N.d.A : Coucou tout le monde ! Me voici comme prévu avec ce quatorzième chapitre et deuxième partie ! J'avoue avoir eut beaucoup de mal à démarrer (j'avais coupé l'histoire un peu abruptement et je ne savais pas trop par quel côté la reprendre…) mais une fois que je suis partie… Plus rien ne m'a arrêté ! Lol ! Je vais sans plus tarder me taire aimablement pour vous permettre de lire ce chapitre ! Bonne lecture !
(Les RAR sont en fin de chapitre)
Chapitre quatorzièmeUne vieille connaissance…
La Grande Salle était plongée dans une atmosphère festive et chacun affichait un sourire qui en disait long sur l'ambiance générale. Les élèves étaient répartis en groupes bruyants, quelques couples se déhanchaient sur la piste de danse et les professeurs n'étaient nulle part visibles, mais leur présence n'en était pas moins ressentie. Au centre de l'attention d'un attroupement animé, Ronald Weasley profitait de la popularité que lui offrait son costume malgré la puanteur qu'il exhalait. Enchaînant les jeux de mots sans esprit et les réflexions faussement profondes, il affichait une expression de jubilation aux côtés de sa cavalière qui ne ratait pas une seule occasion de lancer une remarque acide qui clouait le bec de son compagnon, puis elle riait aux éclats devant sa mine renfrognée et ils débutaient alors une joute verbale de laquelle personne ne souhaitait être exclus.
Mais bientôt, un tourbillonnement de tissu noir précéda l'arrivée du maître des potions. Les élèves présents retinrent leur respiration tandis que Ron faisait difficilement volte-face en déglutissant. Le regard du jeune homme glissa sur les traits de son professeur, et son teint devint livide, puis verdâtre. Severus Rogue détailla le jeune homme et fit un rictus terrifiant.
- Tient, tient, tient… Mr Weasley, susurra-t-il en tournant autour de sa victime tel un rapace affamé. J'ignorais que vous nourrissiez une dépendance à ma personne au point de souhaiter me ressembler. Je vous aurais bien embrassé, mais je crains de paraître narcissique. Il me semble cependant que vous avez omit une chose des plus élémentaire… Ses yeux se plantèrent dans ceux terriblement écarquillés de Ron. L'intelligence est un luxe que vous ne pourrez jamais contrefaire.
Et il partit en laissant derrière lui un groupe d'adolescents stupéfaits qui oscillait entre regarder leur professeur s'éloigner avec un soulagement notoire et dévisager Ron qui semblait s'être soudainement rapetissé. L'ambiance resta frigorifique quelques instants, puis le rouquin sortit précipitamment de la Grande Salle, une main devant la bouche, assaillit par un haut-le-cœur inquiétant. Justine roula des yeux et relança les conversations sur le courage d'un certain Weasley. Décidément, même Rogue ne parvenait pas à ternir son entrain !
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Depuis plusieurs minutes, il n'avait pas esquissé le moindre geste, se contentant de suivre chacune des actions d'Hermione de ses yeux métalliques en attendant une opportunité. Il ressemblait à une sculpture de bronze, sa carrure d'athlète et son port détaché contrastant avec son calme, sa dignité et son assurance. Sa capacité d'action lorsque viendrait l'instant propice serait décisive, comme un serpent patiente devant sa proie, mais il n'avait aucune inquiétude : il était le maître à ce petit jeu là. Les lumières de la Grande Salle se tamisèrent soudain, plongèrent le bal dans l'obscurité, et se firent caressantes sur les premières mesures d'un slow. Draco Malfoy était un mercenaire d'élite, conditionné des années pour accomplire les tâches que son père lui assignait, et rien ne lui échappa de ce qui se passa alors à cet instant.
Il vit clairement Potter, seul, planté aux abords du buffet, la mine surprise. Sa cavalière n'était visible nulle part, et il sembla s'en inquiéter une seconde avant de hausser les épaules et de se diriger vers un attroupement. Au centre de celui-ci aurait dû se trouver la Belette, mais il avait battu en retraite devant le professeur Rogue. Sa compagne, en revanche, parlait pour deux. Potter lui glissa quelques mots à l'oreille. La jeune fille pouffa et lui raconta l'anecdote. Malfoy observa que la Balafré se retenait à grande peine d'éclater de rire. Son interlocutrice lui fit signe en direction des portes et s'y dirigea. Certainement nourrissait-elle l'espoir de faire revenir Weasley.
Machinalement, Draco chercha du regard Melman. Sa disparition ne fit qu'accroître un mauvais pressentiment, et il concentra à nouveau son attention sur Hermione, les sourcils froncés. Heureusement, la jeune fille n'avait pas quitté les lieux. Du moins, pas encore… Du coin de l'œil, il aperçu un mouvement aux portes de la salle. Celui qu'il reconnut comme le traître de Poudlard, Sauge, se faufilait discrètement dans les couloirs, bientôt suivit de quatre autres élèves qu'il ne reconnut pas. Puis, quelques minutes passèrent sans entrée ni sortie. Enfin, il vit Hermione tourner la tête en touts sens. Le temps d'un souffle, Draco crût qu'elle abandonnait ses interrogations, mais elle se leva finalement en prétextant le besoin de se rafraîchir, retint son cavalier qui voulait l'accompagner et sortit à son tour de la Grande Salle. Tout cela était bien trop suspect pour que Malfoy ne s'en soucie, il prit donc la même initiative que tous ceux qu'il avait observés durant cette soirée.
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- STUPEFIX ! hurla Ginny en pointant sa baguette sur un élève cagoulé.
Le sort frappa l'angle du mur derrière lequel les traîtres se terraient. Un Doloris vint en réponse rebondir sur la parois opposée, celle qui formait un coude dans le couloir et que Kitiara et Ginny utilisaient comme rempart. Cet échange d'hostilités durait depuis plus de dix minutes, chaque groupe retranché selon une formation stratégique, mais la situation n'avait connue aucune évolution. Kitiara envoyait des chapelets de jurons très colorés à chacun de ses sorts déviés. La jeune fille s'apprêtait à se jeter tête baissée dans la mêlée, pour en finir une bonne fois pour toute, quand des bruits de pas précipités retentirent derrière elle. D'un seul mouvement, les deux combattantes se retournèrent et pointèrent leurs baguettes sur l'intrus.
- Merde, Hermione ! souffla Ginny en baissant sa garde. Qu'est-ce que tu fous là ?
- Je viens réclamer ma part de mangemorts ! répondit celle-ci, les yeux brillants. Vous n'espériez tout de même pas que je vous laisse mettre la main sur cette vermine sans rien faire ?
- Si ! Et on comptait même sur ton charmant cavalier pour te divertir un peu ! répliqua la rouquine tandis qu'un sourire espiègle passa sur son visage.
- Les filles ! intervint Kit en frappant du pied. Je tiens juste à rappeler que nous faisons attendre nos victimes.
- En tout cas, heureusement que je suis là car vous n'avez pas l'air de maîtriser la situation.
Sa réplique fut saluée par deux regards meurtriers.
- On maîtrise parfaitement ! Il s'agit simplement d'une manœuvre tactique pour épuiser l'ennemi.
- C'est ça ! fit Hermione, moqueuse. Alors maintenant qu'ils sont sur le tapis, on n'a plus qu'à aller les cueillir !
- Ouais, et comment ? railla Kit.
- Comme tu rêves de le faire, répondit-elle.
Un sourire diabolique se peignit sur les lèvres de Kit. Oh ! oui, qu'elle en rêvait… La dentelle n'était pas son fort lorsqu'il s'agissait de cogner, et elle n'allait pas se priver de ce plaisir. Les Drôles de Dames échangèrent un regard emplis de sous entendus, devinrent trois guerrières sans pitié et s'élancèrent comme des furies au travers du couloir en hurlant : "BONZAAAÏÏÏÏ".
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Alors qu'il revenait pour la centième fois à l'intersection de deux couloirs, un hurlement inqualifiable se répercuta le long des murs pour lui parvenir. Draco Malfoy y reconnu le signal d'un assaut et s'élança vers son origine. Il ne lui fallut pas plus de quelques secondes de course avant de déboucher sur un spectacle des plus insolite : trois jeunes femmes, dont une armée d'une épée, se jetaient sur des tourbillons de capes noirs. D'après ce qu'il distinguait, une aide impromptue de mangemorts qualifiés était venue prêter main forte aux apprentis. Les sorts fusaient de toutes parts et rebondissaient le plus souvent sur le métal des armes. Plusieurs cadavres jonchaient le sol, mais les disciples du Seigneur des Ténèbres avaient l'avantage numérique.
Draco observa un instant la scène, ses méninges tournant à la vitesse de l'éclair. En bon Serpentard, l'attitude la plus rationnelle à adopter était celle de la fuite. Pas très chevaleresque, mais salutaire. C'est sans doute ce qu'il aurait fait s'il n'avait reconnu au centre de l'arène celle qui avait volé son cœur. Tout de fois, avant d'agir, il prit le temps d'analyser la situation. Rien ne servait de se faire massacrer par manque de jugeote. Seul Potter aurait foncé… Potter ! Même si on le soumettait à la torture, jamais le jeune homme n'avouerait avoir besoin d'aide. Et surtout pas venant du Balafré ! Cependant, il ne s'agissait pas de lui, mais d'Hermione…
La gorge en feu, il passa les portes de la Grande Salle. Rapidement, il se dirigea vers son ennemi – il n'avait pas encore prit la décision de reconsidérer son jugement – et lui fit de sa voix la plus doucereuse et assurée :
- Tu devrais faire plus attention à tes amis, Potter, ou Granger et Weasley pourraient le payer de leurs vies.
Le concerné darda sur lui un regard méprisant – les vieilles habitudes sont toujours les plus encrées – et répliqua :
- Je ne vois pas en quoi la vie de mes amis importe à l'extraordinaire fouine bondissante.
- Je n'ai pas dit que ça m'importait ! fit le blond, de plus en plus agacé de ce petit échange frivole. Je te préviens simplement que si tu ne te bouges pas le cul, tu pourras enterrer ta chérie ainsi que ta miss-je-sais-tout !
Il avait voulu employer le terme "sang-de-bourbe", mais les mots lui étaient restés coincés au fond de la gorge. Harry le dévisagea et ne vit aucune trace de plaisanterie, aussi petite soit-elle. Une lueur de panique passa dans ses yeux, puis il demanda à la personne la plus proche de partir chercher Dumbledore et de l'avertir du danger.
Le Gryffondor se précipita à la suite de Malfoy. À bout de souffle, ils arrivèrent bientôt en vue de l'affrontement. Draco eut un instant d'hésitation avant de suivre la Balafré dans la mêlée. Cela allait faire des gorges chaudes quant on saurait que le grand Malfoy décime les rangs alliés, mais il s'en contrefichait. Seule comptait la vie d'Hermione.
- PETRIFICUS TOTALUS ! hurla-t-il avant de se mettre à couvert.
- EXPELLIARMUS ! fit Harry en le rejoignant.
Les trois guerrières battirent en retraite pour aller à la rencontre des deux garçons.
- Ginny ! s'exclama le Survivant en l'embrassant. Hermione ! Kit ! Qu'est-ce que ça signifie ?
- Pas le temps pour prendre le thé, ronchonna Kitiara en jetant un œil par dessus son épaule. Plus tard. Tu fous quoi là, Malfoy ?
- Je venais prendre le thé, justement, répondit-il sur un ton badin. Mais puisque c'est annulé, je me contenterais d'un ou deux mangemorts.
L'assemblée s'étrangla à moitié devant cette déclaration aussi improbable qu'impromptue. Une fois que les mâchoires mystérieusement décrochées eurent reprit leur emplacement originel, Hermione prit la parole :
- J'espère que tu sais que ça ne fera pas de toi un ami ?
- Mais je n'en ai aucunement l'envie, rétorqua le jeune homme en évitant son regard car il n'en pensait pas un mot.
- Bien. Kit, quel est le programme ?
- Ces sales petits rats on appelé au secours, cracha l'interpellée. Nous pouvons espérer les tenir en respect, trancher une ou deux têtes, mais c'est tout.
- J'ai fait appeler Dumbledore, intervint Harry. Il ne devrait plus tarder.
- Excellent ! approuva Kit. Je propose ceci attendant la cavalerie : Ginny, Hermione et moi-même pouvons faire rebondir les sort sur l'acier de nos armes…
- Une seconde, coupa Draco. Pourquoi tu es la seule à avoir une épée ?
- Leurs dagues sont tout aussi efficaces pour ce que je prévois, éluda la jeune fille. Donc, comme on peut dévier leur magie, il nous suffit d'adopter une formation simple et sans risque qui nous permette de vous couvrir pendant que vous balancerez un maximum de sorts. Ginny se met à droite, Hermione à gauche et moi au milieu. Vous vous placerez entre nous. Compris ?
Trois hochements lui répondirent.
- Malfoy ?
- Ouais, c'est bon, fit le blond après avoir conclut que ça n'avancerait personne de faire des histoire, même pour la forme.
C'est ainsi que les cinq adolescents s'avancèrent en ligne pour contrer les mangemorts. Chaque jet de lumière ricochait sur l'acier, et une contre-attaque ripostait instantanément. Malfoy se dit que ces serviteurs des Ténèbres ne devaient pas être la fine fleur des troupes du Lord, car ils se contentaient d'attaquer bêtement. À peine ces mots furent-ils formés dans son esprit qu'un nouvel arrivant apparut derrière les lignes adverses.
- Bonjour, Draco. Ça faisait longtemps…
Au son de cette voix, Ginny, Hermione, Harry et Draco poussèrent une exclamation de surprise et de peur. Paralysés, ils ne purent plus faire un seul mouvement.
- Qu'est-ce qu'il y a ? Bordel, je peux pas tout faire ! s'emporta Kitiara qui se démenait pour couvrire ses alliés inactifs.
Le premier, Draco reprit ses esprits et intima la mise à couvert.
- Allez-vous me dire quelle mouche-cannibale vous a piqué ? reprit la jeune fille une fois qu'ils furent en sécurité provisoire.
Ils échangèrent un regard de fatalité, et Ginny prit la parole :
- Pour faire court, disons qu'avec Harry, Hermione et quelques autres, nous avons fait une expédition au Département des Mystères, l'année dernière, dans le but de… heu…
- De libérer mon parrain, intervint Harry devant l'incertitude se sa petite-amie.
- Oui, voilà. C'est ça. Une escouade de mangemorts nous y attendait et on s'est battu contre eux. Parmi cette bande de mécréants à face de calamar bourré, il y avait une femme… Bellatrix Lestrange… Elle est démente…
- Et c'est elle qui vient d'arriver, termina Kit, coupant court au long récit qu'elle sentait poindre.
Le groupe acquiesça à l'unisson.
- C'est peut-être idiot comme question, mais… Malfoy, tu l'as reconnu aussi ? s'enquit Hermione en scrutant le blond.
- Mon père appréciait beaucoup sa compagnie du temps de sa domination… résuma le concerné sans s'étendre sur ces mauvais souvenirs.
Les pas de Bellatrix résonnèrent non loin d'eux et les cinq adolescents passèrent leurs baguettes derrière leur abri de pierre. Les sorts jetés à l'aveugle passèrent à côté de leur cible, mais la mangemort dû battre en retraite.
- On a peur de moi, mes chéris ? railla-t-elle, faute de mieux. Je m'attendais à plus de courage… Comme ton chère parrain, Harry, qui s'est battu jusqu'à la mort pour de sauver des griffes de ta stupidité…
Le Survivant serra les poings à s'en transpercer la chair devant cette remarque emplie de vérité. Ses compagnons tentèrent de le réconforter, mais l'odieuse meurtrière continuait son monologue.
- Si seulement tu avais réfléchit une seconde avant de te lancer tête baissée à sa recherche, il serait encore de ce monde. C'était un piège basé sur la médiocrité de tes initiatives, et tu y as mordu plus vite que nous ne l'espérions. Quelle tragédie… Tes amis ont également faillit y rester. Tous ces malheurs par ta faute… Je ne pourrais jamais me le pardonner, si j'étais à ta place… Je préfèrerais crever que de subir toute cette culpabilité.
Cette fois-ci, ils durent retenir Harry qui semblait déterminer à la faire taire.
- Parles, ignominie, mais je te rappelle tout de même que vous vous êtes fait doublé par une bandes de mioches, que la prophétie a été perdue, qu'aucun de nous n'est tombé à part Sirius et que tu es la seule à ne pas être sous les verrous ! s'égosilla Ginny dont le visage était empourpré d'une colère terrifiante.
- Tu as tort sur un point, mon ange. Azkaban n'est plus gardée par les Détraqueurs, alors qui sait ce qui peut arrivé…
Ce fut au tour de Draco d'être assaillit par un très mauvais pressentiment.
- Et toi, Draco, enchaîna justement Bellatrix. Tu me déçois beaucoup… Tant de potentiel gâché ! Qu'est-ce qu'il te prend de traîner avec cette bande d'indignes ? Tu ne fais plus la fierté de ton père, tu sais ? Il va être très, très en colère lorsqu'il va apprendre ta traîtrise… Et as-tu seulement pensé à ta pauvre mère ? Qui va affronter avec elle le courroux de Lucius? Seule… Tu l'abandonnes pour ces lâches et tu la laisses seule. Dois-je continuer cette longue liste d'infamies ? À moins que tu me rejoignes maintenant… Peut-être alors que rien n'arrivera…
Les Drôles de Dames, sorcières pour une frappe magique, et leurs deux sauveurs n'en purent plus de ces horreurs. Ils perdirent la raison et se jetèrent sur Lestrange.
- EXPELLIARMUS !
- STUPEFIX !
- PETRIFICUS TOTALUS !
- RICTUSEMPRA !
- CRUCIO !
Les sortilèges plus ou moins dévastateurs ricochèrent sur un bouclier invisible et la mangemort riposta :
- AVADA KEDAVRA !
Elle fut suivie du restant des serviteurs qui avaient jugés jusque là plus prudent de rester en retrait. Les réflexes des adolescents leurs permirent d'éviter de justesse les rayons mortels. En proie à une rage destructrice, la vue de ses amis en danger de mort lui étant insupportable, Harry se releva et jeta de toute sa haine le sort de mort. Son envie de faire souffrire devait certainement être bien plus forte que celle de tuer car le jet de lumière verte rebondit sur la barrière de Bellatrix, l'ébranlant considérablement au passage, et fila droit sur Hermione qui était aux prises avec Sauge. Harry hurla le nom de son amie, et celle-ci se retourna pour voir le sort lui arriver dessus. Draco, alerté par le cri, vit également la mort fondre sur la jeune fille. Sans réfléchir un seul instant, il se jeta sur elle et reçut dans le dos le rai de lumière verte. Le sortilège avait épuisé une partie de son énergie pour briser la protection de sa première cible, il ne fut donc pas fatal pour le destinataire final. Mais cela provoqua tout de même de fortes lésion internes, et Draco Malfoy eut à peine le temps d'entendre de la bouche de Bellatrix :"Lucius va être ravi de te revoir… Ainsi que le Maître…" que l'abîme de l'inconscience le happait.
Le professeur McGonagal surgit du détour d'un couloir au moment où Bellatrix Lestrange disparaissait, un être inconscient au creux des bras…
N.d.A : Et c'est la fin de ce chapitre ! J'espère que vous avez apprécié ! J'attends avec impatience vos commentaires ! Et je vous dit à dans deux semaines ! (Plus que trois jours et c'est les VACANCES !!!!!!!!!!!!!!!! HOURRA !!! OUAIS !!! YOUPI !!!… Désolée, mais j'ai ressenti le besoin de vous faire partager cette joie indéfinissable !)
Gros bisous,
Ambrazka.
RAR :
Je tiens tout d'abord à vous faire savoir que vous êtes le désespoir de mon entourage. Je m'explique : les nombreux reviews que j'ai reçu pour le dernier chapitre ont eut son moi un effet dévastateur… J'étais une bombe de bonne humeur concentrée !!! Quant on sait que déjà, dans mon état normal, je suis atteinte d'une profonde cinglerie et que j'arrive à m'exploser de rire en voyant une girafe à l'envers (essayez ! vous verrez, on dirait une araignée tachetée avec un cou de… girafe ! Lol !) je vous laisse imaginer mon état… C'est dingue comme ça peut me toucher, tous vos petits mots… Et c'est pour ça que je remercie infiniment chacun d'entre vous pour avoir pris un peu de votre temps pour me laisser des encouragements !!! Je vous adore !!! Et j'espère que ce chapitre ne vous aura pas déçu et qu'il aura été à la hauteur de vos attentes !
Kloona : Kikoo toi ! Je crois que ce chapitre a répondu à certaines de tes interrogations ! Lol ! Hermione s'est chargée de Malfoy, les filles ont donc décidé qu'elle avait le droit à un peu de repos. Mais comme tu as pu le constater, elle ne l'a pas entendu de cette oreille ! La fille avec Sauge est un mystère, et ce serait trop facile si je te disais tout de suite son nom… Je peux juste te dire qu'il y a deux identités possibles ! Après… Pour la potion, Draco n'est pas vraiment en position de l'utiliser dans sa situation actuelle… Heureusement tout de même qu'il tait là ! Sinon, pauvre Mione… Que lui serait-il arrivé ?
Moi, sadique ? Meuh non, voyons… (sourire angélique et totalement innocent) Où as-tu été chercher ça ? Bon, d'accord… Peut-être un tout petit peu… Mais c'est pour garder le suspens ! Je t'assure, c'est une excuse tout à fait valable ! Lol ! Big bisous ! Ambrazka.
Lilouthephoenix : Merci pour la réplique ! J'espère que tu as apprécié ce chapitre ! Gros bisous ! Ambrazka.
Kareja : Ravie de savoir que tu apprécies ma fic (j'espère que ce chapitre n'a pas fait exception !) et merci pour les compliments ! Gros bisous ! Ambrazka.
Severia Dousbrune : Merci pour les compliments pour le dernier chapitre !Non, tu n'as rien raté, Sauge est bien le traître de Poufsouffle. Les Piliers sont leur repère et des tonnes de documents sur Poudlard, sa défense et ses accès y sont conservés, et il ne veut pas que les trois filles les trouvent… Cela pourrait être fâcheux pour sa tête… Lol ! Ah ah ! Qui est cette fille ? Il y a deux possibilités… inattendues… Mais ce serait trop facile si je vous disais tout de suite de qui il s'agit ! Gros bisous ! Ambrazka.
Serpentis-draco : Je suis ravie de voir que tu as aimé le chapitre précédent ! J'espère qu'il en est de même pour celui-ci ! Gros bisous ! Ambrazka.
Zeeve Lelula : Hi ! J'espère que tu as autant apprécié la deuxième partie que la première ! Big bisous ! Ambrazka.
U.$ Hermy : Coucou toi ! C'est bête que tu n'aies pas hérité des talents de ta mère… J'aurais bien voulu savoir si les extra-terrestres vivaient sur Pluton ou sur Neptune… J'ai jamais pu me décider… Lol ! Merci pour les compliments du dernier chapitre ! Big bisous ! Ambrazka.
Britany LovArt : L'histoire des preuves n'est pas compliquée ! Je t'explique : c'est bien joli d'accuser Sauge pour traîtrise, mais si les filles n'ont pas les moyens de prouver ce qu'elles avancent, Dumbledore ne pourra rien faire ! Il se trouve que les Piliers sont remplis de divers documents attestant de la culpabilité de Sauge et de sa bande, il faut donc les conservés ! Voilà ! Gros bisous ! Ambrazka.
Piper2003 : Merci beaucoup pour les compliments !!! Ils m'ont vraiment fait plaisir !!! Gros bisous ! Ambrazka.
Samikitty : Non ! Pitié ! Pas Ginny ! Je vais parler ! Je vais faire tout (?) ce que tu veux ! Lol ! J'ai signalé que je postais toutes les deux semaines, c'est raisonnable, non ? Gros bisous ! Ambrazka.
Slydawn : Tiens le coup !!! Les vacances ne sont plus qu'à trois petits jours de supplice !!! (J'espère que les profs ont été cléments et que tu ne te noies pas sous les très charmants devoirs de vacances qu'ils nous donnent sous prétexte que nous avons du temps libre… ça prend du temps de glandouiller et de dormir ! Non mais !!! Lol !) J'espère que l'action de ce chapitre t'a autant plu que celle du précédent ! Gros bisous ! Ambrazka.
Taz : Kikoo ! Ne t'en fais pas, le H/D arrive bientôt ! Je suis désolée de vous faire autant patienté, mais une fois que je suis partie sur ma lancée, plus rien ne m'arrête… Mais comme tu dois t'en douter, le prochain chapitre va poser quelques petites interrogations concernant les sentiments de nos héros. Suspens oblige, je vais me museler pour ne pas en dire plus et te laisser découvrir ! Lol ! Big bisous ! Ambrazka.
Langedesenfers : Je suis ravie de t'accueillir et de savoir que ma fic te plaît !!! J'espère qu'il en a été de même pour ce chapitre ! Gros bisous ! Ambrazka.
Alpo : Je suis contente de savoir que tu as apprécié les deniers chapitres ( j'espère que c'est pareille pour celui-là !) Eh ! Oui ! J'ai décidé de poster toutes les deux semaines ! C'est raisonnable, non ? Gros bisous ! Ambrazka.
Angie Black : Et voilà un second chapitre d'action ! J'espère que tu as autant apprécié que le précédent ! Merci pour tes encouragements ! Big bisous ! Ambrazka.
Bluetime007 : Merci pour les compliments ! Deux identités possibles pour l'inconnue ! Mais je ne peux pas en dire plus… Lol ! Gros bisous ! Ambrazka.
Jun Rogue : Kikoo ! Je n'ai qu'une seule chose à dire : merci infiniment pour tes compliments qui m'ont fait vraiment très très plaisir !!! J'espère que tu as apprécié ce chapitre ! Big bisous ! Ambrazka.
Marie Potter : Je suis d'accord que c'est horrible ce qu'Hermione a du faire, mais c'était nécessaire pour l'évolution des sentiments… Je suis heureuse de voir que l'idée de transformation en guerrière a été appréciée, j'avoue que j'avais un peu peur… Et puis merci pour les compliments et j'espère que tu a aimé ce chapitre ! Gros bisous ! Ambrazka.
Re-Gros bisous,
Re-Ambrazka.
