C'est déjà la fin des vacances et la rentrée ne saurait tarder. Cela va hélas retarder et ralentir mes mises à jour. Je promets néanmoins de continuer cette histoire. Merci à tous de me lire et de me rewiewer, continuez.

Titre : Otome no tsuchi to kaze – La fille de la terre et des vents.

Auteur : Elizabeth.

Disclamer : Tout ce que vous allez lire ne m'appartient pas (sauf peut-être l'histoire, ce qui n'est que peu de choses). Ayant décidé d'écrire sur le monde de Kenshin, je tiens à préciser qu'il appartient au mangaka Nobuhiro Watsuki Je ne touche donc aucun droit d'auteur et le travail que je fournis n'est pas dans un but lucratif. Je vous prie donc de ne pas me poursuivre.

Je remercie les personnes qui prendront le temps de lire cette histoire et de me laisser un message. Sachez que cela est toujours encourageant. Vous pouvez aussi me faire part de vos remarques et critiques à l'adresse suivante : avec comme objet "fanfiction kenshin". Merci et bonne lecture.

CHAPITRE 4
Les feux de juillet.

Son regard se posa sur les toits de la ville, flamboyant sous les rayons ardant du soleil. Rien ne venait troubler la tranquillité de ce quartier de Tokyo. L'appartement se trouvait au troisième étage d'une maison placée sur une colline. Et de la fenêtre, on dominait presque la moitié de Tokyo. La ville était en effervescence pour le Tanabata. On devait installer des guirlandes de papier un peu partout et dans les maisons, préparer les lampions de couleurs pour la soirée. Il vit des gens marcher dans la rue, un groupe d'enfant qui se rendait apparemment quelque part pour jouer en chantant un doyo. Les paroles lui parvinrent aux oreilles et il se sentit bouleversé, troublé par les terribles souvenirs de son enfance qui remontaient le fil de sa mémoire comme tant de goûts amers.

L'homme serra les mâchoires et sentit des larmes monter à ses yeux. Lui n'avait jamais eu la chance de connaître cela, cette insouciance idyllique propre à l'enfance. Il n'avait jamais chanté de chansons. Son enfance n'avait été que brimades et insultes parce que sa mère avait eu le malheur de s'éprendre d'un autre homme que son mari. Le samouraï qui aurait du être son père l'avait renié, le poussant à une vie misérable où il avait perdu son titre et son rang. Il n'avait jamais eu de camarades pour jouer ; les seules personnes qu'il avait côtoyées l'avaient tout d'abord exploité puis été passé au fil de sa lame. Le bakumastu s'était déchaîné, et le jeune homme rempli de haine et d'amertume s'était jeté dans la tourmente historique parmi les rangs de l'empereur. Son poing se crispa et sa vision, s'embruma d'images de la révolution. Cette haine qu'il avait assouvie, ce sentiment d'être libre, ce sentiment d'être enfin quelqu'un. Oui, cet homme était devenu peu à peu Koman Yokoshima.

La tenure derrière se souleva avec un bruit de lourds tissus plissés et des pas feutrés sur le tatami se rapprochèrent de lui.

« Maître, vous m'avez fait mander ? »
« Oui, Kitayohei. Il faudrait tenter d'agir dès ce soir. Attendre m'est insupportable. »
« Qu'avez-vous prévu, demanda l'homme au visage revêche. »

Kitayohei était un homme froid et calculateur. Koman avait parfaitement eu raison de l'épargner, c'était d'ailleurs le seul qui ne se soit pas écroulé dans une mare de sang face à lui. Il était donc devenu son homme de main, organisant les affaires de son maître. Ancien mercenaire, Kitayohei avait lui-même fait appel à des connaissances des milieux souterrains pour ce projet. L'homme regarda son maître qui lui tournait le dos.

Ces deux hommes étaient totalement disparates. Kitayohei était laid, son visage grossier aux traits déformés s'accordant avec son accoutrement. De son côté, Koman Yokoshima était vêtu d'un riche kimono d'intérieur en soie noire et rouge aux motifs végétaux brodés de fils d'or. Le maître tourna la tête et fixa de son regard son homme de main. Koman Yokoshima était à peine âgé de vingt-trois ans mais il était indéniable qu'il avait déjà trop souffert de la vie. Son unique œil à l'iris gris se promena, passant en revue ce qui l'entourait. Son autre œil se trouvait caché sous un bandeau de couleur rouge sang qui barrait diagonalement son front. Il avait attaché ses cheveux dans un lien de cuir noir et ils pendaient sur ses épaules. De longs cheveux châtains aux reflets d'or, tout à fait inhabituels pour un japonais. Son allure était dérangeante, cet homme aurait pu être normal mais ses cheveux et ce bandeau cachant son œil le rendaient mystérieux et perturbant.

« Vous allez me prendre deux hommes qui seront chargées de la filer aujourd'hui. Cependant, ils n'agiront que ce soir. Ce sera plus tranquille, tout le monde sera occupé aux festivités. Elle aurait très certainement sur elle un livre. Je le veux. »
« Ce sera fait. Mais que fait-on de la fille ? »
« Si j'obtiens ce livre, nous éviterons un affrontement frontal, déclara le jeune homme avec un rictus victorieux. »

Kitayohei se retira après l'avoir poliment salué. Koman resta silencieux et réalisa qu'il n'attendait en fait que cela, un affrontement avec elle. Ce serait tellement amusant de la voir s'escrimer avec ses techniques. Pauvre petite fille ; elle aurait voulu renoncer à ce que lui concédait son rang alors que lui en avait été privé. Lamentable ! Et si Hisuiro Kizoku trouvait Suku Tedakasu, Koman pourrait enfin l'affronter. Et posséder ce qu'il avait rêvé de posséder depuis déjà six ans : devenir l'héritier de la Terre et des Vents, Tsuchi to kaze. Une cloche sonna les premières heures de la matinée et l'homme se releva de son coussin. Il sortit de la chambre pour se restaurer tandis que la chaleur envahissait peu à peu tout.

La gare de Tokyo était bondée de monde car on venait des quatre coins du pays à Tokyo pour apprécier les splendeurs du festival Tanabata. Dans la foule, les accents d'Hokkaido se mêlaient à ceux du Kansaï, parfois entrecoupé par des langages insulaires. Parmi les voyageurs, un petit groupe se frayait un chemin. Kenshin tenait le bras de Kaoru ; ils jetèrent un coup d'œil à la grande horloge murale qui leur indiqua seize heures. Après s'être renseignés au guichet le plus proche, ils partirent en direction du quai indiqué par l'agent ferroviaire.

« Quai sept, c'est ici, s'exclama Yahiko. »

Sano avait lui aussi accepté de les accompagner, mettant de coté sa querelle avec le samouraï. Le train apparut au bout des rails faisant trembler la gare. Il s'y engouffra avec un panache de fumée noire et un sifflement suraigu. La locomotive ralentit son rythme et le train s'immobilisa en un grincement métallique. Aussitôt, de nombreux voyageurs descendirent des wagons. Des familles se retrouvaient tandis que d'autre se quittaient. Kenshin chercha vainement des yeux leurs visiteurs mais ce fut Sano qui les vit le premier, du haut de sa grande taille.

« Ils sont là, lança t'il véhément tout en continuer de mastiquer ce qui devait être des arrêtes de poissons. »

En effet, une jeune fille vêtue d'un court ensemble aux couleurs bleue et jaune se précipita vers eux, bousculant quelques passants qui grommelèrent, et se jeta au cou de Kaoru qui la serra contre elle. La longue tresse de la nouvelle venue s'agitait joyeusement dans son dos.

« Kaoru, je suis tellement contente de te revoir, s'exclama Misao au comble du bonheur. »
« Moi aussi, répondit l'autre jeune fille e souriant de bon cœur. »

Aoshi apparut à son tour, tenant à la main leurs sacs de voyage. Vêtu d'un costume occidental noir, il n'avait pas changé, toujours le même homme stoïque au regard clair. Après de brèves salutations, ils se mirent ne route pour le dojo Kamiya. Kenshin qui écoutait Misao raconter leur voyage remarqua que l'okashira avait discrètement à ses cotés un long étui de sabre qui renfermait en fait deux kadochis. Ainsi, aucun homme ne changeait vraiment jamais, pensa Kenshin en souriant.

Arrivés au dojo, Kaoru guida les nouveaux venus vers leurs chambres. Misao était excitée par la fête dont ils avaient déjà croisé les préliminaires dans les rues. Kaoru fit coulisser le panneau de bois et laissa Misao entrer. La jeune fille regarda autour d'elle, dévisageant les murs inconnus.

« Tu as changé de chambre, déclara t'elle à voix haute en faisant une pirouette sur elle-même, un doigt posé sur les lèvres. »
« Effectivement, s'empressa de répondre Kaoru en rougissant. J'avais trop chaud. Ici, les nuits sont un peu plus fraîches. »

Quelqu'un se glissa à ses côtés et s'appuya nonchalamment sur le montant en acajou de la porte.

« Pourtant, avec le trou dans vote fusama, vous ne devez pas avoir trop chaud. »

Kaoru se retourna et se trouva nez à nez avec Aoshi, bras croisés sur la poitrine. L'homme avait le visage impassible et ses yeux froids sondaient les moindres réactions de la jeune fille.

« Le relent d'un entraînement, laissa échappé Kaoru en manquant de s'étouffer. SI vous voulez bien, nous laisser, je vais me changer. »
« Bien sur, souffla Aoshi dont les lèvres s'arquèrent en un mystérieux sourire énigmatique. »

Il les salue et referma la cloison.

Une heure plus tard, le groupe se mit en route vers le vieux centre ville. Les gens avaient revêtu leurs kimonos de fête et les couleurs chatoyantes se mélangeaient en un ballet incessant. Kaoru portait un magnifique kimono rouge brodé de dragons multicolores et avait soigneusement attaché ses cheveux en un haut chignon avec l'aide de Misao. Ils longèrent l'échoppe d'un vendeur de calligrammes et arrivèrent devant la devanture d'un restaurant.

L'Akabéko faisait salle comble et les serveuses se pressaient, chargées de plateaux alourdis et débordants de victuailles. L'ambiance chaleureuse résonnait en éclats de voix, de rires et par quelques brides de chansons noyées parmi l'entrechoc des bols et des tasses. Kaoru fut reçu par Taé qui leur avait réservé la meilleure place. La jeune propriétaire les guida jusqu'à un recoin tranquille à moitié caché par un paravent de teintes claires. Ils s'assirent et commandèrent le repas. Mégumi s'était jointe à eux sur la demande de Kaoru. Yahiko et Misao se chamaillèrent jusqu'à l'arrivée du repas. Misao regarda alors avec étonnement l'ozoni qui se trouvait devant elle sur la tablette.

« Cette soupe est bizarre, déclara t'elle en effleurant du bout de son mochi qu'elle tenait entre ses baguettes la surface d'un liquide pâle. »
« C'est tout à fait normal, lui répondit Kenshin en souriant. Dans le Kanto, l'ozoni est transparent alors que dans le Kansaï, on y ajoute du miso blanc. »

Kaoru était occupé à manger son oschi ryori. Elle se saisit d'une petite boite laquée et porta un bout de datemaki à ses lèvres.

« J'ai une question, déclara Yahiko qui avait qui avait fini de manger et buvait de l'amazaké. A quoi correspond le Tanabata ? »

Mégumi qui était assise à côté de lui, lui répondit en souriant.

« Le Tanabata est un des cinq sekkus. Il se fête le sept juillet. En fait, cela vient d'une vieille légende du continent... »

Chacun arrêta sa conversation et écouta avec attention la jeune fille raconter. Misao qui se laissait bercer par les mots s'appuya doucement contre l'épaule de son voisin, qui n'était autre qu'Aoshi. Kaoru écoutait elle aussi avec plaisir et attention le conte et glissa sa main dans celle de Kenshin.

« Les deux amoureux sont en réalités symbolisés par Véga et Altaïr, termina Mégumi en replaçant une mèche de cheveux derrière son oreille gauche et lissant le bord de sa veste marine du plat de la main. »

Tous s'étaient laissés bercés par le conte. Seul Sano mangeait patiemment son oden.

« Bof, c'est classique comme histoire, lança t'il en baillant. »

Cela lui valut une bourrade dans les côtes de la part du jeune docteur.

« Tu n'as vraiment aucune sensibilité, lâcha désespérément Mégumi en soupirant. »
« Bah, moi et les histoires de filles... »

Nouveau coup de coude qui lui coûta une grimace et il fit de ce fait tomber son morceau de daikon. Il pesta et n'entendit donc pas de l'autre côté du paravent un homme se lever. Celui-ci longea leur table en silence. Il devait avoir moins d'une trentaine d'années et ses cheveux noirs encadraient son visage. Il était vêtu d'un pantalon large et blanc et ainsi que d'un haut bleu clair recouvert d'un haori rayé. Avant de sortir, il re plaça un triste chapeau de paille sur sa tête et s'en fut dans les ténèbres environnantes, noyé des lueurs et des bruits de fêtes.

L'homme arpenta les rues animées d'un pas lent et solitaire malgré la foule qui se pressait autour de lui. Le sept juillet était pour lui un triste anniversaire. Cela faisait déjà six ans que cette terrible et sanglante nuit d'été s'était déroulée, brisant sa vie à tout jamais. L'homme paraissait peu aisé, son visage était triste et ses yeux sans éclats d'un noir absolu. Il continua d'errer au gré des défilés, parfois bousculé par des enfants ou des jeunes gens transportant des lanternes de papier multicolores. Une petite fille tenait au bout d'un bâton une lanterne rouge et or s'excusa mais il n'y prêta même pas attention. L'homme remonta ainsi le quartier jusqu'à une place où se situait un ancien temple. Le lieu était superbe, illuminé de lumière et magnifiquement décoré.

Il escalada à son tour les marches d'un escalier de pierre bordé de verdure et se glissa sous l'imposant Torii rouge. Des gens avaient même pris la peine d'y accrocher des guirlandes de papier au Nuki. Deux immenses brasiers se tenaient de chaque côté de la place légèrement surélevée, flamboyant de mille feux dans la nuit tombante. Les chuchotements et les mouvements qui troublaient la foule se calmèrent et un lourd silence se coula parmi les spectateurs. Un homme s'avança lentement, un shakuhachi à la main. Il porta l'instrument à ses lèvres et se mit à jouer une douce mélodie. Les notes sifflaient et s'envolaient telles le chant d'un oiseau. Tout à coup, le musicien s'arrêta et fit un geste discret dans la pénombre qui se trouvait derrière lui. Aussitôt, six hommes qui étaient restés debout, raides, se mirent à frapper en cadences leur wadaiko avec puissance et souplesse. Les rythmes sourds se répercutaient sur les peaux des tambours. Un des hommes, vêtu seulement d'un pantalon noir et dont le front était bandé, entama un saisissant solo, laissant glisser sa paume sur l'instrument et frappant avec adresse. Les autres joueurs le rejoignirent peu à peu.

L'homme perdu dans la foule sentit son cœur vibrer et le rassemblement se mit à applaudir. Cependant dans la cohue, il crut avoir une hallucination : une personne portant un sabre dans le dos. Pourtant depuis la fin du bakumastu et de la prohibition du port d'armes, peu s'y risquaient. D'autant plus si ouvertement. Et surtout fixé de cette manière dans le dos... Il ne connaissait qu'une école qui... Un sifflement suraigu retentit puis une énorme détonation l'accompagna. Des gerbes d'étincelles apparurent dans le ciel, annonçant le début du feu d'artifice. Ce feu était le bouquet de la fête, alliant féerie et beauté. C'étaient les fameux feux de juillet de Tokyo comme disaient les résidents de la capitale. Mais dans la confusion, le porteur de sabre disparut, comme évaporé. Sekku soupira et reporta son attention sur une immense fleur rouge écarlate qui illumina les alentours de lumière.

L'inspecteur Fujita s'assit devant son bureau et croisa les jambes. L'affaire qu'il avait réglée à Fuji-Yoshida n'était qu'administrativement terminée. Il savait parfaitement qui étaient les coupables et se devait de les retrouver. Sans compter cette anormale histoire de disparition de la fille d'un haut dignitaire du régime. On frappa à sa porte et il poussa un grognement, signifiant que l'on pouvait entrer. Un agent de police de l'unité qu'il commandait pénétra dans sons bureau et lui annonça qu'une commande était arrivée pour lui. Le loup de Mibu scruta l'autre homme pendant quelques instants puis prit la parole.

« Dites aux autres de votre unité que vous pouvez partir. »
« Mais inspecteur, commença par répondre l'autre. »

Il s'arrêta cependant bien vite lorsqu'il vit le regard de son supérieur.

« Vous pouvez disposer. De toutes façons, je suppose que vous deviez vous rendre avec votre famille à la fête. »

L'agent acquiesça puis déposa sur son bureau un paquet enveloppé. Il s'en alla rapidement avant que Goro Fujita ne change d'avis. La porte claqua et l'inspecteur se retrouva seul dans la préfecture de police. Le silence s'installa et l'homme sortit des papiers d'un dossier. Des faits anormaux lui étaient parvenus par un de ses indicateurs et il plaqua une carte du Japon sur son dessous de main. Lisant une liste d'une main, il s'appliqua à planter des épingles au bout rouge sur la carte, jusqu'à ce qu'une ligne sinueuse ne se dessine. La voie de Nakasendô. Ainsi, si les deux hommes qu'il soupçonnait de meurtres s'étaient mis en route pour Tokyo, c'est que quelqu'un avait commandité leurs services. Mais certainement pas pour détrousser agresser ou tuer de simples habitants ou paysans. Cela était pour eux qu'un jeu, comme il y avait déjà dix ans.

L'homme se rassit et sembla réfléchir. Son instinct lui dictait que les deux affaires qu'il suivait étaient liées. Il ne savait pas pourquoi mais c'était comme cela. Son instinct de d'ancien capitaine du Shinsen Gumi ne l'avait jamais trompé. Saïto se saisit d'un des avis de recherche et continua de réfléchir. Au bout d'un moment, il déballa le paquet qui était parvenu un peu plus tôt pour lui dans la soirée et commença à déguster avec plaisir son soba.

= fin du chapitre 4 =

Lexique :

Doyo :Chansons pour enfants.

Kadochis : Petits sabres.

Fusuma : .Ecran coulissant au papier plus épais protégeant de dehors.

Ozoni : Soupe dans laquelle on trempe du mochi..

Mochi : Riz cuit à a vapeur puis séché..

Miso : Mélange d'haricots au soja, de riz et parfois de blé.

Oschi ryori : Plat préparé pour les sekkus. Il est composé de petites boites qui contiennent des graines de soja, de la pâte de poisson et d'autres ingrédients..

Datemaki : Omelette faite de crevette que l'on trouve dans les boîtes de l'oschi ryori..

Amazake : Boisson sucrée faite d'un mélange de riz diluée dans de l'eau et peu alcoolisée.

Sekku : tradition venant de Chine qui consiste à faire des offrandes aux dieux aux changements de saisons.

Oden : Tofu grillé avec du miso accompagné de poisson et d'une sauce dans laquelle on trempe les ingrédients.

Daikon : Radis japonais.

Haori : Veste portée jetée par-dessus le kimono.

Torii : Portail d'entrée d'un sanctuaire Shinto. Il est composé de deux barres horizontales supportées par deux poteaux.

Nuki : Barre inférieure d'un Torii.

Shakuhachi : Flûte en bambou ayant quatre trous sur le devant et un derrière.

Wadaikos : Tambour en bois de un mètre de hauteur et joué avec deux baguettes. Il est joué dans les différents festivals.

Fuji-Yoshida: Ville appartenant à la préfecture du Kanto (Tokyo).

Nakasendô : : Une des routes reliant Tokyo à Kyoto mais passant par le Nord. Elle forme une boucle avec celle de Tokaï.

Soba : Nouilles faites de blé noir et d'œufs. Elles se mangent avec une soupe faite de soja, de saké doux et de bouillon.