Titre : Ginny es tu la ?

Disclaimer : Tous les personnages sont de J.K.Rowling

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Chapitre deuxième

Petite discussion avec un Black

Harry avait dormis au chaudron baveur. Cela semblait l'endroit le plus approprié.

Harry se leva assez tôt. Hier était la première étape, mais il restait encore beaucoup de choses. Harry regrettait le manque de temps. En effet il aurait voulu se renseigner un peu plus sur ce monde. Que s'était il passé pour que Voldemort n'ai pas encore détruit ce monde puisqu'il y était très actif d'après Dumbledore. C'était sans doute la première chose que Harry voulait faire. Acheter des livres d'histoire. Il suffirait qu'il sorte une grosse bourde et adieu sa couverture.

Le deuxième lieu et pour la même raison était de s'acheter plein d'accessoires inutiles qui ne l'intéressait pas le moins du monde, mais qui avait pour objectif de montrer qu'il ne venait pas de débarquer sans rien. Enfin toutes les affaires nécessaires et autres.

Bien entendu sa mission première était d'aller déposer son argent à la banque Gringott.

-Aller hop mon gaillard il est temps de s'y mettre car sa nouvelle devise était « ne pas être un survivant, mais un vivant ». Il faut dire qu'il était plutôt fière de sa devise qui soit dit en passant était nulle, mais il s'en fichait. Cette devise résumait bien tout ce qu'il cherchait dans ce monde, et il n'était pas près de l'abandonner pour un quelconque Voldemort. Dans ce monde se serrait Dumbledore qui s'occuperait des méchants, car lui avait mieux à faire : être avec sa bien aimée.

Apres cette jolie pensée matinale, Harry était prêt à attaquer sa matinée.

Harry fit très attention de baisser son aura au maximum toute la journée. Dumbledore avait vu qu'il était puissant, mais ici il devait passer incognito. Surtout que la rue était quadrillée d'Aurore pour surveiller la rue. A la banque il ne fallait pas qu'il se fasse remarquer. Il ne voulait pas que l'on sache qu'il était riche. Il y déposa rapidement une bonne partie de sa fortune mais en garda quand même assez pour la suite.

Argent en poche, Harry alla dans le magasin de livre Fleurit et Bott. Il y acheta la version officielle de Poudlard, deux autres livres traitant sur l'histoire de la magie. Il acheta tous les livres scolaires nécessaires. Enfin il acheta deux livres mystérieux pour son propre plaisir. L'un traitait des animaux fantastiques et l'autre permettait d'apprendre n'importe quelle langue (Il existait bien une potion, mais elle avait un horrible goût, et nécessitait beaucoup de temps de préparation. Il rajouta au dernier moment un livre sur les Aurors, il cernerait tout de suite quelles familles étaient du bon coté et un livre sur les légendes dont il puiserait l'inspiration s'il désirait encore inventer des nouveaux sorts, ce qu'il doutait fort cependant. Ici , cela ne servait à rien de s'entraîner.

La première étape était faite, il lirait la grande majorité de ces œuvres le soir même.

La seconde étape consistait à acheter un balai. Harry ne désirait pas prendre un balai performant, de toute façon il ne pensait pas reprendre ce jeu. Il en avait de trop mauvais souvenirs. Il acheta par contre des vêtements de qualités ainsi que quelques vêtements moldus qu'il prévoyait dès le soir même de rendre un peu moins neuf. Il aurait pu apporter ses vêtements, mais il ne connaissait pas la mode de ce monde. Il semblait qu'il aurait tout aussi bien pu garder ses vêtements, mais cela n'était pas grave.

Décidant qu'il garderait le reste pour le lendemain Harry rentra chez lui et se mit à lire les livres. Ce qu'il y trouva s'avéra fort intéressant. Dans ce monde Voldemort était arrivé au pouvoir en même temps, mais une résistance s'était formée tout de suite. Aucun événement du genre « survivant » qui avait altéré le pouvoir de Voldemort. Il était intéressant de voir que Dumbledore n'ayant jamais eu cette prophétie n'avait du compter que sur lui même et avait très tôt développé des cours de self défense dans son école. Les gens avaient appris a mieux gérer la peur et a affronter Voldemort. Ainsi Dumbledore avait développé le sentiment de résistance chez ses élèves.

Et oui ajouté une prophétie qui dit que quelqu'un va tuer le gros méchant et vous vous sentez en sécurité. Vous ne faites plus d'efforts. Dans ce monde Dumbledore avait sûrement pris Voldemort très au sérieux ne sachant pas ce que le monde allait devenir. Comme quoi, mettez une prophétie et vous changé le monde. Harry avait un goût amer dans la bouche. Ce monde était ce que son monde aurait été si toute la communauté magique ne s'était pas basée que sur lui.

Il n'avait pas trouvé le nom de Potter dans les Aurors récents. Son père semblait être mort. Par contre il y avait le nom de Black. Peut être ferrait il une sortie pour voir quelques instants Sirius, mais Harry n'oubliait pas qu'il ne devait pas faire capoter sa couverture sinon adieu Ginny.

Harry appréhendait un peu sa scolarité à Poudlard, car il avait un niveau bien supérieur, mais il enleva vite cette pensée de sa tête. Il ne devait pas se stresser. ICI, il n'avait pas de responsabilité, il pouvait même faire quelques blagues, enfin, ça il verrait après si sa bien aimée, n'est pas contre.

Le lendemain Harry acheta diverses petites choses. Des bonbons, des gadgets qu'un adolescent quelconque collectionnait le long de sa vie.

Il lui restait encore à trouver un animal. Harry hésita longuement. Sa chouette était morte lors de sa sixième année et il s'était fait un devoir de ne pas la remplacer. Il s'avançait dans les rayons lorsqu'il arriva devant une touffe poilue orange. C'était Pattenrond. Hermione ne l'avait donc pas acheté ici. Harry se laissa attendrir, de toute façon il n'aurait pas pu le laissé enfermé. Il prit donc le chat et lui expliqua qu'il le nommait Pattenrond.

Il lui restait encore une heure avant le départ du train. Harry décida de prendre un soda au chaudron baveur, et de lire tranquillement le premier chapitre de l'Histoire de Poudlard.

Bon je récapitule, pour comprendre un peu mieux ce monde j'ai acheté tout ce qui était nécessaire et enfin quatre autres livres pour m'occuper. Bon, je les aie bien transformé en livre pour adolescent pour que personne ne se doute de rien. J'ai acheté toutes les bêtises nécessaires et j'ai Pattenrond. Harry le caressa. Il ne me reste plus qu'à attendre une heure avant d'aller à la gare. Est ce que j'ai bien mes uniformes sans le blason de Griffondor ? heu oui, je crois que j'ai et....

Harry ruminait dans ses pensées qu'il avait déjà décidé mainte fois d'éviter pour ne pas se creuser la tête inutilement mais il continuait encore. Il était stressé. C'était quand même le jour ou il devait faire le plus attention. On allait lui poser plein de questions. Il en était là de ses réflexions depuis un bonne demi heure lorsqu'une jolie fille vient l'accoster.

- Excuse moi, mais mes copines et moi même nous avons vu que tu avais un livre de Poudlard et nous nous demandions, si tu étais nouveau.

Harry vit deux autres fille derrière elle qu'il ne reconnu pas. Harry fit un effort insurmontable pour ne pas rire de leur gloussement. « Relax Harry, tu es un étudiant normal, et les filles qui gloussent c'est normal. Allez, ne pas être un survivant mais un vivant. »

Harry lui fit un sourire franc et lui répondit

- oui je suis nouveau, vous êtes très perspicace demoiselle...

- Vélary, Vélary Oppod

- Ca se voit tant que ça que je suis nouveau

--Et bien il m'a fallu une enquête minutieuse. Je cherchais quelqu'un qui avait honteusement dérobé trois chocolats de qualité à Madame Grunge. Cependant fort de cette première découverte j'ai commencé à aller voir son voisin Arthur, surnommé le dévoreur de télé. Voyant un lien possible avec notre voleur, que dis je, notre criminel...

Elle continuait avec éloquence son discours que Harry survolait de temps en temps tout en regardant les deux jeunes filles qui saluait silencieusement un garçon qui venait d'arriver. Il avait un sourire étrangement familier à Harry. D'après ce qu'il pouvait voir, le garçon essayait d'écouter sans se faire remarquer, ce qui marchait prodigieusement puisque Vélary continuait son monologue.

- C'est lorsque je vous ai vu, avec votre animal orange qui après étude s'avérait être un chat orange, (Harry feint d'être vexé) qui ...soit dit en passant semble maintenant que je le vois de plus prêt, fort respectable, enfin votre chat ma fait porter des soupçons sur celui qui le possédait, c'est à dire VOUS.

Elle cria le mot.

- J'en viens alors à notre sujet d'origine qui est que vous voyant lire un livre et utilisant les dernier moyens possible technologiques moldu et magique, je réussit à obtenir le titre de votre livre : Histoire de Poudlard. Deux cas s'offraient à moi. Soit vous étiez un enfant prodige, lisant et retenant tous les livres imaginables et qui s'ennuyant avait décidé d'étudier pour la 567ème fois les mystères de Poudlard afin d'en résoudre quelque uns, soit vous vous renseignez pour Poudlard car vous devez y aller. Tout en n'abandonnant pas la première idée, je décidais d'approfondir ma seconde hypothèse...

Harry du se concentrer car les deux amies de la jeunes fille rigolait, sûrement de la tête qu'il faisait, car sincèrement il commençait a se demander s'il n'était pas arrivé dans un monde de fou. Harry tenta quand même de continuer à écouter l'explication de Vélary

-- Et donc vu votre jeunesse et votre motivation pour un tel livre j'en conclue que vous deviez être un nouvel élève. C'était aussi simple que ça.

Le garçon applaudit ainsi que les deux jeunes filles. Elle les remercia après avoir remarqué la présence du garçon. Elle rajouta alors

-- Un quatuor infernal se doit de résoudre toutes les énigmes, mon cher.

-- C'est même indispensable fit le garçon d'un air tout à fait solennel qui décidément ne lui allait pas du tout. Mais n'oublier pas ma chère que nous n'avons pas encore élucidé l'affaire des chocolats de qualité de Madame Grunge.

-- Si mon cher car entre temps j'ai découvert que c'était son chien qui les avait mangé par vengeance car sa maîtresse avait oublié de lui donné sa pâté.

-- Vous êtes parfaite. Pourquoi ne vous ai je pas encore épousé.

-- Ce ne serait tardé mon cher, patience. Puis elle lui fit un baisé courtois. Pour l'instant je ne puis, en ma qualité de dame vous donner que cela.

- Soit j'attendrais, mais c'est avec le cœur plein d'espoir

Puis il se retourna d'un coup vers Harry qui sursauta.

-- Mais je manque à tous mes devoirs. Je m'appelle Eridan, Eridan Black

Harry sous la surprise ne réussit qu'à bafouiller quelques mots. -- Heu c'est spécial comme nom.

Le garçon se retourna en colère contre Vélary. C'était impressionnant comment il savait changer de mimique selon la circonstance -- Et voilà tu lui as fait peur. Un quatuor infernal se doit de faire rire non de faire peur. Le pauvre, traumatisé avant son arrivé.

Elle lui donna un coup sur la tête - N'insultez point votre dame

Voyant la tête de Harry, Eridan changea une troisième fois de caractère pour se retrouver dans celui d'une personne très sérieuse, enfin il essayait de l'être. - Voilà qu'est ce que je disais. On fait toujours des discours bizarres et les autres ils ont peur ou nous croient fous, il faudrait vraiment nous arranger parfois, car....

Harry n'écoutait plus, il essayait de voir les similitudes entre Sirius et ce garçon. Il y en avait c'était certain. Ses cheveux avaient la même couleur, un noir intense, il avait aussi se regard noir de Sirius, cependant pour ce qui était de la forme du visage cela devait venir de sa mère. Maintenant restait à savoir jusqu'à quel point il était relié à Sirius. Probablement son fils, mais il pouvait n'être que seulement son neveu. Eridan lui sourit. Voilà ce qui expliquait ce sourire si familier, c'était le même que Sirius. Il semblait attendre quelque chose. Et les autres le regardaient.

- Heu vous me parliez, je suis désolé j'avais un passage à vide.

Eridan le regardait choqué tandis que Vélary et ses amis qui ne s'était toujours pas présentés riaient. - Je te demandais ton avis sur le fait qu'elle parle trop.

- Oh

- Mais en fait, je dois aussi parler trop.

Il avait un air ennuyé et Harry se frappa mentalement. Première rencontre avec des Griffondor en plus, Harry venait de remarquer leurs écussons, et il les vexait, il allait s'excuser quant Vélary s'approcha de Eridan.

--Nous sommes des incompris mon chéri. Et elle l'embrassa tendrement.

Il répondit à son baisé mais il se tourna d'un coup vers Harry, ce qui laissa Vélary sur sa fin - eh

- désolé ma chérie mais je me suis rendu compte que je ne savais même pas comment s'appelait ce charmant personnage.

- Mais c'est vrai, au fait, comment tu t'appelles

- Harry, Harry Potter. Gros silence.

Puis Eridan se lança

- tu es apparenté à James Potter

Harry surpris, n'en montra pourtant rien, des années d'expérience à se former un visage Malfoyen comme disait Ginny.

-Heu non enfin j'en sais rien, je suis orphelin

L'atmosphère se détendit - Désolé, c'était juste pour savoir. Il existe déjà une famille Potter ici, c'est une famille assez vielle, pur comme dirais certains, mais tu devrais quand même connaître, James Potter est dans le ministère de la magie.

- Et bien, à la mort de mes parents, j'ai été recueilli par la sœur de ma mère qui est moldu. Eridan s'assit à coté de lui.

- Re désolé de te rappeler ces souvenir. Ca ne te déranges pas que je m'assoie à coté de toi, non, parfait (il ne laissa pas le temps à Harry de répondre de toute façon), alors raconte nous tous Harry. Qui es tu d'ou viens tu, enfin tous ça. - T'es pas obligé de parler de tout fit gentiment Vélary

Il se passa un silence puis Harry commença son histoire toute faite. - Et bien mon histoire est somme toute bannale, et

- Aucune vie n'est bannale Harry, le coupa Eridan, je suis sur que tu as nous dire des choses pationantes, et être sorcier et vivre dans le monde moldu ce n'est déjà pas banal, enfin pour moi.

- Laisse le parler, petit Lutin Farceur

- Je ne relèverai pas cette remarque qui me passe tout de même passé de prince charmant à petit Lutin farceur car moi, j'enquête sur la vie de Harry. Alors Harry, commençons par le début ou es tu né.

- Heu je suis né en Angletterre.

- Ah ah. Ca je l'avais deviné car tu ne possède aucun accents.

- Laisse le parler sinon il ne nous dira rien.

- Bien bien si mon assistance n'a pas besoin de moi. Je me tais

- Merci mon chéri.

Harry après être sûr que c'était son tour de parler, il commença.

- Et bien je suis né en Angletterre, mais mes parents sont morts quant j'avais un ans donc je suis aller chez ma famille, du coté moldu. Puis quelqu'un s'est occupé de moi pour la magie. Je n'ai eut presque aucun contact avec le monde magique.

Pour ma dernière année, je me suis dit qu'il me fallait un diplôme certifié donc je suis venu ici, à Poudlard, il parait qu'il faut la voir au moins une fois dans sa vie. Je voulais aussi découvrir un peu plus le monde de mes parents.

Harry avait un air triste. Il avait mentit, mais si peu. Sa vie ressemblait vraiment à ça sauf que Dumbledore l'avait pris sous son aile dans Poudlard même, puis ça avait été Maitre Fibio. Il avait préféré ne pas trop mentir, c'était plus facile pour ne pas faire de gaffes. Devant le regard songeur de Harry, Eridan cru comprendre que ces parents étaient un sujet douloureux, il n'était pas si loin de la vérité. Il décida avec tact, de dévier sur les études.

- Je ne savais pas qu'on pouvait apprendre la magie en dehors de Poudlard. Vélary il faut absolument que l'on sache combien ils sont dans ces cas la ? Tu ne le saurais pas Harry.

- Et bien non, j'était tout seul avec mon enseignant.

- Il s'appelait comment ?

- Il s'appelait Balmer De Debousu

- Connaît pas. Mais il a un sacré nom à rallonge, c'était quoi son prénom juste pour savoir.

- Balmer est son prénom.

- Ah je vois. Il n'a pas eu de chance, lui. Il était sympa ?

- Ca dépend des moments, mais il était un bon enseignant si la question c'était ça.

- Ca va te changer. Ici à Poudlard on est 1400 élèves sans compter toutes les bizarreries.

- Oui ça va me changer, c'est pour ça que je lisais ce livre, pour me préparer.

- Je peux te dire affirma Vélary que rien ne peux te préparer à ce que tu verras à Poudlard. Ce n'est pas une école de sorcellerie pour rien. Enfin tu verras par toi même. Sinon tous ce que tu as à savoir, c'est qu'il y a quatre maisons dans cette école, mais tu dois être au courant.

- Et bien Dumbledore m'a parlé des matières et j'ai lu qu'il y avait quatre maisons : Griffondor, Serpentard, Serdaigle et Poutoufle

- c'est presque ça repris Eridan en essayant de ne pas rire, c'est Poufsouffle. Si tu veux mon avis, la meilleure maison c'est la maison Serpentard

Harry resta bouche bé. Il devait être le fils de Bellatrix alors, pourtant il ne ressemblait pas à un Serpentard

Vélary rigola, - non, Harry ne t'inquiète pas, il dit ça pour rire, c'est la brebis galeuse de Serpentard.

- Hey

- Il n'est pas comme le reste de sa maison, ils sont tous en train de traîner dans des affaires pas très bien, mais mon Eridan il est spécial.

- Houai, et cette année je suis décidée à ce que Serpentard représente des élèves honorables, je suis sur que je vais y arriver. Il suffit que.... Velary l'arrêta tout de suite. Tu vois il est un ardent défenseur du bien, mais il ne faut pas le lancer sur ça.

- Hey tu peux parler, et si tu continues, Tu serras ma prochaine cible.

- Tu ne peux pas faire ça, tu m'aimes trop et en plus on est coéquipier, tu te rappelles le quatuor infernal.

- Mouhais, ben des fois je le regrette.

- Heuu dit Harry, Eridan c'est ça?

- Oui, c'est un peu bizarre, mais mon père s'appelle Sirius, et il voulait un nom de constellation, comme lui, il dit que ca lui à porté chance pour rencontrer maman, enfin tu vois le genre. Enfin si tu veux plus de détail je peux rentrer dedans.

- mais ce n'est pas possible, tu es pire que moi, et pourtant c'est dur.

Il mourrait d'envie de lui demander plus de détail, mais se serait vraiment mal venu. Maintenant au moins il était sur que c'était bien le fils de Sirius.

- Heu ca va ? - Heu oui, je me demandais ce que pouvait bien vouloir dire quatuor infernal. Harry assista alors a une monté en flèche de sourire.

- Et bien vois tu commença Vélary, le quatuor infernal est l'association de quatre élèves

- désireux d'améliorer la réputation de Poudlard continua Eridan.

- Ils font de nombreuses blagues à tous leurs congénères,

- mais jamais méchantes rectifia Eridan

- Ils font toujours ça dans un but pédagogique

- Toujours, même la fois où...

Mais Vélary l'arrêta d'un regard - Tu nous as fait rater notre présentation.

- Oh désolé, on recommence alors.

- Harry tu fais comme si tu n'avais rien entendu.

Harry ne comprenait plus rien ils recommençait le même speach, ils étaient intenables, pire que les jumeaux.

- Et bien vois tu reprit Vélary, le quatuor infernal est l'association de quatre élèves

- désireux d'améliorer la réputation de Poudlard continua Eridan.

- Ils font de nombreuses blagues à tous leurs congénères,

- mais jamais méchantes rectifia Eridan

- Ils font toujours ça dans un but pédagogique

- Toujours Petit silence.

- Et dans toutes les maisons

-car ils sont partout

- Eridan est à Serpentard, Vélary désignait son ami

- Vélary est à Serdaigle

- Cassiopée, la sœur jumelle de Eridan est à Griffondor

- et enfin Marco est à Poufsouffle.

- Prend garde à ne pas nous énerver

- Prend garde à nos blagues

- Car il n'existe aucun moyen de nous échapper dirent ils en cœur.

-Alors demanda précipitamment Vélary, tu as trouvé ça comment ? On a répété toutes les vacances, car il nous fallait une nouvelle image de marque. Alors t'en pense quoi Harry. ALORS fit elle impatiente

- heu c'était bien

- juste bien, mais c'était grandiose non ?

Vélary demandait un acquiescement silencieux de Harry qui le fit tout de suite sentant une certaine menace arrivée sinon.

- Tu vois je te l'avais dit Eridan c'est parfait.

- Tu as triché tu l'a presque menacé

- Non non c'était vraiment bien, un peu spécial, mais je crois que ça montre bien qui vous êtes.

Eridan éclata de rire, ainsi que les deux jeunes filles qui décidemment faisaient de plus en plus potiches. Vélary étant ou jouant la vexée, Eridan essayait par tout les moyen de se faire pardonner, laissant ainsi Harry et les deux jeunes filles.

Harry se demandait bien si un jour elles allaient se présenter. Il essayait de voir s'il les connaissait mais il ne trouva rien. Elles étaient plutôt jolies. Une était blonde et portait une jolie robe bleu qui mettait en valeur ses yeux bleu, l'autre était plus petite, brune, avec un pantalon dernier cri.

C'est à ce moment que les deux jeunes filles se rapprochèrent de Harry Sûrement avaient elles senti son regard insistant. Celle qui portait la robe bleue se rapprocha de lui.

- Salut, je me présente Marie Tuffer et elle c'est Elea Cornor, nous n'avons pas vraiment pu en placer une mais on l'aime bien, sinon on ne serait pas tout le temps avec elle.

- enfin, quant elle n'est pas avec son chéri en train de faire des blagues, souligna la deuxième fille qui devait être Elea, Nous sommes toutes les trois à Serdaigle en 5eme année. On ne se verra pas souvent durant l'année. C'est dommage rajouta t elle d'un œil d'expert. Mais peut être que si tu veux nous voir...

Je rêve ou elle me fait du rentre dedans ? Se dit intérieurement Harry. Bon la il faut la jouer serrer. Ne pas la froisser, mais lui faire comprendre que non.

- Heu , je ne sais pas. Je crois que je serais un peu perdu au début, je n'aurais vraisemblablement pas le temps, je suis désolé.

- Bah ce n'est pas grave on pouvait toujours essayer, fit elle sur un air de diablesse, mais maintenant on sait que tu es célibataire, alors c'est déjà ça.

Puis elles partirent. Harry était vraiment étonné, ces filles étaient vraiment gonflées, il ne leur avait parlé que quelques minutes. Enfin peut être était il trop traditionaliste. Il lui fallait de toute façon du temps pour pouvoir sortir avec quelqu'un. Et puis la question n'est pas la, car il y à Ginny. Harry se retrouva seul.

Il se retourna pour voir Eridan faisant la moue, puis sentant qu'on le regardait il dévisagea lui aussi Harry. - Je suis désolé Harry, nous t'avons un peu abandonné.

- Nan, c'est pas grave, je,... de toute façon, il va falloir que j'aille récupérer mes affaires.

- Oh attend je voulais te donner un plan non officiel de Poudlard pour que tu puisses te retrouver un peu. On a fait le même pour ma petite sœur. Si ça ne te gène pas d'attendre un tout petit peu, ma famille vient d'arriver, il ne m'ont pas vu.

Eridan partit rejoindre sa famille. Harry le vit tout de suite. Sirius, un Sirius débordant de vie, de joie et de bonne humeur. Il était presque méconnaissable. Comme quoi la vie pouvait laisser des marques indélébiles. Harry passa un instant à le regarder, mais se força à regarder le reste de la famille. Ce qu'il le frappa, c'est qu'il n'y avait qu'un adulte : Sirius. Où était leur mère ? Harry aurait donné cher pour savoir.

Il y avait une jeune fille qui devait avoir dans les 9, 10 ans, ou peut être moins, elle paraissait encore très gamine, en étant accroché voire agglutiné à son père. Elle avait cependant quelque chose de mignon, d'attendrissant. Son aire de petite fille lui donnait un air d'insouciance, un air candide, surtout qu'avec ses cheveux roux, elle ressemblait à une poupée en porcelaine

Une autre demoiselle s'était mise à courir vers Eridan et semblait mimer une rencontre de cinéma. Elle courait au ralenti vers son frère qui faisait de même. Elle avait de magnifiques cheveux noirs bouclés. Elle ressemblait étrangement à Eridan. Ce devait être Cassiopée, un des deux autres personnages du fameux quatuor infernal. Elle ne pouvait être que sa sœur jumelle.

Eridan atteint enfin sa sœur et mima les retrouvailles. Puis il désigna Harry de la main. La petite famille se rapprocha.

- Harry je te présente mon père Sirius Black, ma sœur jumelle Cassiopée et enfin Ascella la petite dernière qui rentre cette année à Poudlard. Les autres voici Harry.

Harry remarqua que Eridan avait omis son nom.

- Sirius Black, papa du farceur ici présent qui m'en fait suer les eaux.

Harry répondit à la poignée de main - Harry, Harry Potter.

Harry sentit la main devenir plus ferme puis se relâcher. - Il n'est pas apparenté à la famille de James Potter, papa. Ajouta précipitamment Eridan.

- Peut être, mais tu lui ressembles vraiment beaucoup, même trop. Tu es son portrait craché, tu es obligatoirement de sa famille. Tu es un neveu, son fils illégitime, ou bien encore autre chose ?

Harry ne répondit rien face au ton qui montait - Et bien répond cria presque Sirius

La petite fille que Harry avait oubliée, se mis à pleurer et à dire à son père qu'il lui faisait peur. Ceci arrêta net Sirius.

- Je suis désolé ma lumière, papa ne voulait pas te faire peur, papa s'est juste emporté.

Eridan s'empressa de se mettre entre Harry et son père. Sirius se retourna vers Harry et l'étudia attentivement.

Harry ne savait plus où il en était. Cela faisait deux fois que le ton montait lorsque l'on parlait de James Potter. Mais que faisait il dans ce monde ? Avait il fait quelque chose à Sirius, ou bien était ce pire ? Harry arrêta très vite ses pensées. Il ne pouvait pas ne serait qu'envisager que son père était du mauvais coté. Avoir un père qui ressuscite était déjà épuisant moralement, mais s'il découvrait qu'il.... STOP Harry tu dois arrêter tout de suite sinon tu vas disjoncter. Pose Malfoy, Pose Malfoy.

Harry décida que s'était le moment de parler, avant que Sirius ne le ré- attaque de questions. Il ne le supporterait pas, de plus il n'appréciait pas que l'on le juge sur ses prétendues relations avec James Potter. Son Sirius n'aurait..., non, son Sirius était exactement comme ça et c'était un des rares trait de caractère que Harry n'apprécie, non n'appréciait pas.

De plus, le portail l'avait bien épuisé, et il devait récupérer sa magie, et non pas la gaspiller pour des imbécillités. Il se sentait fatigué et il avait peur de perdre son sang froid. Il devait absolument en finir tout de suite.

- Monsieur Black, je suis désolé de vous décevoir, mais je ne connais pas de James Potter (ce qui était vrai vu que premièrement il n'avait jamais connus ses parents, et de plus le James Potter de se monde n'était pas son père.) même si vous êtes déjà le deuxième a m'en parler, quant à mon père je suis orphelin depuis l'âge de mes 1 ans, alors vous pouvez être sûr que je ne suis pas son fils illégitime. Enfin, je ne crois pas que harceler quelqu'un avec un ton menaçant sur une simple ressemblance, enfin c'est ce que j'ai compris soit des plus honorable ... pour un auror en plus..., (Harry venait de voir le badge attaché sur le manteau de Sirius et fit mime de découvrir qu'il était auror).... est très raisonnable.

Harry avait dit ça d'une voie de sermon où l'on sentait qu'il s'était senti insulté. Aucune personne ne réagit devant ce discours, Harry décida donc de partir.

- Je pense qu'il est temps pour moi d'aller au train, je pense que vous aurez tout le temps de vérifier mes papiers au ministère, et ainsi m'accueillir plus respectueusement la prochaine fois, .....S'il y a.

Harry se retourna vers les jeunes de son âge, leur fit un salut respectueux, puis s'en alla. Lorsqu'il partit il entendit Sirius s'exclamer tu vois il est aussi hautain que James Potter, c'est forcément son fils.

Harry avait été mis en mode Malfoyen comme disait sa fiancée. Il savait très bien cacher ses émotions lorsqu'il le fallait, et là il avait eu plus que du mal. Mais s'énerver, ça il ne le pouvait plus vraiment, il était tellement las, de plus il ne pouvait de toute façon pas engueuler un des seuls êtres humains qu'il aimait. Mais le problème de son père allait être beaucoup plus difficile. Comment allait il faire si il le rencontrait, et qu'il découvrait qu'il était relié aux mangemorts ou pire.

Les nouvelles informations se déchaînait dans la tète de Harry : La famille de Sirius, ses parents, Dumbledore, le quatuor infernal...

Qui était gentil, qui était méchant ?

Et Ginny allait elle être méchante.

NON dit Harry tout haut, ça s'est impossible. Harry savait qu'il pourrait ne pas être l'autre moitié de Ginny ici, mais si elle était méchante, alors il ne pourrait pas le supporter, il ne survivrait pas sans elle. Non redit Harry. Il faut que j'arrête de me torturer l'esprit, je ne suis plus en guerre je suis seulement un élève de dernière année qui veux prendre un peu de bon temps comme tout les enfants normaux. Harry devait essayer de ne plus se mettre en mode Dumbledore, une expression de Ginny, encore...

Aller : « Etre un vivant et non un survivant. »

Harry avait décidé de ne rien précipiter, décision très très dure, mais il ne voulait pas rater sa dernière chance d'une vie heureuse. Il se contenterait d'être l'amie de Ginny et peut être plus tard, elle l'aimerait. Harry pensait aussi de plus en plus à ses parents et à la possibilité d'être au près d'eux. Harry fit une pause STOP comme Ginny lui avait appris lorsqu'il partait d'en des questions sans réponses. Il décida qu'il était l'heure d'aller au train. Il verrait bien par la suite.

De toute façon, quoi qu'il arrive il allait enfin revoir sa Ginny...

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Voilà, la fin du deuxième chapitre. Et bien j'espère que ce chapitre plaira. Et merci à ptitte-folle qui ma donné ma première review.