Disclaimer: Tous les personnnages que vous reconnaissez appartiennent à Ridley Scott inc. Je ne fais pas de l'argent avec, l'idée ne m'a jamais effleuré l'esprit, croyez-moi! Donc, à ce jour, celles et ceux qui sont en ma possession (Black Arie: Les pauvres ¬¬) sont: Laurentia, Martina, Kaat, Erelia Aurelia Fadilla Una, Placidia et tous les personnages secondaires que vous avez vu dans le dernier chapitre. Voilà!

Genre: Drama, Action/aventure, Romance, Angst...Dans ce chapitre-ci, il y a de la torture psychologique, muahahaha! Pas beaucoup, je peux être pire mais disons, je vous avertit.

Ah oui! Pour celles qui l'ont peut-être remarqué, mes titres ne sont pas là pour faire joli, ils font une grande et belle phrase! Et bravo à toutes celles qui l'ont vu! Sinon, les autres, brûlez dans le Tartare, c'est ce que vous méritez!

Caput V
Ac forsan ut dies
Et peut-être qu'un jour…

Vide; immense, insatisfaisant, prenait place en son être, plongé dans une colère et enlacé de noires idées de vengeance, qu'il faisait, de toutes ses forces, taire. Ces sentiments, cette colère vengeresse, étaient prisonniers dans un corps qui se voulait être silencieux pour le moment, ne voulant pas se trahir devant l'assemblé présente. Il avait pourtant une grande envie de crier et de pleurer de désespoir. Le monde se révélait soudainement injuste, tel un enfant qu'on arrachait vivement des belles petites menottes que la vie lui procurait avant un drame.

Il voulait mourir.

Plusieurs fois, il avait souhaité périr sous le regard de Proximo ou sous la voix de Juba. À quoi bon vivre quand tout lui avait été enlevé? Et cela, en seulement une seule nuit froide en territoire hostile…

Car sa femme et son fils étaient morts. Il était arrivé trop tard. Comme Laurentia, qui, depuis son « arrivée », ne lui avait pas dit un mot, restant plongé dans ses pensées les plus obscures, dans un coin sombre du Ludi. (1)

La première nuit qu'il passa dans l'école fut terrible, des images horribles de scènes de la crucifixion de sa famille revenaient péniblement hanter sa conscience ; son épouse, sa chair noir comme le charbon, une expression de douleur immense imprégnée sur son visage à jamais, ses longs cheveux noirs ayant été consumé par les flammes ; son fils, son enfant, la chair de sa chair…Tout aussi carbonisé, son innocence à jamais disparu dans les méandres de la douleur. Et, une odeur écœurante accompagnait ses cauchemars, comme s'il s'y trouvait toujours…Cette odeur de viande pourrie, de mort et de torture, jamais il ne pourrait l'oublier…

Il refoula ses larmes. Il devait se montrer fort et impassible devant les autres. Il devait être le grand général qu'il eut été, et qu'il était toujours.

Puis, lentement –même si cette idée lui avait prit le cœur dès le début de tout–, il préparait sa vengeance, une terrible vengeance. Commode devait mourir. Toutefois, avant ça, il devra souffrir, comme il avait souffert. Aucun moyen ne pouvait lui donner l'espoir de sortir d'ici vivant, mais si cette vengeance pouvait le convaincre de ne point abandonner et de continuer à vivre ne serait-ce que pour le tuer, alors, il vivrait. Il vivrait pour tuer de ses mains celui qui avait détruit sa famille.

Maximus jeta un regard à Juba, dormant déjà à cette heure. Il soupira. Lui aussi envisageait de se reposer, demain allait être une dure journée. Il en avait l'impression.

Juste avant de fermer les paupières, il essaya d'apercevoir dans la pénombre du Ludi, la jeune fille. Malgré le peu de lumière lunaire qui s'infiltrait par les fenêtres, il ne pouvait pas deviner la silhouette recroquevillée de Laurentia, ne pouvant fermer les yeux malgré la fatigue qui se faisait de plus en plus pesante sur ses épaules.

Elle pleurait. Encore, rongée par les remords.

C'est de ta faute! Tout est de ta faute! Si Maximus souffre, c'est à cause de toi! Tu n'as pas tenu ta promesse, tu n'es qu'une sale menteuse! Il te déteste et il te veut morte! Jamais plus il n'osera te regarder, ni de t'adresser la parole. Tu dois mourir, sale vipère! Tu ne peux plus rien faire pour lui. Tu es mieux morte que vivante!

Dans un sanglot étouffé, elle posa sa tête sur ses genoux et laissa encore ses larmes couler sur ses joues. Comment pouvait-elle vivre avec cela sur les épaules? Ils étaient tous les deux morts par sa faute, manquant de vigilance et de rapidité. Si elle n'avait point tardé dans le camp romain et avait suivit ses intuitions, les dieux l'auraient conduite jusqu'à la maison de sa famille et elle aurait pu les sauver, à ce moment-là!

Mais n'ayant point de jugement et la curiosité l'emportant sur tout, elle avait risqué de s'aventurer sur le territoire hostile des Romains et par sa faute, retardé sa mission. Elle aurait dû…Elle aurait pu!

Maximus n'était pas le seul qui souffrait en silence. Le spectacle de souffrance et de torture qui lui avait été infligé, avait été plus que suffisant pour peupler sa conscience de mauvais rêve jusqu'à la fin de sa vie. Cette vie, elle ne se donnait guère deux mois pour y mettre fin, et elle le savait, son âme était déjà vouée à périr et à se consumer lentement dans les flammes et les dépotoirs arides du Tartare. Elle devait souffrir pour tout le mal qu'elle avait semé.

Il n'y avait pas seulement la famille de Maximus qui en payait le prix. Toute sa famille et le petit village avaient souffert, et par conséquent, étaient morts…Les uns, après les autres…Ceux qui n'avaient pas périt étaient pour la plupart des femmes qui avaient supplié d'épargner leur vie en échange de les servir…

« Eux »… « Ils » ne seraient pas venus si je n'avais pas écouté mon idiote de sœur et que j'avais parlé! Et j'aurais pu protéger ma famille, au moins, sauvé mon frère! Mais il est…

Mort, comme la plupart du petit village. Et ça, jamais elle ne pourrait se pardonner. Elle avait survécu, alors qu'elle ne méritait que la mort…

Cependant, elle ne l'avait fait que pour une seule personne…

Martina

Laurentia sécha ses larmes, honteuse. Elle avait perdu tout espoir mais au souvenir de sa cousine, elle se promit d'accomplir sa première quête –qu'était d'accompagner jusqu'à la fin Maximus et de toujours veiller sur lui– et de la retrouver le plus vite possible, pour pouvoir la serrer dans ses bras…

La jeune fille, perdue dans ses pensées, s'attarda sur un point : Comment allait devenir sa nouvelle « vie » en tant que gladiateur? Elle savait qu'elle n'était pas la meilleure au corps à corps, mais, elle maîtrisait parfaitement l'art du tir à l'arc. Et, sur son honneur, elle allait prouver à Proximo qu'elle était aussi forte qu'un homme. Oui. Même s'il s'entêtait à dire qu'elle allait mourir avant même d'avoir poser un pied dans une arène, elle n'allait pas le laisser la rabaisser simplement parce qu'elle n'était pas comme eux…

Un seul point pouvait unir Laurentia et Proximo : ils étaient tout aussi obstiné l'un que l'autre.

Elle soupira. Même après avoir versé tout son chagrin, quelque chose lui tiraillait l'estomac. Elle commençait à avoir peur. Peur de ce que le destin ombrageux des dieux lui avait réservé. Peur de mourir, peur de vivre. Car, personne ne pouvait supporter plus longtemps de vivre s'il se savait déjà mort…Voilà une des choses qui effrayait le plus Laurentia : et si elle échouait? Si Martina était déjà de l'autre côté ou en train de moisir quelque part sur des terres qui n'allait jamais lui apporter la paix et le repos éternel? Et s'il arrivait quelque à Maximus? Ils étaient tous les deux sa seule et dernière raison de rester en vie…

La jeune fille secoua rageusement la tête. Elle devait chasser toutes pensées obscures de son esprit qui n'allaient la mener à rien, sauf à s'apitoyer sur son sort. Elle passa une main dans ses cheveux et retint un hoquet de surprise, étonnée de ne plus sentir de longues mèches lui caresser les doigts.

Encore quelque chose à quoi il faudrait qu'elle s'habitue…Pour rester avec le général, il avait fallut qu'elle se sépare de sa longue chevelure dont elle était si fière…Car, comme lui avait dit Proximo, si elle voulait combattre, il ne fallait pas que de la paille lui cache ses si beaux yeux…

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Le carrosse était secoué de toute part, sous le terrain accidenté et rocheux. Un soleil plombait sur la région de Zucchabar, province romaine. La diligence se dirigea vers des bâtiments de sable, leur futur Ludi. Maximus n'avait cessé de regarder d'un mauvais œil le paysage qui défilait devant ses yeux.

Il avait été vendu comme gladiateur. Et ça ne l'enchantait guère. Il allait montrer au vieil homme qui n'allait pas se laisser faire et obéir aveuglément, pour ne devenir qu'une simple marionnette à qui on pouvait décider de laisser vie ou mort.

Le général soupira, voyant les portiques de sa nouvelle demeure se dresser devant lui. Bientôt, son destin allait être sceller pour de bon mais il ne laisserait pas dans les mains des dieux, comme autrefois ; un passé aussi proche que lointain, sa vie et sa confiance. Ils lui avaient tout prit, tout ce qui comptait le plus à ses yeux. Quitte à mourir, il rejoindrait sa famille.

Une voix impatiente le fit sortir de ses pensées :

-Allez! Combien de temps il faut pour rentrer dans sa propre maison? Plus vite!

La charrette s'arrêta finalement, un homme leur ouvrit la porte et Maximus se rua à l'extérieur, soulagé de pouvoir respirer de l'air pur car à l'intérieur, entassé comme des chiens s'abritant de la pluie, une odeur abominable s'était formée. Il suivit les autres au trot et s'arrêta, formant une ligne.

Aussitôt, des esclaves surgirent et avec des sceaux, et répandirent sur la ligne de combattants de la chaux pour éloigner les parasites et les maladies. Pendant cela, leur maître s'adressa aux futurs gladiateurs :

-Je suis Proximo. Je serai plus près de vous pour les jours à venir, qui seront la fin de vos misérables et malheureuses vies, que votre chienne de mère vous a apporté en criant dans ce monde.

Un peu plus loin, un lion dans une cage déchiquète violemment un membre humain qu'on lui tend alors que les vautours déchirent les restes d'un cadavre. Le général regardait le décor amèrement. Alors que Proximo allait poursuivre son discours, des bruits de pots cassés résonnèrent dans un coin. Puis, des cris s'en suivirent.

-Qu'est-ce qui se passe?! Rugit le vieil homme. Sa requête ne se fit pas tarder. Deux de ses esclaves apportèrent ce qui lui avait semblé être un jeune homme qui se débattait farouchement. Sa cape bourgogne avait recouvert sa tête et des mèches brunes sortaient de toutes parts. Il réussit à se défaire de l'une des poignes et poussa un des malencontreux qui atterrit sur une étagère. L'autre homme, plus fort et plus grand, finit par perdre complètement patience et l'empoigna par derrière, ramenant ses coudes vers son dos. Ses pieds se soulevèrent de la terre et il se démena encore, comme un animal sauvage arraché à sa jungle natale. L'esclave le mena jusqu'à Proximo et il put entendre les proclamations que l'intrus lançait :

-Nein! Nein! Berühren Sie mich nicht! (Non! Non! Ne me touche pas!) L'esclave le lâcha et le jeune homme se retourna pour cracher à ses pieds.

-Arschloch! (Trou du cul !)

Quand il détourna la tête de l'esclave, il reçut une gifle violente de Proximo, dévoilant le visage de l'inconnu.

Maximus sursauta en découvrant le visage parsemé d'hématomes de Laurentia. Elle garda quelques instants sa tête immobile, accusant le coup. Elle tâta sa lèvre où un petit filet de sang s'écoulait lentement. Ses yeux, d'où une étincelle farouche brillait, rencontrèrent le regard plus que surpris du général. Les ténèbres silencieux et meurtris contre le vert pomme éclatant des vergers.

Cependant, cette rencontre dura à peine une seconde, que la voix forte du maître se fit entendre :

-Sale petite…!!! Comment es-tu entrée ici, dis-moi! Aussitôt, l'homme qui l'avait mené devant Proximo sembla lui expliquer dans une langue inconnue à tous ce qui s'était passé. Une colère noire habitait Laurentia d'avoir été frappé par un homme, alors qu'elle s'était promise de ne plus jamais se laisser faire. Elle chercha Maximus dans la lignée d'esclave. Celui-ci avait la tête relevée, ne laissant pas leur regard se recroiser. La jeune fille fut blessée par son amour propre, elle, n'étant venu ici que pour le secourir après…Après que les Romains, qu'ils…

Elle se mordit violemment la lèvre inférieure, tic détenu depuis trois ans, s'empêchant de pleurer, alors que les images de l'épouse et du fils de Maximus se découpèrent dans son esprit. Elle tendit l'oreille, l'homme qui était sûrement un Bédouin finissait son explication accompagné de mouvements actifs de ses mains et pointant quelques fois l'endroit où elle se trouvait, un peu plus tôt.

Il faut que je trouve un moyen de me sortir d'ici, avec Maximus…Ah! Pourquoi ne me regarde-t-il pas! Maximus! S'il te plait! Ne m'en veut pas!…Je suis désolée…Il faut que j'aie une idée pour sortir de ce taudis!…Mais oui! J'ai encore mon carquois!

D'un geste vif, elle fit basculer le contenant de ses flèches, en prit deux et se précipita vers le marchand d'esclaves alors que celui-ci était toujours en conversation avec le Bédouin. Malgré sa fatigue et son infériorité comparé à Proximo, une décharge d'adrénaline défila dans ses veines pour lui donner la puissance qu'elle avait besoin pour ce plan in extremis.

D'un geste sûr et agile, Laurentia s'accroupit, prit son élan et frappa de son pied la cheville de Proximo. Le vieil homme chancela mais ne tomba pas. Elle se releva aussi vite et le poussa pour qu'il tombe par terre. Puis, elle pointa les deux bouts pointus sur sa gorge, s'accroupissant sur lui.

Plusieurs de ses serviteurs vinrent à sa rescousse mais ils virent clairement qu'elle allait le tuer s'ils approchaient d'un pas de plus.

-Unterstützung! (Reculez!)

-Une Germaine…J'ai entendu parler de votre courage au combat mais aussi de votre grande stupidité. Elle enfonça un peu plus les pointes dans son cou, ses yeux verts trahissant sa colère.

-Bewegt sich nicht, (Ne bouge pas.) dit-elle en serrant les dents.

-Tu sais que tu cours tout droit à ta mort, petite chienne. Il ricana.

-Et vous aussi. Ordonnez-leur de reculer, donnez-moi un cheval et cet esclave. Elle pointa du menton Maximus.

-Tu crois sortir ici vivante ? Si tu crois que tu vas partir, prendre un de mes cheveux, cet esclave et déguerpir tranquillement, c'est que tu es simplement folle.

-Fermez-la. Sinon je vous tranche la gorge.

-Tu crois être capable de me tuer ? Vas-y. Laurentia resta stoïque après cette dernière, sa mâchoire serrée, incapable de faire le moindre geste.

-Vas-y, tue-moi ! Lla jeune fille ne réagit point, départagée dans le doute.

-Vas-y ! Allez ! Tue-moi ! Voyant son air troublé, Proximo en profita et se dégagea vite fait. Il aurait pu le faire avant que leur petite conversation ne commence mais il avait voulut savoir jusqu'où pouvait aller la Germaine. Il se releva sans aucun effort et regarda Laurentia, maintenant entourée de ses autres gladiateurs. Confuse, elle resta sur le sol, son dernier espoir se brisant pour de bon. La jeune fille rencontra le regard glacial de Proximo et celui-ci fit un petit geste de la tête. Elle réalisa trop tard qu'il s'adressait à une personne qui s'était placé derrière elle.

Celle-ci n'eut point le temps de se retourner qu'elle fut assommée.

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Je suis sadique, nan? n.n Hello everybody! Je sais, je sais, j'ai prit beaucoup de temps et je suis désolé! Ouais! J'ai eu 4 reviews! 4!!! n.n loll. Bon, je vais leur répondre tout de suite!

Amé Phœnix : Ma petite Amé d'amour! Loll, la rentré est passé depuis ta dernière review. Je me demande si tu vas mettre la suite de PLGDR un jour, car sa devient de plus en plus intéressant! Je suis désolé d'avoir dit que Martina est blonde! v.v Je vais y remédier un peu plus tard mais je te promets de le faire! Elle va être CHÂTAINE, ok? Ça te va? Enjoy! n.n Je suis contente que tu aies aimé le precedent chapitre, le VI sera la suite de celui-ci, et je crois que le VII devra être un retour à Martina un nouveau personnage ! MUHAHAHA ! Coco me rend méchante, plus ce que j'étais (Mon Dieu ! Où va-t-elle s'arrêter ?!) et j'en suis fière ! En passant, je t'aime Coco d'amoureuh ! Et tu sais quoi ? Ta future femme t'a reni ! Maintenant, c'est « Le Prince est beau ! » « Ah ! Il a une belle voix ! » « Il m'a touch » et blalabla…Je t'avais pourtant dit de ne pas t'y fier, qu'elle allait te tromper un jour et…Chuutt…Nan, pleure pas…Oui, je sais qu'elle est une…Mais nan, tu vas trouver quelqu'un d'autre…Chuttt…Je suis l

(J'ai l'impression que je vais mourir dans pas grand temps moi…) JAMAIS ! Il n'y aura AUCUNE romance entre Laurentia et Maximus ! YAKI ! T'e rends tu compte de ce que tu viens de dire ? Y'a le tripe de son âge ! Y'est pas pédophile, quand même ! Alalala ! Je te croyais allumeuse, mais là, tu dépasses l'inimaginable ! Cochonnerie ! Comme dirait Élo n.n

JE NE SUIS PAS AVEUGLE, SAVVY ? RRAHH ! Que t'es fatigante avec ça ! v.v Pauvre de moi, si maltraité…Si malmené…Ah ! Je savais que mon Coco d'amour allait me sauver. (Attention ! Je ne l'aime pas, je te rappelle que c'est mon meilleur ami et que j'aime y donner ce pitit surnom parce que ça le fait chier, loll)

Mon frère te fait le même message (AM I NOT MERCIFUL) et…c'est ça. Je t'aime aussi ma petite Haru-chan préférée, take care !…Ouais…Faudrait pratiquer, mais moi j'aime mieux le réel qu'au fake, muahaha ! n.n

Une fille ki veut po que l'auteur la reconnaisse : Ça pas marché, Vanessa M.S.L, je t'ai reconnu ! Muahahaha ! Et que je suis missante ! n.n Oui, je sais comment tu aimes (loll) lire mais avec moi, tu sais, tu vas devenir une grand accro ! Déjà que tu bouffes plus les gros romans que d'habitude, et grâce à Fruits Basket ! Ah que je suis bonne ! Ah, la modestie m'étouffe ! n.n OUI ! Faudra que tu la lises au grand complet si tu veux que je te reparle un jour, donc, go go go ! Review-moi ! Plus que tu attends, plus que ça va être pire ! Let's go ! Grouille ! Je veux des review-euh ! Mici Vanou ! n.n Je suis contente que tu aimes ça. AAAAAAAAH ! T'a jamais vu Gladiator ! Tu m'as jamais dit ça ! O.O Viens-t-en ché nous, je vais te faire écouter ça ! loll Oui, moi aussi il me fait peur quelque fois (Coco) mais je l'aime qd même. Contrairement à Amé la traîtresse. Hum hum. Aaaaaah ! Merci merci ! C'est trop d'honneur ! Hihihi ''rougis'' :D Je t'aime Vanou, on se vient demain !

Morena9 : Hi my dear ! Nan, tu rigoles? C'est un prologue, je te feras remarquer – bien sûr que c'est court ! loll Quel humour tu as ! C'est ça que je suis ? Une auteure qu'on utilise pour se faire de la pub ? Ah ben l ! J'le prends pas! Espèce de sale traîtresse ! Tu reviews juste pour te faire de la pub, en plus, c'est même pas une histoire sur Glad. T'as d'l'audace ! Grrr ! HA HA HA ! Mon cher petit frère ! Un jour, tu te retrouveras tout seul et tu seras que je suis le seul et l'unique représentant de ton cœur et tu accourras dans mes bras ! (Yuki : Ayamé, fantasmes toujours…¬¬) Je t'aime aussi, ma petite Morena-chan ! (Mon Dieu ! Tout le monde m'aime ! Que c'est fantastique ! n.n) Merci pour tes reviews et t'es mieux de me reviewer pour les autres chapitres !

Avant de vous laisser, j'ai une grave nouvelle à vous annoncer…Oui. Ce que j'ai tant douter est arrivé…Une de mes revieweuse –une de mes premières– nous a quitté. Je me suis inscrit à « Auteur En Peine Recherche » en fin de semaine et donc, je lance un avis de recherche à tout ceux qui aurait vu Dr.Gribouille ces derniers temps. Je m'ennuie d'elle ! Snifff…

Ah oui ! Il y a aussi deux personnes hyper important (pas plus que vous, ne vous inquiétez pas) que je dois remercier : Clara et Camille, mes deux bêta-corrigeuses, je vous aimeuh ! Ciao tout le monde !

Cybel

(1) École spécialisé de gladiateur