Harry Potter et l'avènement du Chaos
( ou HP et le Choc des dimensions )
Bien, étant donné le nombre effarant de reviews auquel j'ai le droit, je vais arrêté de répondre par email ( ce que j'avais fait pour gagner du temps lol ) et je vais le faire ici à présent.
Bon, alors RAR :
Laurence au Paradis : Je te remercie. J'avais déjà eu ton avis tu la gazette du sorcier, mais maintenant ça se confirme et ça me fait chaud au cœur. Je ne sais pas si j'écris si bien que ça, mais bon, je fais beaucoup d'effort
Lisalune : Je suis content que ma fic te plaise autant et que tu rigoles sur des passages que j'ai écris exprès pour ça Je te remercie pour ta pub, c'est très gentil de ta part.
Pid : J'ai vraiment apprécié l'aide que tu m'as donné pour corriger mes fautes d'orthographes et m'avoir aidé sur certains sujet que je ne connais pas très bien ( oui, j'ai honte mais je n'ai pas la science infuse dans le domaine de HP... Mais je suis meilleur que toi pour le Seigneur des Anneaux lol ). Content de voir que tu aimes ma fic.
Sasha krum : Je sais que c'est un CrossOver plutôt osé, mais bon... Qui n'essaie rien, n'a rien lol. J'ai pensé que ça donnerait pas trop mal. J'avais déjà écrit une fic sur Warhammer il y a quelques temps, et je m'étais pas trop mal débrouillé, alors je me suis dis que Harry aurait pas mal de problème si les dieux du chaos débarquaient subitement. J'ai donc commencé. Pour les description des monstres et des guerriers du chaos, je vais m'améliorer.
Une autre nouvelle : J'ai réfléchit et je me suis dis que ce n'était pas très pratique de ne pas savoir ( pour les quelques courageux qui lisent cette fic lol ) quand est-ce que je mets un autre chapitre en ligne, alors j'ai décidé de mettre un chapitre tous les samedi.
Maintenant, place au chapitre 7 lol.
Chapitre 7 : Lendemain difficile et mauvaise nouvelle
Et c'est lui que tous vont dépendre,
Car le troisième ne fera rien sans de plus grand.
Comme tous les matins depuis sont arrivé à Godric's Hollow, il se réveilla de bonne heure en pleine possession de ses moyens, totalement reposé. Il marcha jusqu'à la salle de bain, prit une rapide douche, et s'habilla pour ensuite descendre jusqu'à la cuisine où il trouva Dobby toujours rayonnant de joie depuis qu'il avait offert son cadeau à son employeur.
Il mangea un copieux petit déjeuné, bien qu'il aurait préféré le manger en compagnie de la jeune Auror qui dormait encore, cette fatigue étant très certainement dût à l'alcool qu'elle avait bue pendant la journée précédente. Il se souvenait encore de ce qui s'était passé lorsque les invités les avaient laissés seul, et il remarqua qu'il portait encore ce même sourire imbécile qui était apparut lorsqu'il avait quitté la chambre de Tonks pour se rendre à la sienne.
Effaçant ce sourire, il commença une petite discussion avec Dobby qui lui apprit que Dudley, qui avait pourtant prit un malin plaisir à le faire se démener pour n'importe quoi depuis son arrivé ici, n'avait pas fait appel à lui une seule fois depuis sa « petite discussion » avec William, ce qui fit rire Harry qui avait très bien compris l'allusion qu'avait fait l'Elfe de Maison. Il termina donc son petit déjeuner, et proposa à Dobby de venir avec lui pour aller regarder les cadeaux qu'il avait reçut pour son anniversaire, ce que l'Elfe accepta avec plaisir, espérant intérieurement que Harry remette les chaussettes qu'il lui avait offert.
Ils se rendirent donc de nouveau au salon où les cadeaux l'attendaient toujours et ouvrit les livres qu'il avait reçut, commençant par le livre de duel offert par le Professeur McGonagal. A en juger par la table des matières qui se trouvait à la fin de chaque volume, il lui serait très profitable de les lires, même le livre de l'histoire de Poudlard que lui avait offert Hermione, malgré les milles trois-cents pages qu'il contenait. Il laissa ensuite les volumes pour se tourner vers la montre offerte par Tonks, mais n'eut pas le temps de découvrir les améliorations que cette dernière y avait ajouté car il fut stoppé dans son mouvement par ce brave Dobby qui lui montra les chaussettes qu'il avait tricoté.
- Dobby a été très heureux de voir Harry Potter porter les chaussettes que Dobby avait fait pour lui, Monsieur. Dobby avait pensé qu'elle plairait encore plus à Monsieur Potter si elle portait la marque des Griffondors.
- Et tu as eut raison, répondit Harry, content de voir son ami aussi rayonnant.
Ne pouvant pas résister à l'envie de faire plaisir à l'Elfe, Harry prit les chaussette que lui tendait son ami et les remis à ses pieds, ce qui fit apparaître une petite larme dans le coin de l'œil du petit être au nez et aux oreilles pointues. Il repris donc la montre et commença à pianoter sur les petits boutons qui se trouvaient sur les côtés. Il pouvait voir que Tonks ne s'était pas contenté de rajouter quelques « petits trucs » comme elle l'avait dit, mais des dizaines d'options, toutes plus folles les unes que les autres. Cette montre était bien plus utiles qu'un couteau suisse, elle servait non seulement de montre-réveil, mais aussi Rapeltout. La couleur de l'écran se colorant en rouge lorsqu'il avait oublié quelque chose. Un petit voyant lumineux de couleur bleu pouvait le prévenir lorsqu'une personne lui mentait ou ne lui disait pas toute la vérité ; « un détecteur de mensonge de poche » se dit-il en souriant tandis qu'il regardait quelles autres options avaient été rajouté. Il y avait aussi un petit bouton qui donnait la capacité au porteur de cette montre d'être désillusionner, ce qui pourrait très sûrement être pratique dans l'avenir. Mais ce qui le surprenait vraiment, c'était ce petit bouton rouge qui se trouvait juste au dessus du chiffre douze. Etrangement, il était presque effrayer par l'idée d'appuyer dessus afin de voir à quoi il pouvait bien servir, et c'est ce qui le poussa à attendre que Tonks soit réveillé pour le lui demander.
Il mit donc la montre à son poignet et se tourna vers la Pensine qui lui avait été offert de la part de tous les membres de l'Ordre du Phénix. Comme il l'avait fait lorsqu'il l'avait découvert, il la prit dans ses mains et la regarda avec beaucoup d'attentions. C'était vraiment un objet remarquable mais, à son grand regret, il n'avait aucune idée de comment il pourrait s'en servir.
- Sais-tu comment l'on se sert d'une Pensine ? Demanda-t-il à Dobby dont les yeux était fixé sur les chaussettes que le garçon portait.
- Oui, répondit l'Elfe, visiblement fière de pouvoir aider son employeur et ami, le premier Maître de Dobby en possédait une, et Dobby a apprit son fonctionnement.
- Est-ce que tu accepterais de me l'enseigner ? Demanda Harry parfaitement conscient que la réponse serait positive.
- Bobby en serait très honoré, répondit l'Elfe en regardant Harry avec ses grands yeux ronds. Harry Potter doit prendre sa baguette, mettre la pointe sur la tempe et penser à un souvenir en particulier, un souvenir très fort.
Ecoutant l'Elfe qui lui dictait la marche à suivre, Harry sorti sa baguette magique, qu'il posa sur sa tempe, et pensa très fort à un souvenir. Il s'agissait un souvenir inoubliable, c'était la première fois qu'il était monté sur un balais.
- Puis lorsque vous avez ce souvenir, vous dirigez votre baguette vers la Pensine qui se chargera d'emprisonner ce souvenir afin que vous puissiez le revoir autant de fois que vous le désirez.
Il fit donc comme Dobby le lui avait dit et dirigea sa baguette vers la Pensine, et il eut le très grand plaisir de voir que cela avait parfaitement marché. Des petits filaments argenté très semblables à la substance que contenait la Pensine sortait de sa tempe, comme tiré par sa baguette magique, pour ensuite être déposé dans la Pensine où des images commençaient déjà à apparaître. Elles était flous, mais elles étaient là. C'était un très bon signe pour Harry qui voyait que l'utilisation d'une Pensine était en faite bien moins compliqué qu'il ne l'avait pensé.
Il déposa la Pensine sur la table et effleura la substance argenté qu'elle contenait avec la pointe de sa baguette. Aussitôt la sorte de liquide gazeux qu'elle contenait se mit à tourbillonner, tournant de plus en plus vite alors que Harry se rapprochait davantage. Comme cela s'était produit lors de sa quatrième année avec la Pensine de Dumbledore, la substance devint transparente, comme du verre. Il se rapprocha d'avantage, comme si il voulait voir de fond de la bassine, mais ce ne fut pas le cas. A la place d'un fond, il pouvait voir, à travers la surface de verre, un lieu situé à l'extérieur du château de Poudlard, c'était l'endroit où les élèves de première année apprenaient à monter sur un balais. Il avait l'impression de voir la scène comme à travers une fenêtre circulaire qui avait été aménagé dans le ciel, juste au-dessus de Poudlard. Le visage de Harry n'était à présent plus qu'à deux ou trois centimètres de la substance transparente et il apercevait à présent une petite foule d'élève debout en attendant que Madame Bibine termine ses explications pour enfin enfourcher leurs balais et voler dans les cieux.
Harry pencha encore la tête pour voir ce que son souvenir disait à Ron placé juste à côté de lui et, comme il faisait cela, son nez entra en contacte avec la substance vitreuse... Puis comme cela s'était produit avec la Pensine de Dumbledore, il se retrouva aux côtés de ces élèves qui se lassait d'entendre leur Professeur. Il connaissant déjà ce phénomène ; il était entré dans son souvenir. Il pouvait entendre les voix des élèves qui se trouvaient autour d'eux, les discussions dont il ne se souvenait pourtant pas, comme si la Pensine s'était chargé de retrouver ces petits détailles qu'il avait gardé dans son inconscient. Il serait très certainement dirigé vers son souvenir, mais il y renonça, préférant écouter la discussion de deux élèves de Griffondor qui avaient prononcé son nom.
- Tu pense que Harry Potter réussira à voler parfaitement dès le début ? Demanda Lavande à celle qui serait par la suite son amie, cette très « chère » Palti.
- Sûrement, répondit cette dernière, il est parvenu à tuer Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom, alors un balais ne devrait pas lui faire peur.
- En tout cas l'avenir nous le dira. Se contenta de dire Lavande en se tournant vers Madame Bibine qui venait tout juste de leur donner l'ordre d'enfourcher leurs balais.
En entendant cette brève discussion, Harry ne put s'empêcher de sourire. Il savait parfaitement que la chute de son ennemi juré n'était pas dût à sa seule force, comme le lui avait apprit Dumbledore, lors de sa première année à Poudlard, mais il savait aussi ce qui allait arriver après cette discussion, cette vision étant l'un de ses souvenirs, et il se disait, en son fort intérieur, que Palti n'était vraiment pas loin de la vérité en ce qui concernait le vole sur un balais.
Connaissant parfaitement ce qui allait arriver, à savoir le décollage accidentel de Neville, suivit du sien, alors qu'il tentait de rattraper Drago Malfoy qui s'était emparé du Rapeltout du pauvre et maladroit Griffondor, Harry décida de quitter ce souvenir et s'en retourna donc dans la réalité, où Dobby l'avait attendu sans dire un seul mot. Une fois de retour, il se rendit compte que Dobby n'était pas le seul à l'attendre, car Tonks, qui était arrivé quelques instants après qu'il ait, en quelques sortes, pénétré dans la Pensine, s'était paisiblement installé sur le fauteuil devant lui en tenant sa tête, visiblement douloureuse.
- Bonjour, se contenta de dire Harry, surpris par la présence de cette dernière.
- Ne cris pas aussi fort... Dit alors Tonks en se penchant en avant, se tenant la tête de ses deux mains à présent.
- Désolé... Tu as mal dormi à ce qu'il semble. Dit-il, lutant intérieurement pour ne pas sourire.
- Oui... Répondit la jeune femme dans un murmure. Je n'aurais jamais dus boire autant. La prochaine fois que Hagrid me montre une de ses bouteilles...
Elle ne termina pas sa phrase, trop occuper à retenir un haut le cœur qui la faisait souffrir au niveau du ventre.
- Tu te souviens donc de ce qui s'est passé hier au soir ? Demanda Harry, hésitant à parler de ce sujet gênant.
- Pas vraiment, répondit-elle en se tenant la tête, visiblement à deux doigts de tomber mal.
Bien qu'il aurait voulu parler plus en profondeur de cette petite proposition qu'elle lui avait faite la veille au soir, Harry compris que ce n'était pas le moment et décida qu'elle serait remise à plus tard.
- Je pense que tu as compris que je ne suis pas vraiment en condition pour ton entraînement, lui dit-elle, alors je te propose de sortir ton balais et de t'entraîner. Si je me rappel, tu n'as pas pu faire de quiditch de toute la saison à cause de Ombrage.
- Oui, répondit le jeune adolescent, se souvenant de cette période fâcheuse, je dois sûrement être rouillé maintenant.
- Alors sort avec ton balais, fais tout les loopings que tu veux, mais ne quitte pas les limite de la maison. Personne ne doit te voir !
- Compris, répondit Harry en se levant, prenant quelques uns de ses cadeaux avec l'aide de Dobby qui le suivit jusqu'à sa chambre où il prit soin de tous les ranger.
Harry sorti ensuite son superbe Eclaire de Feu qui avait été rangé, à son arrivé à Godric's Hollow, dans le placard caché à la gauche de la cheminé sculpté. Cet objet magique était précieux pour lui. Pas du point de vue financier, malgré de fait qu'il puisse coûter une petit fortune, mais au sens affectif. Ce balais lui avait été offert par Sirius lors de sa troisième année à Poudlard, et tandis qu'il le tenait dans ses mains, il lui venait une infinité de souvenir. Des match qu'il avait remporté, des discussions qu'il avait eut avec Ron, Hermione, et les membres de l'équipe des Griffondors, mais aussi et surtout avec Sirius. Son parrain lui manquait. Il avait beau être heureux d'avoir pu découvrir le lieu où avaient vécus ses parents, avoir eu la chance de fêter son seizième anniversaire en compagnie de toutes les personnes qu'il aimait, son parrain lui manquait vraiment.
Résistant à l'envie de laisser couler quelques larmes, il sorti de sa chambre, non sans avoir retiré les chaussettes offertes par Dobby qui lui donnait vraiment l'air du plus grand des imbéciles. Il descendit ensuite les escaliers jusqu'au rez-de-chaussée et sorti de la maison pour enfin se rendre dans le jardin situé à l'arrière. Lorsqu'il fut vraiment près, il enfourcha son balais et fila dans les airs à une vitesse très impressionnante. Il se sentait à présent dans son élément sur ce balais, il savait que quoi qu'il se passe, avec l'aide de cette merveille qu'il pouvait diriger à son gré, il pouvait tout contrôler. C'était comme si il ne faisait plus qu'un avec son Eclair de Feu, à chaque petit mouvement de son buste ou de ses bras, son balais exécutait de fabuleuses prouesses acrobatiques. Après plusieurs minutes à enchaîner de superbes figures plus difficiles les unes que les autres, il dut se rendre à l'évidence, malgré la saison qui s'était coulé et à laquelle il n'avait pas pu participer, il n'avait rien perdu de son adresse.
Il continua donc à voler, oubliant tout ce qui l'entourait, osant aller toujours plus loin dans les figures qu'il exécutait sans la moindre difficulté, mais il dut, à sa grande déception, se poser sur le sol du jardin de Godric's Hollow pour entendre ce que tentait de lui dire le pauvre Dobby, qui s'époumonait en vain car le vent frappait si fort aux oreille de Harry, le coupant provisoirement du monde.
- Harry Potter, couina l'Elfe en courant vers lui, à présent qu'il s'était posé sur la terre ferme, le Professeur Dumbledore veut vous parler, Harry Potter. Il dit que c'est vraiment très urgent.
- J'arrive, se contenta de répondre l'adolescent en se dirigeant vers la maison, suivit de près par l'Elfe qui devant courir pour rattraper son employeur, la différence entre la longueur de leurs jambes étaient bien trop grande.
Lorsqu'il pénétra dans le hall, il fut accueillit par un grognement de son oncle qui, lui, se dirigeait vers la cuisine dans le but de prendre quelques nourritures préparé par Dobby, et de les apporter dans sa chambre où l'attendait Pétunia et son adorable Dudlinouchet. Ne prenant pas le temps de répondre à son oncle, Harry fit comme si il ne l'avait pas remarqué et se dirigea vers le salon où l'attendait un Dumbledore froid et sévère, et une Tonks totalement livide.
- Bonjour Professeur. Dit-il, inquiet devant la froideur de son directeur et la pâleur de son professeur de duel.
- Bonjour Harry. Je voulais te parler d'une chose plutôt difficile, étant donné les dernières épreuves auxquelles tu as du faire face l'année dernière.
- Que se passe-t-il ? Demanda rapidement Harry, tremblant littéralement à l'idée que le vieux magicien lui apprenne la mort d'un autre de ses proches.
- Je vais allé droit au but : Rémus Lupin a disparut.
Voilà, le chapitre 7 est terminé. Dites moi ce que vous en pensez svp, histoire que sache ce qui va ou ne va pas.
