui lui demandait de se rasseoir.

-Non, repose-toi, tu es blessée. Je me débrouillerai. Bonne nuit. Mal à l'aise, elle obéit et s'emmitoufla sous les couvertes. Il éteignit quelques chandelles mais en laissant allumés au cas où il arriverait quelque chose pendant la nuit. La jeune fille trouva une position confortable et prenant son courage à deux mains, elle prononça :

-B-bonne nuit Maximus.

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Le cri de femme revient encore une fois à ses oreilles…Il sonne en échos et la terrifie au plus profond de son être…Elle regarde la scène se dérouler inlassablement devant ses yeux, sans qu'elle n'y puisse quoi que se soit…Elle avait été alertée par les hurlements stridents de son petit frère…Elle lâche les violettes, qui tombent, désordonnées sur la terre de sang…Les gens fuient, se cachent…Mais il n'y a rien à faire…Tout est perdu…Des beuglement, des hennissement, des jappements surgissent de partout…Les animaux sont aussi apeuré que leurs maîtres…Les maisons sont en flamme…Ils brûlent comme des torches géantes…Elle voit les hommes-bêtes tués les gens qu'elle a connu, qu'elle a aimé, qu'elle a embrassé…La voilà qui surgit, sa cousine court, ses vêtements sont en sang…Elle lui crie quelque chose mais ses oreilles sont sourdes à ses avertissements…Elle avance lentement, elle doit l'aider, elle doit faire quelque chose… Le cheval blanc surgit…Il poursuit sa cousine…La hache brille au soleil…Ses yeux s'agrandissent de terreur…

-ARRÊTE ! NON MARTINA ! COURS ! Encore ce maudit rêve qui venait la hanter telle une chimère qui n'avait jamais de fin, qui se nourrissait de sa peur…En sueur, elle s'assit sur son lit et grimaça de douleur, son avant-bras lui semble gonflé et irrité…Elle passa une main moite sur son front et respira profondément.

Elle se sentait mal, elle se sentait abandonnée…Martina était partie, elle ne pourra plus jamais la voir…Une grosse boule se forma dans sa gorge et contre son gré, de grosses larmes inondèrent ses yeux verts. Elle baissa la tête et pleura.

Un bruit l'alerta, c'était Maximus qui avait une lame à la main. Il pensait peut-être que quelqu'un était rentré dans la tente…Elle essuya ses pleurs et arrêta de sangloter à l'instant même, gênée par la présence du général. Celui-ci comprit vite ce qui se passait et posa l'arme sur sa table de chevet dans un soupir intérieur. Laurentia se sentit encore mal à l'aise de l'avoir réveillé, elle ne lui apportait rien de bon…

L'homme alla vers un étage et prit un petit flacon dans ses mains et s'approcha tranquillement du lit en lui tendant la bouteille. Sachant d'avance que c'était un remède contre les maux du sommeil, la jeune fille la saisit et but une gorgée. Elle sentit les effets bénéfiques à l'instant même et son regard fut attiré par un vacillement des chandelles sur la toile. Elle vit deux petites statuettes représentant un garçon et une femme. Sans qu'elle puisse le savoir, ses yeux toujours accrochés aux statuettes, tels des aimants, elle révéla à Maximus qui l'observait tranquillement :

-Je les sauverai, sois sans crainte. L'homme ne saisit pas le sens de sa phrase.

-Que veux-tu dire ? Laurentia tourna lentement sa tête vers lui et fixa son regard ténébreux où la lumière des chandelles s'y reflétaient. Elle secoua faiblement la tête et passa ses doigts sur son front en plissant ses sourcils.

-Je ne sais pas…C'est, c'est sûrement le médicament qui m'a fait dire ça ou le manque de sommeil…Je ne sais vraiment pas pourquoi, désolé…Il l'a trouva étrange sur le coup et sa conscience lui dit de se méfier d'elle. Il ignora cette pensée et changea de sujet :

-Ça va maintenant ? Encore un peu confuse, elle hocha sa tête en signe affirmatif et répondit un faible « oui ». Laurentia lui tendit le flacon qu'il reposa sur l'étagère. Elle se remit sous les draps, un léger mal à l'aise flottant encore dans son esprit. Elle soupira et regarda Maximus reprendre son couteau laissé sur la table et disparaître derrière le voile bourgogne.

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Quelqu'un pénétra dans la tente…Il avança lentement vers la couche du général mais vit une fille l'occuper, celle-ci dormant paisiblement. Confus, il fronça ses sourcils. Un couteau se posa sur sa moelle épinière. L'homme se retourna lentement…Maximus retira son poignard quand il vit que l'intrus en question était Quintus. Il lui fit un sourit d'embrassement et le soldat effectua un vague geste de la main pour lui signifier que ce n'était rien.

-Maximus, l'empereur te demande, c'est urgent. À ces mots, le cœur du général ne fit qu'un bond. Il s'habilla rapidement et prit la direction du campement de Marc Aurèle d'un pas vif. Il arriva dans la tente, souleva un voile et s'arrêta net quand il vit Commode, la tête baissée.

-Pleure avec moi mon frère. Notre illustre père est mort. Une larme coula le long de son nez… Maximus fut touché de plein fouet par cette révélation. Il regarda vers le lit du vieil homme et fixa le jeune homme, pour s'assurer qu'il ne mentait pas. Le général alla à sa couche et lui toucha son front. Ce qui lui arrivait ne semblait être réel, cela devait être un cauchemar ! Sa peau était froide, sa poitrine immobile…L'esprit du grand empereur que fut Marc Aurèle s'éteignit en une seule nuit froide.

-Comment est-il mort ? Demanda Maximus.

-Le médecin a dit qu'il est parti sans douleur. Son souffle s'est affaibli pendant son sommeil, lui répondit Commode. Doucement, le général baisa le front du vieil homme et murmura :

-Père. Ne pouvant supporter cette scène plus longtemps, les yeux rougit par les larmes versées, le jeune homme déclara :

-Ton empereur te demande loyauté Maximus. Prends ma main. Je ne l'offre qu'une fois. L'homme se mit dos à Marc Aurèle, regarda Lucilla assit dans un coin sombre, pleurant la mort de son défunt père…Le général, dans l'incrédulité, ignora Commode, passa devant lui et sortit de la tente en appelant Quintus. Le jeune homme se retourna et fixa le soldat, lui rappelant les ordres qu'il avait donnés plus tôt. Celui-ci comprit et rejoignit le général.

Lucilla se leva, les larmes aux yeux et en fixant son frère, lui donna deux fois une forte gifle. Commode resta paisible, comprenant la fureur de sa sœur. Par la suite, elle lui prit la main et l'embrassa.

-Ave César, dit-elle à contrecœur.

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Maximus entra précipitamment dans sa tente, le cœur et l'esprit en colère. Il réajusta son armure pendant que Cicero l'assistait à le mettre. Dans l'empressement, il lui fit part de ses ordres :

-Je dois parler au sénat. J'ai besoin de leur conseil. Réveille Gaius et Falco.

-Gaius et Falco, répéta son serviteur.

-Glaive ! Pendant que son domestique alla chercher son épée, Quintus entra.

-Maximus, fais attention, ce n'est pas prudent de l'affronter.

-Prudent ? Fit le général, une pointe sarcastique dans sa voix. L'empereur a été assassin !

-L'empereur est mort d'une cause naturelle, rectifia glacialement le soldat.

-Quintus, pourquoi es-tu arm ?

-Gardes ! Fut sa seule réponse. Des hommes arrivèrent dans la tente et saisirent l'homme fortement.

-Ne résiste pas Maximus, lui conseilla-t-il, je suis désolé. César a parlé. Cicero, ayant suivit la conversation, se retourna vers son maître et sortit le glaive de son fourreau. Il lui fit signe négativement de la tête et se laissa faire.

-Chevauchez jusqu'à l'aube et exécutez-le. Quintus baissa la tête, peiné de devoir faire ça à son ami.

-Regarde-moi, ordonna d'une voix forte le général. Regarde-moi ! Promets-moi que tu prendras soin de ma famille.

-Ta famille te rejoindra bientôt dans l'autre vie. En fureur, Maximus essaya de se jeter sur le soldat mais fut arrêté par les gardes et eut un coup sur sa nuque pour le calmer. Il fut sonné et les hommes l'emmenèrent à l'extérieur. Après avoir fait seulement deux pas, il entendit :

-Arrêtez-la ! Arrêtez-la ! Un cheval gris passa rapidement près d'eux et faillit les écraser. Son cavalier fit halte et se retourna pour faire face à l'homme qui le poursuivait. Il banda son arc et la flèche se planta dans sa gorge. Le garde grogna et tomba de son destrier. Le général leva son regard vers la silhouette et vit de longues mèches brunes dépasser du capuchon couleur vin. Il reconnut aussitôt Laurentia qui la croisa du regard.

Elle jeta un rapide coup d'œil aux hommes qui l'escortaient vers sa mort et rapidement, tira trois flèches sur les soldats. Deux s'enfoncèrent dans le front du garde qui le tenait par le bras gauche. Celui-ci lâcha prise et tomba sur le sol dans un bruit mat. La troisième manqua sa cible et revola sur l'armure de Quintus. Il se recula, surpris, puis lui jeta un regard de haine. Elle ne fut point touché et lança à Maximus :

-N'oublie pas ce que je t'ai dit. Puis, elle accrocha son arc à son épaule et partit au galop.

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Alors, vous avez aimé, pas aimé? Une seule chose à faire pour me partager votre opinion : envoyez-moi une review!

Docteur Gribouille : La voilà la suite, elle t'a plu? En tout cas, moi j'ai bien aimé l'écrire! On sait en résumé qui est « cette jeune demoiselle au si grand courage », comme tu l'appelles ":D" : c'est une esclave du nom de Laurentia, elle peut parler le germain et fait d'étranges rêves qui l'ont poussé à aller dans le camp romain au péril de sa vie. C'est bien? Mais il y a encore beaucoup de choses qui restent secrètes et on va les découvrir peu à peu…

Oui, elle est bien courageuse ma petite Laurentia, enfin, elle n'a pas pu échapper aux romains sans dommage, ça c'est sûr!

Pour la prière de Maximus, j'ai reprit quelques bouts et je les ait mit dans mes mots, mais c'est vrai qu'il y a du moi là-dedans. Enfin, je sais pas trop ce qu'il dit en français (car je n'ai que la version anglaise chez moi et je ne la connais qu'en cette langue) mais ça doit se ressembler, non? Est-ce que tu as le film chez toi? Si oui, tu pourrais peut-être me dire ce qu'il dit en français please? Amé et moi avons cherché la version française mais elle n'est plus dans les vidéotrons et en vente, c'est trop nul. :'(

Oui, je compte bien changer la fin, mais je sais pas…Qui vivra vera! Kiss

Amé Phœnix : Ah ma très chère amie, comment ne pas répondre à cette magnifique review? :D J'ai tellement eu de joie à la lire que j'avais presque une petite larme à l'œil. Snif! Loll Donc, c pas grave que ta review a été effacé car je pense qu'elle est aussi longue celle-là, ne? Loll

Non non non jeune fille! Vous me décevez d'avoir autant de pensées malsaines! Faire souffrir Maximus; il n'en ait point question! Loll Je m'amuse, comme toujours. Ah ben, il souffre déjà beaucoup dans le film, tu sais? Mais oui, je crois bien le faire souffrir (surtout dans la dernière scène « Would you fight me? » c'est trop tentant! On le voit même pas se faire fouetter et torturer, voyons! C'est nul, loll.)

Hihi, moi aussi j'aime bien la SLAVE, comme tu dis. Mais mon cœur appartient aussi à notre petite Martina des songes! Bientôt on va la voir, t'es tu contente? (Pas encore, non, courage!) Bon, je vais essayé d'uploader le plus vite possible mes chaps (1 semaine maximum) alors, calma mi penquea niña. (Ah, l'espagnol, quelle belle langue! Et si y'a des fautes…Bah, perdon! ;))

Pauvre Lucilla, je la plains d'être tomber entre tes mains malveillante de pouce-malin. (fllllullluullu! "bruit de pouce-malin quand il parle") loll, tu vois c'que je veux dire, ne? XD Enfin, par problèmes je voulais dire mettre des bâtons dans les roues aux ennemis de MON Coco d'amour et changer bcp de chose par conséquent, okay? Loll. Enfin, ta tite future amante de Coco d'amour va sûrement le mettre plus méchante qu'il est parce que, NOUS, les femmes, sommes plus démoniaques et cruelles que les hommes, MUAHAHAHA! Pauvre Coco, s'il nous avait connu, quel grand empereur machiavélique serait-il devenu! :P Loll Et on nous appellerait Amelia et Arrianna, les Démoniques Catins de Commode. Ou d'un autre côté, on aurait dévoilé son vrai côté sadique (car je suis sûre qu'il pouvait faire mieux que ça.) et on serait connu comme les Anges Libérateurs, cool, non? J'veux avoir ton avis là-dessus! :P

Laurentia apprendra très bien se battre et deviendra un très bon allier pour Maximus mais elle ne combat d'aucun côté. Elle est la balance. Tu vois? Héhé D'un côté tu as Commode avec monsieur X et de l'autre, tu as Maximus avec monsieur Y, et Laurentia soutient les deux côtés, penchant d'un quelques fois, penchant de l'autre pour d'autres fois. Ahh, je suis fière de ma tite image philosophique. :P Mais je vois très bien où tu voulais en venir, mon espère de suppôt de Satan! Le bien triomphera toujours du mal car en voici la vrai raison de notre existence. S'il y aurait fallu que la force négative contrôle nos cœurs, nous nous verrons dans une bine mauvaise situation car nous mettrons notre propre monde en péril. Bien sûr, le mal existera toujours mais dans nos esprits seulement. Le bien contrôle en fait le monde, il faut seulement l'accepter et le mal disparaîtra comme une traînée de poudre pour à tout jamais s'envoler vers d'autres cieux…Savvy???

Demande-toi une chose avant tout : Pourquoi personne ne l'aimait? (Voici la vrai source où nous trouverons toutes les réponses) Son père savait de lui qu'il ne possédait pas les qualités requises pour être empereur, et ça se voyait. Même un aveugle aurait pu détecter ses pièges perfides à des kilomètres d'où il se trouvait. Donc, il avait de l'ambition, certes, mais pour lui-même. Alors, ça fait déjà de lui un égoïste. Il ne pensait qu'à lui-même et c'est vrai. Pourquoi n'a-t-il pas fait mal à son neveu? Pour mieux l'utiliser contre Lucilla en sachant très bien qu'elle savait qu'il n'oserait pas à le tuer. (S'il serait amoché, sa serait bien moins amusant.) Pourquoi ne l'a-t-il pas fait à cet instant? Car il se doutait que sa sœur n'était pas loyale envers lui et n'était pas encore sûr, alors, il n'osait pas encore, mais il l'aurait fait. Et tu crois que c'est mieux que Gracchus soit enfermé que d'être tué? Il va mourir de toute façon en prison, c'est son plan de faire les faire souffrir avant qu'ils meurent comme le fils et la femme de Maximus. Enfin, je suis sûre quand quelque part dans son cœur, Marc Aurèle aimait son fils (dans le film bien sûr, pas dans la vraie vie) mais il voulait seulement empêcher que son royaume, celui qu'il a mit 25 ans à construire avec ardeurs, se détruise par la cupidité sans bord de son fils. Je ne crois pas que toi non plus tu aurais supporter Commode. Je ne crois pas qu'il aurait fait attention à toi même si tu t'étais montré aussi sadique que lui, et s'il l'aurait fait, 'aurait été juste pour se servir de toi, voilà la vraie vérité. Ça fait mal quand on y pense? Oui, et j'en suis désolé. Moi je suis sûre qu'il n'aurait pas hésité à me tuer. Même Marcia –son amante préférée et qu'il respectait le plus- l'a tué car elle avait trouvé une « liste à éliminer » de son prétendu amant et sur celui-ci, son nom –Marcia- était inscrit. Donc, conclusion? Si monsieur avait pu changer au moins un peu son caractère d'égoïste, on l'aurait aimé! Et puis, si toi et Joaquin êtes les seuls à le trouver gentil et ben…Vous avez les deux yeux dans le même trou, désolé d'être méchante car j'm bien Coco mais ta question est un peu disons…contre versée. Voilà ce que j'avais à dire sur ça.

Pour mon frère (la GRANDE clémence), je te réserve l'honneur de venir le faire toi-même. (Tu y trouverais plus de plaisir ;))

Le tout voulait dire ce qu'on a fait à la journée Internationale du Rhum. Oops! De Rome, désolé. ' Tu comprends now? :P

T'es rancunière, tu savais ça? Merde, ça fait presque 9 mois de ça! Oui, au début je le trouvais laid car je ne le « voyais » pas vraiment, correct? Mais maintenant j'apprécie son talent d'acteur (Parce qu'au début, je ne l'aimais pas parce que je le trouvais trop méchant, vu son talent d'acteur, okay?) Fak, je n'ai plus à me justifier, vala.

COMMENT ÇA? ELLE N'A PAS AIMÉ BUFFALO SOLDIER'S ??!!! Ahh! La maudine! Pffff…Elle n'est pas à notre hauteur pour ce genre de film, elle n'apprécie pas la beauté d'un film de cette catégorie-là…Pauvre elle…;)

Bon ben, je crois que ça suffit pour ce soir, j'ai écrit deux pages pour répondre à ta belle review, contente? En tka, pr certains points, on en discuteras au téléphone! Merci encore ma bella!

Salve caras lectricis ac gratiast!!! Traduction : Au revoir chères lectrices et merci beaucoup! (Je suis folle du latin! ;))

Next chapter dans une semaine! Vous avez assez de temps pour me reviewer :D

Cybel

P.S. Je sais pas si vous avez remarquer mais on peut plus faire certains smileys et les petites étoiles quand on upload, c'est nul...:(