Harry Potter et l'avènement du Chaos
( ou HP et le Choc des dimensions )
Tout d'abord, je tiens à m'excuser pour le retard… J'ai eut un petit problème avec mon pc et j'ai du retaper tout le chapitre depuis le début ( vous imaginé pas le travail que ça a été… ). Mais je voudrais aussi m'excuser de ne pas avoir répondu à vos messages lors de la parution du dernier chapitre. C'est un malheureux oublis ( comment j'oses dire une chose pareille ? ). Enfin, je me propose de remédier à ce malencontreux oublis en y répondant maintenant ( j'espère que ça te fera plaisir Lisalune lol ).
Allez, place aux RAR et au nouveau chapitre !
Chrichri45 : Merci pour ton message d'encouragement, il me fait beaucoup plaisir, surtout que tu es une nouvelle lectrice. J'espère que ce nouveau chapitre te plaira autant parce que j'ai eu un mal de chien à le retaper ( parce que quand je l'ai refais, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de détaille et trop de passage inutiles… J'ai donc du faire quelques changement pour finalement retaper plusieurs paragraphe que j'avais effacé… C'est dur d'être indécis lol ).
Strahan Runombre : Je suis vraiment contant de savoir que ma fic soit la première que tu es lu sur ce site. J'espère que la suite te plaira. J'ai aimé ta petite phrase à la fin de ton message, elle était pas mal lol.
Lisalune : Mon incontournable lectrice de toujours lol. Je suis content de savoir que mon chapitre 23 t'ait autant amusé, j'ai d'ailleurs pris beaucoup de plaisir à l'écrire et j'ai fait exprès de laisser quelques petits détailles amusants en pensant que tu apprécierais lol. Pour ce qui est de la théorie du sablier et de l'horloge, tu peux imaginer que je me suis vraiment creusé la tête lol. Pour ce qui est des tirés pour les dialogues, je suis désolé, je les avais mis mais je ne sais pas ce qu'il s'est passé, ils ont tout simplement disparus…
Satya : Merci pour tes encouragements. Je ne pense pas que cette fic soit aussi géniale ( il y en a de bien meilleurs lol ), mais ça fait plaisir à mon ego.
Hisoka : Oui, comme tu dis, c'est du jamais vue lol. J'espère que ce chapitre va te plaire.
Bien, j'espère m'être acquitté de ma peine et je vous souhaite une bonne lecture.
Chapitre 25 : Un retour difficile
Car pour faire apparaître un Messies,
Vous devez vous rappeler vos parents.
Assis sur un banc publique de la gare de King's Road, Harry restait pensif. Il avait très bien compris l'importance de la participation des Moldus dans le plan que lui avait proposé Voldemort, mais il restait tout de même partagé. Voldemort était-il sérieux lorsqu'il disait avoir trouvé un moyen pour vaincre l'armée du Chaos ? Il devait sûrement l'être, la preuve en était qu'il avait eut la possibilité de le tuer mais s'en était abstenu, allant même jusqu'à le laisser partir sans problème et libérer Rémus et Tonks qu'il avait gardé prisonnier pendant plusieurs jours.
Regardant ses deux amis, il ressentit alors une profonde tristesse. Rémus était très affaibli et, malgré les vêtements propres qu'il portait à présent, Harry pouvait facilement voir les marques de brûlures qui recouvraient son corps, tandis que Tonks, elleétait resté muette depuis qu'ils avaient quitté le repère de Voldemort. Elle restait assise, sans bouger, le regard inexpressif, comme absente…
Est-ce que tu vas bien…. ? Hésita-t-il a demandé tandis qu'il posait une main chaleureuse sur l'épaule de la jeune femme.
C'est froid, tout est froid…. Murmura-t-elle pour elle-même en retirant la main du jeune garçon et en se mettant à trembler de tout son corps.
Tonks, tenta-t-il de dire, c'est moi, Harry.
Harry ? Oui, un gentil garçon, un très gentil garçon…
Harry était vraiment estomaqué par ce qu'il voyait et entendait. Tonks, la femme qu'il avait embrassé quelques semaines auparavant, ne le reconnaissait même plus. Il tenta de lui parler encore un peu, mais voyant que cela ne menait à rien, il se résigna.
Elle est comme ça depuis que Voldemort l'a retrouvé, lui expliqua Lupin qui souffrait tout autant de l'état mental de Tonks. Elle a assisté au massacre de Ayr, en Ecosse, et même si elle a survécu, elle ne s'en ait pas remise. Les Mangemorts ont tenté de la faire revenir partiellement à elle, mais tout ce qu'ils sont parvenus à faire, c'est de lui permettre de reparler.
Harry resta silencieux pendant quelques instants mais fini par regarder sa jeune amie dans les yeux et par lui dire :
Je trouverais un moyen pour te soigner, je te le promets…
Le Professeur Lupin pensait que le Survivant n'en avait pas terminé avec sa promesse, mais l'enfant ne pu malheureusement pas continuer car trois personnes apparurent comme par magie. En faite, il avait bien apparut par magie ; ils avaient traversé la barrière qui séparait les voies neuf et dix. Il s'agissait d'un homme de grande taille, ses cheveux et la barbe blanche étaient très longs, et au-dessus de son nez courbé se trouvait des lunettes avec des verres en forme de demi-lunes. Il y avait aussi un homme plus petit bien que plus trapus. Son visage était presque difforme compte tenu des nombreuses cicatrices qu'il arborait. Il possédait un oeil bleu et un autre énorme qui tournait dans tous les sens, et sa jambe gauche avait été remplacée par une simple prothèse faite dans un bois plutôt abîmé. Et enfin, le dernier était un homme bien plus ordinaire que les deux premiers. Il était de taille moyen, plutôt bien en chaire, et une calvitie assez prononcé qui était renforcé par le contraste de ses cheveux roux sur sa peau naturellement claire. Dans leurs mains se trouvaient une petite branche de bois d'une quinzaine de centimètres qui n'était en fait que leurs baguettes magiques qu'ils semblaient près à utiliser sur la première personne suspect qu'ils pourraient trouver sur leur chemin.
Ne vous en faites pas, leur dit Harry qui s'était levé pour les accueillir, la gare est déserte.
Harry ! Lui dit alors ce bon Monsieur Weasley qui courait vers le garçon pour ensuite le prendre dans ses bras. Mais quelle folie ! Pourquoi n'as-tu pas écouté le Professeur Dumbledore ? Pourquoi t'être jeté dans la gueule du loup ?
Auriez-vous écouté le Professeur Dumbledore si il vous avait dit de ne pas rejoindre la personne qui avait enlevé Ron ?
Peu importe, s'empressa de répondre ce bon Sorcier qui ne voulais visiblement pas donner raison à l'enfant, tu es vivant et c'est ce qu'il importe !
Oui, et je dois dire que je ne pensais pas que tu reviendrais ! Lui lança Maugrey qui faisait toujours tourner son œil dans son orbite avec le fol espoir de trouver un Mangemort qu'il pourrait malmener.
Bon, coupa le Professeur Dumbledore qui regardait le garçon avec un regard totalement neutre malgré les griefs qu'il devait avoir envers cet élèveà présent que tu es revenu, Harry, je te propose de passer le passage pour se rendre sur la voie 9 ¾ afin de prendre le Poudlard Express pour retourner à l'école.
Ecoutant ce que lui disait le directeur d'école de magie, Harry aidait Tonks à se lever et traversa le passage avec elle tandis que les trois autres sorciers aidaient le Professeur Lupin à se relever pour les suivre. Arrivé de l'autre côté du passage, Harry eut la grande surprise de retrouver plusieurs Sorcier qu'il ne connaissait pas. Il pensa tout d'abord aux gens du Ministère, mais ne les voyant pas l'attaquer il en conclu qu'il faisaient parti de l'Ordre du Phénix. Ces agents n'étaient pas les seuls à être présent, car il voyait aussi un petit groupe d'élèves qu'il connaissait très bien et qui l'attendaient patiemment dans l'un des wagons du Poudlard express. Du premier coup d'œil, il reconnu tous ces visages qui s'était collé contre la vitre en affichant des sourires de joie. Il y avait là Hermione et Ron, ses meilleurs amis, mais aussi Ginny, Luna, Neville et Seamus. Ils lui faisaient des signes de la main et Harry cru lire sur les lèvres de Ron les mots « Il a réussit ! Je le savais ».
Trop heureux de revoir ses amis, Harry les saluas et s'empressa de monter dans le train pour les serrer dans ses bras. Après plusieurs bonjours et quelques larmes, Harry leur expliqua rapidement ce qu'il avait vécu, oublier volontairement quelques passages désagréable comme son évasion de Poudlard, sa rencontre avec Vladimir Sunshine et sa discussion avec Voldemort. Il évita les questions de Hermione à plusieurs reprises, sachant que cette dernière pourrait trop facilement comprendre ce qu'il évitait de révéler, et expliqua ensuite la situation du monde face aux armées du Chaos.
Harry remarqua que ses amis avaient du mal à croire ce qu'il s'efforçait de leur dire, et il ne leur en voulait pas. Lui-même n'aurait pas crus cette histoire si il ne l'avait pas vécue de l'intérieur. Arrivèrent ensuite les rois hommes qui étaient venus le chercher de l'autre côté de la barrière et le train débuta son voyage pour Poudlard. A présent que le voyage avec commencé, le Professeur Dumbledore demanda à Harry de le suivre jusqu'au wagon qui était normalement réservé aux Préfets de Poudlard et là commença la véritable discussion pour Harry qui fut grandement aidé par Rémus qui avait aussi été présent lors de l'entretiens où Voldemort avait expliqué son plan.
Lorsqu'ils eurent terminé de parler, le Professeur Dumbledore regarda Harry dans les yeux et dit :
Je sais que tu m'en veux pour ce que je t'ai fais, et je trouve cela normal, seulement tu dois me faire confiance.
Ma confiance vous était acquis dès mon arrivé à Poudlard, lorsque je n'avais que onze ans, répondit Harry, mais vous m'avez déçut il y a un an… A présent il ne tiens qu'à vous de la retrouver.
Que veux-tu ?
Que vous fassiez tout ce qu'il est en votre pouvoir pour trouver un moyen d'arrêter les armées du Chaos, quitte à utiliser le plan de Voldemort !
Je vais tenter de rentrer dans contacte avec Voldemort, répondit le vieux directeur qui était visiblement abattu. Je lui demanderais de m'expliquer en quoi consiste vraiment son plan et je verrais que nous pourront faire. Je te le promets.
Peu importe les promesses, dit Harry qui regardait à présent Tonks qui était toujours aussi perdu. Peu importe ma vie… Seul compte notre futur et celui de mes amis.
Ne savant plus quoi dire, le Professeur Dumbledore s'imposa le silence et dirigea son attention sur la jeune femme qui avait malheureusement perdu la raison. Il se leva de son siège et s'approcha de celle-ci pour regarder dans ses yeux.
Aucune magie n'est la cause de son mal, expliqua-t-il sans quitter les yeux de la jeune femme. Je tenterais de la soigner. Je pense que ce sera long, mais je suis sûr de pouvoir faire quelque chose pour elle.
Je vous en serais très reconnaissant, répondit Harry qui était à présent détendu. Elle ne mérite pas l'état dans lequel elle se trouve.
Comme tout ceux qui se trouvent dans la même situation, se contenta de répondre le vieux magicien.
Il se redressa et étira ses membres puis dirigea à nouveau son attention du Harry.
Bienà présent je sais ce qu'il me reste à faire… Harry, si tu le désire, tu peux rejoindre tes amis, mais tiens toi bien de leur raconter ta discussion avec Voldemort : personne ne dois savoir. Des bruits pourrais venir jusqu'aux oreilles du Ministère et ainsi faire échouer ce plan.
Ne vous inquiétez pas, je ne leur ai rien dit. Je sais deux de mes amis trop maladroits pour révéler des choses aussi capitale. Bon, je vous laisse, mais avant de partir, je voudrais vous demander un service.
Lequel ?
Ne me cachez rien, je veux dire vraiment rien ! Si le plan de Voldemort est aussi sûr qu'il me l'a certifié, je devrais prendre pars à la bataille, alors je ne veux pas avoir de mauvaises surprises. Je veux tout savoir.
Je voulais te protéger, Harry, tenta de répondre le Professeur Dumbledore. Mais à présent je ne peux plus rien pour assurer ta sécurité… Tu seras au courant de tout.
Sur ces dernière paroles, Harry présenta ses respects au directeur, au Professeur Lupin et, pour finir, embrassa la belle mademoiselle Tonks sur la joue, ce qui lui brisa de nouveau le cœur car celle-ci ne releva pas son geste et resta comme absente tandis qu'il sortait du wagon des Préfets. Il resta longtemps à parler avec ses amis, sentant grandir son malaise suite au nombre incalculable de questions qu'il du éviter pour ne pas trop en dire. Mais lorsque la nuit commença à tomber, le Professeur Maugrey rentra dans le wagon et les prévint qu'ils allaient bientôt arriver à la gare de Pré-au-Lard.
L'ombre était proche et il le savait, mais étrangement il ne ressentait aucune peur. Il savait que ces hommes, non ces bêtes, allaient bientôt arriver pour mettre cette ville à feu et à sang, qu'il allait devoir se battre à un contre mille, mais il n'avait pas peur. C'était même le contraire : Il allait pouvoir faire ce qu'il n'avait jamais pu faire durant ses 943 années d'existence, il allait pouvoir laisser libre cours à tous ces pouvoirs qui parcouraient son corps. Tandis que l'excitation du combat qui s'annonçait bouillait en lui, les sons des cornes et des tambours de guerres ronronner à ses oreilles de Vampire, et d'innombrables ombres se dessinaient à l'horizon, derrière ce soleil qui disparaissait lentement pour laisser place à cette douce nuit qu'il avait apprit à aimer, cette douce nuit qui lui permettrait de déchaîner tous ses pouvoirs de Vampire qui ne faisaient à présent plus qu'un avec les pouvoirs de Sorcier qu'il possédait déjà. Il aurait aimé avoir de la compagnie dans ce moment difficile, ce moment qui pourrait très bien être le dernier, mais peut importait à présent, il allait combattre pour les autres, plus pour lui ou pour sa vengeance. De nombreux souvenir venait l'assaillir à présent, et même si certains lui étaient encore douloureux, il savourait chacun d'eux, conscient que ce pourrait être la dernière fois qu'il pense à son passé.
Sortant sa baguette de sa robe de Sorcier, il regarda l'artefact magique qu'il tenait et laissa apparaître un sourire amusé sur son visage. Il devait aller jusqu'au bout de son plan, il devait faire quelque chose. Et cela même si il devait pour ce faire sacrifier sa vie misérable de Vampire. Il avait 943 ans et depuis toutes ces années il allait faire ce qu'il n'avait encore jamais fait, il allait se battre pour les autres. Voyant ses futurs adversaires s'approcher de plus en plus rapidement, il dirigea sa baguette vers sa gorge et lança un premier Sortilège :
Sonorum Maxima !
Puis, sa voix étant à présent magiquement amplifiée, il parla. Mais ce ne fut pas sa voix moqueuse et grave qu'il utilisait habituellement, non, en ce moment si solennel à ses yeux, il parla d'une voix calme et forte ; plus qu'un discoure, ce fut un chant qui s'échappa de ses lèvres.
Réveillez vous, Moldus ! Réveillez-vous car ce soir vous verrez la mort de ce qui a un jour été un homme ! Je me nomme Vladimir Sunshine, et je suis un Sorcier ! J'ai vécu dans ce mon de très nombreuses années de bonheur et de tristesses sans jamais me montrer à vous, les non-Sorciers, les gens du communs, mais à présent je me révèle à vous ! Ce soir, je vais vous montrer ce que renferme votre monde, je vous dévoilerais des secrets que vous avez occultés il y a des siècles, je vous montrerais ce que sont capables de faire les ces gens que vous nommés les Sorciers ! Nous ne vous avons jamais voulu de mal, la preuve en est que ce soir, je me sacrifierais pour vous protéger ! Alors réveillez-vous et regardez ce spectacle en vous disant que la mort n'est pas inévitable ! La mort et le Chaos peuvent être évité par l'alliance des Gens du Communs et des Sorciers ! Alors réveillez-vous et ouvrez les yeux pour voir de nouveaux jours s'ouvrir à vous !
Sur ces derniers mots, Vladimir Sunshine, le Roi-Vampire, libéra toute cette puissance qu'il renfermait et commença cette terrible métamorphose qui lui permettrait de multiplier toute cette énergie qu'il avait toujours craint. Rapidement, ses cheveux se mirent à pousser, lui arrivant jusqu'au bas du dos, ses vêtements se déchirèrent par endroit sous la trop grande pression qu'exerçaient ses muscles qui grossissaient à une vitesse impressionnante. Ses yeux, habituellement d'un bleu si profond, prenait une couleur pourpre, la couleur du sang. Ses ongles se mettaient à pousser pour devenir aussi longues et aiguisés que des lames de couteau. Et enfin ses canines, tout à fait normal précédemment, s'allongeaient pour devenir deux longues et terrifiantes aiguilles d'ivoire qui avait l'horrible capacité de déchirer la chaire pour lui permettre de se nourrir du sang de ses victimes.
Il était près à présent. Il pouvait combattre à pleine puissance, et c'est ce qu'il allait faire. Prenant son envole, il plana dans les airs, faisant planer son corps sur les vents de ce monde, ces vents qui se dirigeaient vers cette surface de ténèbre qui n'était en fait que les rangs innombrables d'hommes et de monstres qui s'étaient revêtus de la couleur du Chaos. Il lança une nouvelle formule, puis une autre, puis une autre… Et à chacun de ses passages au-dessus des rangs ennemis, une terrible explosion naissait pour ne plus laisser derrière elle que mort et désolation. Mais même si il voyait ses ennemis tomber sous ses assauts, il savait que la bataille ne faisait que commencer. Et en effet, il ne se trompait pas. De terribles lanceurs de sort se jetaient eux aussi dans la bataille, libérant leurs sombres pouvoirs et tentant de jeter le Roi-Vampire dans d'insondables abysses qu'ils étaient seul à connaître. D'innombrables langues de feu se ruèrent sur lui, et il ne s'en fallu que de peu qu'il ne meurt brûlé par ces sombres flammes, mais il ne perdait pas espoir, il devait continuer le combat, ne serait-ce que pour ne pas faillir à la promesse qu'il avait fait au jeune Potter lorsqu'il lui avait dit que ces monstres recevraient la punition qu'ils méritent. Il fit alors appel aux innombrables sortilèges qu'il avait apprit à maîtriser durant toute sa longue existence, tuant ses ennemis par dizaine puis par centaines, mais malgré tous les efforts qu'il faisait, le nombre de l'armée qui avait le désir de le tuer ne faiblissaient pas. Il évita de nouveaux traits de flammes et de morts pour faire appel à ce terrible sortilège qu'il n'avait encore jamais utilisé, il s'agissait de l'Avada Kedavra, ce sort de mort qui, augmenté par ses terrible pouvoir de Roi-Vampire, lui permis de se débarrasser de plusieurs de ces sombre Sorcier du Chaos qui le harcelaient continuellement de leurs incantations Chaotiques. Il évitait de nouveaux traits et renouvela son attaque. Par trois fois il abattit un bataillions de guerrier, et par trois fois il voyait les rangs de ses ennemis se resserré pour continuer leur marche vers cette ville qu'il essayait de protéger.
Il lança une multitude de sortilèges tous aussi destructeurs que les autres, et à chacune de ses attaques, il voyait ses adversaires tomber sans que leur terrible marche ne faiblisse. Il se sentait dépassé, dépassé par cette gigantesque ombre de mort qui avançait de plus en plus pour mettre à mort des centaines d'innocents, mais il continuait à se battre, espérant que ses efforts se verraient récompensé. Et c'est ce qu'il se produisit car non loi de là, dans d'innombrables éclaires de lumières, une véritable armée de Sorcier venaient d'apparaître pour barrer la route à ces êtres barbares. Plus que des Sorciers, c'était des Loup-garou, et alors que la pleine lune apparaissait à l'horizon, leurs corps commencèrent leur horrible métamorphose. Vladimir ne savait pas qui ils étaient ni qui les avaient envoyé, mais tandis qu'il les voyaient se ruer vers ses ennemis, il ressentait l'infime espoir de la victoire. Il n'était plus seul à présent. Ces hommes qui, tout comme lui, avaient été rejeté tout au long de leur vie venait à présent se jeter dans un terrible combat pour protéger des personnes qu'ils ne connaissaient pas. Il devait remporter la victoire, même si cela pouvait paraître impossible, il le devait pour la survie du monde.
