Salut à tous, me voilà avec un nouveau chapitre, j'espere que celui ci vous plaira.
Disclaimer : les personnages sont à moi, mis a part ceux que JK R a créé, mais l'univers est à JK R, les Edelwiess ne m'appartiennent pas elles appartiennent à NELL ainsi que le mythe autour de cette famille.
Chapitre 1 : la première était-elle, la dernière elle sera
- JONANTHAN ! ! !
en poussant ce cri, mon cerveau c'est mis à tourner de plus en plus vite, souvenir, images, flashback se mélangeaient dans ma tête. Je me remémorais tous ces moments passé avec lui, notre rentrée en première année. Il avait l'air si fragile, si gentil, il était si apeuré en pensant à la répartition. Je me souviens de cette amitié, il était vraiment le plus serviable des garçon que je connaissais. Malheureusement je ne ressentais pas les même sentiment que lui ressentait envers moi, et je sais qu'il rêvait de demander ma main à mon père, mais il était si attentionné, pourquoi celui lui est-il arrivé, se remettra-t-il un jour de ses blessures ? je ne me souviens plus de rien après cela, j'était plongée dans un abîme sans fin. Lorsque je me suis réveillée, mon père était à mon chevet.
- Mary-Ann, comment te sens-tu demanda-t-il avec une pointe de soulagement dans la voix
j'allais répondre quand tout ce qui c'était passé à mon réveil me revint en mémoire, il fallait que je lui demande.
- Père, comment va Jonathan ? se rétablit-il ?
mon père ne répondit rien, je vis une lueur de tristesse passer dans ses yeux, mais aucun son ne sorti de sa bouche.
- répondez moi s'il vous plait, COMMENT VA-T-IL ?
- il ne s'est pas remis de ses blessures, on sentait une douleur dans sa voix qu'il n'arrivait manifestement pas à cacher. Il est mort quelques minutes après que nous l'ayons trouvé. Sur ces mots, ma colère pris le dessus, je devenais hystérique, je criais je tapais, j'hurlais, je voulais me défaire de cette étreinte paternel, je voulais disparaître, oublier ce que je venais d'entendre, c'était la première personne que je perdais et je ne souhaitais jamais à avoir à revivre cette douleur. J'étais faible, je ne pouvais pas contrôler mes émotions. Je revoyais son corps mutilé, avec ces tatouages sanguinolents, non ce n'était pas des tatouages, on lui avait graver des phrases à même la peau, mais qui avait pu être aussi horrible pour lui faire ça, à lui ?
- pourquoi lui ? POURQUOI LUI ? hurlais-je
sur ces mots je sentit quelque chose me piquer, et déjà je sombrais dans un sommeil profond, sans rêve ni pensées.
Cela faisait une semaine que j'étais à l'infirmerie, je ne mangeais plus, je ne parlais plus. Tout le monde commençait à s'inquiéter pour moi, je voyais tous les jours mes deux amis, il venais et restés le plus longtemps possible à mon chevet. Je voyais aussi mon père il était de plus en plus désemparé, et ne savais plus que faire. Mes amis me parlaient, essayé de me faire sortir de cet léthargie. Je regardais le plafond, je ne faisait rien. Il m'a fallu plusieurs semaines pour me rendre compte qu'eux aussi avait vu ce que j'avais vu. Ils ne savaient plus quoi faire, et c'est une phrase, une seule et unique phrase qui a réussi à me faire sortir de cet état.
- Mary, mais te rends tu compte de ce que tu nous fais subir, nous aussi nous tenions à Jonathan, nous aussi nous l'avons vu comme toi, ça va finir par devenir insupportable de te voir comme cela tous les jours, et lutter pour réussir à ne pas sombrer nous même. Il y avait de la tristesse, mais aussi une certaine amertume dans les mots qu'il venait de prononcer. Pour la première fois, j'arrêta de regarder le plafond et tourna ma tête vers mes amis, je venais de me rendre compte de ce que je leur faisait subir, il avaient vécu la même chose que moi, et en plus je leur imposer cette double souffrance, pour eux, et pour Jonathan j'avais décidé de m'endurcir, et d'être plus prête aux épreuves de la vie. C'est ce jour là que ma vie a pris un court a peu près normal, enfin c'est ce que je pensais, car après cet événement tragique elle n'aurait plus rien de normal, ou plutôt, elle serait bien différente. Au bout d'une semaine j'étais sur pied et ma vie recommençais comme avant, mis a part que maintenant une lueur de tristesse ne quitterai plus jamais mon regard. Ce n'est qu'une semaine après ma sortie que je me souvint d'un détail.
- Steph, je ne veux pas paraître horrible, et je sais que c'est difficile, mais il est important que je sache.
- vas y Mary, on t'écoute répondit Steph
- eh bien, vous vous souvenez quand on a vu Jonathan, leur visage se décomposa, eh bien vous souvenez vous ce qui était tatoué sur lui.
Un long silence froid s'installa, mais le grand jeune homme châtain pris la peine de répondre.
- eh bien je me souviens avoir lu " la première était-elle, la dernière elle sera "
- mais il était tatoué sur tout le corps m'étonnais-je
- oui mais c'est cette phrase qui était répétée sur tout son corps souffla Tim.
Stephen n'arrivait plus a parler, je sentais qu'il revivais cette scène. Je m'approchait de mes deux amis, et les prenais dans mes bras en chuchotant
- je vous ai laissé pendant quelques temps, mais maintenant nous allons traverser cette épreuve ensemble.
Le bal d'halloween approchait et je sentais que mon père me cachait quelque chose, mais ma pensée se confirma quand il me convoqua dans son bureau.
- me voici père
- ah, Mary-Ann je t'attendais, je t'ai demander de venir ici, pour te dire que tu passeras la soirée d'halloween avec ta mère, et que tu n'assisteras pas au bal.
- mais père … je n'eut pas le temps de finir ma phrase que je compris au regard de mon père que sa décision ne changerai pas.
- puis-je au moins savoir pourquoi ?
- si tu passes halloween parmi nous tu seras en danger, je souhaite donc que tu ailles au dans l'aile privée avec ta mère, si tes amis veulent t'accompagner je leur en donne le droit, mais je ne veux en aucun cas que ceci ne soit révélé à qui que ce soit. Je dois travailler maintenant. Au revoir
Je savais bien ce que cela signifiait, l'entretient était terminé, et même si j'avais la moindre question à lui poser, il refuserait. Je descendis donc les marches de son bureau et retourna dans la salle commune de gryffondor, et je pris mes amis à part.
- il faut que je vous parle vous deux. Après les avoir entraînés dans une salle dont moi seule connaissait l'emplacement, je commença à parler. Mon père ne veut pas que j'assiste au bal d'halloween, je vais devoir le passer avec ma mère.
- mais pourquoi ? demanda Stephen
- eh bien, soi disant pour ma sécurité, mais il n'a rien voulu me dire de plus, il m'a seulement dit que vous pouviez passer Halloween dans nos quartier privés, avec moi si vous le souhaitiez, et de ne surtout divulguer cela à personne. Je ne sais pas pourquoi et je trouve ça un peu ridicule
Tim me jeta un regard réprobateur.
- tu sais très bien que ton père ne fais jamais rien sans raison bien fondé, fais lui confiance.
- mais si je suis en danger j'aimerai bien savoir ce qui me menace, et puis qu'est ce qui pourrait bien me menacer ? vraiment je ne comprend pas pourquoi il me cache cela. Mais bon c'est comme ça, et je n'ai vraiment pas le choix, et vu la façon dont il me l'a dit, pour une fois, je pense que je ne vais pas désobéir.
- pour une fois tu a pris une sage décision me dis Stephen. En tout cas compte sur nous pour rester avec toi, on ne passerai pas un halloween sans notre Mary adorée. Sur ce, nous nous rendîmes à la grande salle pour manger. C'est aujourd'hui qu'il allait annoncer le bal d'halloween, auquel je n'assisterai pas.
- chers élèves, comme vous le savez, halloween approche à grand pas, et comme la coutume le veux, un bal sera organisé pour les élèves de quatrième année et au delà. Nous prendrons les commandes des robes de bal que vous voudrez acheter, car toute sortie à pré au lard est interdite. Chaque préfet est chargé de recueillir toutes les commande de sa maison et de nous les remettre avant vendredi soir. Bon appétit à tous.
- hey Mary, comment ça va ? je n'ai pas eu le temps de te voir depuis que tu es sortie de l'infirmerie. Une jeune fille blonde cuivrée, avec des yeux noisette venait de lui parler. C'était Elsa Edelweiss
- bonjour Elsa, eh bien ça va plutôt bien, et les cours se passent pas trop mal, mis a part ceux de Liord dont je me passerai bien.
- c'est vrai que le professeur de potion n'est pas, disons des plus agréable, mais bon on s'y fait. Dit-elle en souriant. Bon je vais te laisse et je vais retourner à ma table, si tu as besoin de quelque chose, tu peux me demander, tu sais que je suis là.
- merci Elsa.
En tournant les yeux vers mes deux compère, je vis Stephen qui avait le regard hypnotisé par Elsa.
- eh bien Stephen, quand est ce que tu vas te décider ? ça fait 4 ans que tu la regardes comme cela et que tu ne fais rien.
- oui c'est facile à dire, mais j'y arrive pas.
- j'ai une idée, tu vas au bal et tu l'invites ce sera une occasion de lui parler, et ne t'inquiète pas pour moi, et puis toi aussi Tim, je suis sure que tu voudrais vraiment aller au bal. Je voulu continuer mais son regard m'arrêta, c'était drôle cette façon de communiquer avec lui, mais on s'y habituait, depuis le temps que je le connaissais.
- mais je t'ai dis que je resté avec toi, et je le ferai.
- non je te l'interdit, tu as beaucoup mieux a faire que de rester avec moi, et puis tu as bien compris que je ne serai pas seul, Tim reste, donc tu n'as pas de soucis à te faire. Et puis de toute façon je ne te laisse pas le choix, donc a la fin du repas, tu files et tu vas l'inviter au bal, point !
il ne répondit rien et se contenta de m'embrasser sur la joue en guise de remerciement.
Quand le repas fut fini, avec Tim nous sommes partis rejoindre notre salle commune laissant Stephen avec son angoisse grandissante. Ce ne fut qu'une demi heure plus tard que nous le vîmes apparaître à l'entrée de la salle. il avait un sourire large jusqu'aux oreilles, il n'en fallu pas plus pour comprendre qu'elle avait accepté. La fin de la semaine se passa pour le mieux, Stephen avait commandé une robe de bal bleu nuit, pour aller avec ses cheveux, et il était vraiment impatient de pouvoir la porter, et surtout de pouvoir danser avec Elsa. J'étais contente pour ces deux là, Elsa était la douceur incarnée, elle était vraiment gentille et Stephen était tellement protecteur, ils étaient fait pour aller ensemble. J'espérais vraiment que tout se passe pour le mieux pour eux.
C'était le jour d'halloween, comme me l'avait dit mon père j'allais me rendre dans nos appartements privés avec Tim, mais avant je voulais voir Stephen, pour lui dire au revoir.
- joyeux halloween Stephen, et puis amuse toi pour toi, mais je fais confiance à Elsa pour cela, lui dis-je avec un clin d'œil. On y va Tim, il me fit sourire et nous partîmes vers un coté du château que personne ne connaissait. lorsque nous sommes arrivés, ma mère était là avec certains de mes cousins et certains de mes oncles et tante, cela ne semblait pas si mal commencé. Le repas se passa très bien, et j'étais un peu heureuse que mon père m'ai contrainte à venir passer halloween ici. Même habitant dans le même château je n'avais pas souvent le temps de voir ma mère, et ce dîner nous permis à Tim et à moi de discuter un peu plus que par des regard. Je sais que le fait qu'il parle peu n'était pas dû à la timidité, mais il ne parlait que pour dire des choses sensé, et porteuse d'émotion. c'est ainsi que se passa ma soirée d'halloween, dans le calme, en petit comité. Je me sentais assez fatigué ce soir la et je partie me coucher assez tôt laissant ma mère et ma famille seule.
Le lendemain j'entrais dans la chambre de Tim pour le réveiller, il fallait que nous retournions dans la salle commune, et en plus je voulais absolument savoir comment c'était passé ce rendez vous pour Stephen. Tim dormait comme un bébé, et j'eut toute les difficultés du monde à me décider de le réveiller. Il était tellement adorable, à cette époque je ne voulais pas l'admettre, mais je craquais littéralement sur lui. Au bout d'une demi heure à l'observer je me décida de le réveiller. Je lui laissa le temps de s'habiller, et nous allâmes dans notre salle commune pour voir Stephen.
- je monte dans ma chambre, je dois poser quelque chose.
Il me laissa partir et s'installa dans un des fauteuils.
Lorsque j'entra dans ma chambre je me rendit compte que les rideaux de mon lit étaient fermés, je ne me souvenais pourtant pas les avoir fermés avant de partir. Je m'avança précautionneusement, en essayant de faire le moins de bruit possible, et j'ouvrit le rideau. Je retint un cris, devant moi, se tenais un python prêt à attaquer, et j'eut à peine le temps de lire ce qui était écris sur son dos
" la première était-elle, la dernière elle sera "
j'espere que ça vous à plus, et même si ce n'est pas le cas, reviewez.
Eile
