N.d.A : Coucou tout le monde ! Bon, je ne vais pas m'attarder, car je n'ai VRAIMENT pas beaucoup de temps… C'était déjà la galère pour écrire ce chapitre (je ne suis pas du tout satisfaite, d'ailleurs, mais je n'ai plus le temps de le modifier) et la reprise des cours m'a mis le morale à zéro… Enfin… Et, pendant que j'y pense, je n'ai pas eut le temps de faire une correction d'orthographe en bonne et due forme, je m'excuse donc d'avance pour les désagréments occasionnés… Mais malgré tout ceci, j'espère que vous ferez une bonne lecture !

RAR : Je suis absolument navrée de devoir vous dire ça, mais je n'ai vraiment pas le temps de vous répondre personnellement pour ce chapitre… Ne m'en veuillez pas, mais pleins de choses se sont produites que je n'attendais vraiment pas et du coup je me suis retrouvée coincée niveau temps… Et les profs qui nous ont donné des tonnes de boulot n'arrangent rien… Bref, je ne suis pas là pour vous bassiner avec mes problèmes persos, mais pour vous remercier infiniment pour tous vos messages qui, comme d'habitude, m'ont fait énormément plaisir ! Je vous adore !!!

Un immense merci à : Piper2003 (Merci beaucoup pour tes compliments !), Alpo (Sauver Draco, ça oui, mais réduire en charpie les deux autres… désolée, mais va encore falloir attendre un peu, histoire qu'ils aient une fin un peu plus… comment dirais-je… tragique ! Big bisous !) U.S Hermy (Tu sais, le problème, avec moi, c'est quand je commence à écrire, je n'ai absolument aucune idée du contenu du chapitre… C'est un peu comme la roulette russe… J'ai une petite idée au départ, et puis ça évolue jusqu'à devenir complètement autre chose. Alors tu vois, à la fin de chaque chapitre, je ne suis pas plus avancée que vous, pauvres lecteurs (lol!), car je ne sais pas ce que je vais mettre dans le suivant avant de l'avoir écrit ! Et tu n'as pas besoin de t'excuser pour les conneries… Je suis pas beaucoup mieux, quand je m'y met, mais là, c'est une catastrophe, je n'ai même pas le temps de faire une relecture, alors me laisser embarquer dans mon flot de conneries habituelles, je peux pas me le permettre… Big bisous !) Dragonia (sadique, moi ? "regard innocent" Meuh non ! Quelle idée ! Lol ! Merci pour tes compliments !) Beru ou bloub (le jour où des épées tirerons des flèches, j'irais me faire moine bouddhiste ! Lol ! Ben, elles se transforment en guerrières, pardi ! (désolée pour mes petit délires…) et ta remarque sur la réplique est fascinante, et je vais creuser le sujet… Il faut que je trouve à qui elles pourraient bien la dire ! Lol ! Big bisous !) Zeeve Lelula (si jamais tu veux savoir la fréquence à laquelle je poste, c'est un mercredi sur deux ! Comme ça, t'as plus besoin de te torturer pour savoir quand sera le prochain chapitre ! Merci pour les compliments et big bisous !) Serpentis-draco, Taz (désolée de te dire que la méga baston, je voulais à la base l'écrire, mais, comme je l'ai dit, il y a eut plusieurs choses que je n'avaient pas prévu qui m'ont empêcher d'écrire comme je le voulais et j'ai donc du simplifier… Mais je te promet que je vais m'arranger pour que ça bastonne très bientôt ! Encore désolée, mais je n'ai pas eut le choix… Ou alors je n'aurai jamais posté à temps et comme j'ai promis, je ne me défile pas ! Big bisous !) Angie Black (Merci beaucoup pour les compliments, ils m'ont vraiment fait très plaisir !!! Gros bisous !) Marie Potter, Langedesenfers, Britany LovArt et Jun Rogue (j'espère que quand tu lira ces lignes, tu aura déjà eut mon mail ! Big bisous !)

Seizième chapitre : Le problème prit dans l'autre sens

Sitôt l'ouverture des entrailles du manoir effectuée, un brouhaha étouffé en vint, accompagné par des bruits de pas précipités. Les trois filles se plaquèrent contre les parois, disparaissant dans l'obscurité de la nuit, et virent émerger un groupe d'une dizaine de mangemorts masqués. Elles profitèrent de la confusion pour se faufiler dans l'escalier qui plongeait vers les cachots. Les lourdes pierres se refermèrent sur les ordres aboyés dans le but de mettre la main sur les intrus, et l'obscurité devint impénétrable. Une longue descente commença et, à leur plus grande surprise, aucun serviteur du Lord ne les croisa. Certainement que les chiens de gades n'étaient que la misérable troupe actuellement en train de fouiller le manoir désert…

De faibles lueurs vacillantes finirent par piqueter un couloir exigu avant de baigner de leurs flammes tremblotantes une vaste salle à l'aspect froid. Chaque mur était lisse, terne et d'un brun maladif, donnant au sol mal dallé un souffle de vieillesse malsaine. Une grande arche de pierre polie surplombait la coupure sur un nouveau boyau et s'ornait d'une sculpture de basilique qui, à l'image des peintures vivantes dans leur cadre, ondulait souplement le long de l'arche. Un frisson parcouru l'échine des trois jeunes filles qui observaient d'un œil noir les lieux. Hermione, une expression résolue peinte sur le visage, s'apprêtait à s'engager dans le couloir lorsque Kitiara la retint.

- Avant de nous lancer dans la gueule du loup, je voudrais mettre au clair un point : je ne veux pas de massacre, fit-elle en appuyant les derniers mots.

- On ne va pas les remettre à leur place ?s'indigna Ginny.

- Ils nous ont battu à plates coutures lorsque nous nous trouvions sur notre terrain, rappela Kit, alors je doute que ce soit une très ingénieuse idée de jouer les têtes brûlées alors qu'ils sont sur le leur.

- Mais maintenant nous sommes plus puissantes ! s'obstina la Weasley.

- Nous sommes dans le repère de Lord Voldemort ! siffla Kitiara. Nous libérons Draco sans attirer trop l'attention et repartons le plus rapidement possible. C'est un ordre, ajouta-t-elle avant que Ginny ne puisse protester.

La rouquine jeta un regard noir à son amie et claqua le sol en direction du boyau, Hermione et Kitiara sur les talons. Á peine quelques mètres plus loin, elles perçurent des voix qui venaient dans leur direction. Toujours vexée, Ginny croisa les bras et se mura dans le silence, signifiant ainsi qu'elle n'était pas prête à aider pour trouver une porte de sortie.

- J'ai trouvé ! s'exclama dans un murmure Hermione tandis que les voix se rapprochaient dangereusement. On pourrait utiliser le sort de toile d'araignée, le même qu'on a jeté devant la tour des Poufsouffles !

- Et ils sauront exactement où nous trouver, railla Kit en frappant discrètement des mains.

- Débrouilles-toi, puisque c'est comme ça ! fit la préfète avec mauvaise humeur en rejoignant Ginny dans sa protestation muette.

- Parfaitement, je vais m'en sortire seule, assura Kit un peu trop vigoureusement. Il suffit de… On n'a qu'à… Peut-être même si… Ou alors… Heu…

- Tu peux le faire ! encouragèrent, moqueuses, les deux autres.

- Oh ! ça va, hein !

Mais les voix étaient désormais beaucoup trop proche pour ne pas s'en inquiéter. Très rapidement, Kitiara entraîna ses amies à nouveau dans la salle vide et leur exposa une idée :

- Il faut créer la confusion. Pour cela, il faut que l'un des mangemorts utilise un sort à l'instant exact ou l'une d'entre nous jettera le maléfice de la toile. Ainsi, lorsque les troupes accoutreront, il pourra leur assurer que c'est lui qui a fait usage de la magie. Vous me suivez ?

- Oui, mais comment faire pour qu'il lance un sort ? objecta Hermione, pour l'instant plus préoccupée par le danger immédiat que par sa rancune.

- On doit lui faire peur… souffla Kit avec une expression de conspiratrice.

Sur ces mots, elle arracha du sol une petite pierre mal fixée et en testa le poids. Apparemment convaincue, la jeune fille s'approcha de l'arche de pierre et entreprit de s'y percher dans une situation précaire.

- Vous montez ? demanda-t-elle, impatiente.

Les deux filles obtempérèrent de mauvaise grâce et se retrouvèrent bientôt confinées sur l'arche d'une largeur très minimisante.

- Tiens-toi prête, conseilla Kit à Hermione, qui était la plus proche du couloir.

La jeune fille acquiesça et tordit le cou pour apercevoir trois silhouettes noires qui se glissaient dans la lumière. Kitiara attendit qu'ils aient rejoint le centre de la salle, chuchotant des paroles inaudibles sur un ton surexcité, puis empoigna fermement sa pierre et la jeta dans un tir précis dans l'obscurité du boyau sur lequel donnaient les escaliers. Au même instant que les trois mangemorts sortaient leurs baguettes pour hurler des "STUPEFIX", Hermione, le plus rapidement possible, réintégra ses pouvoirs magiques, lança un "ARANEUM" sur le plafond voulu et abandonna son apparence. Les trois filles plongèrent instantanément dans l'obscurité protectrice, et les mangemorts qui accoururent ne furent pas en mesure de les identifier.

Conduisant l'évolution, Hermione appliquait précautionneusement sa baguette enroulée de filaments collants sur la pierre de manière à tisser une toile la plus fournie possible. Le couloir était long et froid, et chaque nouvel effort arrachait aux filles de grimaces de douleur car avancer la tête en bas pouvait s'avérer dérangeant. Plusieurs autres personnages encagoulés passèrent en dessous sans avoir la moindre idée de leur présence, et elles reconnurent même Malfoy senior occupés à bramer des ordres fleuris d'insultes et de menaces aux malheureux qui ne seraient à la hauteur. Hermione et Kitiara durent redoubler de soin pour éviter qu'une Ginny absolument furieuse ne tombe sur lui. La noirceur environnante battu enfin la retraite, mais ce ne fut que pour éclairer un carrefour dont quatre ouvertures replongeaient dans les ténèbres, prenant une direction différente.

Un rire démoniaque emplit les lieux, et le sang des filles se glaça. C'était le rire de Bellatrix. Un rire de satisfaction. Un rire qui se nourrissait de souffrance… Hermione sentit son cœur s'emballer lorsque des images de Draco s'imposèrent à elle et une vague de haine la submergea. Mais avant qu'elle n'ait put esquisser un geste, la main de Kit se referma sur son bras et l'obligea à détourner son attention.

- On ne doit surtout pas se précipiter, chuchota la jeune fille.

- Je le sais bien, rétorqua Hermione de mauvaise grâce.

- Alors écoutez moi attentivement : peu importe dans combien de temps on le trouvera, ni dans quel état il sera, car nous devons avant tout faire passer la discrétion. Comme je l'ai déjà dit, si nous voulons espérer sortir tous vivant d'ici, on ne doit pas attirer l'attention, intima avec véhémence Kit. Croyez moi, je ne rêve que de faire payer à ces monstres leurs crimes… Seulement ce n'est pas possible aujourd'hui. Pas dans leur repère. Bellatrix ne doit pas nous voir, quoi qu'il arrive. Comprit ?

Hermione et Ginny échangèrent un regard mélangé de surprise et de déception, puis hochèrent lentement la tête. Sur ce, deux mangemorts accoururent au centre du croisement à pas précipités. D'après leur respiration brûlantes et saccadées, ils avaient du courir.

- Vraiment… incroyable… personne… nulle part… haleta l'un d'entre eux.

- Pas d'importance, répondit l'autre, le mains sur les genoux, courbé en deux. Ceux qui sont ici… n'ont aucune chance d'en ressortire vivants.

Un nouveau rire s'éleva, et c'était comme si Bellatrix s'était tenue à quelques pas de là en hurlant de satisfaction. Avec une mine lugubre, le premier mangemort s'avança vers l'une des ouverture et y plongea les yeux. Un frisson lui parcourut l'échine et il se détourna comme si cette vision était particulièrement douloureuse.

- Pauvre gosse, quand même, fit-il d'un ton navré. Le premier à être livré à Bellatrix sans restriction depuis qu'elle est sortie…

- Ah ça ! approuva l'autre. Je n'aimerais vraiment pas être à sa place. Mais bon, il l'a bien cherché, aussi.

Les deux homme encagoulée conservaient une pointe d'essoufflement dans la voix, cependant ils repartirent au petit trot tandis qu'une dernière phrase flottait dans leur sillage :

- Tu te souviens de ce qu'elle a fait aux Londubat…?

Le cerveau d'Hermione se mit à fonctionner à tout allure en entendant ce dernier nom, mais avant qu'elle n'ait put faire une quelconque remarque, Ginny la pressait d'avancer dans la direction qu'avait laissé supposer l'homme.

Résignée à remettre à plus tard les réflexions d'ordre logique, elle reprit sa fastidieuse tâche, les oreilles bourdonnant du sang qui lui montait à la tête. Le problème du chemin ne se posa pas lorsqu'elles arrivèrent au prochain croisement, ni pour les trois suivant d'ailleurs, car les éclats de la voix de cette odieuse femme devenaient si clair qu'il était possibles de les suivre à la trace. Plus les filles se rapprochaient du but, plus les mangemorts qui en venaient semblait s'éloigner rapidement dans la direction opposée, terrifiés. Hermione ne savait pas si elle devait ou pas être rassurée par le silence absolu de Draco, qu'on n'entendait jamais pousser une plainte déchirante devant les abominations qu'il devait subir, mais finalement la panique prit le dessus quand la jeune fille remarqua que les filaments collants de sa baguette diminuaient de façon alarmante. Dans un souffle, elle en fit par à Kit qui manifesta une légère anxiété tout en lui demandant de continuer le plus loin possible.

Bientôt, elles arrivèrent à un scindement du boyau qu'elles empruntaient, et surent avec certitude que la pièce, ou peu importe l'endroit, où se trouvait Draco était très proche. En reconnaissant Macnair qui faisait nerveusement les cents en travers d'une ouverture dans la roche, Hermione eut à nouveau un mélange de sentiments. Effectivement, malgré la haine qu'elle éprouvait pour ce bourreau sans cœur, un vague soulagement malsain se répandit en elle lorsqu'elle vit cette figure connue, car le peu de mangemorts, Malfoy mis à part, dont elle savait ou se doutait de l'identité avaient pour l'instant briller par leur absence. Un nouveau rire s'éleva et Macnair fit un bond, les doigts pianotant nerveusement sur sa baguette prête à l'usage. Dans un autre volte-face, il porta sa main libre à sa bouche et entreprit de se ronger consciencieusement les ongles, imitant à la perfection une attitude propre à ce traître de Pettigrow.

Hermione fronça les sourcils en se demandant ce qui pouvait bien mettre cette brute dans un tel état, mais elle se persuada bien vite qu'elle préférait l'ignorer… Quelques mètres plus loin, plus aucun filament ne s'enroulait autour de sa baguette.

- Il faut descendre, dit-elle alors.

Kitiara, qui fermait la "marche", jeta un coup d'œil anxieux en direction du mangemort en faction puis acquiesça. Souplement, elles atterrirent au sol en ne soulevant guère plus qu'un léger nuage de poussière. Un peu plus loin, les filles virent une porte en fer lardée de pics menaçant se découper dans le fond du cul-de-sac. Juste derrière, la voix de Bellatrix jubilait :

- Tu as mal, hein ? Pas encore assez… Je veux t'entendre supplier, tu m'entends ? SUPPLIER !

Un nouvel éclat de rire se répercuta le long des murs et on entendit un craquement vraiment très sinistre. Affolée, Hermione se retint à grande peine de se jeter sur la porte et de l'ouvrir pour faire cesser ces immondices.

- Nous allons repartir comme nous sommes venues, fit-elle en se retournant vers les deux autres, dont les visages avaient prit une teinte de cendre. Kit ?

- Quoi ? Heu… Oui. C'est une excellente idée. Mais le maléfice est épuisé…

Elle montra la baguette d'Hermione.

- Je crois… commença cette dernière en marquant une hésitation. Je crois que je peux le relancer, et vous aussi, d'ailleurs, sans trop de risques…

- Explique-toi, demanda Kitiara, apparemment intéressée.

- Et bien… In me semble que nous pouvons jeter rapidement les sortilèges et disparaître au plafond avec que Macnair – c'est la brute là-bas- n'arrive à notre hauteur. Il a l'air terrifié et, même si je ne pense pas que Bellatrix soit entièrement fautive, ça m'étonnerait qu'il la dérange pour lui demander si c'est elle qui a utilisé ainsi la magie, et une fois qu'il aura constaté par lui-même qu'il n'y a rien d'anormal, il repartira avec quelques interrogations supplémentaires, mais c'est tout.

- Je marche, annonça Ginny après avoir réfléchit au problème.

- C'est d'accord, poursuivit Kit. Quand tu veux.

La préfète tria encore une fois les données qu'elle avait, mais ne trouva pas de solution plus brillante. Le signal fut donc donné et, deux secondes plus tard, les trois filles se retrouvèrent au plafond. Comme prévu, Macnair déboula presque instantanément et se figea, les sens aux aguets. Il scruta les alentours, les yeux plissés, et entama un mouvement pour lever les yeux. Une sueur froide se répandit depuis l'estomac d'Hermione tandis qu'elle le voyait faire et, soudainement, un nouveau rire éclata. Un peu comme s'il avait prit une douche froide, le mangemort sursauta vivement en reportant son attention sur la porte. Il avança la main, hésita un instant, puis la laissa tomber dans un soupire et repartit par où il était venu, jetant un regard furibond à la porte. Le même murmure de soulagement s'échappa des trois filles et leurs muscles tendus par l'angoisse se dénouèrent.

- On fait quoi, maintenant ? questionna Ginny.

- Nous allons redescendre, en premier lieu, parce qu'avoir la tête en bas commence à ma chauffer les oreilles, répondit Kit en s'exécutant, suivie des deux autres. Puis, reprit-elle une fois assurée que Macnair ne revenait pas, nous allons ouvrir discrètement et la stupefixier avant qu'elle ne nous remarque.

- C'est un bon plan, sourit Hermione, plus pour dissiper ses angoisses qu'autre chose. Et qui est l'heureux élu pour ouvrire ?

- Toi, bien entendu !

Cette fois-ci, les entrailles de la Gryffondor se liquéfièrent.

- Comment peut-on être sûr que ce type ne reviendra pas ? souligna tout à coup Ginny.

- Il a conclut qu'il n'y avait aucune anormalité, tout à l'heure.

La Weasley sembla sceptique, mais un autre craquement bien trop fort à son goût la dissuada de protester. N'ayant plus le choix, Hermione se rapprocha du battant et posa une main tremblante sur la poignée. Doucement, très doucement, elle fit tourner la porte sur ses gonds qui, fort heureusement, n'émirent aucune protestation. Elle passa bientôt un œil dans l'ouverture qui apparaissait déjà et ce fut tout son corps qui se glaça d'horreur.

Habillée d'une somptueuse robe vert, ses long cheveux d'ébène flottant sur reins, tournée face à l'intérieure de la pièce, Bellatrix dominait de toute sa cruauté un corps attaché sur une chaise, misérablement, duquel giclaient des jets de sang et dont les différentes parties de l'anatomie formaient des angles à faire froid dans le dos. Les vêtements de la victime étaient devenus des haillons rouge dégoulinants et Hermione n'aurait put dire si elle le connaissait ou non si la jeune fille n'avait aperçu, dans cette scène d'horreur, un éclat gris métallique, fort et arrogant : c'était Draco Malfoy.

N.d.A : Et voilà ! Encore une fois, je tiens à m'excuser pour les fautes d'orthographes et pour ce chapitre court… Mais j'espère tout de même que vous avez apprécié !

Gros bisous,

Ambrazka.