Disclaimer : Voir les chapitres précédents!
Hé non, je ne suis pas morte; je suis de retour! Vous n'alliez tout de même pas penser que j'allais arrêter cette traduction de si tôt, tout de même?! Ça a pris du temps, mais j'étais occupée à travailler sur autres choses (comme sur une fic que moi et une amie avons commencé à écrire, mais elle ne va pas être sur ce site avant un bon bout de temps, car pour l'instant, je cherche à finir la traduction de celle-ci, d'en traduire encore un bout dans 'Sev, Herm et Ron visitent la Terre du Milieu', et j'aurai bientôt (?) fini 'Une semaine d'enfer!', en plus de d'autres activités que je compte faire dans ma vie privée car oui, j'en ai une!), alors bonne lecture, et j'espère que vous allez aimer ce chapitre, c'est celui que j'ai eu le plus de facilité à traduire, jusqu'à présent; bref, ça coulait plus.
---
"D'accord." Rogue renifla et ouvrit la bouche, trop épuisé pour argumenter avec l'infirmière. Il avala le sirop et fit une grimace. "Et boi qui croyais que les potions goûtaient cob de la berde."
"Ça fait du bien de vous entendre enfin l'admettre après tant d'années," dit Pomfresh. Elle remit Rogue dans sa position précédente et réarrangea ses oreillers et ses couvertures. "Essayez de fermer l'oeil, Severus. Ce médicament est supposé vous rendre somnolent."
Il lui jeta un regard sceptique, puis il soupira et lui fit 'oui' de la tête. L'infirmière se tourna vers Dumbledore.
"S'il a besoin de quoi que ce soit, réveillez-moi, s'il vous plaît."
"Je suis persuadé que nous nous en sortirons tous seuls pour quelques heures, Pompom." Celle-ci jeta un dernier coup d'oeil à son patient, comme pour s'assurer qu'elle avait bien fait tout ce qu'elle pouvait pour l'instant, puis se dirigea vers la sortie.
"Bon, Severus, je vais simplement m'asseoir dans cette chaise et vous tenir compagnie pendant que vous dormiez," dit le directeur. Il tira une chaise à côté du lit. "Peut-être serai-je même capable de vous divertir avec quelques histoires de ce qui s'est déroulé dans vos cours depuis que vous êtes tombé malade."
Le visage de Rogue afficha une expression située entre le mépris et l'alarme.
"Les élèves – enfin, c'est-à-dire les Gryffondors et les Serpentards, pour être plus précis – ont réussi à rendre la vie de votre suppléant un enfer. Ils sont dégoûtés par ses dites habiletés et ont saisi chaque opportunité pour lui démontrer à quel point ses talents en potions sont médiocres en réussissant parfaitement chacune de leur potion, contrairement aux siennes qui, dit-on, ont autant d'effet qu'en a un sortilège de chatouillis lancé sur un dragon. Ils vous ont aussi louangé. . . comment Gilderoy l'a-t-il décrit, déjà? Ah, oui, 'à le rendre presque insupportable'."
Rogue était tout simplement bouche bée.
"Oh, et vous ne vous en seriez certainement pas douté, mais Harry, Ron et Hermione ont fait équipe avec Drago et quelques autres Serpentards, ainsi que Fred et George Weasley, bien sûr, et ont 'accidentellement' changé ce pauvre Gilderoy en paon. Enfin, d'après les rumeurs, bien sûr."
Un sourire s'afficha sur le coin des lèvres de Rogue.
"J'ai cru que ça vous remontrerait le moral," dit Dumbledore. "On s'ennuie de vous à la Table des Professeurs, mon garçon."
Rogue roula les yeux.
"On va dire que je vous crois, Albus."
"Ce n'est pas pareil, sans vous –"
Soudainement, Rogue laissa échapper un cri étouffé; il serra son bras gauche avec sa main droite et devint aussi blanc que les draps sur lesquels il reposait.
"Oh, non. . ."
"Severus?"
"Vol- Voldemort m'appelle. . . Vous devez m'aider, je. . . je dois b'habiller. . ."
"Vous n'êtes pas en condition pour –" Rogue renifla et tenta de se redresser.
"Vous savez aussi bien que moi que je ne dois pas ignorer ses appels. Je. . . J'y ai déjà été dans des conditions beaucoup plus pires."
"Severus, êtes-vous sûr?"
"Vite, avant que Pompom ne –"
Les deux hommes sursautèrent en entendant l'infirmière s'éclaircir la gorge. Elle se tenait devant la porte, les bras croisés sur sa poitrine, les lèvres plus pincées que jamais et une expression défiante dans le visage.
"Vous ai-je vraiment entendu dire ce que je crois vous avoir entendu dire?"
"Pompom, Severus est appelé."
"Je m'en ficherais même si Vous-Savez-Qui lui envoyait une foutue lettre d'amour!" Dit Madame Pomfresh en élevant la voix. "Il reste ici, c'est compris?"
"Enfin, soyez raisonnable –" L'infirmière se précipita vers Dumbledore.
"Si vous me conseillez d'être raisonnable une fois de plus, Albus, vous allez voir ce que je vais vous faire, vieux sacripant. Je ne vais le répéter qu'une seule fois. Il reste ici. Il n'y va pas; pas cette fois."
Rogue grogna, serrant son bras contre lui encore plus fort.
"Ce ne sont pas de vos affaires –"
"Oh, mais ce –sont– mes affaires, Monsieur Maître Espion! Ou bien avez-vous oublié le nombre de fois que vous avez été traîné dans cette infirmerie à peine vivant? Mais oh, ne me laisser pas vous empêcher d'y aller, pour l'amour du ciel. Allez, Severus. Laissez-nous vous voir descendre du lit. Allez-y, qu'est-ce que vous attendez?"
Rogue rassembla toutes les forces qu'il avait et se tira hors du lit.
Et s'effondra sur le sol. Il leva la tête et fusilla Pomfresh des yeux.
"Je suis persuadée que le Seigneur des Ténèbres ainsi que ses Mangemorts vont être compatissants, quant à vos problèmes de santé," dit-elle. "Ils risquent de ne vous donner qu'une ou deux fois l'Endoloris, contrairement à la douzaine de d'habitude."
"Espèce de – Mêlez-vous donc de vos –" La réplique de Rogue fut interrompue par une nouvelle vague de douleur qui traversa son bras, plus intense, cette fois.
"Albus, aidez-moi à le remettre au lit."
"Je dois. . . ne peux pas. . . " dit Rogue, qui maintenant le souffle était coupé.
"Calmez-vous," dit Pomfresh. Elle s'empara du sac qu'Hermione lui avait rapporté et se mit désespérément à la recherche d'un médicament qui pourrait guérir le mal du Maître des Potions. Aucune magie n'a jamais eu d'effet sur la Marque, pensa-t-elle, mais peut-être que. . . oh, s'il vous plaît. . .
Un cri de douleur s'échappa de Rogue.
"Pompom, Voldemort ne laissera pas Severus tranquille tant qu'il n'aura pas répondu à l'appel," dit Dumbledore.
"Tenez son bras immobile," lui dit l'infirmière. Elle ouvrit une boîte et Dumbledore l'observa en ressortir un tube.
"Qu'est-ce que c'est?"
"C'est supposé rendre la partie où on l'applique très froide. Ça contient de 'l'aspirine'. Hermione m'a dit que c'était une sorte de médicament miraculeux." C'est absurde, pensa-t-elle pour elle-même, mais ça devrait marcher. . .
Le corps entier de Rogue tremblait. "P-Pompom. . ."
"Prenez de grandes inspirations, Severus. On va essayer quelque chose."
Elle frotta le gel bleu clair sur le bras de Rogue, jetant de temps à autre un coup d'oeil au visage de son patient pour voir s'il réagissait positivement. Puis, enfin, à son énorme soulagement, ses muscles se relaxèrent et il la regarda d'un air ahuri.
"Ça. . . ne brûle pas. . . autant," finit-il par dire.
"Remarquable," murmura Dumbledore. "Alors les remèdes ne contenant aucune magie ont un effet sur la Marque. Je ne l'aurais jamais imaginé. Et vous avez l'air moins congestionné, Severus. La potion Moldue que vous avez prise plus tôt a également fonctionné, on dirait."
"Cet onguent doit être appliqué aux quatre heures," dit Madame Pomfresh en lisant les instructions sur le tube.
"Vous devriez aller vous recoucher, Pompom, maintenant," lui proposa Dumbledore. "Je crois qu'à présent, nous avons la situation en main."
"Oui, heureusement, et ce n'est pas grâce à vous! Je n'arrive pas à croire que vous alliez l'aider à répondre à l'appel."
"Je dois admettre que je n'avais pas réussi à trouver une meilleure solution. Mais vous devez avouer que Severus a plus tendance à vous écouter que moi.
"Ha," se fit entendre la voix ensommeillée de Rogue. Celui-ci bâilla.
"Silence, Severus. Je vous donnerais bien ma façon de penser, si ce n'était pas contre mes principes d'agiter un patient grabataire en lui reprochant sévèrement son attitude."
À ces mots, Dumbledore haussa un sourcil blanc, mais s'abstint d'émettre un quelconque commentaire.
"Ha," dit de nouveau Rogue de façon presque inaudible. Il avait l'impression que sa tête flottait parmi les nuages.
"Je serai de retour pour vous revoir, alors ne pensez même pas à sortir de ce lit," le prévint l'infirmière, se sentant déjà perdre sa colère de plus tôt.
Mais son patient s'était déjà endormi.
---
Cyngathi : (Bon, ya pas d'erreur dans le nom, là. . . ? Ok, parfait!) Ouais, il est vraiment à plaindre, notre pauvre petit Severus. . .
Oceane la malicieuse : Même avec l'explication de ton pseudo, je le trouve toujours tout aussi mystérieux!
ikuko195 : C'est vrai que ça accroche un peu, hein, 'vous êtes le bienvenu'? . . . T'inquiète, je l'ai changé. Ça se dit, en français, mais c'est vrai que la situation dans laquelle il était utilisé, ça coulait mieux de le changer. Vois-tu, c'est parce que j'essaie de ne pas traduire la fic mot pour mot; j'essaie de mettre du moi-même, dedans, comme ma façon de parler (ou d'écrire, peu importe), mes expressions, etc. . . Bref, je veux me sentir à l'aise, avec. Par exemple, ce chapitre, j'étais moins 'à cheval' dessus (heu. . . tu comprends ce que je veux dire). J'ai moins passé de temps sur chaque phrase, et ça a mieux sorti que les autres chapitres, je trouve, et ça m'a pris moins de temps pour le traduire. En tous cas, j'espère que les autres chapitres vont tout aussi bien aller! Ciao!
Kaorulabelle : Merci pour ta review!
Hé non, je ne suis pas morte; je suis de retour! Vous n'alliez tout de même pas penser que j'allais arrêter cette traduction de si tôt, tout de même?! Ça a pris du temps, mais j'étais occupée à travailler sur autres choses (comme sur une fic que moi et une amie avons commencé à écrire, mais elle ne va pas être sur ce site avant un bon bout de temps, car pour l'instant, je cherche à finir la traduction de celle-ci, d'en traduire encore un bout dans 'Sev, Herm et Ron visitent la Terre du Milieu', et j'aurai bientôt (?) fini 'Une semaine d'enfer!', en plus de d'autres activités que je compte faire dans ma vie privée car oui, j'en ai une!), alors bonne lecture, et j'espère que vous allez aimer ce chapitre, c'est celui que j'ai eu le plus de facilité à traduire, jusqu'à présent; bref, ça coulait plus.
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"D'accord." Rogue renifla et ouvrit la bouche, trop épuisé pour argumenter avec l'infirmière. Il avala le sirop et fit une grimace. "Et boi qui croyais que les potions goûtaient cob de la berde."
"Ça fait du bien de vous entendre enfin l'admettre après tant d'années," dit Pomfresh. Elle remit Rogue dans sa position précédente et réarrangea ses oreillers et ses couvertures. "Essayez de fermer l'oeil, Severus. Ce médicament est supposé vous rendre somnolent."
Il lui jeta un regard sceptique, puis il soupira et lui fit 'oui' de la tête. L'infirmière se tourna vers Dumbledore.
"S'il a besoin de quoi que ce soit, réveillez-moi, s'il vous plaît."
"Je suis persuadé que nous nous en sortirons tous seuls pour quelques heures, Pompom." Celle-ci jeta un dernier coup d'oeil à son patient, comme pour s'assurer qu'elle avait bien fait tout ce qu'elle pouvait pour l'instant, puis se dirigea vers la sortie.
"Bon, Severus, je vais simplement m'asseoir dans cette chaise et vous tenir compagnie pendant que vous dormiez," dit le directeur. Il tira une chaise à côté du lit. "Peut-être serai-je même capable de vous divertir avec quelques histoires de ce qui s'est déroulé dans vos cours depuis que vous êtes tombé malade."
Le visage de Rogue afficha une expression située entre le mépris et l'alarme.
"Les élèves – enfin, c'est-à-dire les Gryffondors et les Serpentards, pour être plus précis – ont réussi à rendre la vie de votre suppléant un enfer. Ils sont dégoûtés par ses dites habiletés et ont saisi chaque opportunité pour lui démontrer à quel point ses talents en potions sont médiocres en réussissant parfaitement chacune de leur potion, contrairement aux siennes qui, dit-on, ont autant d'effet qu'en a un sortilège de chatouillis lancé sur un dragon. Ils vous ont aussi louangé. . . comment Gilderoy l'a-t-il décrit, déjà? Ah, oui, 'à le rendre presque insupportable'."
Rogue était tout simplement bouche bée.
"Oh, et vous ne vous en seriez certainement pas douté, mais Harry, Ron et Hermione ont fait équipe avec Drago et quelques autres Serpentards, ainsi que Fred et George Weasley, bien sûr, et ont 'accidentellement' changé ce pauvre Gilderoy en paon. Enfin, d'après les rumeurs, bien sûr."
Un sourire s'afficha sur le coin des lèvres de Rogue.
"J'ai cru que ça vous remontrerait le moral," dit Dumbledore. "On s'ennuie de vous à la Table des Professeurs, mon garçon."
Rogue roula les yeux.
"On va dire que je vous crois, Albus."
"Ce n'est pas pareil, sans vous –"
Soudainement, Rogue laissa échapper un cri étouffé; il serra son bras gauche avec sa main droite et devint aussi blanc que les draps sur lesquels il reposait.
"Oh, non. . ."
"Severus?"
"Vol- Voldemort m'appelle. . . Vous devez m'aider, je. . . je dois b'habiller. . ."
"Vous n'êtes pas en condition pour –" Rogue renifla et tenta de se redresser.
"Vous savez aussi bien que moi que je ne dois pas ignorer ses appels. Je. . . J'y ai déjà été dans des conditions beaucoup plus pires."
"Severus, êtes-vous sûr?"
"Vite, avant que Pompom ne –"
Les deux hommes sursautèrent en entendant l'infirmière s'éclaircir la gorge. Elle se tenait devant la porte, les bras croisés sur sa poitrine, les lèvres plus pincées que jamais et une expression défiante dans le visage.
"Vous ai-je vraiment entendu dire ce que je crois vous avoir entendu dire?"
"Pompom, Severus est appelé."
"Je m'en ficherais même si Vous-Savez-Qui lui envoyait une foutue lettre d'amour!" Dit Madame Pomfresh en élevant la voix. "Il reste ici, c'est compris?"
"Enfin, soyez raisonnable –" L'infirmière se précipita vers Dumbledore.
"Si vous me conseillez d'être raisonnable une fois de plus, Albus, vous allez voir ce que je vais vous faire, vieux sacripant. Je ne vais le répéter qu'une seule fois. Il reste ici. Il n'y va pas; pas cette fois."
Rogue grogna, serrant son bras contre lui encore plus fort.
"Ce ne sont pas de vos affaires –"
"Oh, mais ce –sont– mes affaires, Monsieur Maître Espion! Ou bien avez-vous oublié le nombre de fois que vous avez été traîné dans cette infirmerie à peine vivant? Mais oh, ne me laisser pas vous empêcher d'y aller, pour l'amour du ciel. Allez, Severus. Laissez-nous vous voir descendre du lit. Allez-y, qu'est-ce que vous attendez?"
Rogue rassembla toutes les forces qu'il avait et se tira hors du lit.
Et s'effondra sur le sol. Il leva la tête et fusilla Pomfresh des yeux.
"Je suis persuadée que le Seigneur des Ténèbres ainsi que ses Mangemorts vont être compatissants, quant à vos problèmes de santé," dit-elle. "Ils risquent de ne vous donner qu'une ou deux fois l'Endoloris, contrairement à la douzaine de d'habitude."
"Espèce de – Mêlez-vous donc de vos –" La réplique de Rogue fut interrompue par une nouvelle vague de douleur qui traversa son bras, plus intense, cette fois.
"Albus, aidez-moi à le remettre au lit."
"Je dois. . . ne peux pas. . . " dit Rogue, qui maintenant le souffle était coupé.
"Calmez-vous," dit Pomfresh. Elle s'empara du sac qu'Hermione lui avait rapporté et se mit désespérément à la recherche d'un médicament qui pourrait guérir le mal du Maître des Potions. Aucune magie n'a jamais eu d'effet sur la Marque, pensa-t-elle, mais peut-être que. . . oh, s'il vous plaît. . .
Un cri de douleur s'échappa de Rogue.
"Pompom, Voldemort ne laissera pas Severus tranquille tant qu'il n'aura pas répondu à l'appel," dit Dumbledore.
"Tenez son bras immobile," lui dit l'infirmière. Elle ouvrit une boîte et Dumbledore l'observa en ressortir un tube.
"Qu'est-ce que c'est?"
"C'est supposé rendre la partie où on l'applique très froide. Ça contient de 'l'aspirine'. Hermione m'a dit que c'était une sorte de médicament miraculeux." C'est absurde, pensa-t-elle pour elle-même, mais ça devrait marcher. . .
Le corps entier de Rogue tremblait. "P-Pompom. . ."
"Prenez de grandes inspirations, Severus. On va essayer quelque chose."
Elle frotta le gel bleu clair sur le bras de Rogue, jetant de temps à autre un coup d'oeil au visage de son patient pour voir s'il réagissait positivement. Puis, enfin, à son énorme soulagement, ses muscles se relaxèrent et il la regarda d'un air ahuri.
"Ça. . . ne brûle pas. . . autant," finit-il par dire.
"Remarquable," murmura Dumbledore. "Alors les remèdes ne contenant aucune magie ont un effet sur la Marque. Je ne l'aurais jamais imaginé. Et vous avez l'air moins congestionné, Severus. La potion Moldue que vous avez prise plus tôt a également fonctionné, on dirait."
"Cet onguent doit être appliqué aux quatre heures," dit Madame Pomfresh en lisant les instructions sur le tube.
"Vous devriez aller vous recoucher, Pompom, maintenant," lui proposa Dumbledore. "Je crois qu'à présent, nous avons la situation en main."
"Oui, heureusement, et ce n'est pas grâce à vous! Je n'arrive pas à croire que vous alliez l'aider à répondre à l'appel."
"Je dois admettre que je n'avais pas réussi à trouver une meilleure solution. Mais vous devez avouer que Severus a plus tendance à vous écouter que moi.
"Ha," se fit entendre la voix ensommeillée de Rogue. Celui-ci bâilla.
"Silence, Severus. Je vous donnerais bien ma façon de penser, si ce n'était pas contre mes principes d'agiter un patient grabataire en lui reprochant sévèrement son attitude."
À ces mots, Dumbledore haussa un sourcil blanc, mais s'abstint d'émettre un quelconque commentaire.
"Ha," dit de nouveau Rogue de façon presque inaudible. Il avait l'impression que sa tête flottait parmi les nuages.
"Je serai de retour pour vous revoir, alors ne pensez même pas à sortir de ce lit," le prévint l'infirmière, se sentant déjà perdre sa colère de plus tôt.
Mais son patient s'était déjà endormi.
---
Cyngathi : (Bon, ya pas d'erreur dans le nom, là. . . ? Ok, parfait!) Ouais, il est vraiment à plaindre, notre pauvre petit Severus. . .
Oceane la malicieuse : Même avec l'explication de ton pseudo, je le trouve toujours tout aussi mystérieux!
ikuko195 : C'est vrai que ça accroche un peu, hein, 'vous êtes le bienvenu'? . . . T'inquiète, je l'ai changé. Ça se dit, en français, mais c'est vrai que la situation dans laquelle il était utilisé, ça coulait mieux de le changer. Vois-tu, c'est parce que j'essaie de ne pas traduire la fic mot pour mot; j'essaie de mettre du moi-même, dedans, comme ma façon de parler (ou d'écrire, peu importe), mes expressions, etc. . . Bref, je veux me sentir à l'aise, avec. Par exemple, ce chapitre, j'étais moins 'à cheval' dessus (heu. . . tu comprends ce que je veux dire). J'ai moins passé de temps sur chaque phrase, et ça a mieux sorti que les autres chapitres, je trouve, et ça m'a pris moins de temps pour le traduire. En tous cas, j'espère que les autres chapitres vont tout aussi bien aller! Ciao!
Kaorulabelle : Merci pour ta review!
