Elialys : ok soeurette mirci pour tes conseils précieux !

Le saut de l'ange : la gueule de bois est une épreuve que nous devons tous surmonter un jour alors autant en parler en se marrant !voilà la suite !au fait tu es ma première review alors téléphone au 0845361278 pour savoir ce que tu as gagner (3euros la minute) !

Voici le deuxième chapitre alors bonne lecture

Chapitre 2

Trois jours avaient passé depuis cette folle nuit de débauche et Harry n'avait pas voulu s'étendre d'avantage sur le sujet concernant ses rêves.

La veille, il avait reçu une lettre du professeur Dumbledor qui l'invitait à venir suivre des cours particuliers de défense contre les forces du mal (dcfm), pour le préparer à combattre Voldemort.

Aucun combat n'était prévu mais, selon le directeur, il fallait mieux prévenir que guérir. A mon avis il avait complètement raison !

Harry partait donc pour Poudlard aujourd'hui. Il était un peu déçu car Ron arrivait demain et il ne pourrait donc pas le voir.

Harry prit le Magicobus à 19h33 (et oui, c'est très précis un Magicobus), nous n'étions pas vraiment triste car nous savions que nous nous reverrions dans moins de deux semaines à poudlard.

Je passais la journée du lendemain à attendre Ron avec impatience. Avec lui au moins je n'eprouvais aucun doute sue mes sentiments, il n'était et resterait pour moi qu'un ami. Je savais bien que pour lui j'étais plus que ça et le sentir si accessible m'aidait à ne pas douter de mes sentiments pour lui. Ça m'amusait presque de le voir jaloux à chaque fois que je lui parlais d'un garçon autre que Harry et lui.

Ron arriva vers 20h00, il revenait tout juste d'un voyage au Brésil aimablement offert par Fred et Georges dont la boutique de farces et attrapes tournait à merveille.

Quand il apparut dans ma cheminée, j'eu peine à le reconnaître. Son mois et demi en amérique du sud l'avait métamorphosé. On aurait dit un brésilien roux ! Il avait bronzé, il avait musclé et il avait troqué sa touf de cheveux contre un mélange entre la tresse brésilienne et la dred lock.

Mentalement, il n'avait pas changé, il était toujours Ron…

« -Tu vas voir Mione, je t'ai ramené une spécialité magique de là bas, tu m'en diras des nouvelles ! »

Etant de nature curieuse, je lui demandais de quoi il s'agissait.

« Je ne peux pas te montrer ça là, tes parents pourrait nous les confisqués ! »Dit-il, d'un air mystérieux.

Je le fis donc monter dans ma chambre sans plus attendre. Une fois assis sur mon lit, il me tendit une boite de la taille d'un paquet de chewing gum moldu. Je lui demandai :

« -Qu'est ce que c'est ?

-Tu ne sais plus lire Mione !me répondit-il sur un ton taquin.

-Euphrhaha, lis-je, comme la tequila mais sans la gueule de bois.»

Je lançais à Ron un regard intéressé .Il me dit :

« Va-y, prends en une ! »

Je ne me fis pas prier. En secouant la boite au dessus de ma main, deux petites boules roses en tombèrent. J'en tendis une à Ron qui la fourra aussitôt dans sa bouche et l'avala. Je fis de même et l'effet fût immediat. En un mot : j'avais envie de m'éclater ! Je m'exclamai :

« -WOW, qui t'as donné ces trucs, Ron ?

-C'est Maria, une fille que j'ai rencontrer là-bas.

-Et qu'est ce qu'elle fait dans la vie cette maria ?lui demandais-je.

-Je sais pas trop, mais ce qui est sûr c'est qu'elle embrasse super bien ! »

A ces mots, mon cœur fit un énorme bond dans ma poitrine. Ron ! Sortir avec une fille !.....C'était impossible ! C'est pour moi qu'il avait un faible ! (N/A : jalouse Hermione ?!)

Je répliquais donc :

« -Et sur quoi tu te base, pour affirmer ça ?

-Je sais pas….tu veux peut être faire parti de mes critères de sélection !? »

Cette remarque me révolta ! Alors il croyait que j'allais l'embrasser pour qu'il puisse comparer avec sa Maria ! Je lui hurlais :

« -MAIS POUR QUI TU TE PRENDS, RONALD WEASLEY ! TU CROIS QUAND MEME PAS QUE…… »

Je n'eus pas le temps de finir ma phrase car elle fût coupée nette par….un oreiller lancé à grande vitesse. J'ouvris de grands yeux, surprise. Ce qui était apparemment très drôle, car Ron partit dans un fou rire….qui fût interrompus lui aussi par ce même oreiller.

Nous nous lançâmes alors dans une folle bataille, utilisant tous les objets mous qui ce trouvaient dans ma chambre, de la peluche au paquet de mouchoir. Mais bientôt ils ne firent plus l'affaire et nous en vîmes aux mains. Ron me chatouillait tellement fort que, bientôt je le suppliais d'arrêter :

« Haha-arrete-haha-je-haha-me-hihi-rennnnnnnnnnd »

Ron s'arrêta aussitôt. Nous avions tous les deux le souffle court tellement nous avions ris.

Je me rendis compte qu'il était couché sur moi et qu'une dizaine de centimètres séparaient son visage du mien. Je regardais Ron dans les yeux, troublée par la situation dans laquelle nous nous trouvions, mais peut être encore plus par le fait que je ne trouvais pas ça désagréable.

QUOI !MAIS QU'Est-ce QUE TU DIS, C'EST RON ENFIN !

« Alors tu te rend »me dit-il au bout d'un temps que n'aurais su déterminer.

En disant cela, il avait encore rapprocher son visage du mien et je sentais maintenant son souffle chaud et haletant sur ma bouche. Je lui répondis :

« C'est-à-dire que j'ai dis ça seulement pour que tu arrête de me chatouiller »

MAIS POURQUOI TU NE TE RELEVES PAS ! ALLEZ HERMIONE TU LE POUSSE ET TU TE LEVE !

« Ah oui, donc tu ne veux toujours pas faire parti de mes critères de sélection ? »

Je prenais une grande inspiration pour pouvoir lui hurler dessus le plus fort possible mais Ron ne m'en laissa pas le temps. Il plaqua sa bouche contre la mienne. Dans un premier temps, j'essayais de le repousser, peut être pour me donner bonne conscience. Mais très vite, mes mains qui poussaient ses épaules se glissèrent derrière sa nuque pour l'attirer à moi et approfondir le baisé.

Moi qui, au départ, ne voulais pas l'embrasser, maintenant ne désirais plus qu'une chose : que ce baisser dure toujours. Car je savais que dès l'instant où les lèvres de Ron se détacheraient des miennes, j'allais regretter se qui s'était passé