Ginny es tu la ?
C'est ma première fic, j'espère qu'elle vous plaira.
Disclaimer : tous ceci n'est pas à moi mais à J.K.Rowling
Préambule
Harry regarda le portail devant lui. Il était magnifique d'une couleur un peu bleutée, mais même sans cette couleur, il aurait été magnifique, car plus que son aspect, c'est ce qu'il représentait qui était important.
Harry regarda à nouveau sa chambre. Elle était spacieuse, rouge et or. Depuis deux ans il logeait à Poudlard avec Dumbledore. Depuis le jour tragique où la famille Dursley avait été assassinée. Non pas qu'il en ait été bouleversé, mais ces morts étaient des noms encore rajouté à la longue liste de ceux morts pour lui. Il y avait eut ses amis, Hermione, Ron, Neuville. Il n'aurait jamais pensé être aussi attaché à Neuville. Puis tous les autres.
-- oui tous les autres murmura Harry.
Harry hésitait tout en sachant que sa décision était prise. Il prenait juste le temps de se remémorer toutes les raisons qui l'avait poussé à faire ce qu'il allait faire, pour se donner la force de traverser se portail.
Tout avait commencé le jour d'halloween, le jour qui bouleversa sa vie. Beaucoup de monde penserait au jour des un an de Harry pour qualifier le jour le plus bouleversant de sa vie, mais pas lui. La mort de ses parents avaient été tragique mais pas autant que ce jour là : Halloween de sa septième année, le jour du cortège macabre. Ce jour la Harry Potter avait cessé de vivre pour être remplacé pas le Survivant.
Pourtant au matin du Halloween de sa septième année, rien ne laissait présager de ce qu'il allait arriver, que ce jour prendrait le nom historique du cortège macabre. Sa sixième année s'était déroulée comme celle d'un adolescent plus ou moins normal. Les blagues anodines, les histoires de cœur, les examens et parfois Voldemort, mais il avait toujours réussi a ne pas en faire une fixation. Il y avait bien cette prophétie mais Harry préférait l'ignorer, pour lui, Poudlard était un havre de paix et il avait encore de belles années devant lui avant de s'occuper de cette prophétie. Dumbledore et lui s'étaient fixé un accord silencieux et avaient décidé de ne pas reparler de cette prophétie avant qu'il n'ait obtenu son certificat de Auror. Harry n'était qu'un adolescent. Il ne se sentait pas prêt pour ça.
Cependant Harry prenait toujours le temps de parler avec Dumbledore. Cette proximité avait été mise en place pendant sa sixième année. Harry avait appris l'occlumencie avec Dumbledore, et ils avaient décidés, que même s'ils avaient fini les cours qu'ils continueraient a discuter. Harry pensait que Dumbledore s'en était vraiment voulu de lui avoir caché des choses, et essayait de se faire pardonner. Il en était même devenu surprotecteur.
Harry sourit, d'un sourire triste, oui en ce temps la Dumbledore s'inquiétait pour lui, et il faut dire que c'était ce qu'il recherchait le plus, quelqu'un qui prenne soin de lui. Leurs relations se rapprochaient de se que l'on pouvait nommer comme une relation père-fils, enfin, c'est ce qu'il croyait jusqu'à ces derniers événements.
Harry chassa ces pensées de sa tête. Il ne devait pas penser à Dumbledore. Il l'avait trahit ! Il le prenait pour un père, mais il s'était servit de lui, maintenant il comprenait tout. Tout ce qui intéressait Dumbledore s'était qu'il tue Voldemort. Maintenant qu'il l'avait fait il n'était plus q'une personne gênante.
STOP ! Harry fit une pause « Stop » comme Ginny (non ne pas penser à sa mort) se plaisait à dire. Harry avait toujours tendance a philosopher un peu trop longtemps sur sa vie. Alors Ginny avait instaurer la pause stop qui permettait à Harry d'arrêter tout de suite ses pauses. Et il faut dire que ca marchait plutôt bien.
Harry regarda à nouveau sa chambre. Il n'avait pas eut longtemps cette chambre. Officiellement il l'avait eut il y a deux ans, mais en fait il ne s'en était servi que pour quelques mois. Deux mois jusqu'au jour du cortège macabre. C'est ce jour là qu'il perdit ses amis et c'est aussi ce jour là, qu'il embrassa Ginny pour la première fois. Même le souvenir de son premier baisé avec Ginny il ne pouvait l'associer a un sentiment de joie. Comment aurait il pu. Harry décida de penser à quelque chose d'autre. Ce souvenir était encore pénible, quoi que celui de la mort de Ginny était bien plus atroce.
STOP. Harry arrête tout de suite. Si tu passe ce portail, je ne veux pas d'un Harry qui n'arrête pas de ne penser qu'à des événements tragiques.
Bon réfléchissons, quels souvenirs avait il de merveilleux de sa Ginny ? Quelle question idiote, il en avait des milliers. Un qu'il chérissait beaucoup était son retour des elfes. Et oui, il avait découvert les elfes, enfin s'étaient eux qui lavait trouvé, peu après le jour du cortège macabre. Dumbledore lui avait expliqué que Fibio le maître elfe avait perdu un éclaireur venu voir comment ça se passait chez les humains. Il serait mort lors du massacre et ça l'avait décidé à prendre parti.
-- Nan, fit ironiquement Harry, comment après un tel massacre rester neutre, enfin ce n'était pas évident pour tous car beaucoup était resté neutre, Quels imbéciles, encore un exemple de la stupidité des gens. Mais bon, Harry commençait (euphémisme) à sérieusement douter qu'il existait un camp du bien.
Les gens sont tellement futiles, jaloux, ils deviennent des animaux lorsqu'ils sont une foule ou se croient fort...
Enfin passons, se rouspeta intérieurement Harry. Je crois que j'ai déjà vu assez de la bêtise humaine pour être fixé.
Bref, se remémora Harry, il travaillait d'arrache pied chez les elfes tout en écrivant des lettres à Ginny dont il avait eut du mal à se séparer. Alors lorsqu'il était revenu cinq mois plus tard, et qu'il l'avait vu toujours aussi belle et souriante, c'est ce jour la qu'il s'était rendu compte de l'importance de ses sentiments. Il l'aimait, il l'aimait d'un amour que l'on ne pouvait décrire. C'est un des rares jours que Voldemort ne lui avait pas pris. Puis les trois mois qui suivirent furent merveilleux, toujours aussi beau. Harry était presque sur son petit nuage, mais il y avait Voldemort, et il ne referait pas la même bêtise qu'avec ses amis défunts, cette fois ci il allait s'assurer que Voldemort ne lui ferrait aucun mal à lui, à Ginny, et à toute autre personne. Il avait durant ces trois mois perfectionné sa magie, encore et encore, mais cela était nécessaire.
Il était devenu si puissant !
Bien plus que les quatre fondateurs, ça il en était maintenant plus que persuadé, mais il avait retardé le moment d'affronter Voldemort, ayant toujours peur de perdre ce qu'il avait de plus cher. Dumbledore l'avait bien prévenu, qu'il devait agir avant q'il ne soit trop tard. Mais il hésitait, et son hésitation avait permis à Voldemort d'enlever sa bien aimé. Le temps qu'il la retrouve elle été morte, non trucidé était un mot plus exacte et encore.
Harry stoppa ses pensées. Si la mort de ses amis était difficile, la mort de Ginny avait été sa mort a lui. Il avait beau avoir tué Voldemort, cela n'avait rien changé. Depuis il ne vivait plus.
Dumbledore l'avait réconforté, et Harry avait pensé qu'avec le temps... Mais Harry avait vite déchanté. Déjà la douleur ne partait pas, de plus Dumbledore, son seul soutient, s'était d'un coup fait très distant sans aucune raison, puis vain la fameuse discussion qui l'avait poussé à aller jusqu'au bout de ce portail.
FLASH BACK Harry regarda Dumbledore, il semblait accablé comme si le monde qui s'offrait à lui n'était plus que ruine. Pourtant il avait détruit Voldemort songea Harry, alors pourquoi est il comme ca.
-- Ah Harry tu es la fit Dumbledore.
Harry remarqua un changement, un regard plus dur, un regard déterminé, un regard qui ne souffrait d'aucune hésitation. Ce regard Harry l'avait déjà vu, mais jamais sur lui, ce regard n'était en général destiné qu'a des gens qui contrariait Dumbledore, des gens qui faisaient souvent fausse route et qu'il fallait remettre sur le droit chemin.
-- Harry j'ai des choses graves à t'entretenir.
-- Aussi grave que Voldemort. C'était une tentative d'humour, qui comme à chaque fois depuis la mort de Ginny, ne faisait pas du tout rire et était loin d'un quelconque humour. Et vu le regard de désespoir qu'Harry portait depuis la mort de Ginny, cela n'aidait pas.
Dumbledore lui fit un sourire crispé. Harry se figea, ça devait vraiment être grave. Dumbledore obtient donc son attention.
-- Harry fit Dumbledore d'un ton qui laissait montrer qu'il cherchait les mots appropriés, tu sais que ça fait maintenant une semaine que tu as tué Voldemort, et la population est heureuse.
-- Il y de quoi je crois, ou veux tu en venir Albus
-- J'y arrive Harry, a tu lus les journaux aujourd'hui ?
-- Pas spécialement pourquoi ?
-- Et bien deux articles dans le daily post, et le Kindom press, émettent des hypothèses, que fort de ton succès d'être le meurtrier de Voldemort,... (Harry grimaça il n'aimait pas la façon de Dumbledore énonçait les fait, c'était juste, mais c'était sans détour, sans effort de diminuer l'horreur de l'acte)
-- ... tu pourrais devenir un nouveau mage noir, prônant que tu en a déjà certain symptôme tel que le fourchelangue,...
-- Ou veux tu en venir coupa sèchement Harry. Que je dois faire attention à ne pas devenir un nouveau Lord Voldemort ?
-- Non répondit évasivement Dumbledore, ce n'est pas ce que je voulais dire, mais je crois qu'il serait mieux que tu partes dans un endroit ou personne ne te connaît, comme le monde moldu. Les gens seront habitué petit à petit à l'idée que Harry Potter est vraiment très fort et qu'il ne leur veut pas de mal...
-- Vous me demander de fuir car les gens vont penser que je suis un mage noir alors que je viens de tuer Voldemort. Comment les gens pourront ils croire ça ?
-- Harry déjà deux articles en font référence et cette idée va bientôt germer dans la tête des gens. Il faudra alors sans arrêt nier le fait que tu sois responsable d'acte malveillant et moi, Dumbledore fit une courte pause avant de se lancer, je n'aurais pas le temps de m'occuper de ça. Je dois déjà reconstruire le ministère de la magie qui est en miette. Je n'aurais pas le temps de m'occuper de toi.
Harry était sous le choc, mais ce qui vint en suite l'acheva.
--Harry il faut que tu comprennes, ce serrait bien pour tout le monde si tu te faisais petit pendant un certain temps, peut être un ou deux ans, le temps que je résolve certain problème majeurs.
Harry mis un certain temps à digérer ces informations.
--Des problèmes majeurs, et moi je suis quoi, je ... Enfin.... Je....Je croyais que vous étiez comme.... Enfin.... Comme un père. Je pensais que vous teniez à moi, que vous m'aimiez. Je...
-- Harry détrompez vous (Dumbledore reprenait le vouvoiement maintenant), nous avions toujours des rapport de maître à élève enfin je croyais que c'était clair.
Le pire c'est que Dumbledore avait pris un ton tellement... Un ton qui voulait dire que c'était l'évidence même. Harry n'en revenait pas, il réussit seulement à répliquer avant de partir
-- Et bien Pas pour moi, mais ce n'est pas grave j'ai compris le message cette fois ci, au revoir, ou plutôt adieu.
Harry ne se retourna pas. Il ne pourrait plus jamais voir Dumbledore en face. Cela faisait maintenant quatre jours que Dumbledore lui avait dit ces quatre vérités. Il ne savait pas ce qui lui avait fait le plus de mal. Le fait que Dumbledore lui ait dit qu'il n'était rien pour lui, ou bien le fait qu'il ne s'en soit pas rendu compte plus tôt. Le meurtrier de Voldemort, voilà ce qu'il était pour Albus. Il s'était bien rendu compte que les gens commençait à le regarder bizarrement mais il était prêt à les affronter avec l'aide de Dumbledore, mais la il n'avait plus personne. Il allait fuir, comme un pauvre Serpentard. De toute façon, Dumbledore lui avait bien dit de se faire oublier.
Oui maintenant il savait qu'il passerait ce portail. Il n'avait plus personne, et derrière ce portail s'offrait une vie où sa Ginny vivait encore. Harry sauta dans le portail avec toutes les affaires dont il avait besoin. Il ne laissait derrière lui qu'une chambre vide et une lettre, une lettre d'adieu.
Cher Albus Dumbledore.
Je n'interviendrais plus dans le monde magique, car j'en suis dégoûté. Je tenais seulement à dire que je n'étais, ni suis un mage noir et que je ne le deviendrais jamais. Cependant je suis lasse de redémontrer encore et encore que je ne suis pas le mal. J'espère au moins que vous me défendrez si cela ne vous demande pas trop d'effort, car je sais que vous devez conserver la paix et aider à la reconstruction du monde magique. Je m'en vais loin d'ici, chercher un chez moi. Les gens pourront penser que je fuis, cela peut être vu comme cela, mais en fait je crois que le monde de la magie est entre de bonnes mains et n'a plus besoin de moi. Vous me l'avez bien fait comprendre, soit dit en passant. Je vais donc penser à moi, et essayer de trouver un sens à ma vie, trouver un chez moi, trouver un lieu ou personne ne me reconnaîtra. Ne me cherchez pas (si l'envie vous en prenait, quoique j'en doute) je serais introuvable.
Je vous dit donc adieu Albus. Maintenant que je pars je peux vous confié que j'espérais que vous pourriez être comme un père pour moi, mais vous m'avez fait comprendre que ce n'était pas le cas. J'ai le sentiment d'être trahit
Adieu donc
Harry.
C'est ma première fic, j'espère qu'elle vous plaira.
Disclaimer : tous ceci n'est pas à moi mais à J.K.Rowling
Préambule
Harry regarda le portail devant lui. Il était magnifique d'une couleur un peu bleutée, mais même sans cette couleur, il aurait été magnifique, car plus que son aspect, c'est ce qu'il représentait qui était important.
Harry regarda à nouveau sa chambre. Elle était spacieuse, rouge et or. Depuis deux ans il logeait à Poudlard avec Dumbledore. Depuis le jour tragique où la famille Dursley avait été assassinée. Non pas qu'il en ait été bouleversé, mais ces morts étaient des noms encore rajouté à la longue liste de ceux morts pour lui. Il y avait eut ses amis, Hermione, Ron, Neuville. Il n'aurait jamais pensé être aussi attaché à Neuville. Puis tous les autres.
-- oui tous les autres murmura Harry.
Harry hésitait tout en sachant que sa décision était prise. Il prenait juste le temps de se remémorer toutes les raisons qui l'avait poussé à faire ce qu'il allait faire, pour se donner la force de traverser se portail.
Tout avait commencé le jour d'halloween, le jour qui bouleversa sa vie. Beaucoup de monde penserait au jour des un an de Harry pour qualifier le jour le plus bouleversant de sa vie, mais pas lui. La mort de ses parents avaient été tragique mais pas autant que ce jour là : Halloween de sa septième année, le jour du cortège macabre. Ce jour la Harry Potter avait cessé de vivre pour être remplacé pas le Survivant.
Pourtant au matin du Halloween de sa septième année, rien ne laissait présager de ce qu'il allait arriver, que ce jour prendrait le nom historique du cortège macabre. Sa sixième année s'était déroulée comme celle d'un adolescent plus ou moins normal. Les blagues anodines, les histoires de cœur, les examens et parfois Voldemort, mais il avait toujours réussi a ne pas en faire une fixation. Il y avait bien cette prophétie mais Harry préférait l'ignorer, pour lui, Poudlard était un havre de paix et il avait encore de belles années devant lui avant de s'occuper de cette prophétie. Dumbledore et lui s'étaient fixé un accord silencieux et avaient décidé de ne pas reparler de cette prophétie avant qu'il n'ait obtenu son certificat de Auror. Harry n'était qu'un adolescent. Il ne se sentait pas prêt pour ça.
Cependant Harry prenait toujours le temps de parler avec Dumbledore. Cette proximité avait été mise en place pendant sa sixième année. Harry avait appris l'occlumencie avec Dumbledore, et ils avaient décidés, que même s'ils avaient fini les cours qu'ils continueraient a discuter. Harry pensait que Dumbledore s'en était vraiment voulu de lui avoir caché des choses, et essayait de se faire pardonner. Il en était même devenu surprotecteur.
Harry sourit, d'un sourire triste, oui en ce temps la Dumbledore s'inquiétait pour lui, et il faut dire que c'était ce qu'il recherchait le plus, quelqu'un qui prenne soin de lui. Leurs relations se rapprochaient de se que l'on pouvait nommer comme une relation père-fils, enfin, c'est ce qu'il croyait jusqu'à ces derniers événements.
Harry chassa ces pensées de sa tête. Il ne devait pas penser à Dumbledore. Il l'avait trahit ! Il le prenait pour un père, mais il s'était servit de lui, maintenant il comprenait tout. Tout ce qui intéressait Dumbledore s'était qu'il tue Voldemort. Maintenant qu'il l'avait fait il n'était plus q'une personne gênante.
STOP ! Harry fit une pause « Stop » comme Ginny (non ne pas penser à sa mort) se plaisait à dire. Harry avait toujours tendance a philosopher un peu trop longtemps sur sa vie. Alors Ginny avait instaurer la pause stop qui permettait à Harry d'arrêter tout de suite ses pauses. Et il faut dire que ca marchait plutôt bien.
Harry regarda à nouveau sa chambre. Il n'avait pas eut longtemps cette chambre. Officiellement il l'avait eut il y a deux ans, mais en fait il ne s'en était servi que pour quelques mois. Deux mois jusqu'au jour du cortège macabre. C'est ce jour là qu'il perdit ses amis et c'est aussi ce jour là, qu'il embrassa Ginny pour la première fois. Même le souvenir de son premier baisé avec Ginny il ne pouvait l'associer a un sentiment de joie. Comment aurait il pu. Harry décida de penser à quelque chose d'autre. Ce souvenir était encore pénible, quoi que celui de la mort de Ginny était bien plus atroce.
STOP. Harry arrête tout de suite. Si tu passe ce portail, je ne veux pas d'un Harry qui n'arrête pas de ne penser qu'à des événements tragiques.
Bon réfléchissons, quels souvenirs avait il de merveilleux de sa Ginny ? Quelle question idiote, il en avait des milliers. Un qu'il chérissait beaucoup était son retour des elfes. Et oui, il avait découvert les elfes, enfin s'étaient eux qui lavait trouvé, peu après le jour du cortège macabre. Dumbledore lui avait expliqué que Fibio le maître elfe avait perdu un éclaireur venu voir comment ça se passait chez les humains. Il serait mort lors du massacre et ça l'avait décidé à prendre parti.
-- Nan, fit ironiquement Harry, comment après un tel massacre rester neutre, enfin ce n'était pas évident pour tous car beaucoup était resté neutre, Quels imbéciles, encore un exemple de la stupidité des gens. Mais bon, Harry commençait (euphémisme) à sérieusement douter qu'il existait un camp du bien.
Les gens sont tellement futiles, jaloux, ils deviennent des animaux lorsqu'ils sont une foule ou se croient fort...
Enfin passons, se rouspeta intérieurement Harry. Je crois que j'ai déjà vu assez de la bêtise humaine pour être fixé.
Bref, se remémora Harry, il travaillait d'arrache pied chez les elfes tout en écrivant des lettres à Ginny dont il avait eut du mal à se séparer. Alors lorsqu'il était revenu cinq mois plus tard, et qu'il l'avait vu toujours aussi belle et souriante, c'est ce jour la qu'il s'était rendu compte de l'importance de ses sentiments. Il l'aimait, il l'aimait d'un amour que l'on ne pouvait décrire. C'est un des rares jours que Voldemort ne lui avait pas pris. Puis les trois mois qui suivirent furent merveilleux, toujours aussi beau. Harry était presque sur son petit nuage, mais il y avait Voldemort, et il ne referait pas la même bêtise qu'avec ses amis défunts, cette fois ci il allait s'assurer que Voldemort ne lui ferrait aucun mal à lui, à Ginny, et à toute autre personne. Il avait durant ces trois mois perfectionné sa magie, encore et encore, mais cela était nécessaire.
Il était devenu si puissant !
Bien plus que les quatre fondateurs, ça il en était maintenant plus que persuadé, mais il avait retardé le moment d'affronter Voldemort, ayant toujours peur de perdre ce qu'il avait de plus cher. Dumbledore l'avait bien prévenu, qu'il devait agir avant q'il ne soit trop tard. Mais il hésitait, et son hésitation avait permis à Voldemort d'enlever sa bien aimé. Le temps qu'il la retrouve elle été morte, non trucidé était un mot plus exacte et encore.
Harry stoppa ses pensées. Si la mort de ses amis était difficile, la mort de Ginny avait été sa mort a lui. Il avait beau avoir tué Voldemort, cela n'avait rien changé. Depuis il ne vivait plus.
Dumbledore l'avait réconforté, et Harry avait pensé qu'avec le temps... Mais Harry avait vite déchanté. Déjà la douleur ne partait pas, de plus Dumbledore, son seul soutient, s'était d'un coup fait très distant sans aucune raison, puis vain la fameuse discussion qui l'avait poussé à aller jusqu'au bout de ce portail.
FLASH BACK Harry regarda Dumbledore, il semblait accablé comme si le monde qui s'offrait à lui n'était plus que ruine. Pourtant il avait détruit Voldemort songea Harry, alors pourquoi est il comme ca.
-- Ah Harry tu es la fit Dumbledore.
Harry remarqua un changement, un regard plus dur, un regard déterminé, un regard qui ne souffrait d'aucune hésitation. Ce regard Harry l'avait déjà vu, mais jamais sur lui, ce regard n'était en général destiné qu'a des gens qui contrariait Dumbledore, des gens qui faisaient souvent fausse route et qu'il fallait remettre sur le droit chemin.
-- Harry j'ai des choses graves à t'entretenir.
-- Aussi grave que Voldemort. C'était une tentative d'humour, qui comme à chaque fois depuis la mort de Ginny, ne faisait pas du tout rire et était loin d'un quelconque humour. Et vu le regard de désespoir qu'Harry portait depuis la mort de Ginny, cela n'aidait pas.
Dumbledore lui fit un sourire crispé. Harry se figea, ça devait vraiment être grave. Dumbledore obtient donc son attention.
-- Harry fit Dumbledore d'un ton qui laissait montrer qu'il cherchait les mots appropriés, tu sais que ça fait maintenant une semaine que tu as tué Voldemort, et la population est heureuse.
-- Il y de quoi je crois, ou veux tu en venir Albus
-- J'y arrive Harry, a tu lus les journaux aujourd'hui ?
-- Pas spécialement pourquoi ?
-- Et bien deux articles dans le daily post, et le Kindom press, émettent des hypothèses, que fort de ton succès d'être le meurtrier de Voldemort,... (Harry grimaça il n'aimait pas la façon de Dumbledore énonçait les fait, c'était juste, mais c'était sans détour, sans effort de diminuer l'horreur de l'acte)
-- ... tu pourrais devenir un nouveau mage noir, prônant que tu en a déjà certain symptôme tel que le fourchelangue,...
-- Ou veux tu en venir coupa sèchement Harry. Que je dois faire attention à ne pas devenir un nouveau Lord Voldemort ?
-- Non répondit évasivement Dumbledore, ce n'est pas ce que je voulais dire, mais je crois qu'il serait mieux que tu partes dans un endroit ou personne ne te connaît, comme le monde moldu. Les gens seront habitué petit à petit à l'idée que Harry Potter est vraiment très fort et qu'il ne leur veut pas de mal...
-- Vous me demander de fuir car les gens vont penser que je suis un mage noir alors que je viens de tuer Voldemort. Comment les gens pourront ils croire ça ?
-- Harry déjà deux articles en font référence et cette idée va bientôt germer dans la tête des gens. Il faudra alors sans arrêt nier le fait que tu sois responsable d'acte malveillant et moi, Dumbledore fit une courte pause avant de se lancer, je n'aurais pas le temps de m'occuper de ça. Je dois déjà reconstruire le ministère de la magie qui est en miette. Je n'aurais pas le temps de m'occuper de toi.
Harry était sous le choc, mais ce qui vint en suite l'acheva.
--Harry il faut que tu comprennes, ce serrait bien pour tout le monde si tu te faisais petit pendant un certain temps, peut être un ou deux ans, le temps que je résolve certain problème majeurs.
Harry mis un certain temps à digérer ces informations.
--Des problèmes majeurs, et moi je suis quoi, je ... Enfin.... Je....Je croyais que vous étiez comme.... Enfin.... Comme un père. Je pensais que vous teniez à moi, que vous m'aimiez. Je...
-- Harry détrompez vous (Dumbledore reprenait le vouvoiement maintenant), nous avions toujours des rapport de maître à élève enfin je croyais que c'était clair.
Le pire c'est que Dumbledore avait pris un ton tellement... Un ton qui voulait dire que c'était l'évidence même. Harry n'en revenait pas, il réussit seulement à répliquer avant de partir
-- Et bien Pas pour moi, mais ce n'est pas grave j'ai compris le message cette fois ci, au revoir, ou plutôt adieu.
Harry ne se retourna pas. Il ne pourrait plus jamais voir Dumbledore en face. Cela faisait maintenant quatre jours que Dumbledore lui avait dit ces quatre vérités. Il ne savait pas ce qui lui avait fait le plus de mal. Le fait que Dumbledore lui ait dit qu'il n'était rien pour lui, ou bien le fait qu'il ne s'en soit pas rendu compte plus tôt. Le meurtrier de Voldemort, voilà ce qu'il était pour Albus. Il s'était bien rendu compte que les gens commençait à le regarder bizarrement mais il était prêt à les affronter avec l'aide de Dumbledore, mais la il n'avait plus personne. Il allait fuir, comme un pauvre Serpentard. De toute façon, Dumbledore lui avait bien dit de se faire oublier.
Oui maintenant il savait qu'il passerait ce portail. Il n'avait plus personne, et derrière ce portail s'offrait une vie où sa Ginny vivait encore. Harry sauta dans le portail avec toutes les affaires dont il avait besoin. Il ne laissait derrière lui qu'une chambre vide et une lettre, une lettre d'adieu.
Cher Albus Dumbledore.
Je n'interviendrais plus dans le monde magique, car j'en suis dégoûté. Je tenais seulement à dire que je n'étais, ni suis un mage noir et que je ne le deviendrais jamais. Cependant je suis lasse de redémontrer encore et encore que je ne suis pas le mal. J'espère au moins que vous me défendrez si cela ne vous demande pas trop d'effort, car je sais que vous devez conserver la paix et aider à la reconstruction du monde magique. Je m'en vais loin d'ici, chercher un chez moi. Les gens pourront penser que je fuis, cela peut être vu comme cela, mais en fait je crois que le monde de la magie est entre de bonnes mains et n'a plus besoin de moi. Vous me l'avez bien fait comprendre, soit dit en passant. Je vais donc penser à moi, et essayer de trouver un sens à ma vie, trouver un chez moi, trouver un lieu ou personne ne me reconnaîtra. Ne me cherchez pas (si l'envie vous en prenait, quoique j'en doute) je serais introuvable.
Je vous dit donc adieu Albus. Maintenant que je pars je peux vous confié que j'espérais que vous pourriez être comme un père pour moi, mais vous m'avez fait comprendre que ce n'était pas le cas. J'ai le sentiment d'être trahit
Adieu donc
Harry.
