Harry Potter et l'avènement du Chaos
( ou HP et le Choc des dimensions )
RAR :
Lisalune : Merci pour ton message, il m'a fait vraiment plaisir Ne t'inquiète pas pour Vladimir, il est vraiment assez grand pour se défendre ( et tu le sais mieux que quiconque puisse que c'est toi qui l'a créé lol ).
Chrichri 45 : Merci à toi aussi ( et ça me fait plaisir de découvrir un nouveau lecteur ).
Strahan Runombre : Et bien je suis content que ma fic te plaise ( et encore plus que tu ais choisis celle-ci en premier ).
Fin des RAR, et à présent place à la suite
Chapitre 23 : Rendez-vous avec Voldemort
Je vous confis ce monde
Que vous protégerez par votre sang.
Bien que Huan volait à une vitesse impressionnante, Harry avait l'impression que ce voyage n'en finissait pas. Cette impression était dût au fait que partout où son regard se posait, il ne voyait plus que des ruines et d'horribles vision de mort. Plus le jour se levait, et plus il nourrissait le fol espoir que la nuit reprenne le dessus pour mettre fin à l'horrible spectacle que lui offrait les scènes de ces régions totalement détruite par les forces du Chaos qui avaient sévis en ces lieux pour ne laisser derrière eux que le sang et les larmes qui étaient rapidement évaporé par les flammes qui léchaient tout ce qui avait été battit par les hommes, qu'ils soient Sorciers ou simples Moldus.
Las de tant d'atrocités, Harry laissa son regard se perdre dans le vague, tentant de se rappeler les noms des villes et villages qui avaient autrefois existé, et c'est ainsi qu'il vit se dessiner au loin une nouvelle horreur. Il pouvait à présent voir une terrible masse d'hommes en armures noires qui marchaient d'un pas très lourd vers un lieu qui lui était inconnu, mais qu'il savait voué à la mort. Dans une action de rage à l'encontre de ces démons, Harry montra l'armée à Vladimir en criant :
- Ce sont eux ! Ce sont eux !
- Oui, cela fait maintenant deux jours qu'ils marchent ainsi… Personne ne sait qu'elle est leur nouvelle cible.
- Mais nous devons agir ! Insista le Survivant qui sortait déjà sa baguette de la poche de sa robe de Sorcier.
- Non, nous ne sommes pas de taille contre une telle force… Répondit Vladimir avec une certaine honte. Nous n'arriverons en fin de compte qu'à nous faire tuer inutilement…
- Mais nous devons faire quelque chose ! Coupa Harry dont les larmes apparaissait sur le coin des yeux. Nous devons faire quelque chose…
- Je suis sincèrement désolé… Se contenta de répondre le Vampire en pressant son ami animal de presser l'allure.
Harry regarda donc cette armée du Chaos tandis qu'il les survolaient, tenant de contenir sa rage et sa peine, mais alors qu'il était arrivé au niveau du Chef qui commandait cette imposante armée, il ne put plus se contrôler. Il leva sa baguette avec force, concentrant sa force magique dans sa baguette pour ensuite lancer un puissant sortilège d'hyper attraction terrestre qui aurait du avoir pour effet d'écraser une partie des guerriers en armures sous leur propre poids, mais Vladimir, voyant ce qu'il allait faire, le saisit au poignet, l'empêchant ainsi de terminer le sortilège qu'il avait apprit dans l'un des livres qui se trouvait dans la bibliothèque de ses parents défunts.
- Ne faites pas ça… Le prévint Vladimir sur un ton ferme. Ne croyez-vous pas que je veuilles faire la même chose ? Ne pensez-vous pas que ne ressent pas de la haine pour ces êtres ? Mais moi, contrairement à vous, je n'agit pas selon mon cœur, je fais ce que je dois faire malgré mes propres sentiments…
- Mais regardez ce qu'ils ont fais…. Insista Harry qui pleurait de nouveau de dépit.
- Ne vous en faites pas, Monsieur Potter, ils recevront bientôt ce qu'ils mérite.
Pendant ce temps, dans le château de Poudlard, Ron et Heriome venaient seulement d'être découverts par les élèves de Griffondors qui s'étaient empressé de les libérer du sortilège que Harry leur avait lancé avant son départ. Il tentèrent bien évidemment de plaider la cause de Harry, les autres élèves ayant déjà entendu les faits de la bouche de Peeves qui s'était fait un plaisir de dénigrer celui que tout le monde appelait le survivant, oubliant bien évidemment d'expliquer la raison d'un tel act, mais personne ne voulaient rien entendre, prétextant que rien ne pouvait justifier que l'on s'attaque à des Professeurs, « aussi odieux soient-ils » avait même rajouté une fille de troisième année qui parlait bien entendu du Professeur Rogue.
Ne pouvant pas faire face à tant d'accusation, Ron, Hermione, Ginny et Neville, qui étaient à présent les seuls à donner raison à Harry, décidèrent de sécher les cours de la journée pour se baricader dans les dortoirs que leur ami avait malheureusement déserté. Ce fut ainsi que Ron et Hermione trouvèrent le message de Harry, et tandis qu'ils le lisaient, les larmes leurs montaient aux yeux.
Mes chers amis,
Je sais que vous n'êtes pas content que je sois parti comme un voleur sans vous dire au revoir, mais je savais que jamais vous ne m'auriez laisser partir, du moins pas tout seul, alors j'ai préférer agir de la sorte. Je ne sais pas si nous nous reverrons un jour, ni même si j'arriverais à sauver Rémus, mais ce qui est certain c'est que je ne me comporterais pas comme un lâche, à attendre que les autres fassent ce que je devrais faire.
Je vous aime de tout mon cœur et vous confit tout ce que j'ai. A Ron, mon meilleur ami, je confis la maison que j'ai hérité de mes parents, Dumbledore te dira où elle se trouve. A Hermione, je confis tous mes livres, je sais qu'elle sera quoi en faire. A Ginny, je confis mon éclaire de feux, elle sera magnifique sur un tel balais. Je tiens aussi à m'excuser auprès de Neville car je ne lui ai pas offert de cadeau pour son anniversaire, alors je lui confit ma Pensine, il en fera bon usage. A Hagrid, je confit mon album photo. C'est lui qui me l'a offert alors c'est normal qu'il le récupère. J'aimerais que mon argent qui se trouve à Gringott soit utilisé pour aider les élèves qui ne peuvent pas financer leurs études. Et enfin à Seamus, de lègue toutes mes bandes dessinés, je sais qu'il adorait les lire pendant que je dormais.
Je sais que cette lettre est assez morbide, mais je préfère me préparer à l'inévitable et ainsi je serais sûr que mes biens ne seront pas éparpillés n'importe comment, mais je vous demande un petit service : Attendez que je sois mort avant de faire quoique ce soit
Harry Potter,
Votre ami pour toujours.
S'en était trop pour Ron qui fondit littéralement en larmes, oubliant sa prétendu fierté qu'il s'était toujours forcé à mettre en avant. Il pleura pendant un long moment, mais lorsqu'il fut enfin calmé, Seamus entra dans les dortoirs et les regarda avec une certaine surprise.
- Qu'est-ce qu'il se passe ? Demanda-t-il avec un certain malaise.
Pour seule réponse, Ron se redressa, saisit la lettre de Harry et la lui lança au visage en lui répondant :
- Lis ! Lis la lettre de celui qui « a été stupide d'agir comme ça » ! Ce sont bien tes mots ? Alors lis !
Sur ceux, il poussa Seamus sur le côté pour libérer le passage et sorti des dortoirs. Ne comprenant pas ce qu'il se passait vraiment, Seamus se mit à lire la lettre que le rouquin lui avait jeté et, lorsqu'il atteint la ligne qui disait « Et enfin à Seamus, de lègue toutes mes bandes dessinés, je sais qu'il adorait les lire pendant que je dormais. », il ne put s'empêcher de se haïr lui-même, lui qui avait osé se moquer d'un garçon qui l'aimait et qui était parti à la mort sans penser à autre chose qu'à ses amis.
La nuit venait seulement de tomber, et Harry devait avouer qu'il en était ravit. Il avait retrouvé son calme depuis qu'il avait dépassé la région où les Guerriers du Chaos sévissaient, mais il devait avouer qu'il préférait ne plus rien voir, si ce n'était les multitudes de lumières qui éclairaient les maisons encore habité par les habitants du sud de l'Angleterre.
Il tenta de fermer les yeux pour s'assoupir quelques instants, mais cette maigre tentative se trouva avorté par Vladimir qui lui expliqua qu'il n'allaient pas tardé à atteindre Londres, et il ne s'était pas trompé car quelques minutes plus tard Harry put voir les nombreuses lumières des maisons et des immeubles de la capitale Anglaise. Il descendirent rapidement, Huan ne semblant pas être fatigué malgré la longue route qu'il avait fait en une fois, et se fut avec un plaisir non dissimulé que Harry posa le pied sur le terre ferme.
Lorsque Vladimir et le Survivants furent près à continuer à pied, Huan repris son envole et repartit par la voie des airs.
Où devons-nous aller à présent ? Demanda le Vampire qui ne savait pas où se trouvait le point de rendez-vous.
Désolé, lui répondit Harry, mais malgré ce que vous avez fait et dit, je n'ai pas encore la certitude que vous ne travaillez pas pour Dumbledore. Je ne vous dirais pas quel est le lieu de rendez-vous mais, si vous le désirez toujours, vous pouvez me suivre…
Je comprends parfaitement… Alors je vous suis.
Ce fut donc guidé par le jeune Potter que Vladimir traversa la ville silencieuse jusqu'à un lieu qu'il dont il avait apprit l'existence grâce aux articles de la Gazette du Sorcier pour avoir été le lieu où avaient sévis pour la première fois à Londres les terrifiants Guerriers du Chaos. Il traversa les ruine de cette ancienne Fête Foraine, toujours guidé par le garçon, jusqu'à ce que ce dernier s'arrête devant ce qui avait été une grande roue.
Si je me rappel bien…
Que se passe-t-il ? Demanda Vladimir à Harry qui chuchotait pour lui-même.
J'étais là lorsque les Guerrier du Chaos ont attaqué, puis je suis partis… Là-bas, termina-t-il plein de convictions.
Il marchèrent donc le long d'un petit chemin entouré par des restes calcinés de manèges et autres attractions pour Moldus pour finalement arrivé devant un petit circuit pour auto-tamponneuses devant lequel des bancs publics avaient été jeté n'importe comment, souvenir ineffaçable de la lutte qui avait opposé Harry et Tonks aux êtres dénaturés qui s'étaient attaqués aux Moldus.
Harry laissa son regard faire un léger tour d'horizon et murmura une nouvelle fois pour lui-même :
Et le Dragon était là… Voilà, nous y sommes, il ne reste plus qu'à attendre que Voldemort se montre.
Vladimir était sur le point de parler à son compagnon de route lorsque un petit rat marcha jusqu'au Survivant.
Justement, j'avais une petite faim, dit le Vampire en regardant le petite animal d'un yeux intéressé.
Il s'avança lentement pour s'emparer de la bête lorsque celle-ci se transforma en un être humain des plus désagréables à regardé. Il était petit, le crané fortement dégarni et il possédait deux longues dents qui dépassaient de a bouche.
Désolé de ne pas être à votre goût, dit l'homme en voyant la grimace dégoûté de Vladimir. Bonjour Harry.
Ne m'appel pas comme ça, sale rat d'égout. Rétorqua le Survivant en affichant une grimace aussi dégoûté que son compagnon de route. Où est ton Maître ?
Qui est-il ? Demanda Vladimir qui comprenait que les deux hommes se connaissaient.
Il s'appel Peter Petitgrow. Où est Voldemort ?
En entendant ce nom, l'animagus fut parcourut d'un puissant frisson de peur mais répondit tout de même.
Il n'a pas put venir, mais il m'a envoyé à se place. Je dois te conduire à lui.
Je viens aussi.
Non, seulement l'enfant. Répondit Peter sur un ton qui se voulait autoritaire.
Je ne viens pas sans lui, se contenta de dire Harry.
Comprenant qu'il n'avait pas le choix, Peter accepta et sortit une vieille boite de conserve de sa poche.
Ce Portoloin ne s'activera que dans quelques minutes, mais je propose que vous vous rapprochiez pour que nous soyons près pour le départ.
Malgré le dégoût qu'il avait pour l'ancien rat familier de son ami, Harry s'approcha et tendit la main les l'objet, suivit dans son geste par le Vampire qui observait chaque mouvement de cet étrange messager. Il restèrent donc ainsi pendant de longues minutes, désireux de lâcher l'objet mais craignant de manquer le départ, mais le Portoloin s'activa finalement et les transporta dans un lieu inconnu qui faisait penser à un vieil entrepôt désaffecté. Ils étaient entouré par plusieurs personne caché derrière de longue tuniques noire à capuchon qui cachaient parfaitement leurs visage.
Par instinct, les deux voyageurs sortirent leurs baguettes, bien décidé à se battre jusqu'à la fin, mais une voix se fit entendre. Plus qu'une simple voix, c'était comme un sifflements qui irritaient toutes les oreilles qui se trouvaient à proximité.
Ce ne sera pas utile que vous fassiez usage de tels armes, leur dit la voix qui venait du fond de la pièce. Mes Mangemorts ne vous feront aucun mal, je leurs ai déjà ordonné de « laisser venir à moi les enfants »….
Après avoir répété cette simple phrase qu'il tenait de l'évangile, Voldemort se laissa aller à une petite crise de rire qui, pour les oreilles de Harry et de Vladimir, ne ressemblaient qu'à une succession de sifflements désagréables. N'écoutant à présent que leur courage, les deux voyageurs s'avancèrent donc dans la voie que leurs montrait les Mangemorts pour enfin se retrouver devant l'horrible visage reptilien du Seigneur des Ténèbres qui les fixaient de ses yeux rouge et horribles.
Bonjour à vous, mes chers invité. Je connais le jeune Potter, mais il ne me semble pas avoir été présenté à son nouvel ami.
Le Vampire laissa s'afficher un sourire amusé qui troubla quelques peux Voldemort et fini par répondre.
Je me nomme Vladimir Sunshine, veuf de notre lointaine ancêtre.
