Chapitre 39 : espions et art martiaux.

Comme chaque matin depuis trois jours, la bataille couvait entre Harry et Ton'Lowass. Harry en voulait encore à l'elfe d'avoir voulu lui chercher noise, et Ton'Lowass avait du mal à ravaler sa rancœur envers cet « humain » qui l'avait déshonnoré.

Ti'Fall, cependant, ne semblait pas être dérangé outre mesure par l 'ambiance qui régnait dans sa maison ni par le comportement de l'un ou l'autre de ses élèves. Bien sûr, ils n'avaient pas tous les cours en commun, ne devant pas étudier la même chose : Harry passait ses matinées à stabiliser sa troisième aura méthodiquement, tandis que Ton'Lowass, lui, apprenait de nouvelles utilisation de sa magie, et perfectionnait les sorts qu'il connaissait déjà.

Le jeune elfe avait d'abord été soufflé par l'apparence de son maître : « un elfe nain ? ! ? » Mais il avait vite été renversé par sa puissance : il n'avait jamais vu dans sa vie une telle puissance, une magie aussi développée ! Maintenant, il comprenait pourquoiil était si vénéré : certes, il le savait puissant et sage, mais jamais il n'avait pensé qu'il pouvait être aussi puissant : il méritait vraiment ce culte. Lui qui pensait être imbattable dans la maîtrise de l'air, et dans le vol, s'était fait litéralement balayer par son maître, qui n'étéit même pas essouflé après la fin de l'épreuve. Quand il arriverait à ce niveau, alors, il montrerait à l'humain ce qu'est la vraie puissance elfique...

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Cla faisait trois jours que Diggory était ministre... Trois jours de folie.

La première chose qu'il avait voulu faire avait été de contacter Dumbledore, dont le soutient, pensait-il, serait une bonne base de plus pour stabiliser sa position. Cependant, il avait eut totalement tord : si l'entrevue s'était passée comme il l'avait voulu, il serait allé dans de gros ennuis, bien plus gros que ceux qu'il avait à affronter à l'heure actuelle.

Au début, il avait été très en colère contre le vieil homme, mais maintenant ... Il comprenait ce qu'il s'était passé.

Alors qu'il discutaient simplement, et que Dumbledore lui avait déjà annoncé qu'il pourrait toujours compter sur son soutien, le vieil homme s'était mis à l'insulter sans raison, et à finir par lui claquer la porte au nez, proférant toutes sortes de menaces en sortant de la tête du sanglier.

Mais, maintenant que la gazette était sortie, et qu'il l'avait lue, il comprenait : il y avait eut un espion, ou plutôt un journaliste, ce qui est pire, à la conversation. Et Dumbledore ne voulait pas parraître à ses côtés, mais... Pourquoi ?

La réponse vint quelques temps plus tard : un journaliste était venu l'interviewer, notament au sujet de cette rencontre :

« Pourquoi avez vous tenu à rencontre Dumbledore si peu de temps après votre élection ? Vous devez avoir vos raisons, parce que ce n'est pas dans l'habitude d'un premier ministre de rencontrer des gens controversés...

La lumière avait alors soudainement éclaté dans son cerveau : mais oui ! Dumbledore est controversé...Fichue rumeur... C'est pour cela qu'il a voulu faire ce cinéma... et ila eut raison... J'aurais été bien embêté, maintenant :

-Voyez vous, je me méfie beaucoup des rumeurs, et celle-ci ne me paraissait pas fondée... ou du moins, je n'en ai pas eut la confirmation. Mais maintenant je suis sur d'une chose : vous ne me verrez jamais aider ou demander de l'aide à cet homme, que vous avez vu me refuser son soutient !

Apparemment, c'était ce qu'il devait dire, puisqu'il n'eut plus de problèmes de ce côté là, et qu'il avait reçu un message de Dumbledore :

Je suis désolé de m'être « emporté » mais c'était nécessaire. Je pense que vous avez compris mes raisons.

En plus de cet incident, il avait fallu rêgler beaucoup de choses que Fudge avait déterioré et que Dumbledore, gérant une guerre, n'avait pas pu arranger en un mois.

Tout d'abord, former des aurors compétants, en prévision d'une réaparition probable de Voldemort : déjà une, pourquoi pas deux ?

Ensuite, repérer les ministres incompétants, et les remplacer (là, il y avait du boulot, étant donné le syndrome de Parkinson(1).)

Bien sûr, il avait fallu aussi rétablir la liberté de la presse, ou plutôt, renvoer les agents qui s'occupaient de la censure de la guazette du sorcier.

Il avait bien sûr eut des questions sur des problèmes économiques avec les gobelins, mais il leur avait promis de rêgler ces problèmes plus tard, avec eux.

Enfin, il y avait toujours les questions de politique étrangère, et ces problèmes remplissaient au moins la moitiée de l'emplmoi du temps d'un nouveau ministre.

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Ti'Fall arrêta le jeune elfe dans on entrainement :

-Ton'Lowass ? Peux-tu aller chercher Harry s'il te plait, il est temps que nous mangions !

-Bien Maître !

Une fois arrivé devant la salle où il savait que Harry s'entraînait, il ouvrit la porte, sans même prendre la précaution de frapper : Harry était en plein entraînement.

Il se retourna brusquement, en ayant déjà levé un bouclié autour de lui :

-Ah, c'est toi ? dit nonchalement Harry, en laissant retomber son bouclier.

Il m'énerve, il frime encore parce qu'il m'a vaicu une fois, mais ce n'est pas moi qui m'entraîne sur de pauvres sorts de débutants.

-Oui, c'est moi, mon Maître m'envoie te chercher.

-Ah, je me demande bien ce qu'il aura préparé, aujoud'hui, j'ai une de ces faim ! s'exclama Harry en se frottent les mains, alors que Ton'Lowass le regardait d'un air dégouté :

-Tu devrais lui montrer plus de respect ! Sa puissance dépace cent fois la tienne... Au fait, tu as fini par réussir le sort servant à « désarmer » ton adversaire ? Continua l'elfe avec un sourire en coin.

En effet, la veille, il avait apperçu Harry essayant de lancer le sort de « l'expéliarmus », n'y arrivant pas en y mettant toute son énergie. Ce n'était en fait que son premier essai avec sa nouvelle aura, mais cela, Harry se gardait bien de lui dire.

Harry gardait son calme :

-Non, Ti'Fall ne me l'a pas encore appris, je me demande si il en existe un... Tiens, il faudra que je lui demande, d'aillleurs, le voilà !

Maître Ti'Fall ! Dites, Ton'Lowass viens de me faire penser... Est-ce que vous pourrez m'apprendre le sort permettant d'enlever la majeure partie de la magie de quelqu'un ?

A côté de Harry, Ton'Lowass, lui, était effaré : il Lui demandait comme çà, sans aucune autre forme de politesse ! Et surtout, comment n'y avait–il pas pensé plus tôt, cela faisait quand même trois jours qu'il l'avait pour la première fois vu, et c'était lui qui était sensé apprendre de nouvelles choses, pas comme cet humain qui n'avait même pas encore stabilisé son aura !

-Désolé, mais je ne pourrai t'apprendre le dort, étant donné qu'il n'existe pas. (à côté, Ton'Lowass était soufflé ) En effet, les sorts, bien que plus pratiques à utilisés que les incantations ou les runes, demandent beaucoup plus d'énergie à l'utilisateur que ces dernières. Donc, le sort d'anti-magie, si il existait, serait très difficilement utilisable. Cependant, avant que vous me posiez la question, la salle où vous travaillez se sert de runes : la rune gravée dans la pierre centrale défini un champ d'anti-magie, où aucune magie supérieure à la normale moldue ne peut exister.

En effet, pour leur entraînement d'art martiaux, Ti'Fall avait jugé bon de leur supprimer la magie, pour qu'ils apprennent à se débrouiller sans. Au début, ses élèves ne tenaient pas dix minutes à l'intérieur du champ, mais maintenant, au bout de trois jours, ils s'étaient améliorés grace à leur compétition et à l'habitude.

Maintenant que Ti'Fall voyait que ses élèves pouvaient tenir le coup d'un entraînement, même cours, aux arts martiaux. Il décida de commencer par le judo (voie de la souplesse) pensant que c'était une bonne base pour les autres arts martiaux commes le karaté, l'aikido, et le ju-jitsu ( en fait art très, très proche du judo)(2), en effet, ce sport était sencé apprendre la souplesse, mais aussi l'équilibre, la vitesse, et surtout : apprendre à chuter sans se faire mal. Cependant, comme tous les arts martiaux, des principes moraux étaient indispensables, commme : le respect de l'adversaire, la loyauté, la confiance...(3)

Enfin, le premier cours ne dura que trente minutes, pendant lesquelles l'elfe et l'humain ne s'affrontèrent pas, sinon de compétitivité dans le travail de leur chutes arrières. Grace à leur grande motivition, il maîtrisaient parfaitement cette base à la fin de l'entraînement, soit après trente minutes, Ti'Fall ayant jugé bon de les laisser se reposer trois heures avant de recommencer. En effet, travailler sans magie quand on en a pas l'habitude est très contraignant, et il faut aussi penser à faire un échauffement avant de travailler, mais, étant donné leur non habitude d'avoir si peu de magie, il fallait mieux le faire en dehors.

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Comme à son habitude, Draco Malfoy était seul. Enfin, pour l'habitude, elle ne durait que depuis quelques semaines. La solitude, il l'avait prise comme moyen de défense : personne ne devait se douter qu'il avait changé. Les autres Serpentards de la D.A. avaient d'autres techniques, s'ils n'adoptaient pas la sienne : attaquer comme les autres Serpentards les autres classes, s'excusant dès que possible pour rester dans la D.A. ; Rester en groupe, et montrer qu'ils étaient nu groupe de Serpentards unis, comme toute la maison, enfin, les élèves de cette maison étaient connus pour leur subtilité, inventer des plans pour ne pas se faire remarquer leur était totalement familier.

Comme à son habitude depuis un mois, Draco avait un grimoire sur les genoux : il étudiait. Maintenant que son occlumentie était assez forte, il pouvait se permettre de faire plus de choses. Bien sûr, il ne se reposait pas sur cette seule défense face à son professeur. Pour le moment, le vrai titre de son livre était :

Les sorts de Magies blanche à travers le temps.

Pour tout lecteur extérieur, ce livre s'appelerait : Les plus grands sorts de magie noire.

Ce livre existait : il l'avait lu il y avait quelques années, sous l'ordre de son père. Aucun Serpentard ne pouvait penser que quoi que ce soit clochait. Pourtant, étrangement, on vint le déranger : Zabini Blaise.

-Alors, Draco, toujours à étudier ?

-Tu ne réponds pas ? Pourquoi, aurais-tu peur de quelque chose, te séparant de tout le monde, comme ça ?

-Moi ? Vois tu ce livre ? Je pense que tu comprendra pourquoi je me cache, comme tu dis : je serais dans une méchante position, si le directeur venait à s'en apercevoir.

-Bien, si tu le dis... Continua Zabini avec un sourir mauvais. Et je me demandais... Sais tu où disparaissent tout ses Serpentards, chaques semaines ?

-Comment cela, que veux-tu dire, je n'ai rien remarqué. Draco ayant apris à maitriser ses émotions, il ne laisait rien paraître de ses pensées :

Ce crétin a des doutes. Merde, je ne dois absolument pas me faire prendre, je n'ai même pas tenu un trimestre à ce petit jeu. Heuresement, il ne peut pas lire dans mes pensées... Quoique, mieux vaut se tenir sur ses gardes.

-Tu n'as rien remarqué ? Cela ne m'étonne pas. Tu fais toi même partie de ces déserteurs. Je ne t'ai jamais trouvé quand je te cherchais... Vois tu j'ai toujours eu des doutes depuis ce petit discours que tu nous à fait sur cette nouvelle organisation. Et tu peux toujours prétexté que tu était à la bibliothèque, j'y suis aussi allé, mes certitudes sont quasi formées, maintenant : je sais que tu participe à cette organisation, mais qu'y cherches tu ?

-Je ne vois absolument pas ce que tu cherches à faire. Si tu tient tant à me trouver, envoie donc le baron sanglant me chercher. Il sait toujours où se trouvent les préfets. Et puis, je ne vois pas sur quoi tu peux fonder une quelconque accusation. Je ne vois pas non plus pourquoi j'irrai me salir au milieu de sang de bourbe...

-Hmm... tu es malin, tu sais parler, mais, vois-tu, il y a quelque chose que tu ne sais pas... Legilimens !

Zabini pensait prendre ainsi Draco par surprise, mais il se heurta à de formidables barrières, et fut bientôt contrattaqué : Draco découvrit ainsi beaucoup de choses très intéressantes : c'était Rogue, qui, en désespoir de cause avait appris ce sort à Zabini, c'était Rogue qui lui avait suggéré ces doutes, c'était encore Rogue qui voulait savoir où allait sa loyauté. Mais Zabini avait fait une grosse erreur. Une erreur digne d'un gryffondor : il n'en avait parlé à personne avant d'aller le voir. Si ce n'est à Rogue. Cela allait simplifier la tâche de Drago, il n'allait pas avoir besoin de cha,ger plusieurs esprit : juste un.

Effacant de l'esprit de Blaise ses soupsons concerant son groupe, il effaça aussi la conversation pour la remplacer par une autre, où il annonçait qu'il était lié au même maître que son père et Zabini, et où, Zabini ayant réussi son sort, il avait découvert une loyauté sans failles de Draco envers Voldemort.

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Quand Zabini eut quitté le bureau de Rogue après avoir fait son rapport, le professeur se sentit encore plus déprimé qu'auparavent :

Certes, son plan avait marché, mais il n'avait pas du tout donné ce qu'il voulait. Au contraire, cela confirmait ses pires craintes : alors comme çà, Draco devient de plus en plus sombre et veut de tout cœur appartenir au seigneur des ténèbres. Que Draco se soit fait surpendre ne pouvait qu'activer ses soupsons, mais heureusement, il ne pourrait pas savoir que c'était lui qui se cachait derrière tout cela. Cependant, il ne savait plus quoi faire. Il avait échoué sur toute la ligne. Mais pourquoi avait-il autant encouragé Drago à passer du côté des ténèbres, lui qui pensait que cela ne ferait que le faire changer de côté...Il s'était trompé sur toute la ligne. Et il y avait un mois, il avait réussi à rendre Voldemort encore plus fort. Certes Harry Potter avait réussi à lui échapper, en lui détruisant quelques serpents de feu. Mais le seigneur des ténèbres trouverai bien de quoi en recréer.

Tout ce que cela avait pu donner, avait été une disparition de Voldemort, alors que celui-ci, toujours dans l'ombre demandait toujours à Severus de lui faire des rapports.

Bien sûr Voldemort savait que Dumbledore savait qu'il n'était pas réellement mort et qu'il savait qu'il était au courant de cela. Mais il savait aussi que tant que Dumbledore était ainsi fustigé par les critiques, il ne purrait rien faire contre lui. Malheuresemnt, d'apreès ses rapports des espions au ministère, le nouveau ministre était loin d'être un idiot.

Mais cela n'était qu'un contre-temps pour lui, si il capturait les amis de Potter, il aurait peur pour eux, et alors, il pourrait enfin accomplir le rituel, il était fin près : déjà, tous les démons étaient assemblés, attendant ce qui allait ce passer. Il avait maintenant six mois pour accomplir le contrat. Ces six mois sont largements suffisants.

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(1)Rien à voir avec la maladie : c'est le syndrome touchant les grandes organisations qui consiste en le fait que les dirigeants embauchent toujours plus faibles qu'eux pour ne pas risquer d'être concurencer... Je vous laisse immaginer ce que cela a pu donner avec Fudge...

(2)La différence entre judo et ju-jitsu ne s'est faite que dans les années 1800-1900, c'est pourquoi, même actuellement, les clubs sont de « judo-ju-jitsu », enfin, je m'égare peut-être ?...

(3)Quoi ? Comment-çà je fais de la pub ! Mais non, pas du tout ! ce n'est pas parce-que je fais du Judo que je pense que c'est le meilleur sport...(enfin, si, mais bon...)

Mes chers reviewers.

J'ai réussi à vous poster ce chapitre à la date promise. Mais j'ai le regret de vous annoncer que maintenant que je suis en MP (prépa math deuxième année) Et que j'ai décidé de travailler plus, mon temps d'écriture sera extrèmement réduit. (en plus, je n'ai toujours pas d'avance). Donc je pense que je vous posterai PEUT-ETRE un chapitre tous les dimanches, en tout cas, chaque dimanche, je vous dirai où j'en suis.

En remerciant mes chers reviewers et mes lecteur (un peu moins chers, parce qu'il sont trop faignants pour me reviwer).

amande55 Merci de me suivre toujours.

magali « coucou toi c » ? Ya eut un pb de message ? en tout cas, merci d'avoir lu mon chapitre et d'avoir pensé à me reviewer

David Et bien, je suis désolé, ma fic est bien arrivé, mais je ne garanti pas la suite. Je fais de mon mieu !

Zabou Merci !

Gh()st Si c'est original, c'est pas ma faute. C'est les personages qui m'énervent en n'en faisant qu'à leur tête. Et puis Ti'Fall a bien dit : l'inspiration peut venir de n'importe où, non ?

Lyls Merci, j'ai les chevilles qui enflent. J'ai intérêt à m'améliorer, alors ?

onarluca Merci de ne pas envvoyer de tomates à cette annonce. ET de me suivre.