Harry Potter et l'avènement du Chaos
( ou HP et le Choc des dimensions )
RAR :
Lisalune : Comme toujours, je suis content que ma fic te plaise ( il fo dire que tes fics me plaise elles aussi, alors ton avis est important pour moi lol ). Je sais que j'ai joué les sadiques avec mon chapitre 11, mais avec celui-ci, tu suis complètement méchant.... Enfin, j'attends tojn avis avec impassiance
Fin des RAR ( il faut dire qu'ils n'étaient pas très nombreux lol ) et place au chap 12
Chapitre 12 : Retour au Ministère
Personne ne sera ce qu'il arrivera,
Si leur union sera réussit,
Harry resta tétanisé par les paroles du vieux magicien qui le regardait avec des yeux pénétrant.
- Je sais que tu te trouvais sur les lieux ; des témoins ont parlé d'un enfant qui volait dans les airs sur un balais, alors s'il te plait, ne me cache rien. Je dois vraiment savoir ce qu'il s'est passé.
Harry resta sans voix pendant quelques secondes, mais parvint tout de même à répondre.
- Je ne sais pas ce qu'il m'a prit... Dit-il, des larmes commençants à apparaître dans ses yeux. Il y avais ces hommes qui s'attaquaient aux Moldus... Je n'avais pas le choix.
- Alors c'est toi qui t'es débarrassé de ces hommes en armures. Mais comment est apparut cette créature ? Demanda Dumbledore.
Sous l'insistance du vieil homme, Harry raconta sa confrontation avec ces « Guerriers », puis expliqua que le Dragon Bicéphale avait surgit de nul part. Puis vint ensuite l'explication de la mort de ce dernier, comment il était parvenu à l'abattre avec l'aide des membres de l'Ordre du Phénix.
- Bien, mais ce que voudrais t'entendre dire, c'est comment tu t'es rendu à Londres. Je pense avoir la réponse, bien que Maugrey ait tenté de me faire croire le contraire, mais je voudrais te l'entendre dire.
- Je... J'ai...
Il ne savait plus quoi dire, il savait que si il disait la vérité, Tonks aurait de très gros ennuis, qu'elle serait probablement chassé de l'Ordre du Phénix pour l'avoir mit en danger mortel.
- J'ai créé un Portoloin... Répondit-il dans un souffle.
- Tu l'as créé toi-même ? Demanda Dumbledore, très septique.
- Oui, continua-t-il, son cerveau fonctionnant à une vitesse trop rapide pour lui, je me suis souvenu de la formule que vous avez utilisé lorsque nous étions dans les bâtiments du Ministère de la magie, et j'ai créé un Portoloin pour me rendre à Londres.
- Et pourquoi Londres ? Demanda Dumbledore qui, si il ne croyait pas ce que lui disait Harry, entrait tout de même dans jeu de ce dernier.
- Dudley m'a parlé d'une fête foraine... Alors j'ai voulu y aller... Termina-t-il, les membres tremblants.
- Pourrais-tu refaire un Portoloin comme celui que tu as déjà fais ? Demanda alors le vieux directeur d'école.
Harry sentit une sueur froide glisser le long de sa colonne vertébrale. Il pensa tout d'abord prendre celui qu'il avait posé sur la table à son arrivé, mais s'en abstient, sachant que Dumbledore se rendrait compte de la supercherie. Alors il sorti sa baguette magique et prit le premier objet qui lui tombait sous la main : un chandelier. Se remémorant les mouvement et les paroles qu'avaient fait Tonks pour créé celui qui lui avait permit de se rendre à la fête foraine, Harry leva sa baguette et imita ce dont il se souvenait, ce qui se termina par un pitoyable échec.
- Tu pensais vraiment pouvoir me cacher la vérité ? Demanda alors Dumbledore d'une voix anormalement calme. Je ne suis pas aussi naïf que certains pourraient le penser.
- Je suis désolé... Fut la seule réponse que put donner le jeune garçon à présent honteux.
- Je sais que c'est Tonks qui s'est chargé de créer ce Portoloin, comme je sais parfaitement que tu n'es pas capable de créer un Portoloin du premier coup. Harry, je comprends parfaitement que tu désire protéger Tonks, mais elle t'as mise en danger. Cela n'aurait jamais du se passer. A présent le Ministère de la magie demande à ce que tu leur soit envoyé pour passer en conseille de discipline, toi ainsi que les autres membres de l'Ordre qui ont fais usage de l'Avada Kedavra. Personne n'est autorisé à l'utiliser.
- Je comprends.... J'aurais pourtant aimé ne pas avoir à utiliser ce sortilège, mais Galrauch risquait de...
- Galrauch ? Demanda alors Dumbledore, surpris.
- C'est le nom du Dragon.
- Cette créature était capable de parler ? Demanda alors le vieux magicien.
- Oui, il m'a dit qu'il avait été béni par un certain Zentch-quelque-chose...
- Est-ce que ce ne serait pas Tzeentch ? Demanda alors le Professeur Dumbledore, le visage anormalement crispé.
- Oui, c'était bien ce nom. Vous saviez de qui il s'agit ?
- Je ne peux pas encore te répondre, mais tout ce que je sais, c'est que tu ne dois plus sortir de cette maison sans ma permission, pas même pour t'entraîner. Je viendrais prochainement pour t'accompagner jusqu'au Ministère de la magie, tu ne devrais, normalement, pas avoir trop de mal à plaider ta cause. Les jurés comprendront la raison qui vous a poussé à agir ainsi, toi et les autres. Termina-t-il avant de se redresser.
- Professeur... Hésita Harry.
- Oui, Harry ?
- Je voulais savoir.... Est-ce que je...
- Est-ce que tu as mal agit en utilisant ce sortilège ? Demanda Dumbledore. Oui, mais réfléchit à ce qu'il se serait passé si tu ne l'avais pas fais. Il est parfois dure de penser cela, mais il faut parfois mieux enfreindre l'interdit de la loi et de notre conscience pour protéger les autres. J'ai moi-même utilisé ce sortilège, mais c'était pour protéger ton cousin, Dudley. Je n'ai pas réfléchis à ce que j'encourais, j'ai juste agit.
- Mais c'est...
- Mal, oui, je sais. Mais il semble que aucun de nos sortilèges d'attaques ne marches sur ces êtres malfaisants, et même si celui-ci est efficace, il faut s'y mettre à plusieurs pour qu'il réussisse.
- Alors, je ne dois pas m'en fouloir...
- Je serais tenté de te dire non, mais ce n'est pas la bonne raison. Personne n'a le droit de vie ou de mort sur quiconque, celui qui n'écoute pas cette règle s'engage sur la voie de la magie noire.
- Alors je suis mauvais ?
- Non, continua le vieux directeur, visiblement fatigué par tant de questions auxquelles il ne trouvait pas lui-même de réelles réponses, personne n'est vraiment bon ou mauvais. Tout n'est qu'une affaire de choix. Tu as fais le choix de mal agir pour protéger les autres, comme tu avais fais le choix de devenir un Griffondor plutôt qu'un Serpentard, manquant ainsi l'opportunité d'acquérir de très grand pouvoir.
Harry ouvrit la bouche pour poser une nouvelle question, mais le Professeur Dumbledore, fatigué par cette conversation, parla avant qu'il ne la pose :
- Je suis fatigué, et j'ai encore de nombreuses choses à faire. Je te laisse aux mains de William et de Dobby, ils veilleront sur toi jusqu'à ce que je reviennes. Tu devrais aller te coucher à présent, demain sera une dure journée.
- Oui, Professeur... Répondit simplement le jeune garçon, oubliant totalement la question qu'il s'apprêtait à poser.
Sur ces dernière paroles, le vieux magicien sorti de la pièce et Harry put ensuite entendre la porte d'entrée s'ouvrir pour ensuite se refermer, le laissant ainsi seul avec les nouvelles questions qui venaient attaquer son cerveau. Ecoutant son corps fatigué, il sorti à son tour de la pièce et se dirigea vers les escaliers qui le mena jusqu'à l'étage d'où il put se rendre à sa chambre.
Arrivé à destination, il s'allongea sur son lit, ne prenant pas la peine de prendre une petite douche, et ferma les yeux pour ensuite se laisser emporter dans les bras de Morphée.
Trois jours s'étaient écoulé depuis cette nuit où il s'était battu avec cet étrange Dragon du nom de Galrauch, et durant ces trois interminables jours, il avait passé sont temps à réfléchir à toutes les choses qui s'y était produit. Il avait donné la mort à plusieurs guerriers inconnus à l'aide de la magie, puis ensuite il avait utilisé à deux reprises le sortilège interdit qui avait comme effet de donner la mort. Il pensait toujours à ce qu'il aurait put faire pour éviter d'agir ainsi, se demandant pourquoi il n'avait pas tout simplement utiliser d'autres sortilège qui auraient stoppé les agissement de ces êtres sans pour autant leur donner la mort, et plus il y pensait plus il sentait son cœur se resserrer dans sa poitrine. Il n'arrivait pas à croire qu'il avait donné la mort, qu'il avait tué un être vivant. Il savait très bien qu'il avait agit pour protéger les gens autour de lui, mais il n'avait de cesse de torturer son esprit pour trouver une solution qui aurait permit de les arrêter sans les tuer.
Il en était venu à penser qu'il était mauvais, aussi mauvais que Voldemort, encore et toujours horrifié par le fait qu'il ait put agir de la sorte sans se poser de véritables questions, sans chercher à agir autrement. Et toujours il entendait les paroles de Hagrid qui lui disait « Si t'en viens à utiliser les armes de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom, alors c'est qu'tu n'vaux pas mieux qu'lui ».
Il avait beau se dire qu'il avait agit par nécessité, son cœur se resserrait toujours dans sa poitrine, le faisant souffrir physiquement autant que mentalement. Et c'est dans cet état d'esprit que le Professeur Dumbledore le trouva ce matin là, alors qu'il venait le voir comme il l'avait dit trois jours auparavant.
- Bonjour Harry, dit-il d'une voix calme.
- Bonjour, Professeur...
Malgré l'air inquiet du jeune garçon, le vieux magicien resta de marbre, ne montrant pas la moindre faiblesse malgré la détresse qu'il percevait chez le garçon. Il savait que ce dernier était sur le point de craquer, et il se devait de rester fort pour pouvoir l'aider efficacement.
- Je suis venu, comme je te l'avais dis, pour t'emmener au Ministère de la Magie. Tu ne dois pas t'inquiéter, étant donné les circonstances, ils ne devraient pas être trop sévère.
Malgré l'absence totale de réaction du jeune garçon, le Professeur Dumbledore sorti ce même réveil matin qu'il avait utilisé pour emmener Harry jusqu'à sa nouvelle maison, puis tourna les aiguilles dans un ordre très différent de la dernière fois. Il tendit ensuite le Portoloin au jeune garçon qui y posa une main tremblante pour ensuite disparaître en même temps que le reste du corps. Lorsqu'il réapparurent, ils s retrouvèrent à l'intérieur d'une vielle cabine téléphonique totalement hors d'usage. Sans porter un seul regard au jeune garçon qui gardait la tête basse, le Professeur Dumbledore mit le réveille matin dans l'une de ses poches et s'empara sur combiner de téléphone qui avait visiblement été arraché depuis un long moment, si l'on se fiait à la fine couche rouille qui s'était déposé sur les files de cuivre qui étaient à nue. Il porta le combiné à son oreille et composa une série de chiffre sur clavier prévus pour composer les numéros de téléphone des personnes que l'on voulait joindre.
Harry ne fit pas attention au petit échange que son directeur d'école faisait avec l'opératrice, ne sortant de ses pensées que pour épingler le badge avec son nom écrit dessus qui était tombé de l'orifice normalement prévue pour les pièces de monnaies. Rapidement, il se retrouva dans un grand hall d'entrée, ce même hall où il était arrivé un an auparavant alors qu'il devait passer en jugeant pour usage illégal de la magie. « Je retourne toujours au point de départ... » Se dit-il intérieurement, pensant ensuite à sa seconde venu dans ce hall le soir où Sirius avait disparut à jamais derrière le voile obscure.
Il suivit d'un pas traitant le vieux magicien qui le conduisit à un ascenseur qui leur permirent d'atteindre l'étage où il devrait recevoir son jugement. « Comme si ça t'intéressait vraiment... » Se dit-il tandis qu'il suivait le Professeur Dumbledore à l'intérieur de cette même salle où il avait été jugé innocent l'année précédente. A l'intérieur, se trouvait déjà de nombreuses personnes, dont Tonks et les autres membres de l'Ordre qui avait participé à la mort du Dragon Bicéphale. Il adressa quelques salutations à ces derniers, puis s'assit sur la chaise où un écriteau portant son nom avait été posé.
En effet, là se trouait plusieurs chaises identiques destiné à chacun des sorciers qui avaient utilisé le sortilège impardonnable lors de cette horrible nuit, et chacune de ces chaises possédaient des bras enroulé par les chaînes d'acier qui avait été enchanté pour retenir le prisonniers qui devait s'y asseoir. Bien qu'il s'y attendait, Harry fut surpris de voir que ces chaîne ne s'activaient pas, le laissant lire de ses mouvements, mais il oublia cette pensée à l'arrivé du Ministre de la magie et de tous les jurées qui étaient à présent l'épée de Damoclès de chacun des suspects regroupé dans cette salle.
- Bonjour à tous, dit simplement Monsieur Fudge, le Ministre de la magie, tandis qu'il prenais place sur la chaise prévu à cette effet, placé en face de tous les accusés. Nous sommes aujourd'hui rassemblé pour jugé les accusés rassemblé ici. Ils se sont avéré coupable d'avoir fait usage d'un sortilège impardonnable, en l'occurrence, l'Avada Kedavra, ce qui est passible de la peine à perpétuité dans l'établissement pénitencier d'Azkaban. A présent, nous attendons de connaître ce qu'ils ont à dire pour leur défense.
Le Professeur Dumbledore se leva alors du siège qu'il avait prit et parla assez fort pour être entendu de toutes les personnes présentes dans la salle d'audience.
- Comme vous l'avez sûrement appris, il y a trois jours, ces personnes ici présentes ( il montra les accusés ) ont utiliser l'Avada Kedavra. Ils l'ont d'ailleurs reconnu et sont parfaitement conscient de ce qu'ils encours à présent. Mais malgré cet état de fait, je demande à la coure de ne pas leur en tenir rigueur et de donner un non lieux !
De nombreux sorciers et sorcières se firent alors entendre, certains disant que le Professeur Dumbledore avait raison, et d'autres disant qu'ils étaient contre cette demande. Mais malgré le vacarme qu'ils faisait, tous se firent silence lorsque le Ministre de la Magie se leva pour faire cesser ces bavardages inutiles.
- S'il vous plait, veuillez vous taire ou je serait contrait de faire évacuer cette salle de jugement. Professeur Dumbledore, vous nous demandez une chose très inattendu. Mais avant qu'un non lieux ou qu'une sentence soit proposé, je demande à ce que l'on écoute ce que les accusez ont à nous dire.
Le Professeur se leva de nouveau et prit la parole, sa voix était tellement calme qu'elle força presque les spectateurs à faire le plus grand silence tandis qu'il parlait.
- Ce soir là, le jeune Monsieur Potter et Mademoiselle Tonks se sont livré à une petite escapade qui les a conduit dans la ville de Londres, où avait été préparé une fête foraine d'origine Moldu. Plus tard, cette fête a prit fin à cause de l'arrivé de plusieurs de ces personnes qui s'attaque à notre monde depuis bientôt plusieurs mois. Sans le courage de ces deux sorciers, ces êtres qui se font appeler les « Guerrier du Chaos », auraient abattus plusieurs personnes...
- Ils n'auraient jamais dut se montrer aux Moldus, coupa alors un sorcier qui s'était lui aussi levé de sa chaise. Par leur fautes, plusieurs Moldus sont à présent au courant ne notre existence, et nous n'avons aucun moyen de leur lancer le sortilège d'Amnésie !
- De toutes façons, continua une sorcière d'une trentaine d'année, avec ces attaques incessantes de la par de ces « Guerrier du Chaos », notre secret n'aurait pas tenue encore très longtemps. Ils ont bien fait d'agir aussi vite et sans se soucier d'être découvert, par leur acte, ils ont sauvé de nombreuses vies.
- Ce ne sont que des Moldus ! Rugit le sorcier qui avait précédemment coupé la parole au Professeur Dumbledore.
- Peu importe, coupa directeur d'école, ils se sont révélé, et cela ne peu plus être défait ! Continuons je vous pris.
Il s'imposa le silence quelques instants puis continua :
- Comme je le disais, ils ont sauvé des vies, mais par là même occasion, ils ont abattus ces guerriers en armures qui furent très vite remplacé par un Dragon Bicéphale du nom de Galrauch.
- Et comment connaissent-ils son nom ? Demanda le sorcier qui semblait déterminé à ne pas laisser le directeur terminer sa plaidoirie. Vous n'allez pas nous dire que c'est ce Dragon qui le leur a dit !
- C'est justement le cas ! Répondit le Professeur Dumbledore d'une voix dure. Et si vous voulez connaître les faits, je vous prierais de ne plus m'interrompre !
Le sorcier était sur le point de répondre lorsque le Ministre de la magie demanda une nouvelle fois le silence, promettant une seconde fois de faire évacuer la salle si les spectateurs n'étaient pas enclin à s'imposer le silence. Le sorcier repris donc sa place sur la chaise qu'il avait précédemment occupé, et le Professeur Dumbledore continua son explication des faits.
- Bien, continua le Professeur, le Dragon Bicéphale est donc apparut de nul part et s'est attaqué aux Guerrier du Chaos qui s'apprêtaient à affronter le jeune Monsieur Potter et Mademoiselle Tonks qui tentaient de les arrêter. La grande particularité des Dragons étant d'être quasiment insensible à toutes sortes de sortilèges, ces deux jeunes gens, aidé des autres accusés qui se trouvaient eux aussi sur les lieux, ont été contraints de faire usage de l'Avada Kedavra, un sortilège connu pour être efficace chez toutes les créatures vivantes existante.
- Ce sortilège est infaillible, alors pourquoi toutes ces personnes ont-elles dus en faire usage en même temps ? Demanda le sorcier qui ne semblait pas décidé à lâcher prise.
- Justement parce que ce Galrauch s'était trouvé inchangé après avoir subit un seul sortilège de l'Avada Kedavra. L'union de plusieurs sortilège a été nécessaire pour l'abattre !
- Avez-vous terminé ? Demanda le Ministre à l'adresse du Professeur Dumbledore.
- Oui, répondit ce dernier. Mais je voudrais avant tout ajouter que les accusés n'avaient d'autres choix que de violer l'interdit pour protéger des innocents.
- Très bien, dit Monsieur Fudge d'une voix nerveuse. A présent le juré peu poser leurs questions aux personnes concerné.
S'exécutant, les membres du juré interrogèrent tour à tour chacun des accusés qui s'empressait de répondre du mieux qu'il le pouvait. Puis arriva le tour de Harry, qui avait écouté tout ce qui s'était dit avec un air absent, comme si tout ce qui se jouait en ce moment n'avait pas la moindre importance pour lui.
- Monsieur Potter, lui dit le Ministre d'une voix pleine de compassion, veuillez vous lever.
Harry s'exécuta et attendit que l'on lui pose la première question.
- Qu'elle a été votre première réaction lorsque ces « Guerriers du Chaos » sont apparut dans cette fête pour Moldus ?
- Je voulais les arrêter... Répondit-il simplement. Ils s'étaient déjà attaqué à plusieurs personnes et l'un d'eux allait s'en prendre à Tonks...
- Alors pourquoi leur avoir lancé un banc publique, pourquoi ne pas simplement avoir utilisé le sortilège de Stupéfixion ? Demanda l'un des membres du jury.
- J'ai essayé, mais il y avait une sorte de bouclier qui a annulé mon sortilège. Aucun sortilège d'attaque ne pouvait les atteindre, mais ils pouvaient être touché par une force extérieur.
- Comment l'avez-vous remarqué ? Demanda une autre sorcier qui le regardait d'un air suspicieux.
- Mes sortilèges étaient dévié, mais lorsque je me suis jeté sur l'un d'eux, j'ai réussit à le faire tomber.
- Avez-vous une preuve de ce que vous avancez ? Demanda alors le juré.
- Oui, répondit Harry en montrant son front égratigné qui n'avait pas totalement guérit depuis qu'il avait heurté l'armure de ce Guerrier du Chaos.
- Et pourquoi les avoir abattu ? Pourquoi ne pas simplement les avoir assommé ?
- Il était bien trop résistants, toute autre actions aurait été inutile, répondit le jeune garçon qui s'étonnait lui-même par le calme dont il faisait preuve.
- Très bien, venons en à présent à l'apparition de ce Dragon Bicéphale. Comment avez-vous eut l'idée de l'attaquer en montant sur votre balais ?
- En faite... Je me suis déjà retrouvé devant un Dragon par le passé. Il s'agissait d'un Midgar à pointes. C'était pendant le tournoi des trois sorciers... C'est la seule idée que j'ai eu sur le moment...
- Et en ce qui concerne l'utilisation du sortilège interdit, est-ce que c'est vous qui en avez eu l'idée ?
Le regard de Harry se posa inconsciemment sur le Professeur Dumbledore qui semblait sur le point de craquer, puis sur Tonks. Il soufrait de la voir ainsi, totalement désemparé, et il n'imaginait pas de la voir condamné parce qu'elle avait permis d'abattre un monstre à deux têtes et au corps écorché.
- Oui, répondit-il sans faiblire malgré les murmurent admiratifs mais surtout hostiles qui lui était destiné.
Ce chapitre est l'un des plus longs que j'ai écrit jusqu'à présent. Je me doute qu'il a été assez difficile à lire dans son intégralité, mais il était nécessaire pour la suite de l'histoire. Donnez moi votre avis svp
PS : Vous l »avez sûrement remarqué, mais j'ai mit les premiers vers de ma Prophétie au début de chaque chapitre ( et même la Préface y a eut le droit lol ). Lisez la depuis le début et dites moi ce que vous pensez d'elle
