Salut! Ici Coccinellealbinos qui prend les commandes pour un nouveau chapitre!!
J'ai pas grand chose à dire sinon que j'ai aucun droit (il n'y a aucune justice...).
Chapitre trois – Tu peux perdre ton fou, mais pas ton air fou…
Goyle était rendu en haut de l'escalier de pierre quand l'équipe de Quiddich de Gryffondor entra dans le château. La porte ouverte montrait que la pluie s'était mise de la partie et que le vent n'avait pas arrêté.
Goyle n'en fit pas de cas et continua son chemin vers les donjons. C'est alors qu'on le héla :
– Hé, Goyle!
Gregory se retourna et vit son interlocuteur… Mais qu'est-ce que Harry voulait bien lui dire?
– Ouais, le balafré, répondit-il avec une voix qui ressemblait étrangement à celle de Malefoy.
– T'as passé une belle soirée, hier? Demanda-t-il en se retenant pour ne pas éclater de rire.
– Ouais, pourquoi? J'ai fêté votre défaite avec les autres Serpentard, moi je n'ai pas eu à me mouiller comme ça ce matin!
– Non c'est vrai, toi tu l'as fait hier soir…
Comprenant soudainement que Harry détenait peut-être des informations utiles, Goyle décida de remettre à plus tard sa rencontre avec Rogue.
– Qu'est-ce que tu veux dire, le balaf… Harry? demanda-t-il d'une voix plus douce.
– Où vais-je commencer…? J'étais rentré depuis environ une heure, mais la culpabilité pesait encore sur mes épaules, tu vois, parce que j'avais laissé Malfoy attraper le vif d'or avant.
– Peux-tu venir au fait?
– Lavande a bien vu que je ne me sentais pas bien, alors elle est venue me proposer de me consoler… tout seuls, dans l'herbe du parc, malgré le froid et le vent…
Mais en sortant, devine ce que je vois! Le stupide gorille de Malfoy en train de vomir par-dessus la garde du balcon! Alors mon cerveau a fait un rapide calcul. Avec ton poids, tu avais du en boire une quantité pour te saouler…
Je voulais garder cette image dans ma tête, aller vite satisfaire Lavande (et moi-même par la même occasion), puis monter au dortoir pour raconter à Hermione la partie te concernant (et à Ron celle concernant Lavande)…
Mais Lavande (elle est trop bonne) a décidé qu'elle voulait d'abord te reconduire à ton dortoir. Je savais où il était situé, mais j'avais tellement envie d'elle que je lui ai dis que je ne le savais pas pour sortir au plus vite…
« On va l'emmener chez les Griffondor! » Qu'elle me dit. C'est ce qu'on a fait…
– Je suis allé dans votre salle commune?
– Ouais, vieux! Mais elle avait tellement déployé d'efforts pour t'amener que ma belle Lavande était épuisée, tu vois, alors elle a dit de laisser faire nos projets pour la soirée…
Comme tout ça était de ta faute, j'ai décidé que tu devais payer… Et très cher! Je t'ai proposé une partie d'échecs avec gages. Saoul comme tu l'étais, tu n'as pas pu refuser. Je t'ai battu en moins de cinq coups. Tu es trop minable.
– Bon, tu m'as battu, où est le problème?
– J'y viens, j'y viens… J'avais gagné le droit de te donner un gage, tu te souviens? J'ai décidé que ma soirée devait se passer dans le parc et qu'elle s'y passerait!
Toi, moi et tous ceux qui étaient encore éveillés dans la grande salle (et les autres, qui ont été réveillés par la suite) on est parti dehors.
« Je fais quoi, là? » Que tu m'as demandé. « Tu te mets tout nu » que j'ai répondu.
Une fois déshabillé, tu as sauté dans le lac quasiment gelé de novembre et nous on s'est payé un bon fou rire!!!
Quand tu es sorti, tu t'es mis à crier :
– Allez… les filles.. ça vous réchaufferait, vous le savez… Laissez-moi faire… Vous pouvez même vous mettre à plusieurs si vous voulez…
Puis, quand tu as vu que les filles n'avaient pas envie que tu les touches, tu as continué :
– Ok! Ça va! Les garçons, alors?
Tout le monde est parti en riant vers l'école… Mais tu as au moins réussi à nous faire oublier notre défaite.
Je suis entré, mais je t'ai regardé du balcon. Pas parce que je te trouve beau tout nu, mais si tu t'étais évanoui par ma faute, j'aurais été renvoyé de l'école alors… Je t'ai vu te diriger vers les appartements de Rusard, mais je ne pouvais pas voir ce que tu y faisais du balcon, je voulais descendre, mais Lavande est venue me chercher en disant que son offre tenait de nouveau, tant que c'était fait à l'intérieur, alors…
C'est tout! Salut, le nudiste!
Goyle se retrouva seul, en haut de l'escalier. Qui allait-il interroger? Rogue ou Rusard?
