Harana: oh oui, qu'est-ce que ça va être... gnéhéhé, moi je sais! ;-) Bonne lecture et bonne patience! Ce sera au chapitre 20 seulement...
Mily: merci beaucoup! J'essaie de coller au texte tout en faisant du français. Je n'y arrive pas toujours-)
Melindra: Merci! Mon courage s'affaiblit mais il doit m'en rester assez pour les deux derniers chapitres (enfin!lol)
Tari Faelivrin: ohlàlà c'est quoi ce pseudo mamzelle? L'ancienétait plus embêtant à écrire mais moins compliqué!lol! Par contre: Oh. Mon. Dieu! Ta traduction est bonne je crois!lol! Je t'assure! Miracle! Faudra que je pense à aller changer. Merci, à+ (je suis peut-être sur le tchat samedi mais c'est pas encore sûr)
Didi: je peux te donner le lien vers la version originale si tu me laisses ton adresse. Merci! A pluche!
WendyMalfoy: gnerk gnerk!lol! beaucoup de plaisir!lol! "notre cinoche maison"? 5 cd?hein? pas compris...bref, bon re-re-re-revisionnage du dvd!lol! Au fait je ne sais pas si je t'ai dit dans le mail que je voulais bien faire le beta-reading. Comme tu veux...
Agath: pas de bol, pas de Hermione/Severus dans ce chapitre. Dans le 19 je ne sais plus. Dans le 20 c'est sûr. Aaah, le 20...lol! Bonne lecture et merci! (ps:même réaction pour la scène du dvd!lol)
Sammy: non: encore 3 chapitres! J'en peux plus!lol! Non, j'aime bien traduire, mais ça prend du temps...
Britany LovArt: ah oui j'avais entendu ça! merci,j'irai changer, j'espère que j'y penserai
Dumati: mô non c'est pô triste! c'est Draco, on s'en fout! ;-)
bohemio: les trois derniers chapitres sont aussi lonfs, rassure-toi. Merci!
Aerials:"j'aime bien même si en général je suis pas fan des HPSS": ça tombe bien, c'est pas un HPSS mais un HGSS!lol! Faute de frappe je pense ;-)? Merci pour épithète, j'irai corrigzer mon horrible explication!lol
galouz: c'est vrai. également.oui c'est marrant et mimi.merci!moi aussi.moui. de rien. Voilà maintenant je fais des RAR où tu peux relire ta review!lol! merci à+
Minerve: vilain Draco,oui! En même temps c'est Pansy... ;-) merci et bonne lecture
Drusilla452: En Italie? Aah, la chance! Je n'ysuis pas allée depuis 3ans et demi ça me manque. Bon rétablissement et merci!
Blank Slate
Auteur : Auror Borealis
Chapitre 18
Bordel de merde, pensa Snape. Putain de bordel de merde. Je n'aurais pas pu être plus débile si j'avais voulu le faire exprès.
En se réveillant il avait vu Hermione émerger de la chambre, habillée pour ses cours. Elle ne lui jeta même pas un regard en se dépêchant de traverser la pièce et de partir.
Il avait eu l'intention de lui présenter ses excuses au petit déjeuner. L'idée qu'elle ne serait pas là pour ça ne lui avait pas traversé l'esprit. Il songea aux commentaires que son apparition dans la Grande Salle pour le petit déjeuner pourrait provoquer. Probablement aucun, se dit-il, la réalité des faits le heurtant de plein fouet. Son scandale personnel serait certainement éclipsé par les évènements de la veille. Ce n'était pas tous les jours qu'une élève de Poudlard était confrontée à Azkaban. Cela commençait à devenir un évènement hebdomadaire, pourtant, pensa-t-il sans humour. Il se demanda si Hermione ressentirait de la compassion pour Pansy. Non, les deux situations était complètement différentes. Hermione n'avait voulu faire aucun mal.
Sans prévenir, la honte et l'horreur déferlèrent dans son esprit. Faire du mal. L'intention de faire du mal était partie intégrante d'un Sacrifice Virginal réussi. Ça n'avait pas pu venir de Hermione. Après tout, c'était elle la vierge. Le mal devait être dirigé contre elle. Il savait qu'une telle intention avait du venir de lui. Cette idée s'était tapie dans les profondeurs de son esprit, trop sensible pour vouloir émerger. Bien sûr qu'il savait, c'est juste qu'il n'avait pas voulu y penser...
Il ne se préoccupa pas du petit déjeuner. Il se prépara machinalement à affronter la journée, l'esprit torturé par ce qu'il avait fait.
Il n'avait pas été lui-même. Même s'il était du genre à se morfondre dans la culpabilité, il ne pouvait pas ignorer le fait qu'il avait été complètement sous contrôle. La potion de désir avait parfaitement remplit sa fonction. Il avait été incapable de s'empêcher de prendre Hermione. Il ne pouvait cependant pas blamer la potion pour son attitude au-delà de ce simple fait. Il se força à se remémorer combien il l'avait blessée, ce jour-là.
Il n'avait repris conscience qu'après plusieurs minutes et, en se réveillant, il s'était retrouvé à l'infirmerie. Il avait entendu Hermione parler avec Madame Pomfresh de l'autre côté d'un rideau fermé. Poppy avait administré une potion à Hermione pour faire en sorte qu'elle ne se retrouve pas enceinte. Elle avait également dû soigner plusieurs déchirures à l'intérieur de son vagin. Snape avait eu envie de vomir en entendant cela. Il s'était souvenu avoir remarqué qu'il y avait bien trop de sang sur ses cuisses pendant qu'elle accomplissait la potion du Sacrifice Virginal, mais il n'avait pas vraiment été en état de juger.Il y avait apparemment un grand nombre de bleus aussi, mais Hermione était désespérée de quitter l'infirmerie. Elle avait supplié Poppy de la laisser partir, et la médicomage avait cédé. Snape se demanda si certains bleus étaient encore visibles.
Il n'avait pas vraiment voulu faire du mal à la jeune fille, pourtant. Ou bien si ? Réfléchis, espèce de salopard, se dit-il avec mépris. Bien sûr que oui. Par définition, il fallait que tu le veuilles. Il fouilla sa mémoire, écartant les souvenirs flous et cherchant les pertinents.
J'étais en colère, se dit-il. Bien plus qu'en colère. Le Petrificus pendant presque une heure et demi. Mon bras me faisait un mal de chien, et je ne pouvais même pas le frotter. J'étais si près d'en avoir fini avec tout ça. Trois syllabes de plus, et ça aurait été fini.
Il se frotta l'aile du nez et pensa à un mot qu'il avait entendu plusieurs fois chez des élèves nés Moldus. Bingo. C'était ça, se dit-il. Tu en voulais à la terre entière parce que tu étais encore en vie. (1)
Il admit qu'il l'avait haïe, brièvement, de lui avoir retiré tout contrôle. Ça n'avait pas duré, mais ça avait bouillonné en lui pendant un court moment.
Il était heureux de ne pas avoir pris de petit déjeuner : la nausée montait violemment en lui. Il l'avait punie pour avoir osé intervenir. Les souvenirs, impitoyablement refoulés jusque là, firent surface avec une clarté horrifiante. Ses doigts s'enfonçant dans sa chair, la rage qu'elle avait du voir dans ses yeux... Mon Dieu, non. Sa peur quand elle s'était rendu compte qu'il voulait lui faire mal. Il se rappelait la façon dont elle s'était forcée à se détendre sous lui, contrôlant son envie de le repousser. Elle avait été si courageuse, sa petite idiote de Gryffondor.
Et puis... "Je t'aime, Severus"
La souffrance l'ébranla. Hermione avait tant fait pour lui, lui avait donné tellement. Encore et encore, il la remerciait avec de la douleur. Son dégout de lui-même atteint de nouvelles cimes... ou profondeurs.
La nuit dernière il l'avait repoussée. Il n'avait pas voulu de compassion, et n'avait pas arrêté de penser à ce qui l'avait provoquée. N'avait-elle pas le droit ? se demanda-t-il. J'ai refusé de la laisser me consoler, refusé de l'accepter elle. Putain d'imbécile. Tu t'es conduit comme si tu voulais qu'elle te déteste. C'est ce que tu veux ?
Il devait se rendre dans le bureau de Dumbledore dans seulement quelques minutes pour revenir sur la débacle de la nuit précedente. Il devait prendre une décision maintenant, avant de trouver une excuse pour sortir de nouveau le sujet de son esprit.
Elle m'aime. Elle m'aime, et que tous les dieux me viennent en aide, je l'aime. Y'a-t-il une chance qu'elle puisse me pardonner ? Pour la nuit dernière, pour tout ?
Il se jura qu'il ferait tout ce qu'il faudrait pour lui revaloir tout ce qu'elle avait fait pour lui.
o§o
« On ne t'avait pas vu au petit déjeuner depuis une éternité. » dit Harry. Son esprit était tout au match de Quidditch du lendemain contre Serdaigle. Il ne remarqua pas le visage pale et figé de Hermione.
Le besoin de confier ses problèmes à ses meilleurs amis était très fort, mais elle y résista. Elle n'avait aucune envie de renforcer les sentiments négatifs de Harry et Ron envers Severus. En plus de ça, elle ne pensait pas pouvoir se tourner vers eux pour parler de sa frustration grandissante. Severus maintenait une distance entre eux, et elle ne pensait pas pouvoir le supporter.
« Il y a eu un problème à Serpentard la nuit dernière, et Severus n'a pas beaucoup dormi. Je ne voulais pas le déranger ce matin. » dit-elle finalement. Ron et Harry eurent tous deux l'air un peu mal à l'aise. Hermione se rendit compte que le fait de se rappeler qu'elle partageait le lit de Snape en était la cause. Elle se mit soudain en colère. Passer ses nerfs sur ses amis était injuste, elle le savait, mais elle ça ne l'arrêta pas.
« Vous allez devoir arrêter de faire cet air-là à chaque fois que je dis "Severus" ou que je mentionne quelque chose qui vous rappelle que je couche avec lui. » dit-elle de but en blanc. Et un peu de façon mensongère, mais elle rejeta cette pensée. « Si vous ne pouvez pas accepter ça, alors je ne vous embêterai plus avec ma petite personne contaminée par Snape. » Elle poussa son assiette et se leva.
Ron l'attrappa par le bras et la fit rasseoir entre lui et Harry.
« Pas si fort merde, si ça ne te fait rien. » dit-il, regardant autour d'eux pour voir qui avait pu l'entendre « Tu sais que ça ne compte pas pour nous. Enfin, pas trop, et on essaie. Pas vrai Harry ? »
« Absolument. » dit rapidement Harry. Le mouvement de départ de Hermione lui avait fait lever les yeux, puis regarder autour de lui. Absorbés dans le Quidditch comme ils l'avaient été, ni lui ni Ron n'avait remarqué l'attention braquée sur la table des Serpentards. Les Serpentards eux-même étaient inhabituellement calmes.
« Quel genre de problème à Serpentard ? » demanda-t-il
Elle leur raconta. Ses deux amis étaient abasourdis.
« Crabbe ? Je ne peux tout simplement pas le croire. Je pensais qu'il vénérait Malfoy. » dit Ron
« Et Goyle ? » demanda Harry
« Avec Crabbe sur le chemin, Goyle ne pouvait pas atteindre Malfoy. C'est la seule raison pour laquelle il est encore ici. Serpentard a perdu presque tous ses points la nuit dernière. » dit Lavande Brown de l'autre côté de la table « J'ai interrogé Nick Quasi Sans Tête là-dessus ce matin. Il a dit que le Baron était devenu fou de rage. »
« On ne peut pas le blamer. » dit Ron « Mais qu'est-ce qu'il s'est passé ? »
Tout le monde se tourna vers Hermione. Ils pensent que Severus me l'a dit, pensa-t-elle amèrement. Ils pensent qu'il partage quelque chose avec moi.
« Excusez-moi. » dit-elle, se levant de nouveau. Ils ne l'arrêtèrent pas cette fois.
« Whao, elle le prend vraiment mal » dit Seamus « Je n'arrive pas à croire qu'elle pleure pour Malfoy. »
o§o
Pour une fois, le coup à la porte du bureau de Snape fut le bienvenu.Ses songes n'avaient pas été agréables. Les images de Draco, inerte, pâle et ensanglanté, ne disparaîtraient pas. Draco était déjà sorti de l'infirmerie et de retour à Serpentard. Prêt à riposter, sans aucun doute, se disait le Directeur de Serpentard. Tant que le garçon resterait assez discret, Snape était tout à fait prêt à fermer les yeux.
Des images de Hermione le hantaient aussi. Riant avec lui dans la bibliothèque, le taquinant pendant qu'il l'aidait à étudier, essayant de dissimuler sa souffrance quand il l'avait rejetée. Il tenta, sans succès, de faire le vide dans son esprit avant d'ouvrir la porte.
Lupin était là. Oh, bordel de merde, la potion Tue-Loup, pensa Snape. Il avait oublié.
« Entre, Remus. Je dois m'excuser : je ne l'ai pas encore finie. Ça te dérange d'attendre quelques minutes ? »
« Ne t'inquiètes pas, j'ai un peu de temps libre avant mon prochain cours. Mon Dieu, tu as l'air terrible. » Les yeux du loup-garou se plissèrent en regardant Severus.
« Merci. » répondit sèchement Snape « Cette constatation me fait me sentir tellement mieux. » Il montra le chemin vers son laboratoire, où la potion bouillonnait tranquillement.
« Je suis content de ne pas avoir à m'occuper de problèmes inhérents à un Directeur de Maison. » dit Remus « Il y a seulement une poignée d'élèves qui viennent me voir avec leur ennuis. Ils sont très doués pour me donner des cheveux gris avant l'heure. Particulièrement Harry et... »
"Hermione" resta suspendu entre eux dans les airs
Lupin eut soudain l'air méfiant : Snape savait que son collègue s'attendait à ce qu'il se vexe. Il fut en fait soulagé : Remus venait de lui fournir une parfaite ouverture pour la question qu'il voulait désespérément poser.
« Remus... Je crois que tu allais mentionner Hermione ? »
« Je ne voulais rien insinuer, Severus. Mais elle me parle parfois, et... »
« Je sais. Et tu peux arrêter de me regarder comme si j'allais te lancer un sort à tout moment. Je suis content qu'elle ait des amis vers qui se tourner. Je me demandais si tu lui avais parlé aujourd'hui ? »
« Seulement en classe. Est-ce que tu penses qu'il y a quelque chose dont elle aurait pu avoir besoin de parler ? »
Severus rougit, mais poursuivit. « Oui, en fait. J'ai été abominable avec elle la nuit dernière. »
Le visage de Remus n'exprimait rien. « Continue. »
« Elle voulait me réconforter quand je suis revenu après m'être occupé de l'incident des Serpentards. Je n'ai pas... su apprécier. » Il regarda fixement la potion Tue-Loup. Lupin s'abstint avec tact de demander des détails.
« Tu es habitué à tout gérer tout seul, Severus. Il va falloir que tu t'adaptes, maintenant que tu as quelqu'un avec qui partager ce genre de choses. Ou est-ce que c'est que tu ne veux pas partager tes problèmes avec elle ? »
« La nuit dernière, j'ai crû que je la protégeais. Des pires aspects de la vie à Serpentard, et de moi-même. »
« Qu'est-ce que tu veux dire par toi-même ? Tu pensais que tu pourrais la blesser de nouveau ? »
Snape sentit son humeur se noircir à ces mots, mais il se rappella que c'était exactement ce qu'il avait pensé. Il ne pouvait pas en vouloir à Remus de dire tout haut ce que lui pensait : il se comportait juste en ami.
« J'avais peur que cela lui rappelle le jour où j'ai pris sa virginité. Dans cette pièce-même. » dit-il, un rictus méprisant déformant ses traits. « Je ne pensais pas pouvoir supporter de la voir une nouvelle fois effrayée par moi. Je ne voulais pas non plus la réutiliser, comme je l'ai fait cette fois-là. Me laisser coucher avec elle ce jour-là était une décision prise de sang froid, avec un but précis. Hier... » Mon Dieu, que c'était difficile d'en parler, se dit-il. « Hier j'ai crû qu'elle avait pitié de moi. J'ai crû qu'elle s'offrait à moi pour cette raison. »
« Est-ce que cela t'est venu à l'esprit que Hermione avait peut-être elle-même besoin de réconfort ? »
« Ce matin, à peu près au moment où elle a claqué la porte. »
« Il faudrait travailler sur ton timing... Ainsi que sur ta communication. J'ai vu des livres Moldus sur ce genre de choses. Il appellent ça « être émotionnellement handicapé » et apparemment, les femmes n'aiment pas ça. »
« Les Moldus écrivent des livres sur ça ? » Snape était stupéfait
« Ouaip, et ils les vendent par millions. »
« Remercions les dieux de ne pas être Moldu. »
« Oui, c'est beaucoup mieux d'être un sorcier émotionnellement handicapé marié à une jeune femme belle, douce et intelligente qui l'aime. Elle n'attendra pas éternellement que tu te décides à t'ouvrir à elle, tu sais. »
Snape lui lança un regard noir. « Un point pour toi. Mais comment je m'en sors ? »
« Tu demandes à la mauvaise personne, Severus. »
« Tu ne crois quand même pas que je devrais aller voir Dumbledore à ce sujet ? » Snape avait l'air mal à l'aise
« Non, même si je dirais que ça te serait plus bénéfique que de parler avec moi. Si j'étais toi... mais non, tu ne vas pas aimer. »
« Si ça peut aider, je le ferai. »
« Je ne sais pas si ça peut aider, mais ça ne peut pas faire de mal, je pense. Si tu veux de l'aide pour comprendre Hermione, tu dois parler à ses amis. »
« Mais ses amis sont Potter et Weasley. » Snape semblait horrifié.
« C'est bon de savoir que j'ai quelqu'un de si doué en observation pour faire ce truc pour moi. » dit Remus en faisant un geste de la main vers la potion Tue-Loup. « Tu sais, puisque tu parles de Harry et Ron, ce ne serait pas une mauvaise idée d'essayer de t'entendre mieux avec eux. Je ne dis pas que tu dois devenir amical avec eux. » dit-il en voyant que Snape voulait l'interrompre « Je pense que le monde s'écroulerait si ça arrivait. Ce serait sûrement un des signes de l'apocalypse. Mais ils sont très proches d'elle. Pense à la tension que ça mettrait dans ta relation avec Hermione si vous persistiez tous dans cette antipathie mutuelle. Et pense aux points que tu marqueras, si elle voit les efforts que tu fais pour elle. » Lupin avait l'air très content de lui.
Snape versa une louche de potion dans une coupe et la tendit au loup-garou. Remus but rapidement et afficha une expression de pur dégoût.
« Je te jure que le goût est de pire en pire à chaque fois. » dit-il
« Que ça tombe bien. » répliqua Snape « Je suis content de ne pas être le seul forcé d'avaler quelque chose d'indigeste aujourd'hui. »
à suivre...
oOoOo§oOoOo
(1)Traduction très approximative ! Je ne connais pas du tout l'expression et je ne l'ai pas trouvée dans le dico, donc si ça se trouve ça ne veut pas du tout dire ça ! You resented the hell out of the fact that you were still alive
o§o
Je n'ai pas encore commencé le chapitre 19 mais il devrait quand même être là lundi. Je suis en vancances vendredi, enfin-) J'aurai du temps pour mes fics
