Voilà le 2ème chapitre, ca fait 6 mois que je n'ai pas écris et je viens de reprendre cette fic, j'espère que la suite vous plaira.
Disclaimer : l'univers ainsi que certains personnage ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à JK Rowling, et le nom edelweiss, ainsi que tout ce qui plane autour de cette famille ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Nell2.
Je remercie Nell2 qui m'a permis d'inclure dans ma fic une intrigue qui vient de la sienne. La complainte des edelwiess que je vous conseille fortement d'aller lire car elle est vraiment géniale
Maintenant bonne lecture à tous
Chapitre 2 : le bal des incompréhensions
" la première était-elle, la dernière elle sera "
J'étais tétanisée, je ne pouvais plus bouger, ce serpent, sur mon lit, avec ce tatouage sur le dos, c'était comme si avec ses yeux il m'avait pétrifiée, mais pourtant j'étais encore consciente, c'est seulement que mes jambes ne pouvaient plus bouger. Le reptile se rapprochait dangereusement de moi, et ma peur était en train de croître. Il n'était plus qu'à quelques centimètres de mon visage, quand j'entendit quelqu'un prononcer pétrificus totalus, et après le noir.
Quand je me suis réveillée, j'étais de nouveau à l'infirmerie. J'étais seule, le jour était en train de se lever. J'étais vraiment trop fragile je m'évanouissais pour un rien, juste un serpent, mais quel serpent. Et puis cette phrase, deux fois de suite, à proximité de moi. D'abord, un ami proche, mon père qui me demande de me cacher pour halloween et ensuite ce serpent sur mon lit. Là c'était vraiment trop. Sans attendre l'autorisation de madame Elmika je décida de me lever et de retourner voir mes amis. J'étais bien décidée à savoir ce qui se passait. Tout cela était trop pour moi, et je doutais que mon père me cache quelque chose, mais je ne pensais pas encore lui en parler sachant très bien ce qu'il me répondrait, mais je comptais bien mener ma petite enquête. Je ne savais pas qu'elle heure il état mais il n'y avait personne dans les couloirs, c'était sûrement l'heure du repas. C'était donc le bon moment pour aller à la bibliothèque, personne n'y serait. Au moment ou j'arrivais dans la bibliothèque je sentis une main me serrer l'épaule et me forcer à me retourner.
- Meyers ? Qu'est ce que tu fais là ?
- eh bien je te retourne la question, Gryffondor
- je ne vois pas en quoi je devrais te le dire
- eh bien tu te DOIS de me le dire, étant donné que je suis préfet en chef, et qu'à ce moment précis tu devrais de trouver dans la grande salle avec les autres élèves.
Je détestais cet Alan Meyers, et depuis que mon père l'avait nommé préfet en chef il se croyait tout permis, et même en tant que fille du directeur je n'avais rien à dire à ce tyran de serpentard. Les postes de préfets auraient du être interdit au serpentards, ils sont vraiment infecte. Mais bon je savais ce qu'il allait me dire si je ne lui disais pas ou j'étais.
- eh bien j'étais à l'infirmerie, je me rendais à la grande salle
- a oui en passant par la bibliothèque qui est complètement à l'opposé de la grande salle, ET de l'infirmerie.
Ça y est j'étais partie pour me faire retirer des points.
- bon retires moi mes points et ne m'ennuies plus, je suis pressée.
- bon puisque tu me le demande si gentiment, me répondit-il avec un sourire en coin, 10 points en moins pour impertinence, et 5 points en moins pour être dans les couloirs à heure de repas, ça te vas comme ça? Dit-il en la regardant avec un sourire.
Je partit sans même me retourner, sachant que toutes représailles, me retirerai encore plus de points. Mais en tout cas ce qui était clair c'est que mon escapade à la bibliothèque serait repoussée à plus tard. Je ne pouvais pas aller dans la grande salle sachant que je me ferai attraper par madame Elmika, et je ne sais pas pourquoi mais cela ne m'enchantait pas vraiment. La seule chose intelligente à faire à ce moment là était d'aller me recoucher avant qu'elle ne se rende compte de ma disparition.
Le lendemain j'eu l'autorisation officielle de sortir de l'infirmerie, et de reprendre les cours. Il y avait des tas de rumeurs, comme quoi j'avais acheté un serpent et que celui ci m'avait mordu, ou encore qu'on m'avait fait une farce et qu'on avait mis un faux serpent sur mon lit et que ca m'avait fait terriblement peur, et encore énormément d'idioties comme celles-ci.
La vie reprenais son cours, et plus aucun incident n'était arrivé. Je finissais par me dire que tout ce qui c'était passé n'était que 2 actes qui ne devaient pas en engendrer d'autres. En plus je n'avais pas vraiment le temps d'aller farfouiller vu le nombre de devoir que l'on nous donnait par semaine.
- Tu as fini ton devoir de métamorphose, moi je bloque complètement
- A vrai dire je ne l'ai pas encore commencé, me répondit stephen
- Tu ne l'as pas commencé ? demandai-je interloquée, mais c'est pour demain Stephen, tu ne te rends pas compte
- Mais je le ferai plus tard j'ai encore mon devoir de botanique, celui de potion et celui d'enchantement.
- Mais qu'est ce que tu as fais cette semaine ?
- Eh bien … euh… je… n'ai pas vraiment ouvert mes bouquins, me dit-il en rougissant
J'explosa de rire et j'enchaîna
je vois que le bal d'halloween t'as été profitable
Il ne put répondre et se cacha derrière son bouquin, ce qui me fit partir dans un fou rire mémorable, voir stephen dans cet état là était vraiment tordant, monsieur-je-suis-à-l'aise-dans-toutes-les-situations était maintenant gêné qu'on lui parle de sa chère et tendre. Au moment où j'arrêta de rire il se remit a me parler
- Mais tu sais, si je suis tant avec Elsa en ce moment c'est qu'elle ne va pas très bien, je ne sais pas si tu l'as remarqué, mais Elsa est très fatiguée en ce moment, mais elle ne veut rien me dire.
- Je suis désolée de m'être moquée de toi, je ne pensais pas que c'état ca.
- Je ne t'en veux pas, tu ne pouvais pas savoir et à première vu j'aurai pensé la même chose si c'était arrivé à quelqu'un d'autre.
- Bon je te laisse finir, il te faut déjà une nuit de 36h pour finir ce que tu as à faire, je ne vais pas te retarder plus en bavassant.
Le bal de Noël approchait, et je ne savais pas pourquoi, mais une tension montait dans l'équipe des professeurs, Elsa était de plus en plus fatigué et passait beaucoup de temps à l'infirmerie, mais tout allait pourtant bien à poudlard, Et mis à part le bal de fin d'année rien de devrait se passer. Mais comme pour halloween, mon père me convoqua et me dis de rester dans les appartements familiaux, cette fois-ci je ne comprenais vraiment pas.
- pourquoi est ce que je dois encore rester dans les appartements ? hurlais-je
- ce ton n'est pas approprié pour parler à son père Mary-Ann
- vous n'avez pas répondu à ma question, depuis le début de l'année je sais qu'on me cache des choses, pensez vous que nous n'avons pas remarqué la tension qui règne à l'approche des fêtes, et après halloween, les fêtes de Noël, je ne comprend pas si vous me protégez pourquoi vous ne protégez pas toute l'école, ce n'est pas parce que je suis votre fille que vous devez me favoriser, je ne…
comment peux-tu penser que je te favorise, t'ai-je déjà favorisé un jour, l'école n'est pas à protéger, et les autres élèves non plus. Il y a parfois des choses qui ne peuvent pas être immédiatement, et souvent la patience est la meilleur des armes.
Après ces mots je me sentais complètement désorientée, je venais d'apprendre que ce qui se passait me concernait directement, mais je ne pouvais pas savoir quoi.
Tim avait décidé de rester avec moi pour la soirée du bal, et cette fois-ci Stephen et Elsa vinrent avec nous pour la soirée, la santé d'Elsa ne lui permettant pas d'assister au bal. J'avais parlé de la conversation avec mon père à mes deux amis, et ils n'y comprenais rien, pas plus que moi. Cette petite fête en petit comité se passa très bien, Elsa partit très tôt se coucher, et pour lui éviter se fatiguer à retourner dans la tour, je lui ai proposé de dormir dans ma chambre laissant à Tim et à Stephen la chambre d'ami. Après un moment passé à discuter à coté du feu, nous sommes allés nous coucher. En arrivant dans ma chambre, je me félicité d'avoir pensé à dédoubler les lits, car si j'avais oublié j'aurai du réveiller Elsa qui dormait paisiblement dans son lit. Je me demandais bien ce qui pouvais la fatiguer à ce point là. Ce soir là il ne me fallu que quelques secondes pour m'endormir, mais au milieu de la nuit j'entendit mon nom
il est dit que la première était-elle la dernière elle sera, un seul acte pourra changer cela et renverser les écrits.
Après cette phrase, plus rien, Enfin plus un mot, mais elle se mit a bouger violemment dans son lit à se débattre, je m'approcha la pris dans mes bras et essaya de la calmé, ce qui fonctionna, mais ce qui la réveilla. En me voyant elle eut un air gêné, elle se défit de mon étreinte, et regarda ailleurs sans dire un mot.
- tu avais fait un cauchemar il me semble alors je suis venu.
- Mais ce n'étais pas la peine mary, désolée de t'avoir dérangée, bonne nuit mary.
Elle semblait très gênée et ne voulais rien dire, mais ce qu'elle avait dit m'intriguait.
- excuses-moi encore une fois, mais ce qui m'a réveillée c'est quand tu as commencé à parler, c'était très étrange.
Elle eut l'air très troublée, après quelques instants o* elle eut l'air de réfléchir elle se tourna vers moi
- as-tu compris ce que j'ai dit ?
- j'ai compris les mots que tu as dit, mais je n'en ai pas compris le sens
elle eut l'air soulagée mais pas étonnée
- mais ce qui m'a le plus étonné c'est que tu ai prononcé mon nom, avant de dire cette phrase si étrange.
Elle se mit a paniquer, et parla à toute vitesse
- je ne sais pas, je ne peux pas te dire, je ne comprend pas, pourquoi tu m'as entendu, tu ne devais pas savoir…
puis elle se mit a pleurer. Je m'approcha d'elle et me mis à la consoler
- mais c'est pas grave, et ca ne dois pas être si important ce n'est qu'un rêve
- si ca n'étais qu'un rêve ca serait génial
- comment ca si ca n'était qu'un rêve ? je commençais à ne plus rien comprendre, elle avait fat un cauchemar, mais cela semblait prendre une ampleur démesurée. Elle se calma, pris sa respiration et commença, elle parlait très lentement, luttant intérieurement pour me dire ce qu'elle me disait.
- J'avais promis à ton père de ne rien te dire, mais ce n'est pas possible, je l'avais même caché à Stephen, mais je ne peux plus garder cela pour moi. Dans ma famille nous avons un don assez spécial, un don ou pourrais-je dire une malédiction, mais pour résumer nous avons des visions, des visions sur l'avenir.
Je n'osais pas l'interrompre, ca me semblait si bizarre, elle était si sérieuse.
- je ne devrais vraiment pas t'en parler mais ces visions te concernent, je ne peux pas te dire ce qu'elles signifient je n'en sais rien je ne les comprend pas ce que je sais c'est qu'elles me hantent et que toutes les nuit je fais le même rêve, ce même rêve d'ou sort cette phrase : " il est dit que la première était-elle la dernière elle sera, un seul acte pourra changer cela et renverser les écrits. "
après ceci elle ne dit plus rien, elle ne me regarda pas et fit mine de vouloir se coucher.
- je parle de cela à personne s'il te plait, je garde ce secret depuis longtemps et je ne veux pas qu'il soit découvert, et surtout ne dis pas à ton père que je t'en ai parlé, je ne devais vraiment pas.
- Merci Elsa, ne t'inquiètes pas, personne ne sera au courant.
Je me dirigea vers mon lit avec encore plus d'incompréhension qu'auparavant.
J'espère que ce chapitre vous a plut.
Pour que je le sache reviewez ;-)
Eile
