Harry Potter et l'avènement du Chaos

( ou HP et le Choc des dimensions )

Chapitre 24 :

Ne soyez pas désunis,

Vous qui êtes mes enfants,

En apprenant le nom et son lien avec sa soi-disante parente, Voldemort laissa apparaître une faible surprise qui fut rapidement remplacé par un petit air amusé.

Et bien, cela fait donc de vous mon parent, si je comprends bien.

Il le regarda avec son air moqueur puis demanda :

Mais n'êtes-vous pas trop jeune pour cela ?

Voldemort lâcha de nouveau son rire moqueur et regarda Vladimir avec plus d'attention.

Votre teint pâle et le fait que vous ne respiriez pas me disent que vous n'êtes pas un être de simple condition, vous êtes un Vampire. Il posa les yeux sur la baguette qu'il tenait puis continua. Et un Roi-Vampire qui plus est. Très impressionné qu'une telle personne vienne jusqu'à moi.

Vous vous doutez bien que je ne viens pas pour le seul plaisir de vous voir, lui dit Vladimir. Je viens dans l'espoir que vous puissiez m'aider.

Et qu'est-ce qui vous fait penser que j'accepterais de vous aider ?

Vous le ferez. Pas parce que je vous le demande poliment, mais pour votre propre survie.

Cette fois Voldemort de rigola pas, si l'on puis imaginer que son sifflement saccadé était bien un rire, mais il regarda Vladimir avec une très grande intention. Il n'était plus amusé par cette nouveauté qui s'était offerte à lui, non, il était intéressé par les dire de cet homme énigmatique qui prenait bien soin d'en dire le moins possible, juste ce qu'il fallait pour intéressé son auditoire.

Mon intuition me dit que vous ne dites pas ces paroles à la légère, expliqua-t-il avec un sérieux que Harry ne connaissait que trop bien, mais il se trouve que j'ai un entretien très important avec ce très cher Monsieur Potter.

Justement, continua Vladimir, moi aussi je dois avoir un entretiens avec vous.

Cela attendra.

Sur ces simplement mots, Voldemort leva la main et une dizaine de baguettes se dirigèrent vers le Vampire qui, pour seule réaction, se mit à sourire.

Vous savez parfaitement que vos serviteurs ne me font pas peur, mais comme vous voudrez, j'attendrais.

Comme pour donner fois à ses paroles, Vladimir tourna le dos au Seigneur des Ténèbres et marcha jusqu'à une chaise où il s'assit confortablement. Mais avant que Voldemort n'ait put parler il dit :

Mais tenez-vous bien de faire le moindre mal au jeune Potter, car il est très important pour moi, comme pour vous, qu'il ne meurt pas.

Ne vous en faites pas pour cela, répondit Voldemort avec un petit sourire, sa mort ne fait pas parti de mes plans… Du moins pour le moment.

Sur ce, il se leva de son siège et fit signe à Harry de le suivre vers une autre pièce. Lorsque Harry entra dans celle-ci, il comprit que c'était cette même pièce qui lui avait été montré par la sphère de vision, et sa supposition se trouva renforcé par la présence du Professeur Lupin, toujours enchaîné à sa chaise d'argent qui consumait très lentement son corps totalement nue.

Rémus ! Cria Harry en se précipitant vers son ami qui releva la tête dans un mouvement de lassitude.

Harry tenta de tirer sur les chaînes mais celle-ci étaient bien trop résistantes pour ses bras d'enfant. Finalement, il se tourna vers Voldemort et cracha :

Libérez le !

Comme vous voudrez, Monsieur Potter !

D'un simple mouvement de la main de Voldemort, les chaînes lâchèrent leurs prises et Rémus put se laisser tomber sur le sol, permettant ainsi à Harry de voir les atroces brûlures qui ornaient à présent tout l'arrière de son corps. Harry l'aida à se relever et celui-ci tenta de lui parler, mais il ne s'échappa de sa bouche qu'un simple murmure.

Harry… Quelle folie t'amène ici… ?

Je ne pouvais pas vous laisser mourir… Je… Je suis désolé…

Harry ne pouvait à présent plus retenir ses larmes, et il prit son ami dans ses bras, ce dernier posant sa main sur son épaule, trop fatiguer pour l'enlacer lui aussi.

Je veux être certain qu'il s'agit bien de Rémus, dit alors Harry qui s'était redressé doucement.

Il regarda le loup garou dans les yeux et dit :

Dites-moi une chose que seul Rémus pourrait savoir, une chose qu'il m'a dit lorsqu'il était Professeur à Poudlard.

Rémus regarda Harry, et une fine larme coula le long de sa joue, puit il répondit :

Je ne m'en rappel plus, ce souvenir est bien trop lointain pour moi.

Ne fais pas l'idiot, stupide chien galeux ! Rugit Voldemort, comprenant ce que voulait faire Rémus par cette vaine parole. Tu sais très bien ce qu'il s'est passé durant cette année, alors réponds et ne me fais pas mentir lorsque j'affirme que tu est Rémus Lupin, le plus stupide des Professeur qu'ai connu Poudlard !

Ne l'insultez pas, Serpent ! Rugit Harry. Il vaut cent fois plus que vous !

Peu importe. Je libèrerais ce loup garou comme je l'ai dis, mais à la seule condition que tu m'apprenne le contenu de la Prophétie qui t'unis à moi !

Vous perdez patience, Voldemort, dit Harry en dressant la tête. Vous m'avez tutoyé.

Si tu savais comme je te méprise… Je suis en mesure de t'enfermer dans un cachot et de t'y laisser croupir pendant des semaines si je le désire, et lorsque tu seras trop affaibli par la faim et la fatigue, je mettrais à nue pour lire en toi comme dans un livre ouvert. Ensuite je te ferait revoir les plus insoutenables de tes souvenir, déchirant ton pauvre petit cœur si fragil…

Bien qu'il était terrifier par les paroles de son ennemi, Harry tenta de rester de marbre et le coupa :

Mais vous savez que je préfèrerais fermer mon esprit à tout jamais plutôt que de vous laisser arriver à vos fins.

Parfaitement conscient que l'esprit du jeune garçon était assez fort pour faire ce qu'il disait, Voldemort se força à se calmer et dit :

Tu es courageux, plus courageux que tous mes Mangemorts réunis, mais aussi plus fou. Fermer ton esprit ne servirais en fin de compte qu'à te couper définitivement du monde qui t'entour. Il ne restera plus rien de toi, si ce n'est un corps sans la moindre sensation ni sentiment humain, tu ne seras plus qu'un zombi ; pas même un zombie, car un zombi possède encore la capacité d'errer pour l'éternité sur cette terre. Ce que je te propose est bien mieux, mille fois mieux pour toi qui tiens tant la survie de tes amis.

De quoi parlez-vous ? Demanda alors Harry qui sentait qu'il avait poussé son ennemi à dévoiler son plan.

Cette menace que représente l'armée du Chaos est dangereuse, autant pour moi que pour le reste du monde. Je sais parfaitement que le Ministère refusera de m'écouter, il voudra plutôt me mettre hors d'état de nuire, si cela est possible. Je sais comment me débarrasser de cette menace, mais il faudrait pour cela que le Ministère accepte d'obéir à mes ordres.

Pourquoi le Ministère ? Coupa Harry. Pourquoi ne pas mettre fin à cette menace vous seul ?

Je suis puissant et mes Mangemorts sont très nombreux, mais pas assez pour le plan que j'ai imaginé. Il me faut l'appuis tu ministère et de toutes les troupes dont il dispose.

Alors pourquoi ne pas manipuler le Ministère grâce à vos espions, comme vous le faites habituellement ?

Tout simplement parce qu'il me faudra agir en personne, moi et deux personnes que tu connais, deux personnes très proches de toi.

Qui sont-elles ?

Toi, bien évidemment, mais aussi ton très cher Professeur Dumbledore.

Harry regardait son ennemi de toujours avec des yeux incrédules. Voldemort, celui qui l'avait poursuivit dans le seul but de le tuer, qui avait causé la mort de ses parent et de son parrain, qui avait été jusqu'à enlever Rémus Lupin pour le torturer voulait à présent faire une sorte d'alliance avec lui. S'en était trop pour lui et pour son cœur si lourd, et dans un cri de rage, il refusa sa proposition et le menaça de sa baguette qu'il tenait très fort dans sa main tremblante.

Voyons, voyons, dit Voldemort qui avait lui aussi sorti sa baguette. Je pourrais très bien te tuer sur place, bien que cela diminuerait très fortement nos chance de vaincre l'armée du Chaos, mais je ne le ferais pas, je n'essaierais même pas. A la place je vais te proposer un marcher : Accepte de suivre mon plan à la lettre, et je libérerais non seulement Rémus Lupin, mais aussi Tonks, ta très chère et tendre amie. J'ai crus comprendre qu'elle était très attaché à toi. Termina-t-il en adressant un sourire sadique à son interlocuteur.

Malgré la haine qu'il éprouvait pour Voldemort, Harry réfléchissait à ce que venait de lui dire cette homme au visage reptilien. D'un côté, il haïssait Voldemort plus que tout, mais de l'autre, il avait la possibilité de sauver deux amis très chers, à supposer que Voldemort ne tentait pas de le tromper comme il l'avait si souvent fait par le passer, mais plus que tout, il pouvait trouver une solution pour mettre fin à cette terrible armée du Chaos.

Il regarda Voldemort dans les yeux, mais ne déchiffrant rien de cette expression macabre qu'il affichait, il regarda Rémus afin que ce dernier lui indique ce qu'il devait faire, mais là non-plus il ne trouva rien, si ce n'était la profonde tristesse que ressentait ce pauvre Loup garou. Prenant sa décision, il se tourna de nouveau vers son ennemi juré et parla avec une voix si forte qu'il s'en étonna lui-même.

Très bien, mais je veux tout savoir, et surtout pour me prouver votre bonne fois, si t'en est que vous en ayez une, je veux que Rémus Lupin et Tonks soient libéré sur le champ !

Cela me semble acceptable… Mais je n'y mettrais qu'une seule condition : Lorsque tout sera terminé, vous vous battrez avec moi !

Comment ?

Oui, continua Voldemort, vous m'accorderez le duel que vous avez fuis lors de mon grand retour parmi les vivants. Je veux vous abattre dans un véritable duel, et cela devant tous mes Mangemorts. Je montrerais ainsi combien vous êtes insignifiant face à mon pouvoir et que vos soi-disant victoires sur moi n'étaient qu'une succession de chance.

Très bien. A présent nous pouvons parler, et Vladimir devra parler lui aussi car il se pourrait qu'il ait des choses très importantes à dire, des choses auxquelles vous n'avez pas pensé.

Comme vous voudrez.

Harry restait silencieux. Il ne pensait pas que Voldemort jouerait à la régulière, il était même persuadé du contraire, mais il devait tenter quelque chose. Il attendit quelques instants que Voldemort face appeler Vladimir qui attendait toujours avec les Mangemorts et écouta de nouveau de que ce dernier lui avait révéler dans la forêt Interdite. Il écouta très attentivement la Prophétie qu'il avait de nouveau récité, et il lui sembla voir dans le regard de Voldemort un léger changement, comme si, en écoutant les paroles du Vampire, celui-ci avait comprit des choses qu'il avait seulement penser possible, mais le passage parlant des trois Elus eut pour effet de renforcer son idée sur le fait que Dumbledore, Harry et lui devaient se liguer pour mettre fin à la menace qui menaçait toute l'espèce humain.

Que les choses soient bien claire, dit Voldemort lorsque Vladimir eut terminé ses expliquassions. Je ne fais pas ça par bonté d'âme ou pour protéger votre monde, je ne tiens qu'à assurer mon avenir et celui de mon futur empire.

Il regarda Harry, Vladimir et Lupin successivement et continua :

Bien, alors commençons. Comme vous l'avez appris, personne ne sait vraiment comment sont apparus ces Guerriers du Chaos et ces créatures dénaturés qui les accompagnes. Ils ne peuvent pas être originaires de notre monde car nous les aurions découvert depuis longtemps, alors j'ai cherché des renseignements sur les activités magique à très grande échelle qui ont eus lieu depuis leur première apparition. C'est ainsi que j'ai appris que dans chaque pays où ils sévissaient, une sorte de distorsion magique était apparut.

Oui, coupa Harry, se souvenant d'une discussion qu'il avait eu durant ses vacances. Tonks m'en avait parlé.

Très bien, mais t'a-t-elle expliqué ce dont il s'agissait vraiment ?

Les grande ligne…

Donc tu ne sais rien… Me voilà, moi Voldemort, contraint de faire le travail des Professeurs de Poudlard, quelle décadence pour cette école… Enfin, si tu préfère, les Distorsions magique ne sont rien d'autre qu'un point de puissance, où converge de grand flux magiques, et il est connut dans le monde de la sorcellerie que les grand Mages gravitent autour de tels lieux, ils y élisent très souvent domicile. Ce sont dans ces lieux de puissances que l'univers s'amincit, se replis sur lui-même et peut permettre l'accès au Néant Distordu ou même à d'autres mondes.

Alors ces Guerriers du Chaos viennent d'un autre monde ? L'interrompit Harry.

Je dis simplement que ce sont des endroit de puissance qui, pour une raison ou pour une autre, deviennent le siège de grands pouvoirs. Poudlard fait d'ailleurs partit de ces lieux de puissance. Autrefois, une très puissante explosion a eu lieu là-bas, sculptant la vallée et affaiblissant la réalité autour d'elle.

Vous voulez dire que c'est pour cette raison que ces monstres sont venu ici ?

Voldemort secoua la tête.

Ceci n'est qu'une théorie parmi d'autres.

Mais vous avez dit qu'une explosion très ancienne a créé la région de Poudlard, en a fait un lieu magique. Ensuite les quatre fondateur de l'école sont venus…

Oui, coupa Voldemort. Tout cela est vrai, si tu envisage tout cela de façon linéaire. Mais que dirais-tu si l'explosion s'est produite parce qu'un jour Poudlard devait être battit là-bas, et que cet endroit devait être prête pour cette école ?

Le front de Harry se creusa.

Mais les choses ne se passent pas ainsi.

Dans le monde normal, non. Mais la magie est l'art de circonvenir le normal. C'est pourquoi les débats philosophique du Ministère ne sont que du blabla. Il cherche à rationaliser le monde, à réguler son mouvement. Les étoiles marchent en ordre dans le ciel, les saisons se suivent avec une régularité d'horloge et les hommes et les femmes vivent et meurent. Si cela n'arrive pas, c'est de la magie, une altération de l'univers, quelques lattes de plancher tordues, attendant une main industrieuse pour les remettre en place.

Mais imaginer que cet endroit ait été préparé pour Poudlard…

Cela signifierait que le monde est très différent de ce qu'il paraît, répliqua Voldemort visiblement désireux de montrer sa très grande culture. Comment fonctionne le temps ?

Le temps ? Fit Harry, désarçonné.

Nous l'utilisons, nous lui faisons confiance, nous le mesurons mais qu'est-il ?

Voldemort souriait en regardant Harry qui buvait chacune de ses paroles, comme si ils avaient tous deux toujours parlé ainsi comme un maître qui instruisait son élève.

Le temps, dit Harry, est une progression régulière d'instants. Comme du sable dans un sablier.

Excellente analogie. Que j'allais moi-même utiliser pour ensuite comparer le sablier à l'horloge mécanique. Tu vois, la différence entre les deux ?

Harry secoua la tête tandis que Voldemort regardait Vladimir et Rémus à tours de rôle.

Non, tu n'es pas idiot, Harry, reprit-il finalement. C'est un concept assez difficile à saisir. L'horloge est une simulation mécanique du temps, chaque battement étant contrôlé par la progression des engrenages. En regardant une horloge, tu sais que tout avance grâce au déclic d'une roue, au glissement d'un engrenage. Tu sais ce qui va se passer parce que l'horloger l'a conçue ainsi.

D'accord, dit Harry. Le temps est une horloge.

Mais le temps est aussi un sablier, dit le Voldemort en faisant apparaître une sorte d'hologramme qui représentait un sablier.

Harry contempla l'objet en tentant d'assimiler tout ce que tentait de lui expliquer Voldemort.

Le sablier mesure le temps, d'accord ? reprit celui-ci. Pourtant, tu ne peu jamais savoir quelles particule de sable va passer de la moitié supérieur à la moitié inférieure. Si tu pouvais numéroter les grains, leur ordre serait à chaque fois différent. Mais le résultat final est le même : tout le sable passe du haut en bas. Dans quel ordre cela s'est produit n'a pas d'importance. Alors ?

Alors, fit Harry. Vous êtes en train de me dire que cela n'a pas d'importance que Poudlard soit là ou elle se trouve parce qu'une explosion a créé cette endroit de puissance et déformé la réalité autour d'elle, ou bien que cette explosion est produite parce que Poudlard allait être battit là-bas et que la nature de l'univers devait lui donner les outils nécessaires pour exister en ce lieu.

Pas mal, dit Voldemort.

Que sont Guerrier du Chaos, alors, des grains de sable ? Demanda Harry.

Voldemort fronça les sourcils mais le jeune garçon insista :

Si l'univers est un sablier, et non une horloge, alors ils sont des grains de sables, des morceaux de mondes arrachés à lui-même et qui se déplace à travers les dimensions à tout instant. Certaines sont distinctes ou se chevauches, et c'est pour cela que ces êtres sont apparus d'on de sait où ?

Voldemort, à présent était plongé dans ses réflexions.

C'est possible. Tu réfléchis de façon juste. La chose essentielle dont il faut se souvenir à propos de ces déchirures de l'espace-temps, c'est qu'elle permettent de traverser les dimensions, pas de se déplacer dans l'espace, mais en des mondes.

Il aurait été plus simple de le dire directement… Murmura Lupin.

Ce que je tente de faire c'est d'expliquer la nature de cette brèche situé dans les Ay Lands, rétorqua Voldemort en lançant un regard très dur au Loup garou.Il doit savoir ce qu'est ce lieu de puissance pour la réussite de mon plan. Bien, à présent je peux continuer. Cette brèche existait donc bien avant l'arrivé des Guerriers du Chaos, et ils s'en ont servis pour traverser les dimensions et apparaître dans notre monde.

Il resta silencieux quelques instant puis continua :

Mon plan est simple : Nous devons créer une armée capable de ternir tête à leur armée. Peu importe quel remporte la bataille ou non, ce qu'il est important c'est de créer une diversion qui nous permettra de nous rendre dans cet endroit de puissance et de fermer la brèche. Mais pour ce faire, les forces magiques de trois personnes très puissantes et unis par le même sang devront être réunis pour réciter une très vieille formule magique. Je l'ai retrouvé depuis très peu de temps grâce à mes nombreuses recherches, mais même si je ne comprends pas tout ce qu'elle représente, je sais quelle marchera.

Mais cette armée que nous devrons rassembler risque d'être détruite, ces monstres sembles insensibles nos sortilèges, je l'ai constaté moi-même. Pour me débarasser de seulement cinq d'entre eux, j'ai du utiliser un blanc publique pour les écrasers.

Oui, je le sais aussi, plusieurs de mes serviteurs sont morts en recevant leurs propres incantations. Mais nous pouvons palier à ce problème : Il faut utiliser la technologie Moldu.

Non, ce serait trop long, dit Vladimir. Pour la major partie des sorciers, la technologie Moldu est inconnu. Ils sont capable d'utiliser quelques objets de leur artisana, mais cela s'arrête là. Si nous leur confions des technologies qu'ils ne savent pas utilisé, l'entreprise est voué à l'échec.

A moins que les Moldus participe eux aussi à cette bataille.

Quoi ? Mais vous n'y pensez pas… Répondit Rémus qui sortait enfin de sa torpeur. Nous nous cachons d'eux depuis des siècles, nous faisons tout pour qu'ils ne suppose pas notre existence, et vous voudriez que nous nous montrions à eux ?

Quoi que vous pensiez, sans l'aide des Moldus, vous ne pourrons rien faire.