Harry Potter et l'avènement du Chaos

( ou HP et le Choc des dimensions )

RAR :

Lisalune : Je te remercie pour ton message, il m'a fait plaisir. Pour ce qui est de Harry, c'est vrai qu'il aurait dut s'en rendre compte plus rapidement, mais étant donné sa rage.... Mais je ne suis pas mécontent de mon travail lol. Enfin, j'espère que ce chapitre te plaira autant ( voilà l'action, la vrai ).

Basile : Je suis vraiment content que ma fic te plaise, parce que j'ai beaucoup de mal à l'écrire depuis que j'ai commencé à travailler. Pour la longueur, celui-ci est l'un des plus long que j'ai fait jusqu'ici, et je pense que le prochain sera encore plus long.... Enfin, maintenant je te laisse lire de nouveau chapitre.

Maintenant place au chapitre 10 lol.

Chapitre 10 : Une sortie irréfléchie

Enfin le troisième sera l'enfant.

Déjà dans la pensé des autres,

Il ne contait plus les jours qui s'était écoulé depuis ce cette fin d'après-midi où il avait risqué de commettre l'irréparable. Chaque matin, il se réveillait très tôt, il ne prenait que des douche afin de gagner un maximum de temps, ne mangeait que un sandwich au petit déjeuner pour la même raison, et courait jusqu'au jardin où il s'entraînait avec Dobby qui était chargé de lui envoyer un maximum de projectiles de plus en plus gros en attendant que Tonks se réveille et vienne le rejoindre. Il ne savait pas ce qui était arrivé à Lupin depuis que Voldemort l'avait enlevé, et chaque jour il sentait la rage monter en lui en imaginant cet Homme-Serpent infliger des tortures innommables au Loup-garou. Plus il s'imaginait la douleur que Lupin pouvait ressentir, et plus il s'acharnait à rassembler le maximum de connaissance et à s'entraîner à utiliser des sortilèges d'attaque et de défense plus en plus compliquer. Chaque jour qui s'écoulait faisait de lui un zombie qui ne pensait qu'à acquérir toujours plus de pouvoir afin de protéger les siens.

Il avait énormément progressé depuis son arrivé à Godric's Hollow, il en était conscient, mais il savait aussi que ce n'était pas encore assez pour vaincre Voldemort. Et c'était la raison qui le poussait tant à s'entraîner toujours plus d'avantage.

- Tu devrais te reposer avant de commencer l'entraînement au duel, lui conseilla Tonks, qui se faisait toujours plus de soucis pour lui.

- Je peux supporter la douleur et la fatigue, répondit-il avant ce de murmurer, c'est le fait que mes amis sont en danger à cause de moi que je ne peux pas supporter...

Bien qu'elle l'avait parfaitement entendu, Tonks fit mine du contraire et sorti sa baguette pour ensuite faire face à un Harry Potter déjà en position de combat. Rapidement, les deux combattants se retrouvèrent au cœurs d'un véritable déluges de sortilèges d'attaques et de défenses, chacun se déchaînant jusqu'à épuisement pour pouvoir progresser, mais chacun pour des raisons différentes. L'adolescent désirait devenir plus fort pour protéger les siens, alors que la jeune Auror désirait devenir plus forte pour protéger l'adolescent de lui-même, de le protéger de ce qu'il pourrait faire si il n'arrivait pas à se contrôler.

Lorsqu'ils furent tous deux à bout de souffle, ils retournèrent dans la maison où les attendaient un copieux déjeuner préparé par un Dobby très inquiet pour son employeur et ami. Une fois le repas terminé, ils s'en allaient à la bibliothèque où Harry lisait un maximum de livre pour acquérir plus de connaissances qui pourrait lui servir dans un avenir très proche, et Tonks tentait de puis expliquer quels passages étaient véritablement important et quels autres l'étaient moins.

Après de longues heures de lectures, Tonks sorti Harry de ses livres, et l'accompagna jusqu'au salon pour prendre le dîner.

- C'est que ça creuse de lire autant. Commenta Tonks en essayant de détendre l'atmosphère.

- Oui...

Tonks sembla hésiter quelques instants, puis continua.

- Harry...

- Oui ? Répondit le jeune garçon sans lever la tête de son assiette.

- Comme tu le sais, Rémus devait assurer les cours de Défense Contre les Forces du Mal à la rentrée... Mais à présent qu'il a disparut... Je me suis dis que je pourrais demander au Professeur Dumbledore de me donner ce poste, je pourrais ainsi continuer à t'entraîner...

- Fais comme tu veux... De toutes façons personnes ne s'intéresse à ce que je veux vraiment.

Tonks se mordit inconsciemment la lèvres, sachant parfaitement que Harry était rongé par un démon intérieur qui lui faisait penser qu'il était à présent seul sur lequel il pouvait compter, qu'il n'était pas capable de prendre ses propres décisions sans qu'une personne ne face de mal à ses proches. Elle tentait de se contrôler, mais plus elle pensait à ce que Harry devait supporter malgré son jeune âge, et plus elle devait se battre contre elle-même pour ne pas le prendre dans ses bras et lui dire qu'il n'était pas seul, qu'elle était avec lui. Mais elle cessa vite son combat intérieur pour se tourner vers William qui venait de rentrer dans la pièce, un sourire heureux sur son visage spectrale.

- Harry, Tonks, j'ai une grande nouvelle à vous annoncer !

- Que se passe-t-il ? Demanda Harry, les yeux brillants, priant pour que son parent défunt lui annonce le retour du loup-garou.

- J'ai reçut une autorisation spéciale du Ministère de la magie pour quitter la maison. Je vais ainsi pouvoir remplir plusieurs missions pour le Professeur Dumbledore !

Tonks sentit son cœur se déchirer en voyant le garçon se renfermer sur lui même, ne prenant pas même le temps de féliciter William qui rayonnait pourtant de fierté.

- C'est très bien, William, dit-elle, est-ce que tu pourrais aller ma chambre pour m'apporter l'enveloppe que j'ai laissé sur mon lit ?

- Oui, comme ça ce sera ma première mission. Répondit le fantôme dans disparaissant, toujours fou de joie par la nouvelle qu'il venait de recevoir.

- Qu'est-ce que c'est que cette enveloppe que tu as demandé ? Demanda Harry.

- Il n'y a pas de lettre, je voulais simplement qu'il ne vois pas ce que je vais faire.

Sur ces mots, elle sorti sa baguette magique et la dirigea vers a fourchette en prononçant la formule qui était normalement utilisé pour créer des Portoloins.

- Pourquoi tu fais ça ? Demanda Harry, étonné par ce que venait de faire la jeune femme.

- Nous allons nous promener. Tu es resté enfermé ici pendant plus d'une mois, il est temps que tu te change les idées.

- Je ne crois pas que ce soit une très bonne idée. Dit Harry.

Mais il était trop tard à présent car Tonks, qui s'était emparé du Portoloin l'avait saisit par le poignet et, à cette instant, le pouvoir de cette fourchette ensorcelé fut libéré et tous les deux se retrouvèrent transporté de force dans un endroit que Harry ne connaissait pas. Il s'agissait d'une sorte de Parc d'attraction où des centaines de personnes riaient et prenaient du bon temps.

- Où sommes-nous ? Demanda Harry, encore sous le choc.

- Nous sommes à la fête foraine de Londres. J'ai pensé que tu aimerais te changer les idées.

- Je ne sais pas si c'est une très bonne idée, expliqua l'adolescent qui était pourtant émerveillé par tout ce qu'il voyait.

En effet, c'était la première fois de sa vie qu'il s'était aventuré aussi près d'une fête foraine, les Dursley l'ayant toujours confié à la garde de Mrs Fings lorsqu'ils emmenaient leur propre fils à ce genre de lieux. Etant à présent forcé de suivre Tonks à travers les manèges inondés de lumières et de rires, il monta sur un premier manège. Avant que le départ soit annoncé, il s'assit près de Tonks dans une petite cabine ayant la forme la d'une voiture décapotable. Là il se prépara au pire, et il eut raison. Car lorsqu'il le manège se mit en route, il prit, en quelques instants, une vitesse effrayante qui risqua de lui faire perdre ses lunettes, qu'il rattrapa de justesse. Lorsque son siège se stoppa enfin, il se tourna vers une Tonks visiblement folle de joie.

- C'était quoi ça ? Demanda-t-il, la voix tremblante.

- Allez, Harry, dit-elle précipitamment, ne prenant pas le temps de répondre à la question, il faut faire celui-là !

Bien qu'il aurait préféré faire une attraction bien moins effrayante, il la suivit et monta dans le suiant, puis le suivant, puis encore un autre, et un autre. Il continuèrent ainsi jusqu'à une heure très avancé de la nuit, puis Tonks, qui voulait calmer ses membres rendus douloureux par la dernière attraction, proposa de monter sur une Grande roue. C'était un manège impressionnant, mais la vitesse très lente à laquelle il allait rassura le jeune adolescent qui n'était pas habitué à ce type de divertissement.

- Tu sais, Harry, dit Tonks, une fois que le manège avait commencé à monter, je suis contant d'avoir put venir ici avec toi.

- Moi aussi, répondit-il, surpris par le fait qu'il le pensait vraiment malgré le mal de ventre qu'il ressentait depuis un bon moment à présent. C'est la première fois que je viens à une fête foraine.

- Tu n'y étais jamais allé avec ton oncle et ta tante ? Demanda Tonks, surprise.

- Non, ils me faisait toujours garder par Mrs Fings, répondit-il. Ils ne voulaient surtout pas que je gâche le plaisir de mon cousin.

- Je sais ce que tu peux ressentir. Moi aussi j'ai grandit dans une famille assez spéciale... Ma mère est une sorcière et mon père un Moldu. Ils s'étaient rencontré dans un café, en sortant d'un concert de Police. Il ont vécu pas mal de temps ensemble, ils m'ont mit au monde, puis un jour ma mère à avoué à mon père qu'elle était une sorcière. Mon père a eut très peur et l'a chassé de chez lui, mais il m'a gardé en pensant que je serais plus en sécurité avec lui... La belle affaire. Termina-t-elle, une profonde amertume dans la voix.

- Il n'a pas dût apprécié lorsque tu as reçut ta lettre de Poudlard. Commenta Harry d'une voix qui se voulait sûr.

- Pas vraiment. Il ne m'a pas chassé, mais il n'a plus jamais été le même. Il s'est mit à boire, et là, ça à été l'escalade. Il a perdu son emplois, et tout l'argent qu'il arrivait à avoir il le dépensait dans l'alcool. Au final, je ne pouvais plus acheter mes livres d'école. Je n'aurais jamais pu terminer mes études sans l'aide du Professeur Dumbledore et de Fol'Œil. Ils se sont même arrangé pour me payer les études pour devenir Auror.

- Fol'Œil t'a aidé à payer tes études ? Demanda Harry, surpris.

- Oui, à l'époque il faisait partit de la garde qui protégeait les élèves du pouvoir Ténébreux, et il m'a aide à rattrapé mon retard en défense contre les forces du mal. Ensuite il est parti faire la guerre aux Mangemorts, mais il a continué à m'écrire pour me donner des conseils pour les courts. Plus tard il a usé de ses connaissances pour me faire toucher une bourse d'étude et je suis rentré en formation pour devenir Auror.

- Je n'aurais jamais imaginé Fol'Œil aider un élève pour continuer ses études.

- Il n'est pas aussi méchant qu'il le paraît. Je dirais même qu'il est très doux.

- Maugrey, doux ? Demanda Harry qui affichait à présent un sourire amusé.

- Oui, mais il le cache très bien. Répondit Tonks avant de se mettre à rire, suivit dans son geste par Harry.

- Moi, tu connais déjà les raisons qui m'ont poussé à vivre chez les Dursley, expliqua Harry. Mais je n'ai pas trop à me plaindre maintenant que j'y pense. Je n'ai pas mangé à ma faim tous les jours, mais au moins j'étais en sécurité. Protégé par les agents du Professeur Dumbledore qui agissaient en secret, puis plus tard par mes amis, Ron et Hermione.

- Oui, ils sont très gentils. Ils m'ont même reproché de ne pas pouvoir les laisser passer les vacances avec toi. Ils t'aiment vraiment beacoup.

- Et je les aimes aussi. Répondit Harry.

- Harry... Hésita Tonks, alors que la roue commençait à présent sa descente.

- Oui ?

- Tu te rappels du soir de ton anniversaire, lorsque tu m'as emmené dans ma chambre...

- Plus ou moins... Mentis l'adolescent.

- Je t'avais demandé de...

- Mais tu n'étais plus toi-même. Répondit alors Harry qui ne voulait pas que la jeune femme se sente aussi gêné qu'il l'était en ce moment.

- En faite... J'ai soul, mais je sais plus ou moins ce que je faisait... Expliqua la jeune femme. Je voulais savoir pourquoi tu...

- Pourquoi je ne suis pas resté ? Demanda Harry, qui voyait où elle voulait en venir.

- Oui.

- Je ne voulais pas profiter d'un moment de faiblesse... Répondit franchement le garçon pourtant gêné par la discussion.

- Et si... Et si je te demandais de m'embrasser... Maintenant que je suis vraiment moi-même. Qu'est-ce que tu dirais ?

- Je ne sais...

Le jeune garçon n'eut pas le temps de répondre à la question, coupé dans sa phrase par la jeune femme qui cola ses lèvres aux siennes dans un petit baisé volé. Agissant presque instinctivement, il la saisit par l'épaule, l'empêchant de mettre fin au baiser et rendit l'attention qu'elle lui avait faite. Rapidement, les choses s'accélérèrent, et tous deux furent sur le point d'approfondire leur baisé, mais les faits du monde ne semblait pas décidé à leur laisser profiter de ces quelques moment de passion.

En effet, de nombreux hurlements de terreurs se firent entendre et tous deux se tournèrent vers le points d'origine de ces cris. Ils ne pouvaient encore rien voir à cause de la foule agité qui leur cachait la raison de ces hurlements soudain, mais ils se doutaient qu'ils étaient dus, soit à cause d'une activité Mangemort, soit à cause d'une nouvelle apparition de ces êtres purement hostiles qui étaient apparus depuis très peu de temps dans différents pays du monde.

Ne perdant pas un seul instant, Tonks transplana, laissant un Harry inquiet tout seul, et réapparut sur le lieux qu'elle n'était pas encore parvenu à voir. Malgré les nombreux Moldus qui tentaient de s'échapper, se bousculant sans penser à rien d'autre que de sauver leurs vie, Tonks parvint à avancer pour finalement se retrouver face à plusieurs hommes vêtus d'armures terrifiantes. Ces armures semblaient avoir été forgé dans un acier de couleur noir sur lequel avaient été gravé de nombreuses représentation de démons et de têtes de morts toutes plus horribles les unes que les autres. Mais ce qui la terrifia vraiment, c'était ces têtes décapités que ces guerriers inconnus avaient attaché à leur ceinture. Pour la plupart, les têtes était plus ou moins décomposé, signe qu'elle dataient déjà de plusieurs semaines, mais ils tenaient dans leurs mains des têtes bien plus fraîches qui, elles, venaient tout juste d'être arraché aux corps des Moldus qui étaient tombés sous leurs coups.

Ne perdant plus un seul instant, elle sorti sa baguette magique et lança deux sort de Stupéfixion qui rebondirent sur leurs armures pour ensuite toucher deux personnes qui tentaient de partir de ce lieux à présent maudit par les Dieux sombres dont ces guerriers étaient les adorateurs. Tonks observa le spectacle que lui offrait les armures de ces inconnus et compris pourquoi ses sortilèges avaient été dévié. Les runes qu'elle n'avaient pas put distinguer à cause de son regard qui ne s'était attardé que sur les têtes qui servaient à présent de trophées. Elle ne parvenait pas à comprendre la signification de ces runes, mais elle savait qu'elle étaient très puissantes, du moins assez puissante pour contrer sa magie.

Harry était terrifié. Pas par peur de sa mort qui semblait à présent très proche, mais par peur de ne pas pouvoir rejoindre Tonks avant qu'il ne soit vraiment trop tard. La grande Roue ayant été stoppé à cause du mécanisme de sécurité qui y avait été installé lors de sa conception, il avait commencé à descendre par ses propres moyens, s'agrippant aux nombreuses barres d'acier qui avaient été conçus pour soutenir la grande roue. Il eut très vite l'idée de ne plus bougé, mais avec l'augmentation des cris que poussaient la foule qui était encore très importante, il changea très vite d'avis. Il atteignit finalement le sol après avoir sauté, puis se frotta ses jambes douloureuse. « Quel imbécile » Se dit-il avant d'avancer vers le lieu où se trouvait Tonks.

Il marcha pendant d'interminables minutes, bousculant parfois les personnes qui restaient figé de peur par les cadavres qui avaient été laissé, décapité, sur la sol. Devant ce spectacle d'horreur, il se resaisit et alla rejoindre la jeune Auror qui tentait de repousser les agresseurs, qui se trouvaient être des êtres humains habillé d'armures macabres et orné de têtes décapités.

- Stupéfix ! Cria-t-il, sa baguette dirigé vers l'homme le plus proche de Tonks.

Il fut ensuite horrifié de voir son sortilège rebondir sur l'amure noire de l'homme, pour ensuite frapper la poitrine de celle qu'il voulait protéger. Ne tentant pas d'expliquer ce phénomène inattendu, il courut vers l'homme qui s'apprêtait à frapper de son épée une Tonks totalement incapable de se protéger. Il percuta le coté ce l'agresseur, se cognant le crâne sur l'armure d'acier qui était hérissé de petites pointes, ce qui lui valut d'être ouvert sur le front et l'arcade situé près de sa cicatrice en forme d'éclaire, mais il n'en s'en plaignit pas car ce geste irréfléchie réussit à sauver Tonks de son bourreau qui tomba sur le sol, lâchant par la même sa lourde épée.

- Enervatum ! Dit-il précipitamment en visant Tonks qui se redressa aussitôt.

- Ne leur lance pas de sortilèges, lui dit-elle une fois qu'elle fut relevé, ils n'ont aucun pouvoir sur eux.

- J'avais remarqué. Répondit le garçon alors que Tonks remarquait les coupures qu'il s'était fait au front en la protégeant.

- Il faut trouver un moyen de les arrêter.

- Ralentis les. Je vais tenter quelque chose !

- Non, tu ne dois pas...

- Contente toi de faire ce que je te dis ! Rugit le jeune adolescent alors qu'il fermait les yeux, visiblement concentré sur une sortilège très compliqué.

Bien qu'elle aurait voulut répondre, elle ne le fit pas, voyant la tension qui s'était à présent emparé de Harry. Il lui semblait à présent plus grand et plus fort que son corps ne le laissait paraître, une sorte d'aura de puissance entourait à présent son corps. Elle se souvint alors que ce même phénomène s'était déjà produit par le passé, mais chez une autre personne : C'était chez Dumbledore.

- Accios Eclair de Feu ! Cria alors l'adolescent en levant sa baguette vers le ciel.

Rien ce se produisit...

- Qu'est-ce que tu compte faire ? Lui demanda la jeune femme alors qu'elle poussait Harry en arrière, le sauvent d'un coup d'épée que l'un des agresseur avait tenté de lui porter.

- Ne t'inquiète pas, je sais ce que je fais ! Wingardium Leviosa !

Sous l'effet de son sortilège, l'un des sièges publiques qui avaient été installé près d'eux pour le confort des visiteurs du parc se mit à léviter pour ensuite être dirigé à grande vitesse sur deux des guerriers qui tombèrent sur le sol, leur crânes écrasé par la force de l'impacte. Il renouvela cette tactique encore une fois, abattant cette fois trois des huit agresseurs restants, pour ensuite être de nouveau poussé en arrière par une Tonks désespéré qui le sauvait une nouvelle fois de l'homme dont l'armure avait blessé la tête de l'adolescent.

- Waddiwasi ! Dit-elle, projetant ainsi l'homme contre un manège qui fut presque détruit par la force du sortilège.

Comprenant qu'ils ne pourrais pas continuer ainsi encore très longtemps, Tonks et Harry choisir de se mettre à couvert pour se remettre de leurs frayeurs.

- J'ai compris, lâcha-t-elle dans un souffle, lorsqu'ils furent caché par un manège de petit cheveux de bois, nous ne pouvons pas les atteindre avec ces sortilèges d'attaque, mais nous pouvons utiliser la magie sur ce qui les entour, comme tu l'as fais avec ce banc publique et moi avec l'armure de l'autre.

- Mais c'est trop long, et nous ne sommes pas sûr de pouvoir leur faire face encore très longtemps. Répondit Harry qui se contrôlait pour ne pas céder à la panique.

- Je sais que nous pouvons les battre ! Dit-elle d'une voix sûr.

A cet instant, un puissant tremblement de terre se fit sentir, très vite suivit par un terrible rugissement bestial. Craignant le pire, Harry et Tonks levèrent la tête et regardèrent ce qui avait pousser ce terrible cris animal. Il s'agissait d'une sorte de Dragon, bien que la forme soit différente de toutes les espèce qui avaient été découverte jusqu'à ce jour. La créature semblait avoir été écorché vive, alors que pas une seule goutte de sang ne s'échappait de sa carcasse pourrissante. Elle possédait deux têtes plus horribles les unes que les autres, et de ses quatre yeux s'échappaient de véritables de flammes et, de ses naseaux, de la fumée. Grande de plusieurs mètres de haut, cette nouvelle espèce de Dragon était véritablement terrifiante à voir, et Harry n'osait pas imaginer ce qu'il pourrait arriver si elle libérait toute sa puissance.

- « Nous pouvons les battre », répéta-t-il d'une voix tremblante, tu en es certaine ?

Voilà, le chapitre 10 est terminé. Dites moi ce que vous en pensé svp.