Salut à tous ! Me revoilà. Enfin, me direz-vous ? Et vous aurez raison ! Excusez-moi pour cet immense retard. Je vous mets ce chapitre n°4, mais je suis bien incapable de vous dire quand viendra la suite. Que cela ne vous décourage pas de lire ce chapitre. Je vous embrasse tous. Arthmis.
J'ai fait quand même les réponses aux reviews qui me font énormément plaisirs à chaque fois. Je vous remercie tous de m'en envoyer.
Pour la conspiratrice : Je suis contente que ça te plaise toujours autant. J'espère que tu aimeras tout autant ce nouveau chapitre.
Pour Ti-ni.Nani : Voici la suite que tu attendais. En plus, j'ai essayé de faire un chapitre un peu plus long que d'habitude.
Pour Bohemio : Et bien la relation Hermione/Séverus est toujours aussi conflictuelle mais bon c'est normal !
Pour vivi : Voilà la suite. J'espère quelle répondra à ton attente.
Pour Zakath Nath : Merci de continuer à me lire. Les voilà quand même arrivés.
Pour U..Hermy : Voici la suite. J'espère qu'elle te plaira.
Pour Angel of shadow : Merci beaucoup, ça me fait plaisirs que mon histoire te plaise et je suis honorée que tu lises ma fic alors que tu n'aimes pas trop celles où ils vont dans le passé.
Pour Hermy : Voilà la suite. Je suis contente que ma fic te plaise.
Pour Nami : Merci. Voici le quatrième chapitre.
Chapitre 4 : Enfin presque arrivés !
Le brouillard et la forêt à perte de vue. C'est ce que Séverus et Hermione découvrirent en ouvrant les yeux quelques minutes après leur arrivée. Ils étaient tous les deux fatigués comme si ils avaient parcourut des kilomètres et des kilomètres avant d'atterrir dans ce sombre endroit. La perspective qui s'offrait maintenant à eux était décourageante. Hermione s'assit sur une souche d'arbre qui s'avérait être plus que bienvenue.
« - Ce n'est pas le moment de se reposer, Miss Granger.
Je suis fatiguée. Et ce n'est pas parce que je m'assois cinq minutes que nous trouverons moins vite notre chemin.
Bien. Alors vous allez peut-être encore trouver une brillante idée pour nous sortir de là ! »
Hermione essaya de faire comme si elle n'avait pas comprit le sous-entendu. Elle espérait que Rogue arrêterait de toujours tout ramener à ce qu'elle faisait. Bien sûr, il était impliqué dans cette aventure mais c'était de sa faute à lui aussi. Ces réflexions lui donnaient mal à la tête, elle n'aurait jamais pensé que voyager dans le temps lui puiserait autant d'énergie. Ce n'était pas dans ses habitudes de se plaindre et surtout pas devant Rogue, ce qu'il lui fallait c'était…
« - Du chocolat !
Pardon ? Par pitié, ne me dites pas qu'elle délire encore en plus !
Mais non pas du tout. Le professeur Lupin, nous a toujours conseillé d'en avaler après une perte d'énergie importante. Je n'ai pas pensé à en emporter.
Pour une fois que vous ne prévoyez pas tout, Miss…
Et vous, vous vouliez être professeur de défense contre les forces de mal si je ne m'abuse, vous auriez dû le savoir et en prendre avec vous, non ?
Je ne suis pas comme votre cher Lupin.
C'est certain. C'était vraiment notre meilleur professeur…
Ce n'était rien de plus qu'un loup-garou. »
S'en était trop, elle se leva pour lui faire face, bien qu'il la dépassait d'une bonne vingtaine de centimètres, il ne lui faisait pas peur et il commençait à être temps de lui dire quelques vérités.
« - Et alors, il est mon ami. Si vous étiez un peu plus sociable, vous verriez que tout le monde peut être aimé malgré ses différences ! Vous êtes jaloux de Remus voilà tout. Lui, au moins, était quelqu'un d'agréable et de…
Taisez-vous petite idiote. Epargnez-moi la narration de votre stupide relation avec Lupin et votre minable définition de moi-même.
Qu'y a t-il de mal à se lier d'amitié avec in loup-garou ? Oh ! Laissez-moi deviner, vous lui en voulez car vous pensez ne jamais pouvoir avoir d'amis puisque vous étiez un mangemort. Mais de toute éviden…
Pour la seconde fois, fermez-la, Miss Granger ! » siffla-t-il sans plus élever la voix.
Hermione sentait qu'elle l'avait mit en colère, ce devait être le cas car il s'avançait d'un pas plus que menaçant. Pourtant, elle ne bougeait pas. La tête lui tournait, elle se sentait incroyablement faible mais elle devait tenir, Rogue l'avait cherché.
« - Vous ne connaissez rien de moi, ni de mon passé alors ne m'en parlez pas, es-ce clair ou faut-il que je l'écrive pour que vous imprimiez ce que je viens de vous dire ?
Arrêtez de me traiter comme si j'étais une moins que rien ! Vous me devez un peu plus de respect, il me semble.
Et pourquoi donc, vous n'êtes qu'une sang-de-bourbe. »
Ca y était, il venait de dire le mot de trop ! Hermione était blessée. Cependant, elle se redressa de toute sa hauteur et dit plus calmement.
« - Je vois que ça ne sert à rien de parlementer avec vous. Je vais prendre mes affaires et nous…pourrons… »
Elle se plaqua la main sur la tempe pour faire cesser le mal mais tout, autour d'elle, tournait beaucoup trop vite. Elle s'évanouit et ce fut Séverus qui la rattrapa dans ses bras.
Par Merlin ! Ce qu'elle pouvait être agaçante cette petite sang-de-bourbe ! Séverus ruminait seul, marchant droit dans la forêt. La nuit commençait à tomber et il ne se dirigeait qu'à son instinct, qui ne lui avait encore jamais fait défaut.
Pourquoi fallait-il que tout le monde ramène toujours tout à son passé ? Son épée tapait lourdement contre sa jambe gauche, il n'avait plus l'habitude de partir à l'aventure. L'aventure ! Il en avait vécu des choses incroyables et il fallait avouer que cela lui manquait. Un seul nuage à son expédition : la petite miss je-sais-tout insolent et il venait de le constater, elle était fragile. Si un petit voyage dans le temps la faisait défaillir ainsi, qu'est ce qu'il en serait lorsqu'elle devrait se défendre ou lorsqu'elle verrait une tête tranchée. Ce n'était pas le fait qu'il ne serait pas content de la voir faible, au contraire, il pourrait la rabaisser plus facilement ensuite, mais le problème était qu'elle serait un fardeau.
Il en était là dans ses réflexions, quand soudain, la fougère et les branches d'arbres firent place à un chemin de terre assez large pour y faire circuler un chariot. Séverus en déduisit donc que cette route devait mener à un village ou mieux encore au château du Roi Arthur.
Il était temps de retourner auprès de la sang-de-bourbe. Il faisait tout à fait nuit maintenant et endormie, sans feu, elle pouvait se faire attaquer par quelques bêtes sauvages traînant dans les parages. Il eut un rictus mauvais en pensant au corps à moitié dévoré de la gryffondor, au moins, il serait débarrassé une bonne fois pour toute d'elle. Et puis, il n'aurait qu'à raconter la vérité à sa famille et à ses amis. Le problème était, en fait, Dumbledore, le vieil homme avait confiance en lui, et rien que pour cela, il ne pouvait le trahir.
« -Aouhouhouhouhouh ! Le long hurlement déchira la nuit noire et inconsciemment il accéléra le mouvement. Il lui restait encore trois bons quarts d'heure pour retourner au « campement » et la perspective de refaire le chemin en arrière uniquement pour aller chercher la gryffondor le rendit d'une humeur exécrable.
Hermione ouvrit les yeux. La nuit était déjà tombée et tout était silencieux. Elle se redressa sur son lit de fortune. Pourquoi fallait-il qu'elle se soit évanouit ? En plein milieu d'une dispute, ce n'était pas très correct d'abandonner la partie à son adversaire ainsi.
En parlant de Rogue, où était-il ?
« Il ne m'a quand même pas abandonné ? » se demanda-t-elle, partagée entre le bonheur de ne plus avoir à le supporter et la crainte de rester toute seule dans cette forêt.
« Ressaisis-toi, Hermione. Tu es une sorcière pleine de ressources alors montre-le ! »
La jeune femme se parlait à elle-même comme pour se donner du courage.
Elle prit sa baguette magique et alluma un feu qui lui prodigua un peu de chaleur et de lumière.
« Mais où a-t-il bien pu passer ? » se demandait-elle. «Se peut-il qu'il m'ait laissé là, sans aucune protection ? Olà ! Hermione, t'es un train de débloquer complètement là ! Comment peut-on s'en remettre à Rogue pour une question de protection ! Quel sale bonhomme, aussi pire que Malefoy ! En fait, ce n'est même pas la peine de compter sur lui, de toute façon je n'ais pas besoins de son aide, alors s'il est parti, bon débarras ! ... Tiens, qu'est-ce que c'est que ça ? »
Un craquement soudain l'avait tiré de ses réflexions, comme si quelqu'un ou quelque chose avançait vers elle. Elle serra un peu plus étroitement ses doigts sur sa baguette magique, ne faisant aucun mouvement, n'osant à peine respirer. C'est alors qu'elle les vit : deux yeux dorés en forme d'amande. Un loup était tapi dans les buissons et l'observait.
D'un coup, il se leva et se rapprocha. Il ne semblait pas lui vouloir de mal mais Hermione restait sur ses gardes. Ce loup à la fourrure d'ébène l'intriguait. Que lui voulait-il ? Elle avait lu dans un livre que les loups n'attaquaient pas les hommes, les craignant plutôt. Elle n'avait encore jamais entendu parler qu'un loup approcha d'aussi près quelqu'un, peut-être voulait-il simplement…
« -Alors, Hermione, vous avez fait bon voyage ? » La jeune femme sursauta. Cette question venait de raisonner dans sa tête. Le loup la fixait toujours, et il semblait attendre quelque chose. Hermione plongea son regard dans le sien et le loup s'assit en face d'elle.
« -Est-ce de la télépathie ?
Oui, en quelque sorte.
Comment connaissez-vous mon nom ?
Je sais tout dans cette forêt. J'en suis l'Esprit.
Oh !...Mais…Pourquoi êtes-vous venu à moi ? Vous ais-je dérangé ?
Non. J'attendais ta venue.
Comment avez-vous su que je viendrai ? C'est impossible puisque j'arrive du futur !
Et vous êtes là pour le sauver, ainsi que je le craignais…Votre quête ne sera pas de tout repos, Hermione…Je vais vous donner un conseil…Pour atteindre, la personne qui vous intéresse, liez-vous d'amitié avec la Reine Guenièvre.
Je vous remercie et vous fais confiance, esprit de la forêt. Votre remarque, je l'espère, m'aidera dans ma tâche.
Ne vous fiez pas aux apparences, Hermione.
Bien. J'essaierai.
Vous n'êtes pas seule, ne l'oubliez jamais…Faîtes-lui un peu confiance.
C'est très difficile de faire confiance à quelqu'un comme lui. Je m'en sortirai tout aussi bien s'il n'était pas là. La preuve, puisque vous m'êtes apparu alors qu'il est parti. Seriez-vous ici s'il était présent ? Je ne le pense pas. Cependant, je suis heureuse de parler avec vous, esprit de la forêt… Cela me gène de vous appelez ainsi. Avez-vous un nom par lequel je…
Je dois m'en aller, Hermione. Votre compagnon n'est plus très loin.
Vous reverrais-je ?
Si vous le souhaitez, je serai là pour vous, Hermione. »
Il se retourna et s'enfuit à travers les arbres alors qu'Hermione entendait déjà le bruit caractéristique d'un homme qui se déplace dans une forêt. Elle ne pouvait détacher son regard de l'endroit où se tenait à l'instant le grand loup noir et voyait encore ses yeux d'or.
« Mon nom est Konogan. »
Elle sourit et se retourna pour voir arriver la masse sombre qu'était Séverus Rogue.
Celui-ci marchait, l'air supérieur, de quelqu'un qui a trouvé la solution d'un problème.
« -Qu'est-ce qui vous fais sourire bêtement ?
Pas la joie de vous revoir en tout cas ! Avez-vous trouvé quelque chose ?
En effet. Allons-y, prenez vos affaires. »
Hermione s'approcha de sa valise où toutes ses affaires étaient entassées. Grâce à un sort de rétrécissement, elle put mettre son bagage dans une des poches de sa cape. Séverus en fit de même avec ses effets et ils se mirent en marche après avoir éteint le feu.
La robe d'Hermione s'accrochait et se déchirait dans les ronces lorsqu'elle tirait dessus pour se détacher, n'ayant pas le temps de le faire avec plus de douceur tant Séverus marchait vite. Elle gardait pourtant le rythme pour ne pas qu'il puisse lui reprocher de le ralentir.
Enfin, ils arrivèrent sur le chemin de terre. Hermione répara rapidement ses vêtements sous le regard dédaigneux de Séverus. Heureusement, la pleine lune éclairait la route. Ils étaient au milieu d'une montée et rien ne leur indiquait dans quelle direction ils devaient s'orienter pour se rendre à Camelot.
« -Que proposez-vous, sire Séverus ? » demanda Hermione. Il se retourna vivement vers elle en l'entendant l'appeler ainsi. Il l'a dévisagea un instant, mais il se rendit bien vite compte que ce serait son nom d'usage ici, au Moyen Age et qu'il valait mieux s'y habituer dès maintenant.
« -Montons sur les hauteurs, nous aurons plus de chance d'apercevoir quelque chose. »
Hermione acquiesça.
Effectivement, une fois en haut, ils purent voir un village à moins d'un kilomètre et dans le lointain se dessinait le château du Roi Arthur.
Dans le village, ils trouvèrent une auberge et avant de frapper, ils redonnèrent une taille normale à leurs valises, faisant ainsi penser à deux voyageurs venus de loin. Ainsi, ils réveillèrent l'aubergiste qui les accueillit sympathiquement malgré l'heure plus que tardive.
Un peu plus tard, chacun installé dans une chambre, ils se dirent qu'ils étaient, enfin, presque arrivés à destination et ils s'endormirent dans un sommeil profond.
Hermione se réveilla, le lendemain matin, pour voir que le soleil, qui perçait à travers les volets, était déjà haut dans le ciel. Pendant un instant, elle se demanda où elle se trouvait, tant l'endroit lui était peu familier. Quelqu'un frappa à la porte et Hermione se dépêcha d'aller ouvrir. Une petite femme replète se tenait dans l'encadrement de la porte, un sourire aux lèvres et le petit-déjeuner dans les mains. Hermione s'effaça pour laisser entrer la femme de l'aubergiste.
« -Avez-vous bien dormi, damoiselle ?
Oui très bien. J'en ai même oublié de me réveiller ! Quelle heure est-il ?
Il est onze heures, belle dame.
Oh ! Si tard ! Mon compagnon doit être déjà levé depuis longtemps, n'est-ce pas ?
En effet, damoiselle, il s'est levé à l'aube. »
Hermione remercia l'aubergiste et commença à déjeuner de bon appétit.
Séverus s'était réveillé, en effet, peu avant l'aurore. Il avait réfléchit longuement sur ce qu'il devait faire le jour même. Puis, il s'était habillé et était sorti alors que les rues de Camelot commençaient à s'animer. Il avait presque l'allure d'un vrai chevalier avec sa côte de maille, son ample cape et sa grande épée à la ceinture. Il allait chercher ce qui lui manquait pour parfaire son déguisement : un cheval.
Il se rendit donc dans les écuries de la petite ville et y acheta un cheval couleur ébène, un autre bai pour Hermione et un troisième marron pour leurs affaires.
Il installa ses chevaux dans les écuries de l'auberge et remonta chercher la gryffondor. Merlin, ce qu'il pouvait en perdre du temps à toujours revenir en arrière pour elle ! La porte de sa chambre était fermée mais il entra sans même frapper.
Hermione était en train de se faire habiller par une des servantes de l'aubergiste, qui était elle-même en pleine discussion avec la gryffondor.
La petite femme fut indignée de la conduite du chevalier accompagnant une si jeune et aimable demoiselle. Elle se mit alors à apostropher sire Séverus, qui finalement n'en menait pas large. Personne ici, ne savait qu'il était l'effroyable et sarcastique maître des potions d'une école de sorcellerie. Pour ne pas se créer d'ennui, il envoya quelques excuses en direction des trois femmes et s'en retourna dans sa propre chambre. Il était plus préoccupé par ce qu'il venait de voir que par les remontrances de l'aubergiste. Une vision divine lui revenait sans cesse : Hermione Granger, en jupon quelque peu transparent se tenait debout près de la fenêtre, ses longs cheveux reposant sur sa poitrine aux contours bien dessinés et il pouvait deviner que… « Bon sang ! Ressaisis-toi Séverus ! » Il fit disparaître l'image d'Hermione pour se concentrer sur sa valise qu'il fermait.
Une heure plus tard, Hermione Granger était prête. Séverus fixa leurs peu de bagages sur un des chevaux. Il vit que la jeune femme, tout comme lui, savait déjà monter à cheval. Quel dommage, elle aurait pu s'humilier et en public en plus !
Ils se mirent en route en début d'après-midi. Il était agréable de voyager ainsi mais lorsqu'ils ne furent plus en vue du village, Séverus arrêta son cheval, et celui d'Hermione par la même occasion.
« -Nous devons cacher notre baguette et ne plus nous servir de la magie à partir de maintenant. Il n'y a que très peu de sorciers vivant par ici et se faire remarquer comme étant des magiciens serait une erreur. Je pense que nous ne serions pas très bien vu…Il faut aussi savoir d'où nous venons et qui nous sommes.
Je l'ai déjà dit à la femme de l'aubergiste tout à l'heure.
Quoi ! Mais êtes-vous inconsciente, Miss Granger ? Et si j'avais fait la même chose de mon côté, en racontant une tout autre histoire que la votre !
Ah, parce que vous, vous avez le droit de parler et pas moi ! »
Hermione ne le laissa pas répliquer et continua :
« -De toute façon, il est trop tard maintenant. Nous venons de Silésie dans l'est. Je suis la fille d'un grand seigneur prénommé Tarn et je suis en visite. Vous êtes le meilleur ami de mon père et parce qu'il est malade, c'est vous qui m'accompagnez.
Qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre ! Moi, le meilleur ami de votre père !
Ce n'est pas la peine d'en faire tout un plat ! Mon histoire tient la route, et c'est le principal.
Je vois. De toute façon, maintenant et grâce à votre stupidité débordante, nous devons maintenir cette histoire. »
Sans plus de concertation, il se remit en route. Hermione finit par le suivre après avoir levé les yeux au ciel en signe d'exaspération !
