N.d.A : Coucou tout le monde !!! Je suis enfin de retour avec ce nouveau chapitre ! Quelques délires ont malheureusement échappés à ma surveillance attentive, mais je ne vais pas vous débiter un long discourt sur l'origine étymologique du mot "babouin" alors que certains d'entre vous (le "certains", c'est pour me déculpabiliser pour le retard car je me persuade qu'il y en a parmi vous qui n'ont pas trouvé l'attente trop longue… No comment…) Donc : je vais vous laisser à votre lecture et j'espère que vous apprécierez ce chapitre !

Disclaimer : Il était une fois un monde où un écrivain nommée J.K Rowling était toute puissante, régnait sur le monde et dont tout ce qui se rattachais à l'univers d'Harry Potter lui appartenait de droit. Finalement, ce monde n'était pas si éloigné du nôtre…

Résumé, pour vous remettre en mémoire certains détails : Après avoir démasqué l'identité de Kitiara, Ginny et Hermione se retrouvent dans le bureau de Dumbledore, leur amie les y ayant traîné de force. Cette dernière se plaint du comportement irresponsable des deux filles. Mais les choses sont arrangées et Hermione et Ginny rejoigne officieusement les rangs de l'Ordre du Phoenix, aux côtés de Kit. Dès lors, elles se retrouvent investies de la mission : découvrir la taupe qui informe Voldemort sur les activités à Poudlard…Á force d'enquêtes acharnées, Kitiara pense à deux identités… Un élève de Poufsouffle, Ivan Sauge, et le très célèbre Draco Malfoy… Considérant Hermione comme la plus apte, Kit lui ordonne de soutirer des informations à Mr Malfoy… Et de fil en aiguille, après certaines transformations caractérielles et physiques provisoires, Hermione se voit obligée de coucher avec celui qu'elle déteste pour obtenir ce qu'elle veut… Elle le fait avec d'égout, mais le résultat la plonge dans un état catastrophique : Malfoy n'est pas la taupe… Elle revient au dortoir des Gryffondors avec dignité, mais s'écroule dans la salle de bain. Kit et Ginny arrivent à sa rescousse et après avoir prit connaissance de l'acte d'Hermione, s'excusent platement car aucunes des deux ne voulais que ça aille si loin. Finalement, Hermione promet de s'en sortir et s'endort presque paisiblement. Le lendemain, celle-ci décide d'adopter une attitude neutre envers Malfoy pour lequel, incroyablement, elle ne ressent plus de haine. Que de l'indifférence… Ce chapitre nous plonge maintenant dans le point de vue de Draco…

( Les RAR sont en fin de chapitre )

Chapitre onzième :

Verso

Draco Malfoy retournait d'un pas lent et résigné vers son dortoir. La répercussion de ses pas sur le sol donnait le rythme de ses pensées… Le corps nu de Granger s'imposait dans son esprit alors que sa raison le poussait à éviter le retour de ces images sur sa rétine. Secouant énergiquement la tête, il se força à restituer les connaissances qu'il avait acquises pour le devoir de potion…Préparation du TroublePensée : 30g d'écorce de mandragore…5g de corne de licorne…quel corps… 3 branches confites de concentré de larmes…et ces yeux…2 annaux de boa constrictor…sa peau si douce…un courage admirable…

Sans s'en rendre compte, Malfoy s'était arrêté en plein milieu du couloir sinueux qu'il longeait. Apparemment, plus aucun contrôle sur sa pensée ne lui était permis. Son univers se résumait en un mot : elle. STOP ! On repasse en mode prédateur et on évite celui du débile amoureux. Malfoy n'en croyait pas son cœur. Il était en train de tomber amoureux ! Affolé, il courut dans son dortoir en espérant éviter toute personne se trouvant par un malencontreux hasard sur sa trajectoire. En vue de son lit, il propulsa sa personne sur les chaudes couvertures. Empoignant son oreiller, il se le plaqua sur le visage dans l'espoir d'étouffer l'étincelle qui c'était allumé en lui. Cependant, ce ne fut pas l'étincelle qu'il étouffa, mais bel et bien lui même. A bout de souffle et de nerf, il consentit à relâcher sa pression pour permettre à l'air stagné alentour d'investir ses poumons martyrisés. Sachant pertinemment qu'il devait réfléchir posément, il étala son corps sur la face blanche de son matelas et pratiqua quelques inspirations poussées à l'extrême suivies d'expirations toutes aussi profondes. Seulement voilà, dès qu'il se mit plus calmement à penser à Granger, sa réflexion le poussa dans un profond sommeil.

Le samedi matin, ses paupières embrumées furent tirée de leur engourdissement par un soleil beaucoup trop entreprenant à leur goût. Cillant deux ou trois fois avant que les deux images qu'il voyait ne se superposent, il consulta son réveil. 11h. Trop tard pour le petit déjeuner, trop tôt pour le dîner. Tant pis ! Il allait patienter. Des projets pleins la tête, Draco Malfoy se leva pour passer une journée des plus joyeuse. Mais à peine s'était-il mis debout qu'une baffe imaginaire le fit instantanément se rassoire. Un des grand problème de Draco, c'est qu'il ne se rappelait pas toujours de tout ce qu'il devait lorsqu'il se réveillait. Ainsi, il trouvait souvent de charmantes créatures endormies à ses côtés dont il ne se souvenait même plus le nom. Accordons que Malfoy ne se souciait pas beaucoup des prénoms de ses conquêtes, mais quand même ! Ce matin là, c'était l'image nue de Granger qui lui faiblit les rotules en le contraignant de retomber aussi vite qu'il avait sauté du lit. Alors tout ça n'était pas un mauvais rêve ? Cette phrase parcourut les neurones de Malfoy jusqu'à ce que chaque cellule la crie à son propriétaire. Une fois les morceaux éparpillés de ses souvenirs rassemblés, Draco se mit nerveusement à faire les cents pas. Qu'est ce que Granger avait bien pu faire pour susciter une telle émotion chez ce jeune homme ? Comme taché de sang, le mot "sacrifice" s'imposa à lui. Blêmissant, son esprit chercha frénétiquement quelque chose d'autre… SACRIFICE ! ! ! Les meubles, les draps, les cahiers, tout hurlait à Malfoy ce mot. S'y résolvant à contre cœur, il fit une analyse pratique de ses sentiments…

Sigmund Freud : Bonjour mon petit Draco ! Alors, comment allez-vous depuis la dernière fois ? Il me semble d'ailleurs que la dernière fois se rapportait à la mis en prison de votre père… Votre vie à du être riche en évènements pour ne pas avoir pris le temps de descendre faire une petite analyse depuis ce temps !

Malfoy : Oui, je suis désolé de ne pas être venu vous rendre visite plus tôt. A vrai dire, il n'y avait pas vraiment de sujets à débattre…

Freud : Ce n'est pas grave ! Alors, que me vaut votre visite impromptue dans vos sentiments ?

Draco : Et bien…je…c'est catastrophique… Je crois que je suis en train de tomber amoureux… (Il rougit très fortement !)

Freud : Aha ! Vous croyez ? Et qui est l'heureuse élue qui à peut-être su briser vos barrières de béton arm ?

Malfoy : Hermione Granger…(Dans un murmure…)

Freud : Granger…Granger…Ne serait-ce pas la sang-de-bourbe que vous détestiez tant ?

Draco : Si…(Quasiment inaudible…)

Freud : Intéressant…très intéressant…l'évolution des sentiments est la chose la plus fascinante qu'il ne m'aie jamais été donné d'étudier ! Mais à près tout, ne dit-on pas qu'entre amour et haine, il n'y a qu'une mince séparation ? Oh ! Excusez mon enthousiasme. Revenons à vous, Draco. Pouvez-vous m'expliquer pourquoi vous pensez être tombé amoureux de cette jeune personne ?

Draco : Je ne pourrais pas vous dire exactement pourquoi… A première vue, depuis que j'ai le loisir de penser pas moi-même, je ne croyais finalement pas arriver à changer…Éducation trop encrée, je présume. Et puis je me suis petit à petit rendu compte que l'envie d'insulter, de me battre ou autre chose n'avait plus le même impacte sur moi. J'ai tout d'abord interprété ça comme une faiblesse que personne ne devait voir… Mais ensuite, j'ai trouvé un point commun entre tous ces moments : Granger… Je ne m'en suis aperçu que récemment…. Ensuite, il y a eu ce petit jeu débile auquel nous avons participé pendant une semaine. Cela consistait à faire des coups bas, mais chacun son tour. Et durant cette semaine, j'ai vu Granger comme je ne l'avais jamais vue… Libre, magnifique, combattante, intelligente (ok, ça c'est pas une nouvelle, mais Draco viens de s'en rendre compte !) et…méchante aussi. Je dois bien avouer que je n'ai pu m'empêcher de l'admirer. Et hier, il s'est passé quelque chose d'imprévisible… Pour le dernier jour de cette semaine mouvementée, elle m'a demandé de coucher avec elle… Imaginez ma surprise ! Je savais bien qu'elle avait une idée derrière la tête, mais de là à me demander de faire la chose qui la dégoûtait le plus au monde…Seulement, ma plus grosse erreur a été d'accepter… C'est chiant d'être un mec et de ne pas pouvoir réfléchir correctement quand il le faut… Mais enfin ! Et la dernière surprise du jour, c'est ce qu'elle m'a demandé de lui dire… Qui pouvait lui apposer la marque des Ténèbres ! La dernière question que mon imagination pouvait admettre venir de Granger ! Pourtant c'est bien ce qu'elle m'a demand ! Elle avait fait tout ça pour cette simple question ! Je lui est donc répondu. Si vous aviez vu son expression lorsqu'elle s'est rendu compte qu'elle n'avait pas couché avec le bon ! A cet instant précis, j'aurais voulu la prendre dans mes bras…la réconforter…l'embrasser…Mais je ne pouvais pas ! Après s'être assurée que je n'avait rien à voir avec la filiale, elle est partie très dignement…

Freud : Tout cela, mon petit, me confirme ce que vous pensiez être…amoureux, c'est à vous de savoir…mais je peux vous assurer que ce que vous ressentez pour cette jeune fille n'est pas uniquement de l'attirance. Il ne faut pas avoir peu de l'inconnu ! L'amour est la plus belle chose du monde !

Draco : Oui, mais pas Granger !

Freud : Il est une chose que vous devez savoir, mon petit : le cœur a ses raisons que la raison ignore ! Si cette jeune fille est votre moitié, vous ne pouvez lutter ! Contentez vous une fois dans votre existence de suivre vos sentiments, c'est la chose la plus raisonnable a faire.

Draco : Et qu'est ce que je dois faire ? Cette fille me déteste autant que je la haïssais. Comment voulez-vous que je fasse pour lui avouer qu'en l'espace d'une semaine, je suis tombé amoureux de ma pire ennemie ? Impossible.

Freud : Êtes-vous certain que cette demoiselle vous déteste ?

Draco : Oui.

Freud : A votre place, je ne mettrais pas ma main à couper…

Draco : Que voulez-vous dire ?

Freud : Et bien, avez-vous déjà demandé à cette jeune fille ce qu'elle pensait de vous ?

Draco : …euh…non…mais je le sais…elle le montre suffisamment bien !

Freud : Je vous propose d'agir comme un homme courageux et d'aller le lui demander. Je ne vous aiderais plus tant que ce ne sera pas fait !

Draco : D'accord, d'accord, j'y vais… Merci.

Draco Malfoy referma la petite fiole dans laquelle un de ses ancêtres avait enfermé l'esprit de Sigmund Freud. A l'époque, toute la population avait cru à un décès "normal". Quel beau travail ! Il déposa le précieux objet dans une boite scellée, puis il prit la direction de la Grande Salle. Le verdict était tombé : il devenait irrémédiablement amoureux. Catastrophe ! Il aurait préféré embrasser l'arrière train de Goyle plutôt que de tomber amoureux de GRANGER ! ! ! Mais on ne pouvait lutter contre les sentiments. Qu'importe la réponse, il fallait qu'il demande à Granger ce qu'elle ressentait pour lui. Lorsqu'il entra dans la Grande Salle, il n'aperçu pas la jeune femme… Il allait l'attendre. S'asseyant à la table des Serpentards, il fit comme si de rien n'était et pris son repas en affichant son petit air supérieur. Il en était au dessert lorsqu'elle arriva. Il l'observa et la détailla de la tête au pied. S'il ne savait pas ce que cette jeune fille avait fait, il n'aurait pu le deviner tellement son attitude n'avait rien d'inhabituelle. Elle alla s'assoire avec ses amis et se mêla à la conversation. Draco ne sembla pas se rendre compte qu'il avait cessé de manger pour pouvoir l'admirer. Une lame de fond lui laboura l'estomac lorsqu'il la vit rire. Mais pourquoi cette fille avait tant d'effet sur lui ? Mais bientôt, le regard inquiet de Goyle se posa sur lui et il dut reprendre contenance pour ne pas éveiller les soupçons. Un long moment passa, puis enfin elle se leva. Disant au revoir à ses compagnons qui partaient tous dans des directions différentes, elle sortit de la Grande Salle. Draco se leva nonchalamment et la suivit discrètement. Elle semblait se rendre à la bibliothèque. Il collait ses pas aux siens, quelques mètres en arrière, et bientôt il la rattrapa lentement. Au moment où il s'apprêtait à l'accoster, deux mains se posèrent sur ses épaules et l'attirèrent dans un sombre couloir.

« Je t'interdis d'approcher à nouveau ne serais-ce qu'une fois d'Hermione. »

Ginny avait empoigné Draco au collet et le fixait d'un regard plus que haineux. Le jeune homme fut surprit par la force de la petite Weasley, mais ne se laissa pas démonter :

« De quel droit oses-tu me donner des ordres ? » demanda Malfoy, un sourire en coin pendu sur ses lèvres.

« Du droit de l'amitié. Elle a assez souffert comme ça ! Laisses la tranquille. »

« Weasley, Weasley, Weasley… Espères-tu vraiment que moi, le grand Draco Malfoy, je t'obéisse ? ? »

« Eh bien, oui ! Si tu ne veux pas que le monde sorcier sache que tu a dénoncé la taupe de Poudlard, tu ferais mieux de m'obéir. » cracha t'elle entre ses dents.

Draco était déstabilisé. Ainsi, Granger travaillait avec cette insolente… Et il aurait pu parier que la nouvelle était aussi dans le coup…Mais laquelle était aux commandes ? Certainement pas Granger, elle n'aurait pas effectué la mission "Malfoy" elle-même si elle avait pu la déléguer… Weasley ? À voir… Melman ? Le plus probable…Mais cela lui importait peu, du moment qu'il connaissait les espions de Dumbledore…

« Admettons que je ne tienne pas compte de tes menaces et que je m'approche de ta copine, me dénoncerais-tu si je te menace à mon tour de divulguer à toute l'école que toi, Granger et certainement Melman êtes des espionnes pour le compte de notre bien-aimé directeur ? » fit-il, une expression de satisfaction peinte sur son pâle visage.

A ces mots, Ginny lâcha le collet de Malfoy qui, sous l'effet, s'écrasa lourdement au sol. Avant qu'il ai pu se relever pour tenir en respect la jeune Weasley, elle lui cracha :

« Si tu fais ça, je peux t'assurer que même Tu-Sais-Qui ne pourra rivaliser avec notre colère. Parles, si tu veux, avec Hermione, bien que je ne comprenne ce qui te motive, mais saches qu'elle te hait ! Tu m'entends ? Elle te hait ! »

Et elle disparut au détour du couloir. Malfoy était sous le choc…Ainsi Granger le détestait vraiment… A quoi s'attendait-il ? Peut-être qu'après la nuit passée en commun, que son opinion sur lui diverge de la haine... Quel idiot! Il se blottit dans un renfoncement mural et ramena ses genoux sous le menton, après s'être laissé tomber sur le sol froid. Comment lui, Draco Malfoy, avait pu être aussi bête et tomber malgré lui amoureux d'Hermione Granger à cause d'une simple nuit et d'un sacrifice ? Comment ? Il n'avait pas la réponse… Son cœur s'obstinait à ressentir quelque chose pour cette sang-de-bourbe, mais il avait oublié d'en préciser à son propriétaire les raisons. Devait-il vivre en espérant oublier ? Oublier et continuer ? Continuer à se lamenter ? Ou agir en homme et lui parler malgré vents et marrées ?…

Draco Malfoy affrontait un mal que jamais son père ne lui avait appris à combattre. Il était capable de tenir tête à la douleur physique sans verser une seule larme, il pouvait surmonter ses peurs les plus noires, il pouvait commettre des actes de barbaries pure sans culpabiliser le moins du monde, mais il n'avait pas le mode d'emplois contre l'amour soudain, impossible mais présent. Comme un enfant perdu au milieu d'étrangers, la seule personne capable de le ramener à la dure réalité n'était pas celle que sa raison préférait…Foutus sentiments qui n'en font qu'à leur tête !

Et il passa un temps étonnamment long étendu là, sa raison calomniant ses sentiments. Puis, comme un éclair de lucidité, une idée pas très brillante mais qui pouvait marcher le heurta. Simple et inaperçu, cela pouvait lui donner les réponses qu'il souhaitait entendre… Se levant en trombe, il se rendit le plus vite possible à son dortoir pour y récupérer son livre, puis retourna sur ses pas en direction de la bibliothèque. Le nez dans bouquin, il ne remarqua pas que quelqu'un venait dans sa direction. Malheureusement, ce quelqu'un était bien trop préoccupé pas ses réflexions pour constater avec efficacité qu'un obstacle imprévu lui fonçait dessus. Inévitablement, le choc les projeta chacun dans une direction différente. Malfoy, surprit, voulu injurier le malheureux qui avait osé le bousculer :

« Mais tu pourrais pas faire attention ! ça va pas la…

Et il reconnu le malheureux, ou plutôt la malheureuse, en question…

« Granger ? Mais… »

Mais elle le coupa :

« Ne t'énerves pas pour ça, quand même ! Je précise que tu ne regardais pas non plus où tu mettais les pieds ! Et je te prierais maintenant de dégager le chemin, tu gènes le passage, Malfoy ! »

Ses beaux yeux chocolat fixaient ceux impitoyables de Draco. Elle ne semblait pas particulièrement déstabilisée… On aurait même dit qu'aucune émotion ne la traversait… Étrange. Mais Malfoy ne put supporter très longtemps ce regard sur lui, il ne voulait pas qu'elle y décèle ses sentiments, pas s'il était le seul à les ressentir… Il se dépêcha de ramasser ses affaires, puis repartit sans adresser la moindre attention pour celle qui l'avait dégelé. Car Hermione Granger était la seule qui ai jamais réussit à briser les barrières de glace qu'il avait créé, même si elle n'en était pas consciente. Arrivé dans la bibliothèque, il s'affala sur une chaise, tout au fond, et pris sa tête entre ses mains moites. Mais pourquoi elle ? D'ailleurs pourquoi tout court ! Pourquoi était-il amoureux ? Il était humain, voilà pourquoi…

A cette pensée, Draco releva fièrement son menton, car il avait enfin la preuve qu'il attendait depuis longtemps… Il était humain ! Depuis plusieurs années, tout espoir d'être et d'exister avait fuit son corps et son cœur, mais aujourd'hui, il était vivant ! Pour la première fois en près de seize ans, il était en vie ! Sentant un regain de vitalité, il commença la besogne pour laquelle il était venu.

Une heure plus tard, de retour dans sa chambre, il avait disposé dans un coin une marmite dans laquelle bouillait un étrange mélange… Avec quelques petites modifications, il fallait laisser mijoter la potion huit jours. En attendant, prendre son mal en patience…

Il était accoudé à la baie vitrée qui donnait sur le parc et observait avec un intérêt très prononcé Hermione qui maniait l'éclair de feu avec beaucoup de dextérité. Contre toute attente, elle était devenue une excellente joueuse, mais il la soupçonnait d'avoir énormément travaillé, comme toujours… D'une grâce et d'une agilité indéniables, et durement acquises aux prix de colossaux efforts, elle surfait sur les vagues du ciel. Parfois, Draco avait le souffle coupé par ses prises de risques, mais il aimait ça. Elle ne pouvait pas se blesser ou pire, se tuer…Non, elle ne pouvait pas. Cela n'arrivait qu'aux autres. La dernière figure de la jeune fille faillit pourtant lui arracher le cœur car elle ne stoppa son piqué qu'à quelques millimètres du sol. Oui, il aimait cette jeune fille, et il se l'avouait… Peut-être même depuis longtemps, mais il avait fallut un terrible sacrifice pour qu'il s'en rende compte… Minable… Mais au moins aujourd'hui, il pouvait avouer ses sentiments sans être jugé ou puni par son père, et c'était beaucoup…

Et en même temps, les deux jeunes gens s'affalèrent, un sur l'herbe douce, l'autre sur son lit, pour plonger dans un sommeil duquel Draco, lui, ne sortirait pas pour le dîner…

N.d.A : Ce chapitre se termine ici. J'attends avec beaucoup d'impatience vos commentaires, et surtout, n'hésitez pas à me faire part de vos critiques !!!

Gros bisous,

Ambrazka.

RAR :

Tout d'abord, je remercie chacun d'entre vous pour m'avoir laissé un review. Sachez qu'ils m'ont TOUS fait énormément plaisir et qu'ils m'ont fortement encouragé pour la suite de cette histoire ! Donc merci, merci et un millier de fois merci !!! ( Vous croyez que si j'ajoute que je vous adore, ce qui est vrai, soit-dit en passant, ça fera trop ??? LOL !!!)

Spaz313 : J'espère que mon résumé à pu t'aider !!! Lol! En tout cas, merci de m'y avoir fait penser ! Je souhaite que ce chapitre t'ai autant plût que le précédent !!! Gros bisous ! Ambrazka.

Sophorasi : Contente de savoir que ma fic te plaît !!! Je ne t'ai pas trop fait attendre, au moins ? Lol! Et j'espère que tu aura apprécié ce chapitre ! Gros bisous ! Ambrazka.

Kloona : Coucou !!! ça m'a fait très plaisir de voir que tu as autant aimé le dernier chapitre !!! J'espère que celui-là a été à la hauteur de tes attentes ! Ne t'en fais pas, la romance va arriver… Encore un peu de patience !!! Big bisous ! Ambrazka.

Lilouthephoenix : J'ai beaucoup aimé ton enthousiasme ! Lol! J'espère que tu as apprécié ce chapitre !!! Gros bisous ! Ambrazka.

U.S Hermi : Kikoo !!! Alors, c'était pas trop affreusement long ? Hein ? Bon… D'accord, un tout petit peu quand même… Mais j'espère au moins que ça en aura valu la peine et que tu as aimé ce chapitre !!! Pour mes autres fics… Ben… Je fais du mieux que je peux ! S'il n'en tenait qu'à moi, je mettrais un chapitre par jour ! Lol ! Mais je me vois mal donner pour excuse à mes devoirs non fait l'urgence impériale d'updater ! (mes profs n'apprécieraient que très modérément et mes notes risquent de subir leurs foudres, si tu vois ce que je veux dire… Lol! Big bisous ! Ambrazka.

Elissia : Celui-là était plus long, non ??? Et j'espère que tu aura autant apprécié que le précédent !!! Gros bisous ! Ambrazka.

Zeeve lelula : Ce coup ci, j'ai été plus vite que la dernière fois !!! En conclusion, tu dois toujours être en vie… Mais c'était très charitable de ta part de me laisser autant de marge ! Lol ! ça me fait vraiment plaisir de voir que tu aimes autant ma fic !!! J'espère que ce chapitre ne t'as pas déçu ?!? Il y avais Draco tout le long, au moins ! Lol ! Big bisous ! Ambrazka.

Hermione99 : Tes commentaires me sont allés droit au cœur ! Je suis vraiment heureuse que tu apprécies ma fic et ses Drôles de Dames !!! J'espère que ce chapitre à été à la hauteur !!! Gros bisous ! Ambrazka.

Hermignonne-1133 : Lol ! Le plus important, c'est de rire soi-même ! Il y avait tout de même comme une rime… Lol ! En tout cas, ça fait super plaisir de savoir que tu as aimé ma fic !!! J'espère qu'il en a été de même pour ce chapitre ! Gros bisous ! Ambrazka.

Sithgirl : Vraiment ravie que tu ai apprécié ma fic, ainsi que mes "transformations" de personnages !!! ça fait super plaisir !!! Je souhaite que ce chapitre ne t'ai pas déçu ! Gros bisous ! Ambrazka.

Taz : Ne t'en fais pas, je ne laisserais pas tomber cette fic !!! Même si parfois je mets du temps à updater ! (Je n'ai malheureusement pas toujours le temps que je souhaiterais pour pouvoir écrire…) Je suis très contente que tu trouves mon idée originale ! Et j'espère que ce chapitre à été à la hauteur ! Gros bisous ! Ambrazka.

Avis des lecteurs :

Je voulais simplement vous demander quelque chose… Ce chapitre est écrit du point de vue de Draco, mais ce personnage me paraît manquer de quelque chose… Et j'aimerais savoir ce que vous en penser et si vous avez des suggestion pour me permettre de l'améliorer, je serais vraiment heureuse que vous m'en fassiez part ! Voilà !

Re-Gros bisous,

Re-Ambrazka.