Harry Potter et l'avènement du Chaos
( ou HP et le Choc des dimensions )
Chapitre 6 : La surprise
Le premier sera important,
Aimé et adulé par les autres,
Ne sachant plus quoi faire, il prit lentement ses lunettes, prenant bien soin de ne pas baisser sa baguette. Lorsqu'il les eut posé, il ne put retenir un soupir de soulagement, mais aussi de nombreuses excuses pour finir par se laisser aller aux rires, suivant l'exemple de Ron qui ne pouvait s'empêcher de se tordre de rire en montrant le pauvre Neville qui était allongé su le sol, le corps et le visage paralysé sous une expression de surprise totale.
Harry se redressa puis sorti de son lit tendit que Hermione, qui regardait Ron avec une expression sévère, annulait le sort qui avait été jeté su Neville.
- Qu'est-ce que vous faites là ? Demanda Harry, agréablement surpris.
- Joyeux anniversaire. Se contenta de dire Ron qui était enfin parvenu à se calmer.
- Mais ce n'est pas encore...
Par ces simples mots, Harry venait de réaliser une chose qu'il pensait jusque là totalement impossible, il avait oublié le jour de son anniversaire. Il embrassa très chaleureusement Hermione qui s'était presque jeté à son coup en riant, comprenant pourquoi il avait été totalement prit au dépourvue, serra la main que lui tendait Ron, et s'excusa auprès de Neville pour sa réaction trop irréfléchie.
- Ce n'est rien, lui dit Neville qui se remettait lentement de sa propre surprise et en serrant à son tour la main du garçon.
Harry leur posa ensuite un nombre incalculable de question sur le fait de leur présence à Godric's Hollow, et ceux-ci leur répondit que c'était la décision de Dumbledore, qui avait jugé préférable que tous viennent ici pour fêter son anniversaire plutôt que de prendre le risque qu'il ne quitte la maison des Potter et de se faire repérer par d'éventuels ennemis. Ils laissèrent ensuite Harry seul afin que celui-ci puisse prendre sa douche tranquillement, et lui dire, en sortant de la chambre, qu'ils l'attentaient dans le salon avec les autres invités.
A présent seul, Harry se rendit dans la salle de bain, et se glissa dans la baignoire déjà remplie. Il fut alors très étonné par la décision qu'avait prit Dumbledore, mais aussi et surtout de la présence de Neville dans ces murs. Il savait depuis l'année précédente que cet autre Griffondor était né le même jour qui lui, mais jamais il n'aurait penser fêter son anniversaire en même temps que lui.
Mettant fin à sa réflexion, il sorti de la baignoire, sécha son corps imide, et mit les vêtements propres que lui avait déjà préparé Dobby alors qu'il dormait. Il quitta ensuite sa chambre et traversa le couloir de l'étage pour se retrouver nez à nez avec un William rayonnant de bonheur.
- Bonjour gamin, lui dit le fantôme en lui adressant un sourire radieux.
- Bonjour. Je t'ai entendu chanté la nuit dernière.
- Oui, j'ai fait écouter ma voix à ton cousin, mais il ne semble pas avoir apprécié, répondit-il tandis que ses lèvres spectrales dessinaient un sourire malicieux.
- Que veux-tu dire ?
- Et bien je pense qu'il aurait préféré dormir plutôt que de m'entendre chanter toute la nuit.
Un nouveau sourire se dessina sur le visage du garçon, imaginant Dudley qui essayait de dormir alors qu'un fantôme à moitié fou restait près de son lit en poussant la chansonnette avec une voix des plus horribles.
- Au juste, bon anniversaire. Lui dit enfin le fantôme avant de disparaître en traversant le plancher, mettant ainsi fin à leur discussion.
Tout en souriant, Harry continua de marcher et descendit les escaliers pour ensuite de diriger vers le salon où ils avaient hâte de voir ses amis. Lorsqu'il entra dans la pièce, il eut le plus grand plaisir d'y trouver les membres de la famille Weasley au grand complet, qui s'empressèrent de venir le saluer, au même titre que Hagrid, le Professeur McGonagal, la grand-Mère de Neville, Maugrey Fol Œil et d'autres membres de l'Ordre du Phénix, dont Tonk, Kingsley et d'autres qu'il avait déjà vue lors des vacances qu'il avait passez au quartier général de l'Ordre l'année précédente. Il eut aussi la surprise de voir les élèves avec qui il s'était aventuré au ministère de la magie durant sa cinquième année, il y avait bien évidemment Ron, Hermione et Neville, mais aussi Ginny et Luna Lovegood qui semblait toujours aussi rêveuse derrière ses lunettes.
Il les salua tous un par un, les remerciant d'être venu jusqu'ici, mais lorsqu'il s'approcha de Luna pour lui faire la bise, il entendit une grosse voix crier depuis l'entrée du salon.
- Qu'est-ce que toutes ces personnes font ici ? Rugit l'oncle Vernon qui semblait plus rouge qu'à l'ordinaire.
- Ce sont mes amis, répondit Harry alors fou de rage, n'acceptant pas que son oncle face de telles entrées sous « son » toit, et ils sont venus pour me souhaiter mon anniversaire !
- Peu importe, qu'ils s'en aillent tout de suite, c'est déjà assez difficile de vivre ici sans avoir en plus à supporter de tels êtres anormaux !
- Comment osez-vous ?
Harry n'arrivait plus à se contrôler, jamais, par le passé, il n'avait sentit une colère aussi grande monter en lui. Il était à présent chez lui, dans la maison où avaient vécu ses parents, ses parents que les membres de la famille Dursley avaient toujours pris soin de dénigrer du plus loin qu'il s'en souvienne. Ne pouvaient à présent plus retenir sa main, il sorti sa baguette de sa poche et la pointa dans la direction de son oncle.
- Ne pointe pas cette... Cette chose sur moi, mon garçon ! Ordonna l'homme rondelet et moustachu qui commençait semblait à avoir subitement retrouver son calme, paressant à présent effrayé par ce bout de bois que tenait son neveu.
- Vous n'avez aucun ordre à donner sous ce toit ! Rugit Harry, toujours hors de lui. Je suis ici chez « moi » !
- Mr Potter ! Dit alors une voix douce mais très ferme. Je vous prierais de ne pas faire usage de la magie sans une très bonne raison.
C'était la voix du Professeur McGonagal. Retrouvant son peu à peu son calme, Harry se ressaisit et baissa sa baguette, libérant temporairement son oncle de la peur que lui inspirait la baguette magique d'un sorcier. Il se tourna vers son professeur de métamorphose et présenta quelques timides excuses, réalisant qu'il n'aurait jamais dut réagir ainsi, mais il regarda de nouveau son oncle et dit, le regard dure et les dents sérés :
- Sortez tout de suite de cette pièce et que je ne vous entende plus jusqu'à demain, où je ne répondrais vraiment plus de rien.
Bien que les derniers mots que Harry n'était pas vraiment à son goût, le Professeur McGonagal regarda l'odieux Moldu sortir de la pièce en maugréant quelques malédiction à l'encontre des « anormales » qu'ils étaient tous, puis regarda son élève avec des yeux d'une dureté encore jamais égalé.
- Si le Ministère vous a autorisé à faire usage de la magie avant votre majorité, ce n'est en aucun cas pour punir ceux qui vous manquent de respect. La magie sert à facilité la vie des sorciers, pas à faire le mal. Car peu importe le comportement d'une personne, si l'on fait une telle chose, cela est mal. L'on ne vaut pas mieux que les Mangemorts qui suivent le Seigneur Ténébreux !
Devant cette avalanche de reproche, Harry ne put se contenter que de murmurer plusieurs excuses, n'osant pas regarder son professeur dans les yeux. Une fois l'incident clos, les jumeaux Weasley demandèrent à Harry où ils se trouvaient en ce moment, Dumbledore ne leur ayant pas dit où ils allaient, se contentant de leur donner le Portoloin qui les avaient amené jusqu'ici, Portoloin qu'il avait d'ailleurs récupéré à leur arrivé.
- Je suis désolé, répondit Harry d'une voix qui montrait à quel point il l'était vraiment, mais je n'ai pas le droit de vous le dire.
Les jumeaux auraient très certainement insister encore d'avantage, mais Mrs Weasley prit Harry par le bras et l'amena jusqu'à la table du salon où avaient été déposé une très grand nombre de cadeau.
- Voilà tes cadeaux, Harry, ainsi que ceux de Neville. Nous avons trouvé plus pratique de fêter votre anniversaire en même temps cette année, puisque vous aviez invité les même personnes en même temps.
- Mais je n'ai invité personne, s'empressa de répondre Harry encore surpris, j'avais même oublié mon anniversaire.
- Peu importe, dit la femme rondelette aux cheveux roux, le Professeur Dumbledore s'en ai chargé pour toi. Un homme bien ce Professeur Dumbledore.
Ne prêtant plus attention à ce que lui disait cette gentille Mrs Weasley, Harry s'empressa d'aller ouvrir ses cadeaux, imité par Neville qui n'avait suivit dans son geste. Il eut l'agréable surprise de recevoir, de la part de Tonks, une nouvelle montre de fabrication Moldu, la sienne ayant été détruit lors de sa quatrième année à Pourdlard alors qu'il passait à seconde épreuve du tournoi des trois sorciers.
- J'ai vu que celle que tu portes ne marchait plus, expliqua la jeune et ravissante femme en lui souriant.
Elle se rapprocha un peu plus vers lui et lui murmura :
- J'y ai rajouté quelques petites choses, mais ne le dis pas aux autres, c'est interdit d'ensorceler les objets Moldus.
- Merci. Se contenta de répondre Harry en se jurant intérieurement de regarder à quoi consistaient ces « petites choses » que Tonks s'était efforcé de rajouté à cette montrer pourtant d'apparence normale.
Il regarda ensuite les autres cadeaux qui lui étaient adressé et trouva, comme il pouvait s'en douter, un pull de laine tricoté par Mrs Weasley, qui lui avait aussi offert quelques chocogrenouilles, un livre de l'histoire de Poudlard que lui avait offert Hermione, visiblement fatigué de toujours devoir leur expliquer tout ce que renferme leur école de sorcellerie. De Ron, il reçut un livre sur le quiditch qu'il se promit de lire afin d'en apprendre plus sur ce sport qu'il aimait vraiment, et de Hagrid, il reçut une nouvelle boite de biscuit aux pépites de chocolat.
- Je les ai fais moi-même, lui dit le demi-Géant avec un sourire rayonnant.
Après les avoir remercié chacun leur tour, Harry se tourna vers les autres cadeaux qui venait du reste des invités. La grand-mère de Neville lui avait offert un kit de premier soin magique qui, lorsqu'il y repensa, lui serait sûrement très utile dans un très proche avenir, le Professeur Mcgonagal, elle, lui avait offert un livre contenant un grand nombre d'informations sur les sortilèges utilisé lors des duels qui lui serait tout aussi utile, et, enfin, il se tourna vers le plus gros paquet qui lui était adressé. Sur celui-ci était écrit un petit mot « de la part de tous les membres de l'Ordre du Phénix ». Il ne savait pas de quoi il pouvait s'agir, mais il fut vraiment étonné lorsqu'il se rendit compte qu'il s'agissait d'une pensine presque identique à celle qu'il avait déjà vue dans le bureau du Professeur Dumbledore lors de sa quatrième année.
- Une Pensine, dit alors Neville qui en oubliait totalement le super Nimbus 2001 qu'il tenait dans ses mains, elle a dût valoir une fortune. Il n'en existe que très peu dans le monde entier.
- Oui, dit Maugrey dont l'œil se baladait dans toutes les directions, scrutant chaque pièce de la maison afin de s'assurer une nouvelle fois qu'aucun intrus n'y était entré, le Professeur Dumbledore a pensé qu'elle te serait utile lorsque tu auras trop de chose à l'intérieur de toi.
Harry posa la Pensine sur la table et la regarda avec plus d'attention. Il s'agissait plus d'une bassine de pierre qu'autre chose, mais Harry avait déjà, par le passé, utilisé un objet de cette nature, il connaissait donc la valeur réelle d'un Pensine. Peu profonde, elle contenait une substance que Harry avait du mal à reconnaître, car il était très difficile de savoir si celle-ci était à l'état liquide ou bien gazeux, mais ce qu'il était sûr, c'était qu'elle diffusait une forte lueur argentée qui ne faisait que ressortir les motifs qui étaient gravé sur les bords de la Pensine, des sortes de runes et de motifs magiques que Harry était tout à fait incapable de déchiffrer.
Le jeune garçon prit de nouveau la Pensine dans ses mains afin de la soupeser, puis se rendit compte qu'elle ne pesait presque rien, comme si la pierre dont elle était faite n'était pas réellement de la pierre, mais un matériau qui lui ressemblait simplement.
- Tu veux l'essayer ? Demanda Ron, visiblement très intéressé.
- Oui, répondit Harry, les yeux rêveur, mais pas tout de suite... Pas tout de suite.
Il leva la tête vers les invités qui s'étaient efforcé de ne pas dire un mot durant la contemplation de la Pensine, puis termina :
- Pour le moment je veux profiter pleinement de votre présence.
Il reposa donc l'objet magique sur la table et rejoignit ces personnes rassemblées dans la maison des Potter afin de fêter son anniversaire, ainsi que celui de Neville Londubat, qui avait enfin terminé d'ouvrir ses nombreux cadeaux et qui remerciait les invités, les yeux brillant, en serrant son nouveau balais dans ses mains tremblantes.
Jamais il n'avait passé un anniversaire aussi merveilleux. Il ne pouvait rien demander de plus beau, ses amis étaient avec lui, il avait reçut de beaux cadeaux, il était dans la maison de ses parents, dans la maison où avaient vécu tous les Potter qui l'avaient précédé. Il se laissa très rapidement allé au rire que les blagues des jumeaux Weasley faisaient naître, puis, après avoir rie jusqu'à en avoir mal au ventre, il eut la très agréable surprise de voir l'arrivé de Dobby qui apportait un magnifique gâteau qu'il faisait léviter à travers la pièce jusqu'à la table qui avait précédemment porté les cadeaux de Harry et de Neville. Lorsque le gâteau fut enfin mit à la disposition, Dobby s'approcha difficilement de Harry et lui tendit un petit paquet enroulé dans du papier kraft.
- Je te remercie, dit alors Harry qui l'était réellement, c'est très gentil de ta part.
Il l'ouvrit et ne fut pas surprit de découvrir une paire de chaussette qui était visiblement bien trop grande pour lui. Elle avait été tricotée à la main par le petit Elfe de Maison aux couleurs de Griffondor et, à en juger par les lions qui y avaient été parfaitement dessiné, Dobby s'était énormément amélioré dans le tricot. Harry, plus par désir de faire plaisir à Dobby que par désir, les mit sur-le-champ et eut le grand plaisir de susciter les rires des invités qui s'empressèrent de félicité Dobby pour sa création.
Affichant un sourire rayonnant, l'Elfe de Maison ne se fit pas prier pour couper le gâteau et servir ceux pour qui il avait été préparé, et tous mangèrent de très bon cœur, ce gâteau, visiblement magique, ayant la particularité de s'adapté aux goûts de celui qui le mangeait. Harry eut donc le plus grand plaisir d'avoir l'impression qu'il dégustait la plus fabuleuse des Forêts Noires, et il la dévora sans attendre. Tous partagèrent donc leurs impressions sur le gâteau, Hermione ayant eut l'impression qu'elle mangeait une superbe Dame Blanche, Ron un Flan au coco, Ginny une magnifique Religieuse au café, Hagrid un Baba au Rhum fortement arrosé, Neville un éclair au chocolat qui fondait dans la bouche et, le plus étrange, Fred une tarte aux poires et George une tarte aux pommes.
- Moi qui pensais qu'ils étaient identiques jusqu'à leurs préférences. Murmura Ron, un sourire en coin.
La fête d'anniversaire se poursuivit donc toute la journée, animé par Fred et George qui prenait le plus grand des plaisirs à leur faire découvrir les nouveaux bonbons et jouets qu'ils avaient inventé pour leur magasin de farce et attrape, Harry refusant toujours de manger quoi que ce soit qu'il venait de ces deux clowns, Ron lui ayant bien expliqué qu'ils faisaient ça pour tester leurs créations et voir ce qu'ils devaient rajouter ou enlever avant de pouvoir les vendre.
Lorsque la nuit tomba, Harry fut triste d'apprendre que les invités devaient à présent le quitter par le biais d'un Portoloin que Dumbledore avec confié à Maugrey qui ne semblait visiblement pas avoir bue la moindre goûte d'alcool de toute la journée, ce qui n'était bien évidemment pas le cas de Hagrid qui ne parvenait presque plus à réfrainer l'amour qu'il portait à chacun des invités, allant même jusqu'à déposer une petite bise sur la joue de Mrs McGonagal dont le visage prit une légère teinte rose tandis qu'elle souriait comme l'aurait fait une simple collégienne dans une telle situation.
Tous quittèrent donc la maison des Potter par le biais du Portoloin, laissant Harry seul avec, pour seul compagnie, un Dobby désireux de tout nettoyer, un William encore en pleine crise de rire tendit qu'il se souvenait des effets qu'avaient produits des farces et attrapes des jumeaux, et d'une Tonks rendu euphorique par l'abus de liqueur. Celle-ci ne pouvant visiblement pas marcher jusqu'à sa chambre, Harry l'aida à se lever.
- J'peux pas marcher.... Lui dit-elle avant de se laisser tomber sur le sol en riant à gorge déployer, ne se souciant visiblement pas des autres habitants qui tentaient certainement de dormir.
- Tu pèses combien ? Demanda Harry, ne pouvant s'empêcher de sourire devant l'attitude de la jeune Auror.
- Cinquante-cinq kilos, je crois, répondit-elle en étirant ses jambes sur le sol comme si elle avait oublié qu'elle devait se relever.
Sans attendre plus longtemps, Harry mit un genou à terre, plaça son bras gauche au niveau de la taille de la jeune femme, son bras droit au niveau de ses genoux, et la fit décoller du sol.
- T'es costaux mine de rien, lui dit-elle lui adressant un super sourire. Il paye ton entraînement de Quiditch.
- C'est surtout que tu n'es pas très lourde. Se contenta-t-il de répondre, visiblement gêné par cette situation embarrassante mais nécessaire.
Il la porta donc jusqu'à l'étage, puis jusqu'à sa chambre où il la déposa sur son lit, la recouvrant de sa couverture afin qu'elle ne prenne pas froid pendant la nuit. Il serait très certainement sorti si la jeune femme ne l'avait pas, au dernier moment, retenu par le poignet.
- Pourquoi tu ne restes pas ? Lui demanda-t-elle, son sourire charmeur encore visible grâce à la lumière de la lune qui traversait la fenêtre de la chambre.
- Je ne pense pas que ce soit une très bonne idée. Se contenta de répondre le jeune garçon, se surprenant lui-même par la réponse qu'elle venait de donner à cette jeune femme qu'il trouvait vraiment très ravissante avec ses cheveux bruns aux mèches argentées et ses courbes rendus plus qu'avantageuses grâce à cette robe quelle avait porté pour l'anniversaire qui s'était terminé depuis peu.
Il se libéra doucement de la main de Tonks qui lui avait saisit le poignet et marcha jusqu'à la porte déjà ouverte.
- Bonne nuit, Harry. Lui dit-elle avant qu'il ne sorte.
- Bonne nuit, Tonks, répondit-il sans se retourner, résistant à l'envie de la rejoindre comme elle le lui avait proposé.
Il sorti donc le la pièce, fermant la porte derrière lui, et marcha jusqu'à sa propre chambre, un sourire idiot illuminant son visage d'adolescent.
