Et me revoilà avec un nouveau chapitre de L'Amour est enfant de Maraude ! Je suis vraiment désolée pour le délai, mais l'inspiration… tardait à venir, je dirais.
J'espère que ce chapitre vous plaira !
Chapitre 8 : Initiation à la Marauderie
7h30, dortoir des filles (Lily)
— Pssittt ! Lily ! Elle a bougé, j'en suis sûre !
Secouée frénétiquement par Helen, j'émerge lentement du cocon ouaté qui m'a enveloppée pendant mon sommeil, et habitue progressivement mes yeux à l'obscurité régnant dans la chambre. Puis tout me revient en masse : les cours de rêves avec Potter et mademoiselle Tautou, le baiser dans le parc, Colombe Thompson, et surtout… le retour de la mystérieuse inconnue.
— Tu parles d'Astrid ? je demande à Helen d'une voix ensommeillée.
— Non, j'épilogue sur le Pape ! Bien sûr que je parle d'Astrid, cruchonne !
Complètement réveillée cette fois, je me tourne vers le lit de droite et m'aperçois qu'en effet Astrid remue silencieusement.
— Bon, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? me demande Helen en chuchotant.
— Comment ça, qu'est-ce qu'on fait ?
— Bah, on la réveille maintenant ou on attend encore quelques minutes ?
— Franchement, Helen, tu me fais peur parfois. Mais qui t'a jamais parlé de la réveiller ? Tu ne vois donc pas qu'elle a besoin de sommeil, la pauvre petite ? je lance d'un ton sarcastique.
— Non, je ne vois pas.
— Moi non plus, à la réflexion. Allez, réveille-là, et qu'on en finisse.
Et sans poursuivre la conversation, je me lève rapidement. Je m'aperçois soudain qu'Helen n'a pas bougé.
— Eh bien, qu'est-ce que tu attends ? tu la réveilles, oui ou non ? je demande à Helen silencieusement.
— Oui, une minute ! ronchonne Helen. J'en ai été toujours restée au « et qu'on en finisse » qui m'a légèrement surprise… enfin, ça doit être ton humeur du moment… Hé !… Astrid !…
Aucune réaction de la part de la Belle au Bois dormant.
— Astrid ! appelle Helen un peu plus fort.
— Mais c'est quoi ce boucan ? Qu'est-ce que vous faites, les filles ? lance soudain une voix provenant de l'un des deux autres lits occupés de la pièce.
— T'occupe, Tess ! je réponds doucement. C'est very private comme affaire !
— Mais oui bien sûr ! fait Tess d'un ton dubitatif. D'ailleurs c'est pour ça que vous hurlez comme des malades et que vous vous occupez de la « privètte » affaire alors même qu'on est toutes réunies dans la chambre ! T'es un peu ridicule parfois, Lily, tu savais ?
— Oui, je savais. Allez, bébé, rendors-toi.
— Si tu le dis… murmure Tess. Au fait, ton accent english est assez…enfin…
— Hum, c'est bon, j'ai compris ! Mais fais de beaux rêves, maintenant.
— Ok, ok…
Et sans poser plus de questions, la Gryffondor replonge à l'intérieur de sa couette.
— Euh… je pourrais savoir de quelle private affaire vous êtes censées vous occuper ? demande soudain une voix douce.
Je me retourne brusquement, et rencontre deux yeux limpides et rieurs : Astrid est réveillée. Ne sachant brusquement plus quoi dire, je me mords nerveusement la lèvre et fixe mes pieds d'un air coupable. Heureusement (ou plutôt malheureusement), Helen, qui elle n'est jamais à court de paroles, enchaîne brusquement :
— Oh, salut Astrid ! On n'avait pas vu que t'étais réveillée… j'espère que ce n'est pas de notre faute, au moins ?…
Et avec un air de totale innocence sur le visage, Helen rajoute :
— Parce que c'est vrai qu'on a peut-être fait un peu de bruit… Lily est si peu délicate ! Enfin, tu la connais…
Bien, je crois que le moment est venu de réagir avant que la situation ne m'échappe complètement.
— Helen ? je lance avec un sourire mielleux.
— Oui ?
— Tais-toi.
Et profitant de l'avantage créé par l'effet de surprise, je poursuis rapidement :
— Bien, maintenant que nous pouvons bavarder entre personnes civilisées, Astrid… Bon, parlons franchement : où est-ce que tu es partie pendant les trois dernières semaines ! Tu as disparu comme ça, sans un mot, sans un motif, nous laissant toutes complètement paniquées ! On t'a cherchée partout, PERSONNE N A RIEN VOULU NOUS DIRE, ET…
— Lily ! Lily calme-toi, m'interrompt soudainement Astrid.
Je hurle.
— MAIS JE SUIS CALME !
— Mademoiselle Evans, veillez à faire un peu moins de bruit. Certains élèves dorment encore, et il est inutile de les réveiller. Je sais que vous avez été affectée par la disparition de mademoiselle Vauplane, et il est normal que vous vous posiez des questions, mais vous pouvez procéder un peu plus silencieusement. Je vous propose de me retrouver dans mon bureau lorsque vous serez prêtes, mademoiselle Lupin et vous : je vous dirai ce que vous désirez savoir.
La voix posée du professeur Dumbledore me fait réaliser par contraste l'intensité de ma colère, parfaitement justifiée par ailleurs. Je baisse la tête, penaude.
— Oui, professeur.
— Bien ! Maintenant, je vous laisse, j'ai un emploi du temps assez chargé… A tout à l'heure, donc ?
Et sans un mot de plus, le directeur referme doucement la porte de la chambre derrière lui. Je fixe Helen, ébahie.
— Tu l'avais vu rentrer, toi ? je lui demande brusquement, certains relents de ma colère refaisant surface.
— Non… mais est-ce que ça a vraiment de l'importance ? Son apparition secrète restera un mystère, comme son emploi du temps « chargé » dès huit heures du matin… Je me demande si on le connaîtra vraiment un jour…
Elle se tourne vers Astrid.
—…si on TE connaîtra vraiment un jour…
Bureau de Dumbledore, 8h00 (Lily)
Perplexe, je fixe la gargouille qui nous fait face, gargouille vraiment laide par ailleurs, mais surtout une gargouille qui reste obstinément fermée devant l'escalier menant au bureau du directeur.
Je répète pour la troisième fois :
— Smarties Super Glu de Bertie Crochue !
Et pour la troisième fois, la gargouille me fait un énorme sourire révélant ses dents pourries, avant de remarquer :
— Oui, elles sont pas mal, elles aussi… Mais Dumbee a changé ses goûts, désolée… d'ailleurs je suis plutôt d'accord avec lui : les Smarties Super Glu collaient tellement aux dents que je n'arrivais plus à savoir si c'était bien elles que je mangeais, ou alors mes canines qui ont sensiblement la même forme ! C'est amusant, non ?
Et la gargouille explose de rire.
Helen remarque d'une voix sinistre.
— Blague, troisième.
Regardant nerveusement ma montre, je me demande pour la énième fois comment Dumbledore a pu oublier de nous avertir du changement du mot de passe…et s'il s'agit véritablement d'un oubli. Astrid avait reçu l'ordre de ne rien nous révéler avant notre rendez-vous avec le directeur, et ma curiosité n'était toujours pas satisfaite.
Des pas dans le couloir me font subitement lever la tête… pour découvrir les visages souriants de Sirius, James et Remus. Tout de suite, Helen se renferme, et je sens pour ma part mes joues prendre une désagréable couleur tomate quand mes yeux croisent ceux de… enfin bref, quand ils croisent SES yeux. Car malgré tout ce que j'ai pu dire à Helen, James Potter est loin de me laisser indifférente… mais alors TRES TRES loin.
La voix de Sirius me ramène brusquement à la réalité.
— Bonjour vous deux ! Alors, vous avez été vous aussi convoquées chez Dumbledore ? A propos d'Astrid, je parie ?
Je réponds prudemment :
— Oui… mais je ne vois pas par contre ce que VOUS faites ici… Vous n'êtes ni ses compagnons de dortoir, ni ses amis proches… et à ma connaissance vous n'avez pas de famille en France, alors…
— Parfaitement exact, Lily-Jolie, mais cela n'a pas empêché Dumbledore de nous convoquer, comme tu vois.
Helen grince silencieusement.
— Comme je vois…
Je lui donne un coup de coude discret pour qu'elle arrête ses jérémiades. Pas la peine d'envenimer encore les relations entre les Maraudeurs et nous !
Je vois alors James ricaner silencieusement et me faire un clin d'œil complice. Bon, peut-être pas si discret que ça, le coup de coude, finalement…
— Et qu'est-ce que vous attendiez pour entrer ? reprend Sirius, assez maladroitement.
Je sens immédiatement Helen se crisper, et lance rapidement :
— Le mot de passe a changé, et Dumbledore ne nous a pas donné le nouveau. On essaie plusieurs variantes, mais décidément les Smarties sont descendues en grade.
A ces mots, Sirius découvre toutes ses dents dans un sourire carnivore, et prononce d'une voix de stentor :
— Smarties Glu Allégée de Bertie Crochue !
Et évidemment, la gargouille s'écarte dans la seconde, faisant apparaître un escalier en colimaçon. A mon tour de me crisper. Et c'est pourquoi, quand Sirius commence à disserter sur la nécessité de se mettre au goût du jour et de se tenir au courant des dernières modernités, mon pied reste malencontreusement en arrière au milieu de l'escalier. Et malencontreusement, Sirius voit son pied manquer la marche suivante, et son corps s'étaler au pied de la tour.
— Oh, quel dommage…, j'énonce sur un ton résolument hypocrite.
James rit silencieusement, et me fait un deuxième clin d'œil amusé. Grillée ! Mais après tout, c'était pour la bonne cause, me dis-je pour déculpabiliser. Et un aperçu de la mine radieuse d'Helen achève de me convaincre.
Soudain, je m'aperçois que Remus n'a toujours pas prononcé un seul mot depuis que la bande est arrivée. Un coup d'œil à sa mine fatiguée et angoissée me plonge dans une réflexion assez profonde (enfin, il ne faut pas exagérer pour la réflexion, il n'est que 8h 30 du matin…). Je garde un regard posé sur lui pendant l'ascension de l'escalier, et remarque alors que je ne suis pas la seule à m'intéresser à lui. Sirius et James l'observent souvent avec un air amusé, et je ne peux m'empêcher de les trouver sans cœur. Enfin ! Leur meilleur ami est dans un état épouvantable et eux, ils rigolent ! Peut-être ne sais-tu pas tout, Lily… Evidemment, c'est aussi une possibilité.
Le visage souriant de Dumbledore apparaît soudain à la porte de son bureau. Je réalise alors que notre dernière réunion avec lui n'avait eu lieu que la veille. Et pourtant, tant de choses avaient déjà eu lieu…
— Bien, je vois que vous avez tous répondu présents… nous lance le directeur avec un grand sourire.
Je vois son regard acéré parcourir l'ensemble du groupe, et s'attarder sur l'hématome de la joue gauche de Sirius, et le visage défait de Remus. Cependant, il ne fait aucun commentaire et nous propose de nous asseoir rapidement, le temps étant compté avant que les cours ne commencent.
— Mademoiselle Vauplane est revenue hier soir après une absence de près de trois semaines, commence le directeur. Deux d'entre vous sont dans son dortoir et ont été surprises par sa disparition. Je suis au courant de vos recherches, et les approuve, seulement rien ne pouvait vous mener à votre compagne. Ni balai, ni carte, ni boule de cristal. Pas même Mademoiselle Tautou, ajoute Dumbledore en souriant.
— Professeur… dit timidement Helen.
— Oui ?
— Pourriez-vous être un peu plus clair, s'il vous plaît ? J'ai vraiment de la peine à comprendre ce que vous tentez de nous expliquer…
— En fait, c'est relativement simple. Mademoiselle Vauplane a une sœur, voyez-vous. Et quand sa sœur décide de se manifester, mademoiselle Vauplane doit disparaître.
— Pour la rejoindre ? demande James.
— Humm, pas exactement, nuance le directeur. Je suis désolé, mais je ne peux vous en dire plus pour le moment. Sachez seulement que vous ne devrez pas vous inquiéter en vous apercevant qu'elle a quitté Poudlard. Et que ce n'est pas la peine de se rouler sur le sol de la volière pour la retrouver.
Je sens mes joues se réchauffer sous l'effet de la honte, mais l'air bienveillant de Dumbledore atténue finalement mon désespoir.
— Cependant, si je vous ai tous convoqués ici ce matin, c'est parce que je désire vous confier une mission que vous devrez mener… ensemble.
Je jette un coup d'œil affolé à Helen. Les cours particuliers avec Mademoiselle Tautou ne suffisent donc pas, je devrai supporter la présence des Maraudeurs presque sans interruption!
— Mademoiselle Vauplane ne connaît pas bien Poudlard, n'ayant pas eu le temps de s'habituer à son nouveau cadre de vie avant de partir. J'aimerais donc que vous lui serviez de guides, pendant le premier mois tout au moins.
— C'était notre intention, professeur, je lance brusquement. Mais James, Remus et Sirius n'ont pas besoin de nous accompagner, nous serons capables à deux de lui faire voir tout ce qu'elle a besoin de connaître.
Dumbledore rit silencieusement à mon intervention, et je comprends alors qu'il n'y a plus rien à faire pour échapper à la décision du directeur.
— J'en suis certain, mademoiselle Evans, seulement je souhaite que mademoiselle Vauplane puisse également profiter de la connaissance qu'ont messieurs Potter, Lupin et Black du château.
— Si vous présentez la situation comme ça, évidemment… je marmonne.
— Vous m'avez compris ! Et maintenant, je vous en prie, allez prendre votre breakfast, comme nous disons ici…
— Avec Astrid, bien sûr ? demande Sirius.
— Bien sûr !
8h15, Grande Salle (James)
— Et ça, tu vois, c'est ce qu'on appelle du pain perdu : une sorte de pain rassis que l'on trempe dans du lait, et auquel on ajoute ensuite du sucre, du chocolat, ou de la confiture si tu préfères…
Et j'engloutis immédiatement sans aucun remord trois tartines, chacune préparée différemment. J'aperçois soudain Lily faire la grimace, et je réarrange alors précautionneusement dans ma bouche le contenu de mon petit déjeuner.
— Oui, je connais cette recette ! s'exclame Astrid. On en fait souvent en France. J'adore… ajoute-t-elle en se pourléchant les babines.
Et elle suit mon exemple sans perdre une minute (sauf au niveau du nombre de tartines, quand même).
— T'ai-je déjà dit que tu avais un accent absolument craquant ? lance soudain Sirius, charmeur.
— Je n'ai pas d'accent.
Le ton d'Astrid est glacé, et elle ne regarde pas Sirius en face. Un froid s'installe autour de la table, que Lily fait heureusement rapidement disparaître.
— Saviez-vous que la prochaine sortie à Pré-au-Lard était prévue pour ce week-end ? Ça tombe vraiment bien, j'avais justement une liste de courses assez conséquente…
Je jette un coup d'œil entendu à Sirius et Remus, et enchaîne :
— Peter, Remus, Sirius et moi pourrons vous accompagner. Tu verras, ce village est tout bonnement prodigieux, dis-je en adressant à Astrid un sourire éclatant.
— Euh… oui, bien sûr ! répond Lily nerveusement, après avoir échangé un regard angoissé avec Helen.
On avait décidé de conclure une trêve avec les filles pendant toute la durée du premier mois. Ou plutôt, les filles avaient décidé de conclure une trêve avec nous, et de stopper leur attitude distante. En gros, de nous parler normalement, comme avant, quand nous nous entendions si bien… Je pousse un soupir discret à ce souvenir. Cependant, je ne peux m'empêcher d'éprouver quelque espoir à la pensée de la prochaine sortie…
— Pré-au-Lard ? Quel nom étrange, quand même ! s'étonne doucement la nouvelle venue.
Remus ricane tout aussi doucement.
— Oh, il n'a pas que son nom d'étrange, je t'assure…
— En tout cas, moi, je suis ravi de cette sortie ! s'écrie Sirius en s'étirant nonchalamment.
— Et moi de même ! conclut Helen, faisant finalement contre mauvaise fortune bon cœur.
Sirius lui sourit de toutes ses dents, et je m'ébahis : la redoutable Gryffondor est tout simplement en train de… rougir ! Je jette un regard amusé à Remus, pour savoir ce que son « grand » frère pense de tout ça, mais apparemment le loupiot n'a rien remarqué. Tant mieux pour Sirius…
Entrée de Poudlard, 9h00 (Lily)
La semaine s'était écoulée à une vitesse folle. Remus, Sirius, James, Helen et moi avions promené Astrid d'un bout à l'autre du château, ne manquant pas de lui signaler les nombreux passages secrets que nous connaissions. Avec une mention spéciale pour celui menant aux cuisines, dont Sirius avait fait le panégyrique pendant près d'un quart d'heure… Astrid avait ri, couru avec nous, échappé aux allées et venues de Miss Teigne, appris tout et n'importe quoi sur les différents profs… Cependant, un malaise latent régnait sur le groupe. Malgré les efforts que Helen et moi nous étions promis de faire, nous ne parvenions pas à totalement oublier les récentes « trahisons » dont nous avions été victimes. Depuis la soirée spécialement consacrée à descendre Cynthia Salinder jusqu'au plus profond possible, Astrid était au fait de l'actualité. Elle connaissait presque tout de nos nombreuses histoires… sauf les deux points les plus importants : ceux qui concernaient James et Sirius. Helen et moi étions restées hermétiques sur ce sujet. Mais cela ne nous empêchait pas de partager tous nos autres secrets avec Sandra et Tess, et le dortoir était vite devenu un des plus chaleureux… et des plus bordéliques, il fallait bien l'admettre.
— Alors Lily, tu montes ?
— Tout de suite, Astrid ! je lance, un sourire accroché aux lèvres.
L'impatience de la nouvelle Gryffondor faisait plaisir à voir. De nombreuses mèches folles s'égaraient sur son visage, et ses joues rouges trahissaient sur son excitation. Elle était tout simplement irrésistible, comme le traduisaient les nombreux regards masculins. Quant à moi, je m'étais promis de profiter à fond de cette journée. Le premier cours avec la devineuse de rêves n'était prévu que pour le mercredi suivant, et je me refusais de penser à tous les petits tracas qui encombraient ma vie actuelle.
— En rrrrrroute ! crie Astrid alors que la calèche se met en marche.
Je surprends le sourire amusé de Remus alors qu'il contemple James, et me remémore la dernière fois que Potter avait dû utiliser les calèches : mémorable ! Je commence à rire silencieusement, puis, ne pouvant me contenir, je fais de plus en plus de bruit, jusqu'à hurler de rire dans la voiture. Je suis bientôt rejointe par l'ensemble du groupe — même James !—, la bonne humeur étant générale. Mmmh… la journée s'annonce bien… et je jette malgré moi un coup d'œil aux lèvres sensuelles de James…
Fin du huitième chapitre !
Je vous le promets, le 9ème chapitre arrive trèèèèès bientôt… en fait, ttes les idées st là, dc c'est bon ! (ouf de soulagement… lol). En attendant, je vous fait un peu de pub pour Attirance Masquée, mon autre fic, qui est une Draco/Hermione, dc ds un tt autre genre !
A bientôt, gros bisous,
Caraibos.
Réponses aux reviews :
lady22 : c moi qui n'ai rien « capté » à ta review… que se passe-t-il ? vas-y, pose-moi des questions et je verrai comment je peux y répondre ! salut
Aude : ah ! enfin ! la review tant attendue ! merci bcp… et bon, presse-toi en tt cas, parce que d'ici que tu lises cette réponse ds trois mois… : ) gros bisous ! et vive morillon !
HB : vive le romantisme et les frenchies, je suis d'accord ! même si je suis tjs au moins 30, j'essaye de relativiser… et « l'écriture m'aide à ne pas sombrer » ! ahhh ! aide-moi ! je couuuuuuuuuule… bizz, caraibos toujours lol
laeti : je n'aime pas les questions tordues, laetitia ! alors ne t'avise plus de demander « qui est James », compris ? et James, c'est… eh bah, c'est James, tout simplement ! bisous (lol)
Lily Evans 2004 : je te rassure tt de suite, tu ne nous empoisonnes pas la vie ! (enfin, pas de manière insupportable) en fait, je ne vois même pas à quoi tu fais allusion ! (voix d'ange) vivement la suite de ta fic, au fait !
Mamélie (qui se concerte avec laetitia pour trouver des questions tordues) : non, je ne pense à personne de précis pour écrire cette fic ! (malheureusement, d'ailleurs…°) si j'avais trouvé mon prince charmant, ça se saurait… pourquoi ? t'as une idée, toi ?
Clr : puisque on est ds l'originalité (pense à relire ta review) : merci clr ! tes encouragements me font très plaisir ! dsl de ne pas avoir posté plus tôt ! j'espère que tu as aimé ce chapitre ! et n'oublie pas d'écrire une review ! (un peu plus originale, peut-être…) loool, bisous
Lyane : euh… une peau squelettique… on va dire que mon imagination m'entraîne très très loin…non, en fait, c'est une peau extrêmement pâle, presque translucide, et qui laisse deviner les contours des os (parce qu'il est tout amaigri, ce pauvr chou ! euh, pardon… loup !) bisous ! et merci !
Soso : j'écris au-dessus de chaque partie le nom entre parenthèses de la personne qui parle (James ou Lily) dsl si ce n'est pas clair… j'espère que ça l'était plus ds ce chapitre ! merci pr ta review ! bisous
Eris : tu dois sûrement te douter mtnt de la réponse à ta question : oui, il y a une petite histoire d'amour prévue avec Sirius, et l'heureuse élue n'est autre que… bon, tu dois bien avoir un pressentiment… merci encore ! et à bientôt, j'espère (lol) bisous
Gaelle : merci merci merci ! mais, euh… bibi ? euh, non, en fait, euh… je voyais pas ça comme ça… enfin, on peut jamais savoir, peut-être ds un gros délire final ! allez gros bisous et chante bien ! (vive les sopranos, dsl… : )) bisous !
Coco : alors pour répondre à ta question concernant James et Lily, à dire vrai tu n'auras la réponse que… plus tard ! et oui, dsl, ce n'est pas encore au pgrme du jour, sinon la lgueur de ta review est très impressionnante (clap clap clap), et j'espère que tu vas faire aussi bien pour ce chapitre… grrrros bisous, et… vive les TPE ! (et georges, hihi)
Et un grand merci à Mapy, White, Lune, Emma, caro, Ginlée, et zeeve lelula !
