Disclaimer : Laurentia, Martina et tous les autres personnages secondaires que vous verrez dans ce chapitre m'appartiennent qu'à moi, ce sont MES choses, j'ai le droit de faire ce que je veux avec. Niark niark niark. (Mais que veut dire ce sourire diabolique ? affaire à suivre…) Les persos de Gladiator sont à Ridley Scott inc. ! Contrairement à ce que vous pouvez penser, Commode n'avait pas une sœur, mais six ! Trois d'entre elles seront beaucoup présentes. Puisqu'on ne sait absolument (ou pratiquement) rien sur ses sœurs (à part un peu pour Lucilla (Elle a réellement exist !)), je leur ait inventé un nom à paritir de leur prénom, un caractère, un passé etc…Donc, elles m'appartiennent à moitié. Un peu d'histoire ne nous fera pas de mal ! ;)
Genre : Alors là…Hum, drama, c'est sûr…Action/aventure, hihi, bientôt des combats ! Romance, oui oui, ça arrive, ça arrive…(Patience Amé! ;)) et Angst ! Pour le plus grand plaisir de tous ! (Mais pas maintenant…Je vais vous le dire quand le sang commencera à couler pour de bon, muhahahaha !)
Oui, bon, je me tais !
Caput IVUnus cor ut potissimum imuto
Un cœur pour que tout change…
Pas un mot, ni un rire, ni un souffle envahissaient la pièce. Elle était terrorisée ; ce n'était pas normal. Il n'y avait que les tics apeurés des autres filles derrière elle qui la rassurait qu'un tant soit peu. La jeune fille se sentait prise au piège, un piège vicieux où elle avait l'impression de ne pouvoir en sortir jamais vivante. Mais mieux valait être l'esclave d'un grand nom que d'être l'objet de barbares.
Ses mains moites froissaient sa robe qu'on lui avait mise quelques heures plutôt. Son cœur battait à un rythme effréné dans sa poitrine, ses yeux cherchaient une assurance quelconque dans la pièce sombre.
Soudain, son regard se fixa sur les grandes portes. Des pas. Quelqu'un venait vers elles. Les autres se turent dans leurs pensées quelques secondes plus tard, ayant elles aussi aperçues les bruits secs résonner sur le plancher. Les soldats qui gardaient la sortie ouvrirent les portes et deux silhouettes se dessinèrent à l'entrée.
Le premier visage qu'elles virent fut celle d'une femme dans le début de la vingtaine. Sa démarche la démarquait de celle qui l'accompagnait, la grâce suivait chacun de ses pas. Ses traits restaient impassibles, sa tête droite et son regard pointé sur ses futures servantes. La jeune femme était richement vêtue et on pouvait deviner très vite qu'elle était une des proches de l'empereur. Son corps était pourvu de courbes généreuses qui se dessinaient sous sa robe aux couleurs de la nuit. Ses cheveux châtains foncés avaient été relevés et attachés par des épingles d'or, quelques boucles ornaient son front et ses tempes. Étincelant à ses oreilles, des bijoux au mille scintillements, faisaient envier toutes les jeunes filles présentes. Sur ses lèvres se traça un sourire invisible. Elle passa devant elles tranquillement, les détaillant une à une. Son regard sondait chaque parcelle de leur corps, on aurait dit des poignards qui les transperçait chacune à leur tour, sans aucune pitié.
Les jeunes filles, toutes pétrifiées et intimidées, restaient tête baissée et fixée sur le plancher tant que la femme n'étaient pas passé devant elles. Une assurance maladive s'échappait de son corps, aucune d'elle n'osait faire le moindre geste qui pourrait l'offenser. Mais une jeune fille châtaigne dans l'assistance ne voulait pas se plier aux ordres naturels qui se déclenchaient en chacune d'elle.
Il faut que je lui montre que j'existe, que je ne suis pas faible, prête à me plier à n'importe lequel de ses caprices…Il faut que je garde ma tête haute, il faut…Il faut vraiment que j'agisse ou je ne suis qu'une lâche – et je n'en suis plus une. Elle me dégoûte !
Arrivée finalement à la jeune fille blonde, la femme s'arrêta. Celle-ci n'avait pas baissé le regard comme les autres. Tout d'abord, ce geste l'avait choqué et surprit.
Comment peut-elle ?…Puis, un sourire provocant se dessina sur ses lèvres et son regard aussi bleu que le ciel en été se planta dans des yeux aux même paillettes de couleur. Après seulement quelques minutes de confrontation, la jeune fille dut remettre les armes. La femme sourit de satisfaction et en se retournant, dit :
-Qu'un bon bain leur soit donné et que la nourrit leur soit servit. L'autre silhouette, sortant de l'ombre, fit découvrir une femme quinquagénaire, le visage rempli de rides prouvant son service dévoué à la famille royale depuis plusieurs années. Ses cheveux autrefois blonds étaient maintenant grisâtres. Elle donnait peine à voir.
-Mais, majesté, commença-t-elle, serrant ses mains anxieusement, n'est-ce pas à l'empereur d'approuver ses servantes ? Je ne nie pas votre sagesse, ni votre pouvoir, mais, c'est tout au contraire des habitudes et des convenances royales…Altesse, est-ce une bonne…
-Fannia, tu dois bien savoir combien l'empereur est occupé. Je ne fais que rendre service à mon cher frère, cette tâche est d'une trop maigre importance à ses yeux, je le sais bien…Mais, veux-tu que j'aille le chercher, qu'il laisse ses travaux qu'il doit rendre au sénat le plus tôt possible pour seulement approuver la marchandise de ses servantes ? La femme jeta un sourire narquois à la vieille femme, qui était totalement paniquée.
-Non, altesse, j-je ne crois pas qu'il le faille. J-je m'excuse de mon impudence, altesse…Fannia baissa honteusement sa tête. La femme s'approcha doucement et en mettant son doigt sous son menton, releva son visage.
-Je t'excuse mais je ne prends guère en considération tes paroles. Tu dois te reposer, Fannia. Je me charge du reste, fais-moi confiance…
-O-oui majesté.
-Bien. La vieille femme tourna les talons et partit d'un pas rapide à ses appartements, tourmentée par l'intimité que la sœur de l'empereur venait d'avoir avec elle.
La jeune femme repassa devant l'attroupement et commença d'une voix forte :
-Mon nom est Eleria Aurelia Fadilla Una, je suis deuxième dame de l'empereur. Je ne ferais que brève annonce, je vois sous vos robes se dessinent de maigres silhouettes, le voyage vous a sûrement épuisées…Dès aujourd'hui, vous faites parti de la grande famille royale, c'est un honneur, vous auriez pu être très bien dans les mains d'un marchand d'esclaves mais les dieux ont eut pitié de vous. Loyauté, obéissance et silence, sont vos mots d'ordre. Tout ce qui se passe en ces murs le resteront. Si unes de vous – j'ose à peine l'imaginer – complote quelque chose, je vous assure qu'elle le regrettera pour la fin de ses jours. Vous serez bien nourrit, vêtue et traitée. C'est tout pour aujourd'hui, j'espère que chacune d'entre vous a bien saisit ce que j'ai dit, n'est-ce pas?
Un faible mouvement de la part de l'amoncellement de jeunes filles répondit à sa question. Ses yeux interceptèrent une seconde fois la blondinette, celle qui avait voulut lui tenir tête.
Je garderais un œil sur elle…Puis, Una tourna les talons. Les gardes lui ouvrit les portes et trois autres femmes entrèrent précipitamment. Elles séparèrent la troupe en trois groupes et leur ordonnèrent sévèrement de suivre chacune de leur « chef » appropriée. La blondinette se retrouva avec une dizaine d'autres filles qui avaient l'air aussi pétrifiées et perdues qu'elle. Leur « chef », une grande femme élancée et brune, les firent traverser plusieurs salles avant d'arriver à leur « maison ». C'était une pièce simple, de largeur moyenne. Plusieurs lits étaient déjà installés et les accueilleraient cette nuit. Seuls quelques fenêtres et torches leurs procuraient de la lumière. Il y régnait une atmosphère assez lente et tranquille. La jeune fille se sentit tout de suite rassurée.
-Silence! Tonna la femme d'une voix forte et sévère. C'est pour vous un honneur de vous retrouver dans le palais de l'empereur, d'être ses servantes et de le côtoyer jusqu'à votre mort. Ici, vous serez bien traité et nous attendons de vous la même chose. Vos tâches vous seront donné bientôt mais d'abord, vous devez prendre un bain, pour être fraîches et disposez à exécuter vos fonctions. Je me nomme Placidia, je suis votre mère à toutes. Je vous apprendrai tous ce qu'il faut savoir pour bien servir la famille royale. Maintenant, au bain!
À ces mots, une gorgée d'esclaves se ruèrent sur les jeunes filles pour les assister à leur toilette. La jeune fille blonde ne savait plus quoi faire, elle était poussée de toutes parts. Elle obéit malgré elle et après que les servantes l'ait débarrassé de ses vêtements, elle embarqua d'un geste non assuré dans l'immense bassine. La chaleur de l'eau lui fit grand bien, elle qui n'avait connu que des rivières et petits étangs pour se laver depuis trois ans, savourait ce délice autrefois connu. Mais ce petit bonheur ne dura guère longtemps puisque deux femmes se jetèrent sur elle en lui frottant vivement le dos avec ce qui lui avait paru être de la roche comme éponge et en lui empoignant les cheveux pour les masser vigoureusement. Elle essayait bien de les avertir du mal-être qu'elle subissait mais à chaque fois, soit on lui plongeait la tête dans l'eau ou elle devait changer de position. Fatiguée, elle se laissa faire et bientôt, elle fut propre et sec. La jeune fille se sentit bien mieux après ce bain qu'elle avait rêvé il y a de cela longtemps.
Elle regarda les autres qui l'accompagnaient et elles semblaient toutes satisfaites, elles aussi, de cette nouvelle apparence et sensation. Elle avait revêtu la même tenue qu'elle avait à son arrivée, soit une robe en coton égyptienne très confortable et simple, de couleur gris-bleue, qui allait très bien avec ses yeux de même couleur. Une sorte de tiraillement au niveau de l'estomac l'a prit à une fois encore, la jeune blonde était à nouveau redevenu nerveuse à l'idée de ce qui l'attendait.
Quelqu'un frappa dans ses mains pour attirer l'attention des jeunes filles, c'était Placidia.
-Écoutez maintenant. Ce que j'apprête à vous dire est très important, soyez attentive. Regardez les personnes autour de vous, car, maintenant, elles sont la seule famille que vous aurez…
La jeune blonde fit le tour des visages, imitant les seize filles qui se trouvaient avec elle. Elle déglutit et inspira longuement puis, retourna son attention à Placidia.
-Ici, vous ne devez compter que sur vous-même dans vos tâches, n'attendez pas qu'une autre le fasse. La fonction qui vous est approprié est très importante au sein de cette famille, vous êtes chargé de veuillez au confort des membres impériaux. J'attends de chacune de vous un comportement irréprochable. Maintenant, suivez-moi.
Un murmure d'inquiétude et de joie parcoura la petite foule d'adolescentes. La jeune blonde voyait déjà des groupes se former et elle se sentait très seule, abandonnée. Une tristesse immense envahit son cœur et une grosse boule obstrua soudainement sa gorge.
Il ne faut pas que je pleure! Non! Pas devant tout ce monde!Avec une grande peine, elle ravala ses sentiments qu'elle laissa en suspension pour quelques temps.
-Es-es-tu nouvelle? Bafouilla timidement une voix à côté d'elle. La jeune blonde regarda son interlocutrice et la détailla rapidement : la jeune fille était plutôt petite, elle avait des cheveux bruns très foncés, qui lui arrivait à la hauteur des omoplates et ondulaient désordonnés vers le bas. Elle avait la peau très foncée et supposait qu'elle venait du Sud. Elle baissa ses yeux bruns, gênée par sa contemplation subite et inattendue.
-Oui, répondit la blonde.
-Ah.
-…Tu vis ici depuis longtemps ? Elle était heureuse qu'afin quelqu'un lui parle et s'arrangeait pour en savoir un peu plus pour s'en faire une alliée.
-Euh, depuis deux ans je crois. On m'a promu, c'est pour ça que je me trouve ici. Avant, je m'occupais des tâches extérieures.
-…Tâches extérieures? À cette question, la jeune fille brune rougit.
-Euh, oui, enfin, de l'entretien des vignes, du jardin…
-Et tu es contente de te retrouver ici? Un sourire soudain illumina son visage.
-Oh oui! J'en avais assez de travailler dehors, il fait une de ses chaleurs l'été et puis…
-Silence! Cria Placidia. Nous arrivons dans les quartiers impériaux. Elle fixa sévèrement du regard la troupe et chacune se tut. Elle se retourna vers les soldats de garde et ils lui ouvrit les portes. Toutes eurent le souffle coupé à la vue splendide des appartements royaux.
-Ceci, continua Placidia lentement et fortement, est la chambre de Annia Aurelia Galeria Lucilla, première dame de l'Empire. Vous deux, (elle pointa deux filles noires, qui se ressemblaient comme si elles étaient sœurs) vos noms?
-Helvia.
-Vasthie.
-Bien, vous êtes maintenant en charge de la toilette, de l'habillement et autres soins qui lui seraient nécessaire. Vous devez être organisé et bien exécuté toutes vos tâches données dans la journée sans défaillir, m'aies-je bien faite comprendre? Les deux filles hochèrent la tête positivement.
Ce fut comme ça jusqu'à ce que toutes les adolescentes aient leur maîtresse assignée. La jeune blonde apprit aussi le nom de sa nouvelle amie, Kaat, et elle était désignée comme nouvelle suivante du petit maître Lucius avec deux autres filles. Elle lui fit un sourire encourageant et Kaat lui répondit, elle était soulagée. Deux maîtres restaient à distribués, Vibia Sabina Roxanna, la plus jeune sœur de l'empereur, et l'empereur lui-même. La jeune blonde espérait secrètement ne pas se retrouver à s'occuper de Commode. Il l'intimidait plus que tout et elle se sentait faillir juste à penser qu'elle pourrait le servir. Elle ne se croyait pas à la hauteur de cet honneur – en était-ce vraiment un? La blondinette se mordit l'intérieur de la joue nerveusement et inspira longuement, comme si elle attendait que le Jugement Dernier sonne…
-Vous deux, noms? La jeune blonde sentit son cœur battre trois fois plus rapidement dans sa poitrine. Elle se retourna vers sa compagne. Elle était bien plus grande que la moyenne, même plus vieille que toutes les jeunes filles, on pouvait le voir à ses courbes généreuses et à ses yeux légèrement bridés, une expérience et une maturité inconnue prenaient place. Elle avait une épaisse et soyeuse chevelure blonde, aussi dorée que les blés au soleil.
-Elfgiva. Quelques filles se regardèrent à l'évocation de son nom étranger mais certaines purent l'apparenté au peuple du Nord. Toutes savaient que ce n'étaient que des barbares et ne les différenciaient pas un clan d'un autre.
Malgré l'agitation et les commérages qui commençaient à naître au sein du petit groupe, Placidia resta de marbre et inscrivit seulement son nom dans son livre. Puis, elle leva un regard lourd, qui n'assura pas l'autre jeune blonde. Elle déglutit et essaya de calmer son cœur qui semblait vouloir sortir de sa poitrine.
-M-Martina, dit-elle.
£££
On cogna à la porte. Placidia regarda d'un air ennuyé la sortie. Elle soupira et trempa sa plume dans l'encrier à nouveau.
-Entrez, ordonna-t-elle, fortement. La porte s'ouvrit dans une petite plainte, très timidement, une tête châtaigne passa l'ouverture et ferma la porte derrière elle. C'était Martina.
-Madame, est-ce que je vous dérange? La femme la fixa, haussa les sourcils et répondit :
-Non, parlez.
-J-je, enfin…La jeune fille se serra nerveusement les mains, sentant que son cœur allait lâcher.
-Si vous ne dîtes rien, continua Placidia, sortez, j'ai d'autres choses à faire.
-N-non, je m'excuse. Je ne crois pas pouvoir servir l'empereur…Je suis très gauche et ne lui serait d'aucune aide…S'il vous plait, puis-je échanger ma place avec une autre? La femme arrêta d'écrire et posa lentement la plume à côté de son livre. Elle inspira, puis regarda la jeune fille, le visage empourpré. Placidia pinça les lèvres et se leva de sa chaise.
-Écoutez bien ce que je vais vous dire…(Puis, elle reprit plus doucement) Si nous vous avons choisit pour cette tâche, c'est bien que vous avez les compétences requises. Vous êtes bien plus intelligente que les autres filles ici, je le sais. Vous avez déjà connu cette situation, je me trompe? Martina secoua négativement de la tête, la baissa par la même occasion. Placidia continua d'une voix rassurante, différente à celle qu'elle prenait pour gouverner la petite troupe.
-J'ai confiance en vous, et puis, Elfgiva sera à vos côtés, vous n'avez rien à craindre…Maintenant, (son ton rude surprit de nouveau la jeune fille) allez vite manger, après, vous devez servir pendant le souper.
-Oui madame. Un peu plus soulagé, Martina partit, son cœur battant dans sa poitrine comme si elle venait de courir le marathon, pour rejoindre Kaat qui l'attendait.
£££
Le vent lui fouettait le visage sans répit. Elle avait froid et faim, mais n'arrêtait pas sa folle course.
Ne pas…Le soleil se levait peu à peu, mais il faisait encore très noir. Elle avait sommeil, ses yeux se fermaient tout seul. Heureusement, il lui restait assez de force pour contrôler cette fatigue extrême.
Abandonner…Sans s'en rendre compte, des larmes coulaient sur ses joues. Elle essayait de se convaincre que c'était le vent qui était responsable mais elle savait au plus profondément d'elle-même…Elle savait qu'elle avait…
Oui, j'ai peur. Extrêmement peur. Cette frayeur qui me mangent les tripes, qui me fait douter, et qui me fait pleurer comme un enfant…Je déteste pleurer…
Elle essuya ses larmes avec sa cape et se sentit incroyablement libérer après cela.
Elle devait réussir.
Elle lui avait promit.
Et une promesse, était une promesse…
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Alors, mes deux chères lectrices, j'ai le plaisir de répondre à vos forrrrmidables reviews! :D
Amé Phœnix : Ma chère amie! J'ai bien hâte de te revoir! Puisque tu ne m'as pas rappelé ce soir (Grrmmbl!!! Loll, je grogne façon Jack! Je t'aimeuh! Mais je t'aime aussi Kyo! :D Héhé), je vais sûrement venir demain te faire une surprise (suis sûre que tu liras ce chapitres dans deux-trois jours, comme je te connais!) Mais d'abord, je dois répondre à ta zolie review! :)
Ahh! C'est nul que tu aies pas fait une longue review comme la dernière fois, j'ai bien aimé mwa! :D Mais sa va pas m'empêcher, mwa, de faire une longue review à ton prochain chapitre de PLGDR (Pour la gloire de Rome abrégé, savvy?) qui arrivera bientôt, N'EST-CE PAS? Loll Je suis pas très bonne en menace, sa paraît, hein? Mais bon, je te pardonne si c'est pour écrire la suite de PLGDR, car je l'attends avec impatience, tu le sais bien!
Bon bon bon, ce chapitre a été ENTIÈREMENT consacré à notre petite Martina, contente? Oui, bon y'a quelques lignes à la fin d'un personnage anonyme (devine c'est qui! ;)) mais je sais que ça t'a fait plaisir! Pauvre toi, on va le voir quand même assez souvent Maximus, donc, tu vas devoir l'endurer et le tolérer, love. Bon, c'est ça! Merci beaucoup! Ciao bella!
Docteur Gribouille : Salut! Tout d'abord, merci d'être là à chaque chapitre, tu es une bénédiction des dieux! ''pleure de joie'' Amé Phœnix : Et moi, hein? ''regard-qui-tue à la Commode'' Cybel : Mais toi tu es mon amie, ton sens de l'amitié t'y oblige…Non? Amé Phœnix : Je ne te parle plus. ''Change de nom et deviens « Hunt »'' Cybel : Oh non! Pas encore! ''Va s'excuser et consoler Amé Phœnix « Hunt »''
Loll, désolé pour l'interuption! Donc, je disais, merci d'être là et de me reviewer, ça me fait beaucoup beaucoup plaisir! :D En passant, j'ai lu la review que tu as donné à Amé, donc, toi aussi tu aimes Commode! (Cybel à Amé : Tu vois, tu n'es pas la seule!) Je suis sûre qu'elle est très contente et moi aussi, car j'adore Joaquin Phœnix, mais pas autant qu'Amé ;) As-tu vu Le Village ? Si non, cours au cinéma le plus proche de chez toi!!! On ne voit pas beaucoup Joaquin mais son talent ne passe pas inaperçu et le film est très bon!
Hum, hum…Donc, je reviens à ta review! :) (Je m'égare tout le temps…v.v) J'adore ta salutation!!! Je l'ai sourit longtemps et elle m'a fait rire. Elle est vraiment originale, héhé. (Je croyais jamais avoir un coup de cœur pour une simple salutation! Mais c'est fait!) Alala, le latin. Quelle langue difficile, je dois l'avouer. M'enfin, je ne crois pas mériter tout le respect que tu m'accordes car je dois te dire que ces phrases sont nés grâce à un site que je te donne à l'instant, si tu es intéress : Et puis, ce n'est pas une honte de ne pas savoir le latin! Moi, je ne sais que quelques phrases par chœur…C'est plutôt à moi d'avoir honte v.v…
Pour ce qui concerne toutes tes questions…Je ne peux y répondre maintenant mais si tu es patiente, tu le sauras dans les prochains chapitres à suivre, comme tu le dis si bien! ;) Mais je ne crois pas les dévoiler avant 5-6 chapitres! Vi, je suis méchante, loll. Thanks again! Bisous!
Donc, vala! Si vous êtes gentilles, vous aurez la suite bientôt! (Traduction : REVIEWS! ) Ah heum, loll. ;)
Ciao!
Cybel
P.S. Est-ce que je parle trop? o.O
