bee orchid : je l'ai dit dans mon profil mais ici je ne sais pas c'est vrai : la fic fait 20 chapitres. La romance il y en a eu un tout petit peu avant t'as peut-être pas remarqué ;-) et il n'y en a plus avant le chapitre 17 ou 18 il me semble, enfin je ne sais plus trop, je commence juste à traduire le 14. Tu connais les danses hawaïennes toi ?lol ! Biz et merci !
virg05 : merci. Allez hop, on n'a qu'à aller déterrer Robert Frost et lui demander ! ;-)
USHermy : ben non c'est bien illicite ! illégales ? peut-être…raaaa ! hey dis donc toi la ramène pas en traduction !lol ! merciiiiiiiiiiii !
galouz : merci beaucoup pour les langues de plomb, j'ai fait le changement ! Quelqu'un m'a dit après que c'était dans le tome 4 : je ne m'en souvenais plus du tout !
aurelia : merci pour les précisions, je ne me souvenais plus du tout d'avoir lu ça ! euh…par contre...hum… ils ne vont pas être ensemble avant un petit moment, tu vas voir dans ce chapitre qu'il va y avoir quelques…complications…
Misslady19 : oh merci beaucoup ! tu trouves Snape désagréable ? ohlà, que vas-tu penser de ce chapitre !? (mystère…)
tiayel : toi tu t'es pas loggée je te parle pas ! lol ! Merci pour les substances néfastes, faudra que je pense à changer, mais ce qui me gêne surtout c'est la structure et la fin de la phrase. Euh, « mémoriquementé c'était pas correct alors ?lol !
vivi : moi mon problème c'est d'avoir vu le film avant de lire le livre… Mais bon, en fait, quand j'imagine Rogue, je vois Alan, mais quand j'imagine Snape, je vois LE Snape, bien que dans ma tête il ressemble plus à un personnage de manga qu'à un homme réel !lol ! C'est bizarre…c'est pour ça que maintenant je préfère écrire Snape plutôt que Rogue. Biz !
Ithilienne : merci ! Non mais personne ne lit mon profil ou quoi ?lol ! Cette fic a 20 CHAPITRES ! ;-) Mon anglais n'était pas terrible non plus jusqu'en première, là depuis 3 ou 4 ans je m'y suis intéressée et maintenant je le comprend très bien. Par contre pour le parler c'est autre chose… ;-)
BoB Chiri : merci pour les traductions mais… ça veut dire quoi croche et kétaine ? mdr ! On s'en sortira jamais !lol ! Oui j'ai pas trop compris non plus pourquoi Hermione allait voir Remus mais j'ai bien aimé quand même. Mmh, une retenue particulière avec Mumus…lol ! Merci et offre-moi un dico pour Noël prochain !;-)
snapye : merci beaucoup, c'est vrai que cette fic est excellente, c'est une des meilleures que j'ai lu en anglais. Et la suite est géniale aussi. Biz !
Avertissement : C'est le chapitre auquel je pensais quand je disais qu'il y aurait un chapitre assez dur. En fait, ce n'est pas qu'il soit violent, quoi que certains trouveront peut-être qu'il est. Mais il est dur. Triste peut-être. Quand je l'ai lu, j'ai ressenti une toute toute petite pointe de dégoût mais surtout de la peine. En fait voilà, la situation a quelque chose d'assez terrible, en tout cas de mon point de vue, mais l'auteur l'a très bien écrite. Et bizarrement c'est ce chapitre qui m'a fait accrocher à l'histoire. Mais enfin, pour ceux qui décident de lire, vous verrez bien.
L'avertissement de Auror Borealis était: ce chapitre contient une scène de sexe violente, bien que pas très imagée, impliquant un consentement douteux. Pas tout à fait NC17, mais un R poussé.
Chapitre 9
Hermione régressait en Arithmancie, et savait que ses notes chuteraient bientôt dans les autres matières aussi. Son travail était en train de devenir superficiel pour elle, quelque chose à caser entre les cours, les repas et ce qu'elle appelait Le Projet. Le Projet était tout en haut de sa liste, et en ce qui la concernait, le reste pouvait attendre.
Le problème était que Le Projet ne donnait aucun résultat. Elle regardait Snape se détériorer chaque jour, le stress et la douleur faisant des dégâts inexorables sur lui. Il commençait à avoir des difficultés visibles à utiliser son bras gauche. Son humeur était terrible, bien plus que d'habitude. En dix jours, ils avaient essayé quatre potions, toutes expérimentales, et toutes avaient échoué. Quand la troisième n'avait pas marché, Snape l'avait terrifiée en jetant violemment son équipement bien rangé sur le sol avec son bras valide. Quand la quatrième échoua, il s'assit simplement assis par terre, le dos contre le mur de pierre, et enfouit sa tête entre ses bras. Elle s'assit à côté de lui, attendant plus d'une heure avant qu'il ne parle. Mais même là, ce fut juste pour lui dire d'une voix misérable d'aller se coucher.
Hermione gardait une apparence extérieure de calme, mais elle était désespérée. Elle avait travaillé avec lui, l'avait apaisé, avait tenté de prendre soin de lui depuis qu'elle s'était montrée dans son laboratoire, ce soir où elle n'y avait pas été invitée. Elle bravait sa colère pour le faire manger, le faisait s'asseoir de manière à ce qu'elle puisse masser ses épaules nouées, faisant attention de ne pas toucher son bras gauche. Ses émotions à ce moment-là chutèrent comme des montagnes russes Moldues : bouffée de tendresse envers Snape, suivie par de l'exaspération vis-à-vis de lui, ou de la colère envers sa stupidité d'être même devenu un Mangemort à l'origine.
Sa dévotion pour lui ne passa pas inaperçue. Elle fut autorisée à continuer surtout parce que Severus était enclin à la laisser faire, mais aussi parce que c'était désespérément nécessaire. Le directeur n'aimait pas placer un tel fardeau sur les épaules d'un élève, pas plus qu'il n'aimait le fardeau qui était si lourdement posé sur Harry Potter. Mais tout comme avec Harry, il semblait ne pas y avoir d'autre solution. Dumbledore était un sorcier pragmatique. Même si sa mission d'espionnage était terminée, Snape avait encore un rôle important à jouer dans la bataille contre Voldemort. Si Hermione voulait aider, il la laisserait faire aussi longtemps qu'elle le voudrait, ou jusqu'à ce que ça devienne trop dangereux.
Il était impossible pour Hermione de passer tant de temps avec Severus sans obtenir une idée très claire de ses sentiments pour lui. Parfois elle pouvait percevoir de la chaleur dans son regard rempli de douleur quand il s'attardait sur elle. C'était la même chaleur qu'elle avait vu tellement de fois quand il n'était pas lui-même. Cela signifiait bien plus maintenant. Il avait ri plus facilement à cette époque, avait été plus ouvert et amical. Ça avait été lui pendant tout ce temps, elle le savait, pas le Moldu dont Remus lui avait parlé en prenant sur lui-même. Une part de la mémoire de ce pauvre homme était là où celle de Severus ne l'était pas, mais c'était la seule différence. Ses sentiments étaient les siens ; où ce que les siens auraient été s'ils n'avaient pas subi une vie entière d'horreur et de peine. C'était un homme sensible à l'origine, et elle était stupéfaite qu'une telle part de son moi originel soit ressorti intact de ses années de Mangemort. Son moi restauré, le bon comme le mauvais, n'était pas aussi à l'aise que le moi dont il ne se rappelait pas. Mais il était beaucoup plus précieux et facile à aimer.(1)
Ce n'était pas seulement qu'il avait besoin d'elle, pensait-elle. Elle avait besoin de lui également, et ferait n'importe quoi pour le garder.
o§o
Cela faisait trois jours qu'il avait de nouveau confié ses classes aux autres professeurs. Il y avait résisté. C'était comme laisser tomber. Mais il était indéniable qu'il ne pouvait plus contrôler ses humeurs en face de ses élèves. Il avait dirigé sa baguette sur Draco Malfoy le dernier jour, à cause d'une remarque méprisante dont il ne s'était plus rappelé cinq minutes plus tard, et seul l'usage rapide de la part de Harry Potter du sort de désarmement avait sauvé la vie du garçon. Snape se considérait vraiment chanceux d'avoir été arrêté non seulement avant qu'il ait pu prononcer le sort, mais surtout avant que ses lèvres en aient formé la première syllabe. Il était certain que la tolérance de Dumbledore par rapport à son attitude de plus en plus imprévisible n'aurait pas couvert l'utilisation du Doloris sur un garçon de dix-sept ans.
La présence de Hermione Granger dans sa salle de travail était à la fois un baume et une torture. Le désir de se tourner vers elle pour trouver du réconfort devienait presque irrésistible. Il décida avec réticence qu'il ne pouvait plus l'autoriser à poursuivre sa tâche futile avec lui. Dieu seul savait ce qu'il pourrait finir par faire à la jeune fille, en si une autre déception se produisait. Snape soupçonnait que Remus Lupin devait subir quelque chose de ce genre à chaque fois que la pleine lune approchait. Lupin, réalisa-t-il, était fait d'un bois beaucoup plus dur que Snape ne l'avait jamais pensé.
o§o
Encore une fois, ce fut Lupin qui fut chargé d'annoncer la nouvelle à Hermione. Elle le prit calmement, mais il ne put dire qu'elle le prit bien.
« Alors c'est là qu'on se rasseoit et qu'on attend qu'il devienne fou ? Et puis quoi ensuite ? On l'expédie à Ste Mangouste ? »
Remus était également frustré.
« Est-ce que tu penses être la seule à t'inquiéter pour lui, Hermione ? Tu as vu Albus Dumbledore récemment ? Il a vieilli de plusieurs années depuis que tout ceci a commencé. Et moi ? C'est mon ami, tu sais. Un des très rares qui sait ce que je suis, et qui continue de me fréquenter en toute connaissance de cause. »
Hermione mordit sa lèvre inférieure, les yeux grand ouverts au milieu de son visage barbouillé de larmes.
« Je sais, Professeur. Je suis désolée. Je ne voulais pas dire ça dans ce sens… »
« Je sais, mon enfant. C'est dur pour chacun de nous, se contenter de le regarder… se désintégrer. Et savoir qu'il n'y a rien que l'on puisse faire. »
« Il n'y a rien que vous pouvez faire, vous voulez dire. Mais moi je peux. »
Les yeux de Lupin lancèrent des éclairs. « Pensez-tu sincèrement qu'il te laissera faire ça ? Et il n'y a aucune garantie que ça marche, si tu le faisais. Voldemort a ordonné la création de la potion du Sacrifice Virginal pour punir les Mangemorts déloyaux, pas pour guérir la Marque des Ténèbres. Et il ne l'a jamais utilisée pour débarrasser un Mangemort ayant perdu ses faveurs de sa Marque. Il semble préférer les tuer sur le coup, excepté dans quelques cas notables. » Il grogna sans joie. « De plus, c'est de la magie noire. »
« Qu'est-ce qui définit exactement la magie noire, Professeur ? » L'air de Hermione était déterminé. « La vierge ne meurt pas en fait, vous savez. »
« Je soupçonne que dans n'importe quel rituel de Mangemort, si, bien que ce ne soit pas le problème ici. Ta sécurité ne peut plus être garantie avec Severus. Il est vraiment dans un mauvais état. Même si ça marche, tu ne sais pas quel effet ça aura sur lui. »
« C'est une préparation très simple, voire une des plus faciles à exécuter, Professeur. Si le sang de la vierge est associé au sort qui a crée la Marque des Ténèbres, comme c'est dit dans le livre, le seul effet que ça devrait avoir est de se débarrasser de la Marque. Point. »
Remus la prit par les épaules. « Ecoute-moi. Je connais Severus. Tu le connais. Je ne devrais pas avoir à te dire ça. Il mourrait littéralement avant de devoir utiliser quelqu'un pour quelque chose comme ça. Ne m'oblige pas à t'enfermer dans la tour de Gryffondor, Hermione. Si je sens que tu prends des risques excessifs, je le ferai. Est-ce que tu me comprends ? »
Elle lui lança un regard furieux. « Oui, Monsieur. » Elle sortit, très raide, de la salle et quand elle fut sûre qu'il ne la suivait pas, se dirigea vers les donjons.
o§o
Il doit m'écouter, pensa-t-elle. Je ne peux pas le perdre. Je ne vais pas le laisser gâcher sa vie alors que je peux le sauver.
Snape lui avait montré le sort pour ouvrir la porte de la salle de travail, et cette fois elle l'utilisa au lieu de frapper, sachant qu'il y avait peu de chances qu'il réponde. Elle s'avança dans la pièce, et fut choquée par ce qu'elle y vit.
Une fois de plus, elle était jonchée de matériel brisé. Un épais liquide orange gouttait des murs et couvrait les meubles dispersés. Snape était assis sur un tabouret, les épaules affaissées, dos à elle. Sa tête était baissée, et elle put voir qu'il tenait délicatement son bras gauche. Il tremblait violemment. Elle resta là plusieurs minutes, essayant de mettre de l'ordre dans ses pensées. Ce serait sa seule chance de le convaincre, elle en était certaine. Elle ne pouvait pas tout foutre en l'air.
Il poussa un grand soupir vaincu, et elle sentit son cœur se tordre. Elle commençait à s'avancer vers lui quand elle remarqua la baguette dans sa main droite. Elle s'arrêta, pensant qu'il voulait nettoyer le désordre dans son laboratoire. Elle le regarda avec perplexité la lever en un mouvement saccadé, jusqu'à ce qu'elle soit pointée sur lui-même. Oh non, pensa-t-elle…
« Avada… »
Elle se rua sur lui, le faisant tomber au sol. Il défaillit en dessous d'elle, le souffle violemment expulsé de son corps. Il resta sonné assez longtemps pour qu'elle puisse saisir sa propre baguette. Elle se leva et la pointa sur lui.
« Petrificus Totalus. Je suis désolée, Severus, mais vous allez devoir rester là pendant un petit moment. » Les larmes ruisselaient sur le visage de Hermione alors qu'elle réparait l'équipement endommagé avec sa baguette, et se débarrassait de ce qu'elle pouvait seulement supposer être une autre concoction ratée.
« Espèce de foutu d'imbécile ! Comment avez-vous pu faire ça ? » dit-elle d'un ton rageur tout en travaillant, sachant qu'il pouvait l'entendre. « Je vous ai dit que si vous faisiez ça, je vous suivrais. Vous ne pensiez pas que j'étais sérieuse, n'est-ce pas ? Je vous aime, espèce de salopard. Vous n'allez nulle part. » tempêta-t-elle alors qu'elle réunissait les ingrédients, allant et venant entre le laboratoire et la réserve. Quand elle fut certaine d'avoir tout ce dont elle avait besoin, elle lança des sorts de protection à toutes les entrées de la pièce. Lupin peut me donner ma retenue, pensa-t-elle, ils peuvent me virer de Poudlard, du moment que j'en finis d'abord avec ça.
En moins de quinze minutes, elle finit de confectionner la première potion. Elle la mit de côté et commença l'autre, ne s'arrêtant que lorsqu'elle fut allée aussi loin que possible sans l'ingrédient clé. Elle détestait le fait de le laisser attaché si longtemps, mais elle ne pouvait prendre le risque qu'il tente de l'arrêter. Cela prit plus d'une heure du plus méticuleux des travail qu'elle ait jamais accompli, mais finalement ce fut prêt. Elle versa la simple mais puissante potion de désir dans une petite fiole, la prit et s'agenouilla à côté de lui, la tenant au-dessus de ses lèvres alors que son autre main levait sa baguette. Les yeux de Severus étaient sur elle, indéchiffrables sur son visage immobile. Elle libéra le corps attaché, puis inclina la fiole sur sa bouche légèrement ouverte, comptant sur ses réflexes pour en avaler au moins un peu avant de pouvoir réagir et la recracher.
Snape s'assit, et jeta un regard furieux à Hermione en même temps qu'il tendait le bras vers elle. Il n'y avait pas de lit dans la pièce, pas même un canapé. Il abattit douloureusement sa bouche sur la sienne, son baiser transmettant de la rage et du désir et pas grand chose d'autre. Elle ne s'était pas attendu à de la douceur (pas tout à fait) mais cette sauvagerie la surprit et, instinctivement, elle s'écarta. Le bras de Severus s'enroula autour de son corps, la plaquant contre lui. Il siffla devant la douleur, mais sa prise ne se relâcha pas. Elle essaya de le repousser jusqu'à ce qu'elle se souvienne de sa mission. Elle se détendit autant que possible, sachant ce qui était sur le point de se passer, et combien cela ne ressemblerait pas à ce dont elle avait rêvé.
La main de Snape trouva le devant de ses robes et les déchira vicieusement jusqu'en bas, les boutons s'éparpillant partout. Sa main libre pétrit durement son sein à travers son pull, la faisant gémir de douleur. Elle ne lutta pas pour lui résister. Il releva ses propres robes et tâtonna avec hâte son pantalon jusqu'à ce qu'il se soit libéré. Hermione ferma les yeux, essayant de ne pas pleurer. Ce n'est pas de sa faute, c'est de la tienne, se dit-elle. Tu as voulu ça, tu l'as eu, sois-en heureuse. Il la poussa au sol, agrippant l'ourlet de sa jupe et la relevant jusqu'à sa taille. Il attrapa son sous-vêtement et le tira d'un coup sec sur ses chevilles et par-dessus ses pieds, le lançant plus loin, puis utilisa son genou pour écarter ses cuisses.
Sa première poussée fut atroce pour Hermione. Sa virginité mise à part, elle n'était absolument pas préparée. Une douleur fulgurante l'élança, crispant son corps entier.
« Détendez-vous, imbécile. » dit Severus entre ses dents serrées. Il poussa au travers des muscles et tissus qui lui résistaient, puis se retira et répéta le douloureux processus encore et encore. Hermione ne put s'empêcher de crier sa douleur et sa peur.
Tu dois faire mieux que ça, Granger, se critiqua-t-elle sévèrement. Où est le courage tant vanté des Gryffondors ? Elle étouffa ses sanglots et jeta ses bras autour de lui, le sentant se raidir de surprise.
« Je t'aime, Severus. »
Finalement il frissonna et se répandit en elle. Quand il fut immobile, elle le poussa hors d'elle et se remit sur ses pieds.
Il s'assit et la regarda silencieusement récupérer le sang frais sur ses cuisses et en ajouter une seule goutte à la potion qu'elle avait préparé. Quand elle lui amena le flacon il le porta à ses lèvres et le vida d'une gorgée.
Elle l'empêcha juste à temps de se cogner la tête par terre quand il s'évanouit.
A suivre…
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(1)J'aipas tropcompris…lol ! « moi », c'est « self » en anglais. En fait normalement, pour ceux qui ont fait de la philo, «moi » c'est un peu la conscience. J'aurais pu traduire autrement, mais ça s'écartait trop de la phrase d'origine
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Ouf, j'y suis arrivée. Bon… Vous vous attendiez certainement à pire. Mais moi quand je l'ai lu je peux vous dire que ça m'a touchée. Le fait qu'elle fasse ça par amour. Mais que ça soit si terrible pour elle. Et quand vous saurez la suite… Enfin bref ! ;-) Ah et j'ai adoré quand elle dit « vous n'allez nulle part ! » Un côté fleur bleue insoupçonné de ma personnalité peut-être…bref !lol !
Bizarrement ça ne m'a rien fait quand je l'ai traduit. Peut-être que ça ne donne pas pareil en français… Ou c'est le fait de l'avoir lu plusieurs fois. Mais pourtant quand je le relis en anglais ça me file toujours des frissons. (de plusieurs choses bizarrement) Comprend pas…
La suite la semaine prochaine. Je reprends les cours, donc je pense que je ne pourrai mettre qu'un ou deux chapitres par semaine à partir de maintenant. Et j'espère que je pourrai répondre aux reviews mais je ne vous promet rien vu que je me connecterai depuis la fac. Que ça ne vous empêche pas d'en laisser !:-)
Oh, et pour vous prévenir : le début du chapitre 10 m'a toute émue ! D'ailleurs les suivants ont quelque chose de joli aussi. Vous verrez.