Harry Potter et l'avènement du Chaos

( ou HP et le Choc des dimensions )

Allez, RAR ( ça va devenir une habitude lol )

Abel : Je suis content de savoir que ma fic te plaise. Comme je l'avais déjà dis à Sasha Krum, c'est vrai que ce n'est pas évident de faire cohabiter ces deux univers différents, mais je pense que je peux y arriver si je me donne assez de mal lol. Pour tes question....

1/ désolé, mais je ne me sens pas le courage d'aller aussi loin. J'ai déjà écrit les résumés de chaque chapitre ( avec deux fin possibles lol ), et je ne me suis vraiment attardé que sur les forces du Chaos version Warhammer Battle.

2/ Je ne répondrais pas à cette question tout de suite pour la simple et bonne raison que je ne voudrais pas gâcher la fin. Non sérieux, c'est surtout parce que je ne sais pas encore qui gagnera puisque j'adore à la fois les bonnes fins et les mauvaises ( et oui, comme je l'ai dis, j'ai préparé deux fin, l'une bonne mais très difficiles, et l'autre horrible et « Chaotique » lol ).

3/ L'avenir nous le dira

Lisalune : Je te promet que je lirais les chap de ta nouvelle fic et que je te donnerais mon avis . Pour Liaisons Dangeureuses, c'est vrai que moi aussi j'aimerais lire la suite parce que l'auteur avait vraiment bien fait son truc lol. J'espère qu'elle nous la mettra. Et enfin, la voilà .

Chapitre 9 : La rage au ventre

Tous vont le rejeter,

Car toujours il les fit pleurer.

- Bonjour, Harry, lui dit la voix sifflante du Seigneur Ténébreux, qui avançait toujours plus dans la direction de l'adolescent, je dois avoué que j'ai mit énormément de temps à trouver l'endroit où tu te trouvais. J'avais pensé allé chez ta famille d'accueille, mais il semble que leur maison était totalement vide.

Harry n'arrivait plus à réfléchir, il savait parfaitement que Voldemort ne pouvait pas venir ici, qu'il ne pouvait pas voir Godric's Hollow, étant donné que Dumbledore était le gardien du secret qui entourait la maison. Mais il n'y avait aucun doute, il s'agissait bien de lui, c'était bien ce regard haineux et cette voix sifflante qu'il appartenait à Voldemort, son ennemi juré, l'être qui avait enlevé le Loup-Garou qui répondait au nom de Rémus Lupin.

Sans réfléchir à la conséquence de ses actes, il dirigea sa baguette en direction de Voldemort et lança un sort de stupefixion qui fut très rapidement annulé par le sort du bouclier, ce même sort que Harry avait précédemment utilisé pour se protégé des pierres que Tonks lui avait lancé. Il dut alors éviter deux sortilège qu'il ne connaissait pas pour ensuite trouver une petite ouverture et lancer le sortilège du Blocjambe que Voldemort réussit à éviter très facilement en se déplaçant sur le côté.

S'ensuivit une succession d'attaques, chacun tentant de se protéger des sortilèges de son adversaire tandis qu'il en lançait un à son tour. Harry ne savait pas combien d'échange s'était succédé, mais il en venait à se poser des question. Il se souvenait parfaitement de l'affrontement que Voldemort avait eut avec le Professeur Dumbledore quelques mois auparavant, et il se rappelait combien ces deux hommes étaient forts, trop fort même pour un garçon de son âge. Il se rendait compte que lui-même avait fait quelques progrès depuis le début de son entraînement présidé par Lupin, puis maintenant par Tonks, mais il savait que normalement, il serait inférieur à son adversaire. Mais ce qu'il ne comprenait vraiment pas c'était le fait que Voldemort ne s'acharne pas à utiliser les sortilèges impardonnable qu'il avait déjà utilisé maintes et maintes fois par le passé. Cela le troublait vraiment, il devant la succession trop rapide des incantations, il dut faire cesser son raisonnement et rentrer plus en profondeur dans ce duel. Il devait oublier les questions qui le perturbait si il voulait survivre à ce combat.

- Abandonne, lui dit le Seigneur des Ténèbres qui s'était une nouvelle fois caché derrière le sortilège du bouclier, tu n'es pas de taille.

- Jamais ! Se contenta de répondre l'adolescent en évitant un sortilège d'aveuglement. Vous avez tué mes parents !

- Oui, mais c'était pour mon bien. Expliqua Voldemort avant de laisser résonner son rire moqueur accompagner de sifflement qui rappelait trop bien le serpent qu'il était devenu depuis son retour parmi les vivant.

Ne parvenant plus à se contrôler, Harry senti la colère monter en lui, rien ne pouvait plus exister autour de lui, il n'y avait plus que lui et Voldemort. Il n'y avait plus peur de la mort, seul la haine pouvait à présent exister. Cette haine était à présent tellement grande en lui qu'il courut en direction de son adversaire sans réfléchir aux conséquences, zigzagant de gauche à droite pour éviter les incantations que lui envoyait Voldemort, qui semblait défaillire devant le comportement troublant du garçon en face de lui. Harry n'était bientôt plus qu'à quelques mètres de cet « Homme-Serpent » quand il brandit sa baguette haut dans le ciel coloré par le soleil couchant, preuve que le duel avait parut bien plus court au garçon que ce qu'il avait été en vérité. Il ne réfléchissait plus à ce qu'il faisait, il ne contrôlait plus ses pensées, tout ce qu'il faisait à présent était dirigé par son instinct, un instinct meurtrier.

- Avada....

Il n'eut malheureusement pas le temps de terminer de prononcer la formule la plus impardonnable qu'il puisse exister, car sans que Voldemort n'ait eut à faire le moindre geste, il se retrouva pétrifié sur place par un nouvel adversaire qui s'étai trouvé derrière le garçon.

- Kess' qu'i s'pass' ici ! Rugit une voix forte et coléreuse, une voix que Harry connaissait.

- J'ai pensé que cela serait un meilleur entraînement pour Harry, dit la voix sifflante de Voldemort, mais je n'avais pas réalisé ce qu'il pourrait se passer.

Harry ne comprenait plus rien. Voldemort avait voulu l'entraîner ? Non cela ne pouvait.... Il venait de réaliser pourquoi son adversaire n'avait pas utilisé un seul sortilège impardonnable. C'était parce que ce n'était pas Voldemort qu'il avait affronté et qu'il était sur le point de tuer, c'était Tonks, mais métamorphosé. Il se souvenait à présent de ce qu'elle lui avait expliqué la première fois qu'il l'avait rencontré, ce soir où elle était venu le chercher avec plusieurs membres de l'ordre pour l'emmener au quartier général de l'Ordre du Phénix. Elle était une morphomage, elle avait la capacité de prendre les traits de qui elle voulait, comme elle venait de le prouver en se transformant en Voldemort pour le forcer à attaquer avec toute sa force et sa détermination. A présent un nombre impressionnant de questions venaient assâire son cerveau. Et si il était parvenu à terminer son incantation avant d'être Stupéfixé ? Et si il l'avait blessé ? Et si il l'avait.... Il ne pouvait plus supporter d'imaginer ce qu'il serait arrivé sans l'arrivé de Hagrid, car il s'agissait bien là de Hagrid, le gardien des clef et des lieux à Poudlard. Il ne savait vraiment plus quoi penser de lui. Il avait l'impression qu'il pourrait devenir comme Voldemort, devenir la pire des chose qu'il connaissait.

- Je sais que j'ai fais une erreur, expliqua Tonks tendit que Hagrid dirigeait son parapluie vers le garçon, le libérant de sa paralysie forcé.

- A ce stade, on appel plus ça une erreurs, rugit le garde champêtre. Harry aurait put t'tuer !

- Je sais mais...

- Il n'y a pas d' « mais » !

- ARRÊTEZ !!!!! Hurla alors Harry, à présent maître de son corps.

Il sembla qu'il était à présent parvenu à attirer l'attention de ces deux personnes, car elles cessèrent de parler et regardèrent l'adolescent, qui se trouvait encore sur le choc de ce qu'il avait été sur le point de faire.

- Je m'excuse... Dit-il en baissant la tête, pensant sincèrement ce qu'il disait, je pensais que... Que c'était...

- Ce n'est rien Harry, lui dit alors Tonks, déchiré par le fait de voir l'adolescent en proie avec sa honte, c'est de ma faute, j'aurais dut réfléchir aux conséquences.

- Je l'pense aussi, continua Hagrid, visiblement toujours en colère contre la jeune Auror.

- Je pense qu'il est temps de retourner à l'intérieur, dit Tonks, faisant mine qu'elle n'avait pas entendu ce qu'avait dit le Demi-Géant.

Harry et Hagrid la suivirent donc jusqu'à la maison, puis ensuite jusqu'au salon où Dobby et William les attendaient. Harry remarqua que Dobby semblait très mal, visiblement déchiré par un fantôme intérieur, mais il remarqua aussi de nombreuses bosses qui étaient apparus sur son front, ce qui le fit penser que c'était lui qui avait prévenu Hagrid de ce qui était sur le point d'arriver, puis qu'il s'était puni lui-même d'avoir trahit son employeur.

- Monsieur, lui dit l'Elfe d'une voix empreinte de sanglots, Dobby désolé, Dobby ne voulait pas, mais Dobby savait ce qu'il se passerait si il ne faisait pas appel à Monsieur Hagrid.

- Ce n'est rien, Dobby, tenta de dire Harry, tu as bien agit.

- Ouais, continua Hagrid, toujours en rage par ce qu'il venait de voir, sans Dobby il aurait put arriver un très grand malheur. Harry, tu n'dois jamais t'servir des sortilèges interdits ! S'ils sont interdits, c'est pour une raison, une très bonne raison même ! J'vais r'trouvé à Poudlard à présent, Buck m'attends. Mais attention, que ça n'se r'produise plus !

- Désolé Hagrid... Répondit Harry à présent tout penaud, mais je pensait que c'était Voldemort...

- Ne dit pas c'nom... Lui répondit le Demi-Géant dont le corps était parcourut par de légers tremblement. Mais dis toi une chose. Si t'en viens à utiliser les armes de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom, alors c'est qu'tu n'vaux pas mieux qu'lui.

- Mais...

- Je n'dis pas qu' t'es aussi mauvais qu'lui, se corrigea Hagrid en voyant la terreur qu'il avait créé chez l'adolescent, mais tu pourrait l'devenir en continuant sur cette voie. N'jamais combattre le mal par le mal. C'est une règle d'or qu'tous les sorciers devraient suivre durant toute leur vie.

Il mit un genou à terre pour se mettre à la hauteur du garçon, ce qu'il ne parvint pas à faire malgré cet effort, et posa une lourde main affectueuse sur l'épaule de Harry, qui se plia presque sous le poids de celle-ci.

- Harry, i' faut qu'tu comprenne. C' n'est pas parce que t'as l'pouvoir de tuer une personne qu' tu dois l'faire. Car si tu t'mets à choisir ceux qui doivent vivre ou mourir, alors sache que tu t'engage sur la voie d'la magie noire, et cette magie te dévorera à un tel point qu'tu n'seras plus guidé qu'par elle.

- Désolé, Hagrid, dit le garçon, je te promets que cela n'arrivera plus...

- Je sais qu'tu le penses, répondit le Demi-Géant qui affichait un grand sourire qui se cachait presque derrière sa longue barbe hirsute, et j'te fais confiance pour l'avenir.

Il se redressa et se mit à bailler tout en étirant ses bras, son parapluie toujours serré dans sa main droite.

- Toutes ces grandes phrases me fatiguent, dit-il avant de rire, ce qui remonta le moral du garçon, je n'suis pas habitué à parler d'cette façon, c'est plutôt l'travail du Professeur Dumbledore.

Il fit un petit clin d'œil à Harry qui sourit, suivit dans son geste par Tonks qui semblait encore nerveux, fixant toujours le parapluie que tenait Hagrid, visiblement effrayé par l'idée que celui-ci le lui brise sur le crâne.

- Bien, j'vous laisse. Com' j'vous l'ai dis, Buck m'attends. J'dois m'en occuper maintenant qu'Rémus... Enfin, il m'attends.

Il sorti donc de la maison du jeune Harry Potter et ferma la porte derrière lui, laissant ainsi seul ceux qui avaient mené un combat sans pitié et qui n'osaient à présent plus se regarder en face.

- Je suis désolé... S'excusa une nouvelle fois l'adolescent.

- Ce n'est rien, je n'aurais jamais dut faire ça. C'était totalement idiot de ma part.

- Mais j'étais sur le point de....

- N'en parlons plus à présent. Il est temps d'aller se couché. Je suis trop fatigué pour continuer toute la nuit, comme je te l'avais pourtant dis.

- Oui, c'est plus sûr. Nous continuerons l'entraînement demain.

Sur ces paroles, Harry quitta le salon, laissant seul une Tonks terrorisé par ce qu'elle venait de vivre. Elle avait risquer de mourir des mains de celui qu'elle aimait, et cela, elle ne risquerait pas de l'oublier, à sa grande tristesse.

Harry rentra dans sa chambre et alla s'asseoir sur le rebord de son lit, pensant encore et toujours à ce qui s'était passé dans le jardin, à ce qui aurait put se passé, sans l'intervention de Hagrid. Il retira machinalement sa robe de sorcier, ne gardant que les vêtement Moldus qu'il portait en dessous, et se laissa tombé en arrivé, s'allongeant confortablement sur le lit qui lui avait été attribué dès son arrivé dans la maison de ses parents défunts.

Il était à présent conscient de ce qu'il était capable de faire lorsqu'il perdait son contrôle, comme il venait de le montrer quelques instants auparavant. Il avait beau se mentir à lui-même en se disant qu'il ne le referait plus jamais, il savait que si il se retrouvait devant Voldemort, il recommencerait sûrement. Il savait qu'il fallait un grand désire de tuer pour lancer le sort de l'Avada Kadavra, et durant un très bref instant, il l'avait eut. Il avait eut un instinct meurtrier...

Comme vous l'aurez sûrement remarqué, j'ai donné un place importante à Hagrid pour ce 9e chapitre. J'ai remarqué que ce Géant au grand cœur avec énormément de difficulté à parler dans la version anglaise, ce qui n'est pas le cas dans la version française, alors j'ai trouvé que ce serait intéressant de lui donner quelques difficulté à parler dans cette petite fic qui est la mienne.

A présent j'attends vos commentaires.