Auteur : La petite naine
Titre : Depuis que tu es parti...
Disclaimer : Les personnages ne sont pas à moi !
Genre : Angst, Romance sûrement slash par la suite !
Note très importante : Je voudrais juste laisser un petit mot pour ma grande sœur. Lui dire à quelle point je l'aime. Je veux qu'elle sache à quel point elle compte pour moi et que son existence m'est vitale ! Je voudrais qu'elle ne doute jamais de faite qu'elle est plus que tout pour moi. Merci de faire parti de ma vie.
Réponse aux reviews du chapitre 1:
Angel Boo: Soeur!!!!!!!!!!!! Je ne sais pas si tu auras le temps avec tout ton travaille de lire ce nouveau chapitre. Mais je sais que tu me soutient. Je t'aime, bon courage pour les études. Bisous.
Ouky: Merci j'espère que la suite te plait. Bisous.
Miss-nymphadora: Tu as aimé le début? Alors voila la suite! J'espère que tu ne seras pas décu. Bisous.
Benane: Ta review m'a fait très plaisir. Contente d'avoir un lecteur assuré. J'espère que tu aimes la suite. Bisous.
Onarluca: Depuis que je publie sur fanfiction, j'ai toujours une review de toi. Ca me fait super plaisir. Alors merci pour ton soutient, en espérant que la suite te plaise. Bisous.
Darky: Je sais que mes chapitres sont assez courts amis c'est ma première fic à chapitre. J'espère m'amélior avec le temps. Comment trouves-tu la suite? Bisous.
Le gouyou sauvage: Alors ta review ma fait très plaisir. Tes compliments mon vraiment touché. De plus j'ai reçu ta review 7 fois! lol! Alors encore merci! Bisous.
Ayako: Je ne pense pas vraiment que Harry sois coupable même si j'aime beaucoup Sevy! lol! J'espère que tu apprécie la suite! Bisous.
Depuis que tu es parti...
Chapitre 2
« Cher professeur Lupin,
Ici tout va bien, les Dursleys ne me pose aucun problème. Ne vous inquiété pas pour moi.
Harry »
Voilà déjà trois semaines que Remus recevait la même lettre d'Harry tous les trois jours. Et plus le temps passait, plus le loup-garou s'inquiétait. Il n'était pas dupe. Il savait très bien qu'il mentait.
Sa lettre était courte et il ne posait aucune question sur ce qu'il se passait dans leur monde alors qu'Harry était très curieux habituellement. Et cela l'inquiétait plus que de raison. De plus lui-même ne surmontait pas totalement la mort de son meilleur ami alors pourquoi Harry, qui devait sûrement se sentir coupable, s'en remettrait-il plus rapidement?
Lui ne pouvait pas être faible, ce n'était pas le moment. Leur monde était en guerre et l'ordre avait besoin de lui. Il ne s'était donc pas laissé allé à pleurer ne serait-ce qu'une seule fois. A la mention du nom de Sirius ou de la moindre chose qui pouvait avoir un lien quelconque avec lui, un poids alourdissait sa poitrine, sa gorge se serrait et des larmes menaçaient d'envahir ses yeux. Son souffle s'accélérait et des souvenirs tous plus douloureux les un que les autres lui revenaient en mémoire.
Mais il se forçait à penser à autre chose et à être fort. Il devait être utile pour une fois. Faire enfin quelque chose de sa vie. Depuis qu'il était enfant il n'avait jamais rien fait d'important pour quelqu'un. Il avait toujours été dépendent des autres. A Poudlard, les maraudeurs l'avaient accepté avec sa lycanthropie et été devenu des animagus pour l'aider. Il leur avait été très reconnaissant mais n'avait jamais pu leur rendre la pareille. Tout c'était détraqué trop vite.
Il n'avait rien pu faire pour garder Peter du bon côté, pour empêcher la mort de James et Lily. Il n'avait pas cru en Sirius et n'avait rien fait pour le sortir d'Azkaban. Lui qui l'avait toujours soutenu, il l'avait laissé vivre un enfer pendant douze ans. Quand enfin il s'était évadé, il n'avait même pas été capable de le garder en vie. Même pas capable de prendre soin de la seul personne sur cette Terre qui tenait ne serait-ce qu'un peu à lui.
Et maintenant qu'il était mort, il n'y avait plus personne pour s'occuper d'Harry. Personne sauf lui. Il se le devait. Il ne pouvait pas imaginer vivre dans l'idée qu'il avait laissé Harry dépérir sans rien faire.
C'est pour cela qu'il se trouvait présentement avec Dumbledore dans la pièce qui lui servait de bureau à place Grimmaud. C'était une petite pièce ovale. Le long du mur s'étendait une magnifique bibliothèque. Au centre de la pièce un simple bureau et une chaise en face de celui ici pour recevoir les visiteurs. Le veille homme après avoir offert au loup de s'asseoir, lui demanda le but de sa visite. Alors il lui confia d'abord confié ses craintes à propos d'Harry, puis lui demanda s'il pouvait le ramener ici et s'occuper de lui.
''- Non! Remus, ceci est impossible. Harry est beaucoup plus en sécurité avec son oncle et sa tante et vous le savez très bien.
- En sécurité physique peut être, mais il vient de perdre son parrain. La seule famille qui lui restait. Et il vient d'apprendre toutes ses choses à propos de la prophétie et de son destin en tant que survivant. C'est quelque chose de très dur à accepter surtout pour quelqu'un de son âge.
-Harry est très mature pour son âge.
-Il l'est peut être mais tout ce qu'il à appris est quand même très dur à porter. Harry ne peut pas tout porter parce qu'il est le survivant.
-Il à fait preuve de courage un nombre incalculable de fois. Il a supporter des situations très difficile là où bon nombre d'adolescent de son âge aurait craqué. Il s'en remettra rapidement. J'en suis sûr.
-Vous dîtes cela comme-ci la mort de Sirius, n'était pas importante. Et puis, voyez où vous on menez vos certitudes sur Harry. Vous avez failli le perdre une fois quand vous avez cru bon lui cacher son destin. Cria Remus qui commençait vraiment à voir rouge. Qu'est ce qu'il se serait passé si Harry avait perdu toute sa confiance en vous ? Où tout cela nous aurait-il mené s'il vous avait tourné le dos? Vous devriez réfléchir avant de refaire à nouveau des erreurs.
-Allons ! Allons ! Calmez-vous voyons ! Vous ne savez pas de quoi vous parlez. J'ai fait ce que je pensais être le mieux pour lui. Et c'est toujours mon principale objectif. Je ne vous permet pas d'insinuer quoique ce soit ; ni sur la mort de Sirius, ni sur la manière donc je m'occupe d'Harry. Si vous vous inquiétez à ce point pour Harry, j'enverrais Arabella s'en occuper.
-Arabella ?
-Oui, comme cela, les Dursleys, qui ont toute confiance en elle, ne se douteront pas qu'on les surveille, et cela vous rassurera.
-En quoi Arabella peut-elle aider Harry ? Elle ne peut pas le comprendre.
-Et en quoi ne peut-elle pas le comprendre ?
-Elle ne sait pas ce que c'est d'être différent. Et puis elle connaissait trop peu Sirius pour parlez de lui avec Harry. Elle ne peut rien pour lui. Et vous le savez, mais vous refusez de vous avouez que vous pouvez vous tromper. Que vous ne connaissez pas tant que ça votre « arme de guerre » !
-Remus vous...
-Ecoutez Dumbledore, avec tout le respect que je vous dois, allez vous faire voir ! Je pars chercher Harry et je le ramène ici. Avec ou sans votre accord !"
Remus sorti en claquant la porte violemment. Les murs tremblèrent un petit moment et quelques livres tombèrent à terre. Après avoir poussé un long soupir d'exaspération, Albus remit tout en ordre en un coup de baguette puis se remit au travail.
(quelques heures plus tard)
Des pas résonnent le long des allées soignées et des jardins propret de Little Winning. Arrivé à Privet Drive, Remus ralentis se demandant s'il à bien fait. Après tout si Harry allait mal, pourquoi accepterait-il de lui parlé ? Ils avaient été proches quand il était professeur mais depuis, il n'avait plus eu l'occasion de vraiment discuté.
Sirius était revenu et avait repris son rôle. Remus n'était rien pour Harry, alors pourquoi accepterait-il son aide ? Remus! Ce n'est pas le moment de savoir s'il veut de l'aide ou non. Il ne te le demandera pas. Tu dois l'aider. Pour James. Pour Lily. Pour Sirius. Et surtout pour lui. Il a besoin d'aide j'en suis sûr. Et je ferais tout pour qu'il aille mieux. Je le protégerais avec ou sans l'accord de Dumbledore.
Les pas s'arrêtèrent devant un petit jardin très bien entretenu. Ils parcoururent l'allée fleurie qui les séparaient de la porte et s'arrêtèrent devant celle-ci. Remus respira un grand coup puis appuya sur la sonnette. Le muret qui séparait le jardin de la rue portait un numéro. Quatre.
Quand la porte s'ouvrit, Vernon poussa un grand cri et son visage pris immédiatement une teinte violacée. Remus le poussa et se contenta d'un :
Je viens m'occuper d'Harry. N'envisagez même pas de venir nous déranger où je vous promet que vous allez le regrettez.
Il monta rapidement les quelques marches craquant sous ses pas qui le séparaient de l'étage. Il chercha du regard la chambre d'Harry et vit qu'il n'y avait qu'une porte de fermer. Il y toqua et attendit une réponse. N'en recevant aucune il se décida à entrer.
A suivre...
