A/N : Coucou mes lecteurs adorés !!! Tout d'abord : je suis totalement, complètement, absolument, incontestablement désolée pour le retard qu'a pris ce chapitre… MAIS j'ai une excuse valable ! La plus part d'entre vous (bandes de veinards…) sont en VACANCES durant la si belle saison qu'est l'été… MOI PAS !!! C'est la période la plus chargée de l'année… Alors je suis désolée de vous prévenir que mes chapitres vont malheureusement s'espacer. Bon. Pour ce chapitre, j'ai de tas de choses à dire. Il m'a pris un temps fou à être écrit car j'ai beaucoup hésité sur le rating… Mais je me suis dit qu'en temps qu'auteur, il fallait être capable d'écrire de tout alors… ce chapitre est "R" Autrement, le ton s'accélère, et un changement dans l'écriture en rapport avec l'attitude d'Hermione est à prévoir. Je passe du coq à l'âne, mais c'est le but, alors accrochez-vous ! Je n'est malheureusement pas le temps de répondre à vos reviews (mais s'il y a une question explicite, j'y répondrais tout de même !) et croyez-moi, j'en suis désolée… Je vous remercie tous infiniment pour le soutient que vous me témoignez durant l'écriture de cette fic, cela me fait infiniment plaisir et m'encourage réellement ! Bonne lecture à tous ! (P.S : Je suis vraiment ravie de savoir que mon idée de transformation vous a plut !)

Chapitre huitième :

La veangence est un plat qui se mange froid

Le jeu avait commencé… Les dés étaient jetés…

Hermione Granger devait entamer une relation avec son pire ennemi : Draco Malfoy.

Pour l'Ordre…

Pour Poudlard…

Un round avait été remporté par cette dernière la veille. Elle avait montré à Malfoy son côté…démoniaque…Il avait aimé…Mais c'était au tour du jeune homme de démontrer que lui aussi pouvait faire preuve de talents cachés. Toute la nuit il avait désespérément cherché ce qu'il pouvait bien faire avec Granger… L'idée de la plaquer contre un mur et de l'embrasser lui était bien évidemment venue, mais c'était vraiment trop classique…La battre en duel ? Aucune chance… Alors quoi ? Un sourire sadique lui dévora le visage… Quelle bonne idée… Hermione Granger avait peut être changé, mais elle était toujours première de classe… Il allait y remédier…

Il se leva en silence. Vers la bibliothèque, il n'y avait personne… Parfait, parfait…La salle n'était jamais verrouillée... Il entra. Potions…potions…Ah ! Là. Alors…sommeil…non…transformations…non plus… ajouter un trait de caractère…Ah, ça se rapproche…Voilà ! J'ai trouvé.

Il repartit avec son acquisition et consacra le reste de la nuit à préparer la potion.

Hermione ne dormit presque pas de la nuit. Elle s'était convaincue qu'elle faisait la meilleure chose possible. Elle était une prédatrice qui avait une proie à chasser, c'était tout ce qui comptait.

La journée du lendemain fut pénible. Ginny et Kitiara ne lui posèrent aucunes question. Elle était en mission. Il n'y avait rien à demander. Le cachot du professeur Rogue avait été réparé… Ginny était verte d'avoir été obligée d'aider. Mais au moins, elle avait pu se régaler de la rage de Rogue… Le professeur Flitwick lui avait d'ailleurs glissé un très léger : " Fred et George ont fait du bon boulot. " Elle avait rougit. Visiblement, tout le monde dans l'école à part Rogue lui-même savait que l'auteur de ce magnifique coup était Ginny. Allez savoir pourquoi ? Ce n'était qu'une Weasley, après tout…

Le soir arriva… Avec Malfoy…

Hermione prit une grande bouffée d'air. Malfoy avait préparé quelque chose, elle le savait. Mais elle savait aussi qu'il savait qu'elle savait… Bref, tout le monde savait tout, quoi ! Elle descendit les marches… Courage, ma grande…

Il était assis sur un petit mur. Dans ses mains, une bouteille de vodka. Ah ! Ça l'arrangeait bien, le Malfoy, que les moldus aient inventé l'alcool ! Une deuxième bouteille était posée près de lui...

" Salut, Granger. Tu te joins à moi dans ma déchéance ? "

Et il lui tendit l'autre bouteille. Hermione le fixa. D'un mouvement sec, elle lui arracha la vodka des mains, l'ouvrit et l'engloutit… Pour l'Ordre…Pour Poudlard…

" On peut y aller, maintenant ? "

Malfoy n'était pas surpris. Granger avait très bien saisit les règles du petit jeu stupide auquel ils jouaient.

" Ouai… "

Et ils partirent en silence. Il savait que Granger ne lui réservait aucune surprise…Chacun son tour ! Au bout d'un moment, il se décida à voir si l'effet de sa potion fonctionnait :

" De toi à moi, t'en penses quoi, de Potter ? "

C'était donc ça, son "cadeau". Il lui avait fait avaler quelque chose pour altérer ses paroles. Mais comment ? Un seul moyen de le savoir…

Elle pensa : " Harry est mon meilleur ami. "

Elle dit : " Ce que je peux le détester, ce con de Potter ! "

L'infâme ! Une potion de contradiction. Il allait falloir qu'elle la joue serré.

Malfoy était mort de rire. Elle allait devoir faire très attention à tout ce qu'elle dirait !

Elle pensa (ce qui lui valut un effort surhumain) : " Je t'aime Malfoy ! "

Elle dit : " Je te déteste ! "

Tout à coup, Malfoy riait moins. Pourquoi avait-elle deviné aussi vite ? Tant pis, il allait la faire chanter pendant toute la journée du lendemain… De toutes façons, tant qu'elle était avec lui, elle ferait attention à ses moindres paroles. A moins que…

" Dis-moi quels sont mes défauts ? "

Il voulait qu'elle pense qu'il était merveilleux, extraordinaire, etc. Au moins qu'elle le pense… Mais au lieu de ça, elle se mit à rire. Pourquoi ?

Parce qu'elle trouvait très drôle qu'il ne se doute pas de ce qu'elle allait faire dès qu'elle aurait fini sa ronde !

Ils terminèrent ainsi : Hermione hilare et Draco très contrarié que ça la fasse rire.

Dès qu'ils s'étaient séparés, Hermione avait cessé de rire. Elle s'était précipitée vers son dortoir, avait mis en vrac sa bibliothèque pour trouver le livre qu'elle voulait. Elle tourna le plus vite possible les pages, jusqu'à ce que… Ah ! Enfin. Elle trouva facilement les ingrédients, ce n'était pas une potion très compliquée… Il suffisait juste qu'elle fasse effet le temps que l'autre se dissipe. C'est à dire environ jusqu'au lendemain soir…

Le lendemain matin :

" Salut, Mione. Alors, bien dormi ? "

Malfoy guetta sa réponse. Rien. Rien ? Comment ça rien ? Il regarda Hermione qui lui fit un sourire radieux. Pourquoi ? Il eut la réponse lors du cours de soin aux créatures magique.

" Bonjours les enfants ! " rugit Hagrid alors que les élèves approchaient. " Salut vous trois. Ça va ? "

Il s'adressait au trio. Harry lui répondit par l'affirmative, Ron également mais Hermione leva un bout de papier sur lequel était écrit :

" Un imbécile m'a mis une potion de mutisme dans mon repas d'hier soir ! "

Malfoy avait pu lire. Hermione avait négligemment tourné le papier dans sa direction. Il était outré ! Elle l'avait vraiment bien eu. Si elle n'avait pas avalé d'autre potion, les professeurs l'auraient obligé à parler. Mais là ! 2-0. Malfoy perdait la face… Ok, il allait ce reprendre ce soir… Que lui avait-elle préparer ?

" Aller bouge-toi les fesses, Parkinson ! On n'a pas toute la journée. Et plus vite tu avanceras, plus vite tu retrouveras ton Draconinouchet chéri ! "

Il ne pouvait pas croire ça ! Elle avait osé amener…ça ?

" Elle est de corvée avec nous, ce soir. Soit disant en inspection, elle était en train de vouloir s'infiltrer dans notre salle commune… Et puis, elle a l'air ravie d'être avec nous…euh…toi pour la soirée ! "

Hermione était ravie de son effet. Malfoy était désespéré ! Lui qui passait sa vie à éviter son animal de compagnie préféré !

Et c'est partit pour deux heures avec toutou Pansie pendu au train. Il pris son courage à deux mains et commença sa ronde. Granger le surprenait de plus en plus. Elle avait trouvé la pire façon de le torturer, du moins pour l'instant : lui faire passer du temps avec Parkinson. Toutes les 5 secondes, il avait le droit à un :

" Prends-moi dans tes bras. "

Ou :

" Embrasses-moi, mon amour. "

Ou encore :

" On largue l'autre conne et tu me fais l'amour en plein milieu du couloir ? "

Et à chaque fois :

" LA FERME PARKINSON ! "

Hermione prenait bien soin de leur laisser de l'intimité. Deux heures comme ça. Il était à bout. Enfin, la punition cessa et il put reprendre de sa superbe en disant :

" Va m'attendre dans ma chambre, Pansie. "

La jeune fille gloussa et partit en courant.

" Et elle espère que tu va passer la nuit dans ta chambre ? "

Malfoy eut un petit rire mesquin :

" Oui. "

Et il partit. Hermione n'avait rien marqué comme point : il n'avait pas craqué. Zut ! Bon tant pis. Pour la prochaine fois !

Et la fin de la semaine arriva. Il était tant qu'elle passe à la dernière manœuvre… Courage ! Durant toute la semaine, elle avait joué avec le feu. Elle avait démontré à Malfoy qu'elle pouvait avoir un fond…méchant. Mais elle ne pouvait pas encore l'interroger…Pas encore…

Hermione était très nerveuse tout au long de la journée. Pour l'Ordre…Pour Poudlard…

Draco était pour la première fois désorienté. Il ne savait pas où tout cela allait les mener… Mais il connaissait assez bien Granger pour savoir qu'elle avait une idée derrière la tête, qu'est ce que ça pouvait bien être ?

Juste une fois et c'est fini ! Du nerf ! Courage ! Pour l'Ordre ! Pour Poudlard ! Hermione se répétait sans cesse ces mots alors qu'elle se dirigeait vers les Grands Escaliers. Elle était vêtue d'une très courte jupe et d'un haut en dentelles noires.

Draco était déjà arrivé, comme à son habitude. Il vit Hermione descendre l'escalier avec beaucoup d'assurance. Elle était très…sexy. Une semaine plus tôt, ça l'aurait vraiment dérangé de penser quelque chose comme ça, mais plus maintenant. Il était convaincu, même si elle restait une sang impure, qu'elle pouvait être très…méchante. Et il aimait les doubles personnalités. Peut-être parce qu'il en était une, lui aussi ?

Elle descendait les marches…Il la dévisageait…Très bien ! Allez ma fille, courage ! Elle s'approcha de lui en se déhanchant d'une façon très suggestive…

Mais à quoi jouait-elle ? Puis il comprit… Et ça ne lui déplut qu'à moitié…Après tout, Granger dans son lit, quelle bonne idée ! Ça mettra du piquant !

Elle passa ses bras autour des épaules du jeune homme. Elle le regarda droit dans les yeux. Elle détestait ce regard. Pour l'Ordre ! Pour Poudlard ! Elle approcha doucement sa bouche de son oreille :

" J'ai joué avec le feu toute la semaine. Maintenant, je voudrais me consumer… "

Courage ! Elle l'entraîna dans une salle vide.

Draco se laissa faire, curieux. Mais lorsqu'il entendit sa proposition, il se dit aussitôt que Granger était complètement folle. Elle qui le détestait tant, lui faire une proposition indécente ? Il n'avait jamais cru cela possible. Et pourtant…Elle lui donnait l'impression de le vouloir vraiment… Pourquoi ne pas profiter ? Il la suivit à l'intérieure de la salle de classe.

Dès qu'il eut fermé la porte, il la verrouilla et l'insonorisa… Pour ne pas être dérangés…

Il fallait qu'Hermione assure… Elle n'avait pas fait tout ça pour flancher maintenant ! Pour Poudlard ! Pour l'Ordre ! Ne pas arrêter de penser ces mots.

Lorsque Draco se retourna, elle enlevait délicatement son bustier qu'elle laissa négligemment tomber à ses pieds. Draco ne bougea pas d'un millimètre, observant avec beaucoup d'intérêt le corps d'Hermione qui se dénudait peu à peu. Après son haut, la jeune fille s'attaqua avec des gestes lents et précis à sa jupe. Elle se baissa, ce qui laissa le loisir à Draco d'observer les seins que cachait le soutien-gorge, pour déboutonner les trois boutons qui faisaient tenir en place le morceau de tissu qui lui arrivait à peine plus bas que mi-cuisses. Partie du corps qu'elle avait de magnifique d'ailleurs…Une fois la jupe tombée, elle se trouvait en sous-vêtements dentelés couleur pourpre. Elle s'approcha à pas lents de Draco en faisant onduler tout ce qu'elle pouvait avoir de désirable. Le jeune homme se laissa faire quand Hermione, qui le regardait droit dans les yeux, défit un à un les boutons de sa chemise avec des gestes langoureux. L'habit glissa à terre, révélant un torse aussi musclé que pouvait l'être celui d'un joueur de Quidditch.

Lentement, elle fit glisser ses mains sur la peau de Draco puis descendit pour atteindre son pantalon. Ce que ressentait Hermione était indescriptible à ce moment là. Elle aurait voulu se retourner, partire le plus loin possible de cet endroit et oublier… Voyant son trouble, Draco fit glisser une de ses mains sous le menton de la jeune fille et approcha son visage du sien. Elle avait eut la possibilité d'avoir le dessus un moment, mais il allait reprendre les choses en main. Lentement, il approcha son visage du sien et déposa un très délicat baiser sur ses lèvres. Puis il se défit de son pantalon d'un coup sec et l'envoya balader à l'autre bout de la pièce. Son boxer noir soulignait magnifiquement bien les contours de son corps et si une autre demoiselle qu'Hermione s'était retrouvée à la place de cette dernière à cet instant précis, elle aurait très certainement défaillit. Mais pas Hermione. Elle restait de marbre. Draco fut un peu déçu que la jeune femme ne se jette pas dans ses bras en voyant ce corps d'Apollon, mais il se fit une raison, c'était Granger… Il se rapprocha à nouveau d'elle et déposa de légers baiser le long de son coup. Vraiment malgré elle, et malgré ce qu'elle ressentait, Hermione ne put retenir le soupir qui s'échappa de ses lèvres entres ouvertes. Draco était ravi d'entendre ce son, signe que sa partenaire ne restait pas totalement insensible à ses caresses. Il glissa ses mains le long du corps de la jeune fille, s'attardant au creux des reins, puis remonta le long de la colonne jusqu'à rencontrer un obstacle fait de tissu.

Tout en continuant à embrasser, un peu plus franchement cette fois, le cou de sa partenaire, il décrocha sans aucunes difficultés les agrafes qui retenait sa poitrine généreuse. Le morceau de tissu partit rejoindre la chemise de Draco. Celui-ci quitta alors le cou d'Hermione pour diriger sa bouche vers la chair ainsi découverte. La jeune fille, d'un mouvement imperceptible, serra les poings au moment où la langue de Draco s'attarda sur le sommet de ses seins. Puis, ne souhaitant pas que son partenaire soupçonne quelque chose, elle prit son courage à deux mains et fit glisser son boxer sur le sol. Il était nu devant elle. Retenant un haut le cœur en voyant ce qu'elle n'aurait jamais voulut voir, elle lui pris les poignets et l'obligea à lui retirer son dernier vêtement. Hermione ordonna à son cerveau de se mettre en veille jusqu'à nouvel ordre, car elle n'avait aucune envie de réfléchir sur ce qui c'était, est, et allait se passer. Heureusement pour elle, Draco était quand à lui passé en mode "animal" et ne se préoccupait guère des envies de sa partenaire, trop concentré sur lui-même. Il glissa ses mains sur les fesses de la jeune fille, la souleva de terre et la déposa sur un bureau. Il jouait de ses doigts sur Hermione comme on aurait joué sur une flûte, tout en se dirigeant vers ses cuisses.

Arrivé à destination, il caressa doucement sa peau, avant de lui écarter les jambes, sensuellement mais fermement. Si elle n'avait pas eut un but précis à cet instant, Hermione aurait sans aucuns doutes fait un arrêt cardiaque. Mais, justement, elle avait un objectif… Draco ne ressentit absolument pas le dégoût de la femme qu'il s'apprêtait à dépuceler. Lorsque les cuisses d'Hermione furent assez éloignées pour qu'il puisse s'introduire en elle, il n'hésitât pas. D'un mouvement lent, il la pénétra. Au moment où il atteignit ce qui avait protéger Hermione tant d'année, son mouvement devint encore plus lent. La jeune fille, de son côté, devait faire un effort indéfinissable pour ne pas trembler de tous ses membres.

A l'instant où elle cessa d'être une petite fille, elle ne put s'empêcher de pousser un cris de douleur. Les méninges de Draco interprétèrent mal ce cri qu'elles confondirent avec un cri de plaisir. S'enfonçant profondément en elle, il commença de lents mouvements de va et vient, entrecoupés de sa respiration rauque. Hermione suppliait Merlin que tout cela s'arrête bientôt, mais il fallait, en attendant, faire semblant de prendre du plaisir. De petits cris et soupirs forcés étaient arrachés, très difficilement, à ses cordes vocales. Pensant que sa partenaire y prenait autant de plaisir que lui, Draco accéléra encore le rythme jusqu'à ce qu'il devienne effréné. Au paroxysme de leurs étreintes, Draco se vida en elle dans un dernier effort avant de s'écrouler. Il n'avait pas remarquer qu'il était le seul à avoir atteint le septième ciel. Sa réputation de dieux du sexe était tellement ancré en lui qu'il ne se demandait même plus si ses partenaires étaient satisfaites, ça coulait de source… Les deux amants tombèrent à terre, et s'endormirent presque aussitôt. L'un de contentement et l'autre de soulagement.

Plus tard, Draco se réveilla dans une étrange pièce. Après avoir bien réfléchit, il se rendit compte qu'il se trouvait dans une salle de classe…Puis tout lui revint en mémoire. Granger ! Il avait couché avec Granger ! Bon, il fallait relativiser. Ce n'était qu'une proie de plus à son tableau. Mais c'était une proie qui s'appelait Granger ! Draco ne comprenait pas pourquoi le fait d'avoir couché avec la sang-de-bourbe de meilleure amie de Potter le dérangeait autant… Pourtant, il ne pouvait nier qu'il avait aimé ça…Peut être même un peu trop… Surprit par son propre geste, il se mit à caresser les cheveux chocolats d'Hermione qui avait posé sa tête sur le sol, près de lui. Il n'approfondit pas plus loin sa réflexion, profitant de la douce chaleur qui l'avait envahit. Hermione, pour sa part, se réveillait peu à peu. Elle ne bougea pas avant d'être totalement consciente du monde alentour. Mais avant qu'elle puisse y parvenir, elle sentit une main se glisser dans ses cheveux avec une extrême douceur. Elle savait où elle était et ce qu'elle avait fait, mais elle ne s'attendait pas à un tel geste de Malfoy…Sa surprise fut de courte durée et en se reprenant, elle bougea légèrement, ce qui incita Draco à retirer sa main de ses belles boucles cuivrées. Étant tous les deux conscients du contexte dans lequel ils se trouvaient, ils n'échangèrent pas un mot pendant un long moment. Puis, Hermione se décida à poser la question pour laquelle elle avait fait tout ça :

" Dis-moi, Malfoy. A qui je dois m'adresser si je veux me faire marquer par les Ténèbres ? "

Draco avala de travers. Que venait-elle de lui demander ? Hermione Granger ?

" Alors tu me réponds ? "

Draco réfléchissait à toute vitesse. Granger avait donc couché avec lui uniquement pour savoir ça ? Elle s'était servie de lui ? Il croyait plutôt que c'était le contraire…Fallait-il qu'il lui réponde ? Le méritait-elle ? Il devait reconnaître qu'il avait trouvé que Granger faisait une amante tout à fait acceptable, voir très douée même pour quelqu'un d'à moitié non consentant, ce qu'il ignorait bien sûr… Bon, il allait lui répondre…

A/N : C'est la fin de ce chapitre ! J'espère qu'il vous a plut ! Si vous avez des commentaires pour le lemon, merci d'avance car je n'ai absolument aucune idée de la valeur de cette scène…Je vous retrouve au prochain chapitre que je vais faire de mon mieux pour ne pas trop faire tarder !

Gros bisous,

Ambrazka.

P.S2 : Pour continuer da ma lancée " avis des lecteurs " ! Est ce que vous préfèreriez un combat " final " classique, c'est à dire avec nos trois sorcières, ou alors un peu plus " moderne ", style gladiatrices, en guerrières toutes les trois ? Le choix vous appartient !

Re-gros bisous,

Re-Ambrazka.