Je me suis fait très violemment violenter, et je sais que je n'ai pas remplis mon devoir lors des deux derniers chapitres. C'est décidé, je répare mes fautes : voici…les réponses aux reviews !!

Dsl pour le retard, j'ai eu un petit problème technique avec mon ordinateur…croyez-moi, je le regrette autant que vous !!

HB : que dire à part le fait que j'adore tes reviews, et que tu n'es pas la seule à t'identifier à certaines hystériques devant des bruns aux yeux verts, bleus ou gris ?!! vive HP et les délires qu'il permet, voilà le mot !!

XXX : et de un, c'est pas chaud du tout (g mis G, et si tu comprends pas c pareil), et de deux tu es prié d'éviter de m'envoyer d'autres reviews de ce type ! Tu trouves peut-être ça sympa mais ce n'est pas mon avis, alors à l'avenir abstiens-toi !

Coweti : je n'en revenais pas qd g vu sur mon ordi que j'avais quatre nouvelles reviews d'un coup ! merci énormément, c grâce à des personnes comme toi qu'on a envie de continuer… j'espère que tu aimeras ce nouveau chap ! ps : merci pr la suggestion, g rajouté les noms aux changemts de pts de vue

Claire : ma bêta adorée, laisse-moi te dire que tu exagères ! ne lire mes deux (ou trois) derniers chaps que deux (ou trois) semaines après leur parution, c'est vraiment §# !!! merci qd même pr ta review, pr ce qui est de l'action tu vas être servie ds ce chap!

Elfywara : merci beaucoup pour ta review, c tro sympa ! je me suis en effet bien marrée pour trouver les répliques, et je suis contente que ça t'ait plu !

Mamélie : toi, j'ai compris, ce que tu aimes c'est le suspense (et p… et n……) lool. T'inkièt pas ta patience est récompensée ds ce chap avec tt plin d'action (fallait bien que ça arrive un jour !) Vive le SAUMAM !!

Lily Evans 2004 : le nom d'auteur annonce déjà la personnalité de celle qui le porte, n'est-ce pas ? Alors je dois bien t'avouer que ta review ne m'étonne qu'à moitié… Flattée, tu peux l'être, mais pas sur tous les points qd même ! (laisses-en un peu aux autres pour ce qui est de qui je me suis inspirée, hé, gourmande ! Nous aussi on est françaises !)

Neigine : merci beaucoup pour tes encouragements, j'espère que tu aimeras ce nouveau chapitre, qui a qd même plus d'action !

Laetitia : comme d'habitude, ma fidèle laeti est tjs au RV ! merci bcp pour ts tes encouragements, voici le 5ème chap (est-ce bien une exclu ?…). et surtout, continue à reviewer !

Avec en spéciale dédicace un énorme SAUMAM à toutes celles qui le souhaitent (que vous compreniez ou non la signification du sigle). C'est tout bénéfice pour vous, les filles, je vous le transmets en pensée si vous me le demandez par review — chouette, un argument de plus pour vous encourager à reviewer !—

Bonne lecture !

UN POINT TRES IMPORTANT : je croyais m'être débarrassée de Peter ds le chap 2. Il n'en est rien, celui-ci a malheureusement survécu à ses blessures, et il revient en force ds ce 5ème chap. Excusez-moi pour la fausse joie, c'est un dur à cuire ce petit gros…

Chapitre 5 : Rêve et Voyage en prévision La nuit, au milieu de nulle part et partout à la fois (Lily)

L'ombre noire se retourna et me fixa de ses yeux jaunes, luisant d'un éclat sinistre dans l'obscurité.

— De nouveaux adeptes arrivent tous les jours, tu le sais. C'est pourquoi la mission que je te confie est extrêmement délicate. Tu dois la remplir sans éveiller aucun soupçon dans les deux camps — je dis bien : dans les deux camps — Tu connais la sanction s'il se produit le moindre petit problème, inutile que je te la rappelle, n'est-ce pas ?

Une autre silhouette m'apparut, à genoux, tête baissée, tremblante dans la nuit froide.

— Non, milord, je m'en souviens.

— Dès que le travail aura été effectué, tu reviendras ici recevoir la suite des instructions. Des questions ?

La silhouette agenouillée releva la tête, découvrant une cagoule, et commença de parler précipitamment, essayant de cacher la peur qu'elle éprouvait.

— Milord, pourquoi dissimuler cette mission aux membres de notre camp ? Ce sont des adeptes convaincus, ils sacrifieraient père et mère pour vous, ils…

— Cela n'est pas suffisant. Comme je te l'ai dit tout à l'heure, ce sont de nouveaux adeptes, et par conséquent sans aucune fiabilité. Inutile de continuer à protester. Tu porteras seul la responsabilité de l'affaire s'il advient que tu es pris… je souhaite pour toi que ce ne soit pas le cas. A moins bien sûr que tu envisages de me dénoncer…

— Non, milord, bien sûr que non ! Je donnerais ma vie pour vous, vous le savez. Pourquoi me torturer ainsi ? Je vous aime et vous respecte plus qu'aucun de vos alliés…

— C'est bien pourquoi je t'ai choisi pour cette mission. Assez de palabres, tu commences à m'insupporter ! Prépare-toi rapidement… Mais que vois-je ? Une nouvelle adepte…

— Lilyyyyyyyy !

L'ombre noire s'avançait lentement… Ses yeux jaunes transperçaient la nuit pour venir accrocher les miens… Toute retraite semblait impossible…

— Liiiiilyyyyyy !

— Helen !

La respiration haletante, je laisse reposer ma tête contre l'oreiller, les yeux clos. Ce n'était qu'un rêve, un stupide rêve. Seulement des connexions entre des cellules de mon cerveau qui avaient produit quelques images…criantes de vérité.

— Lily, tu vas bien ? Tu es en nage… Tu criais dans ton sommeil, alors nous avons pensé que l'on ferait mieux de te réveiller… et comme il est déjà 7h30, de toute façon…

J'ouvre précautionneusement les yeux et laisse la vision rassurante de la chambre m'envahir. Helen, après avoir poussé ses deux cris qui m'ont précipitée hors du cauchemar, s'est retirée sans un bruit et se dirige vers la salle de bains. Mais je devine que son indifférence n'est que feinte, et qu'au fond d'elle-même elle est beaucoup plus secouée qu'elle ne veut le paraître devant les autres.

— …me rappelle un cauchemar que j'avais fait un jour…une histoire de robe dix fois trop courte. Et c'était la seule que j'avais pour toute l'année !L'horreur…

— Arrête de charrier, Tess ! En tout cas, merci de m'avoir réveillée. C'est vrai que ce cauchemar n'était pas très agréable…comme tous les cauchemars, d'ailleurs !

Mais mon sourire est tremblant sur mes lèvres. Tremblant comme cette silhouette agenouillée… Allons, Lily, ressaisis-toi ! Pour un simple cauchemar, tu en fais beaucoup trop !

— Alors, ça va mieux ? demande Sandra.

— Je me sens parfaitement bien !

Et sur cette déclaration, je saute au pied de mon lit. Sandra et Tess se dirigent alors en discutant avec animation vers l'armoire où nous stockons toutes nos affaires (du livre de potions au journal intime en passant par la paire de chaussettes), et c'est à ce moment-là que je note l'absence d'Astrid.

— Est-ce que vous savez où est passée Astrid ?

— Elle n'était pas dans son lit au moment où tu as crié tout à l'heure. On pense qu'elle a dû vouloir poster une lettre tôt ce matin afin d'éviter la cohue lors de la matinée. Tu sais qu'elle n'a pas de hibou…

Je ne peux m'empêcher de me demander quelle importance recouvre cette lettre pour qu'elle nécessite d'être postée aux aurores. Et le doute m'envahit de nouveau. Au fond, que savons-nous d'Astrid ? Qu'elle a fait sa scolarité à Beauxbâtons ? Même si cela est vrai, nous ne sommes pas beaucoup plus avancées. Nous ne connaissons ni sa famille, ni ses goûts, ni ses envies, ni ses talents… Quoique si, je connais un de ses talents : le chant. Mais découvert par hasard, et qu'elle a dissimulé aux autres. Et même si je dois bien admettre que nous n'avons pas non plus fait étalage de notre vie devant Astrid, celle-ci m'apparaît receler de plus en plus de facettes, cachées pas forcément pour de bonnes raisons.

J'aperçois soudain Helen sortir de la salle de bains.

— Helen ! Merci pour tout à l'heure. Ce cauchemar était vraiment…

— Je peux te parler une seconde, Lily ?

Son ton me confirma ce que je soupçonnais déjà : Helen n'avait pas pris l'incident à la légère.

— Donne-moi un instant, juste le temps de ma préparer et je suis toute à toi !

— Fais vite, s'il te plaît.

Ayant déjà commencé à me diriger vers la salle de bains, je tourne la tête, surprise par le caractère urgent de la demande d'Helen. Celle-ci s'explique rapidement.

— Tu n'as plus qu'une demi-heure pour te laver et prendre ton petit-déjeuner !

— Tu as raison ! J'accoure, je saute, je vole, je…

BAM !

— …tu te prends les pieds dans ta chemise de nuit et tu t'écrases par terre. Bon, écoute, Super-Woman, on va dire que tu vas te cantonner à des activités simples ce matin, d'accord ? lance Helen en se gondolant. Et fais attention avec le savon !

— Très drôle… je réponds d'un air sombre en me relevant précautionneusement. Je vérifie rapidement l'état de mon squelette.

— Désolée pour toi, Lily, on ne t'enverra pas à Sainte-Mangouste aujourd'hui !

— Et toi, tu peux arrêter de te foutre de moi ? Non mais, elle est insupportable celle-là !

La dernière vision que j'ai d'Helen avant de fermer la porte de la salle de bains est celle d'une tomate trop mûre, le visage rouge d'avoir tant ri, et affalée sur…MON lit !!

8h, dortoir des garçons (James)

— Driiiiiiiiiiiiiiiing !!!

— QUI EST LE MALADE QUI A OSĒ BRANCHER UN REVEIL CE MATIN !

— Moi, je fais d'un ton très satisfait. Désolé, mon Siriunouchet…

— Je vais te tuer…

— Au lieu de recourir à une solution si radicale, prends plutôt exemple sur Remus : lui a manifestement compris l'utilité du réveil et s'est levé sans faire d'histoires…

— Tu tiens tant que ça à ce que je prenne exemple sur Remus ?

Je réalise tout à coup que le loupiot, au lieu de partir se changer comme je l'avais cru tout d'abord, a simplement effectué un mouvement stratégique qui l'a amené…juste derrière moi.

— A trois, Sirius ! lance le loupiot en question.

— Non ! Vous ne pouvez pas faire ça !

— Un…

— Je ne suis pas habillé !

— Deux…

— C'était pour me venger de ce que vous m'avez fait croire hier soir!

— Trois !

— Tiens, heu… bonjour Lily !…

— Tu ne vaux même pas l'effort que Sirius et Remus ont fourni pour te faire atterrir ici, Potter.

Etalé par terre de tout mon long devant Lily, je sens avec horreur mes joues devenir rouge pivoine.

Et mon orgueil a mal…

— Je ne te permets pas, Evans ! je fais de mon ton « macho qui le sait et qui assume ».

Celle-ci avait déjà commencé à se diriger vers le portrait de sortie.

— Tu disais, Potter ? Ah oui, et au fait, j'oubliais : ton caleçon a un trou.

Et Lily Evans sort majestueusement de la salle commune. Mon teint ayant atteint le paroxysme de l'écarlate, je commence à effectuer un retrait stratégique, évitant les regards des quelques élèves présents dans la salle commune à cette heure matinale.

— Qu'est-ce que tu regardes ? je fais d'un ton hargneux à un troisième année explosé de rire en fixant… bah, le trou, quoi !

Le pauvre garçon terrorisé sort en courant. Mais je n'ai aucun remord. Il n'avait qu'à pas me chercher !

Arrivé devant Sirius et Remus, dont les gloussements doivent s'entendre dans tout le château (pourtant vaste), je me campe fermement sur mes deux pieds.

— Ça vous amuse ?

— Bbb…beaucoup ! lance Remus, écroulé par terre.

— Vous savez que vous me le paierez très, très cher ?

— Allez, mon petit Jamesie, te fâche pas ! glousse Sirius qui n'a manifestement rien compris à mon état d'énervement. C'était pour rire !

— VOUS CROYEZ QUE C'EST AVEC DES COUPS PAREILS QUE VOUS ALLEZ AUGMENTER MON SEX-APPEAL ?!! ET C'ETAIT EVIDEMMENT POUR ME FAIRE RIRE ET AMENER LILY A FANTASMER SUR MES YEUX (n'est-ce pas Remus ?) QUE VOUS M'AVEZ FAIT ATTERRIR DEVANT ELLE EN CALEÇON !

Et, furieux, je claque la porte (pour la deuxième fois en 9h) au nez des deux autres idiots. Tout en me changeant, je rumine silencieusement. La honte ! Mais ont-ils vraiment réalisé la portée de leur acte, je ne le sais même pas… Après m'avoir bassiné hier soir pendant trois heures sur le fait que nous devions améliorer nos techniques de séduction, ils ne trouvent rien de mieux à faire qu'à me ridiculiser… soi-disant à cause du réveil que j'ai branché ce matin ! Mais ce réveil, mis à part son utilité certaine, était parfaitement justifié par leur plaisanterie de la veille ! Si tant est que ce soit vraiment une plaisanterie bien sûr…

Prudents, Sirius et Remus n'étaient pas reparus dans la chambre, et c'est donc seul que je me rends à la Grande Salle. Arrivé sur les lieux, je ne me dirige qu'après un temps d'hésitation vers ma place habituelle. Que me réservent-ils encore comme mauvaise surprise ?… Heureusement, la conversation ne roule que sur des sujets banals, et je reste silencieux pendant la majeure partie du repas, fermant mon esprit aux autres conversations. Mais soudain, des éclats de voix me ramènent brutalement à la situation présente.

— Joanna, tu t'embellis chaque jour, ma parole ! Tu ressembles à une rose qui vient d'éclore ce matin… complimente Sirius d'une voix forte une Serdaigle rougissante à la table voisine.

— Tu tiens à compléter ta collection, Sirius ? fait Helen d'un ton désinvolte. Pourtant…euh…Joanna… est brune ! Et non blonde.

— J'ai décidé d'augmenter mon champ d'action ! répond Sirius, prouvant comme à l'habitude une extraordinaire maladresse avec certaines filles, dont fait partie Helen (dont seule fait partie Helen, à la réflexion).

— Tu es bête ou tu le fais exprès, Sirius ? lance alors la demoiselle en question.

— Euh… je ne vois pas de quoi tu parles ! Tu me poses une question, je réponds !

— Eh bien mon pauvre ! Si tu ne vois même pas l'ironie dans l'utilisation du terme « collection » quand je parle de tes relations avec les filles, c'est que tu es tombé encore plus bas que ce que je ne croyais !

Et là, Helen se lève et quitte la salle, tout simplement, immédiatement suivie par Lily. J'ai l'impression que les filles sont super douées en ce moment pour ce qui est de faire des sorties remarquées. En attendant, le score est sévère : 2 à 0 pour elles…

Les préfets arrivent soudain pour distribuer les emplois du temps. Pas de grosses surprises : les matières principales sont les mêmes pour l'ensemble du groupe : enchantements, potions, métamorphose, et DCFM. A croire que tout le monde a envie de devenir Auror ! Quoique, à y réfléchir, c'est bien le cas pour Sirius, Remus et moi. On rêve d'action, d'héroïsme, de demoiselles en détresse… des trucs de garçons, quoi ! Mais les filles n'avaient pas hésité à choisir les mêmes matières.

Tandis que nous nous dirigeons vers notre premier cours — enchantements en commun avec les Serdaigle — j'entends soudain Tess pousser une exclamation étouffée.

— On a DCFM en première heure cet après-midi ! Et également le mercredi, le jeudi et…le vendredi. En gros, tous les jours sauf le mardi. HOURRA ! Il fait chaud, il fait chaud, sous les T-shirts sous les maillots…

Je lance un regard agacé à la groupie vraiment agaçante, et rencontre alors celui de Sirius, au moins aussi énervé que moi. Le fou rire nous gagne soudainement

— Bah quoi ? J'ai dit quelque chose de drôle ?

Je reprends péniblement mon souffle.

— Bah, euh… en fait, oui.

Et nous explosons à nouveau, bientôt rejoints par Remus.

C'est donc avec toute notre complicité retrouvée que nous nous installons à notre table habituelle (avant-dernier rang, une place très stratégique : pas classés mauvais élèves parce qu'on n'est pas au dernier rang, mais pas fayots non plus ; pas interrogés toutes les trois minutes, parce que suffisamment éloignés du professeur, mais pas trop loin pour suivre. La perfection !). Et avant même que McGonagall ait commencé à parler, je reçois discrètement un petit papier plié en douze.

James, j'ai réfléchi, on a vraiment été cons ce matin. T'as raison, c'est pas drôle de se faire humilier devant (ou par) une fille. J'espère que tu me pardonneras vite…

Un petit soupir de soulagement s'exhale de mes lèvres. Bon, les choses finissent par s'arranger, après tout ! Et je prends rapidement ma plume afin d'écrire la réponse.

Ne t'inquiète pas, c'est déjà oublié ! Et désolé pour le réveil… en même temps, c'était vraiment pour ton bien ! Mais ne revenons pas là-dessus. Maintenant, tu sais ce que j'ai éprouvé ce matin… Au fait, une dernière question : vous n'étiez pas sérieux hier soir ?!

Mais avant que Sirius ait pu me faire passer sa réponse par l'intermédiaire de Remus (qui ne se privait de lire chaque message qui passait entre ses mains), la voix de la professeur retentit brusquement.

— Bienvenue à tous dans cette nouvelle —et dernière— année !

Pfouh… une introduction qui calme. Dernière année, c'est vrai. Dernière année de révisions, de blagues entre amis, de fêtes, de conneries, de cours… de Marauderie. Mais McGonagall ne s'arrête pas là.

— Vous savez que vous passez votre examen de fin d'enseignement, les ASPICs, durant le mois de Juin. Cependant, l'organisation sera légèrement différente cette année. Certains d'entre vous devront passer leur examen ailleurs qu'à Poudlard, dans différentes écoles étrangères. Ne me demandez pas la raison de ce changement, je n'en sais encore rien moi-même. Ces élèves seront choisis en fonction de leur niveau d'études et de leur comportement… oui, John, vous avez une question ?

— De quelles écoles étrangères parlez-vous exactement ?

— De celles qui se situent le plus près de nous géographiquement, c'est à dire Durmstrang et Beauxbâtons.

Lily se retourne soudainement vers Helen, et lui parle avec animation. Mais c'est vrai que la nouvelle a de quoi surprendre. Passer son examen à l'étranger, hébergé dans une famille inconnue… pas vraiment les meilleures conditions pour réussir. Et pourtant, à en juger par les chuchotements effrénés retentissant dans la classe, tous les élèves ne souhaitent qu'une chose : être sélectionné. Moi aussi, à vrai dire…

— Bien, maintenant que les nouvelles de début d'année ont été annoncées, nous pouvons nous concentrer sur le cours. Nous allons revoir aujourd'hui un sortilège très utilisé, et que vous avez appris en fin d'année dernière : le Solaris. Quelqu'un peut-il rappeler à la classe en quoi ce sortilège consiste ?…

Alors qu'un élève commence à répondre, la réponse de Sirius finit par arriver.

Mon petit Jamesie, nous étions on ne peut plus sérieux hier soir. Mais ce matin, la situation a changé… quelqu'un d'autre sera chargé de la petite…hum…expérience.

Et qui ça, dis-moi ?

Mais notre grand ami… Malefoy.

Un gloussement irrépressible me gagne à la lecture du bout de parchemin. Malefoy !! Que dis-je, Malefoy… Malefoyette !! Un coup d'œil à la mine réjouie de Sirius et Remus m'apprend que le projet n'a rien de fictif. Rien de mieux qu'un peu de Maraude pour bien commencer l'année ! Et, le visage réjoui, je me reconcentre sur le cours.

Fin du cinquième chapitre.

Vous voyez la petit case en bas à gauche ? Et bien alors, qu'attendez-vous pour cliquer ? Vite vite !! J'ai sinon une petite question pour le prochain chap : Beauxbâtons est plutôt situé au bord de l'Atlantique ou de la mer Méditerranée ?

Bizz, Caraïbos.