Disclaimer.
Rien n'est à moi tout à J.K.Rowling
Résumé général
Harry est parti dans un monde parallèle pour rejoindre sa Ginny et vivre normalement, mais tout ne se passe pas comme prévu.
Rappel des personnages pour ceux qui ont tout oublié.
Sirius Black est marié à Lily Evans. Ils ont quatre enfants : Allula à Griffondor, Cassiopée et Eridan les jumeaux une à griffondor l'autre à Serpentard (5eme année) et enfin la dernière Ascella (Poufsouffle première année).
Nous avons Remus en prof d'animaux magiques, Rogue en DCFM, Lily en enchantement, MacGonagall aidée de Hermione en métamorphose, Stanislas Durkemberg en professeur de potion et en professeur de soin Fany Fistang.
Nous avons le quatuor infernal : Cassiopée et Eridan, mais aussi Vélary et Marco
Dans la même classe de Harry nous avons : Ginny, Allula, Rose, Elisa, Marie, Grace, Brian, Peter, Jack, Francis, et Luke. Je vous fais grâce des noms de famille.
Petites remarques qui peuvent aider
Bon je me suis trompée dans l'emploi du temps mais j'ai la flême de changer, donc voilà le nouveau emploi de du temps :
Lundi Potion/animaux
Mardi Enchantement/métamorphose
Mercredi Enchantement/DCFM
Jeudi DCFM/Métamorphose
Vendredi Potion/Soins
Résumé précédent
Actuellement Harry vient de passer la première semaine. Il a eut un nombre incalculable de chocs.
(Ça c'est un résumé qui donne envie de lire la suite !)
Chapitre 5
Harry, l'enfant martyris
Harry se réveilla d'assez bonne humeur. On était Samedi, il avait passé la première semaine, celle qui était toujours la plus difficile.
Il se leva et quitta sa chambre assez tôt comparée à ces camarades. Il mangea tranquillement dans la grande salle. Curieusement la scène des journaux dont Harry s'était finalement habitué, n'avait pas court pour le week-end.
Harry s'attela très vite à sa première tache qui était de trouver un remède pour les animaux. Il y passa la journée. Harry avait trouvé une sorte de potion qui agissait quatre heures et qui auscultait toute présence de son auras même la plus infime. Il était quant même passé par trois potions avant de réussir.
La première n'avait pas été assez forte. Aucun animal ne l'avait attaqué pendant l'heure.
La deuxième était au contraire un peu trop puissante. Il avait passé une heure dans la forêt interdite et s'était fait attaqué 37 fois. Il y avait même eut une sorte d'écureuil qui l'avait attaqué tellement il le croyait faible.
La dernière avait été le juste milieu. Harry était sur que c'était la bonne. Il voulait être un peu respecter mais pas trop. En effet, il ne fallait pas oublier que Harry voulait être vétérinaire. Il devait donc avoir un certain respect. Cette potion était la juste mesure.
Lorsque Harry eut fini avec cette potion, dont il nota consciencieusement les ingrédients et les quantités, il décida de s'aérer l'esprit. Il avait passé toute une journée dans une salle obscure et faisait a proprement parler peur tellement il avait mauvaise mine.
Harry s'étendit gaiement sous un arbre et réfléchi au devenir du Harry-Neuville, et a ce qu'il pourrait faire comme blague. Il voulait que sa première blague soit grandiose. Or comment faire une blague grandiose sans en être accusé, par personne.
Harry avait déjà quelques critères pour sa blague. Premièrement il voulait que toute la grande salle soit touchée. Mais il ne pouvait passer par les elfes de maison car il serrait bien trop voyant que la blague était préméditée. Et sa présence parmi les elfes de maisons éveillerait beaucoup de questions. Un autre moyen était de mettre une poudre dans une lettre. Harry pourrait l'ouvrir et elle se disperserait sur toute la salle. Mais restait les effets qu'elle ferait et surtout pourquoi Harry recevrait une telle lettre. Une enveloppe qui viendrait de qui? , pourquoi ? , comment ? , enfin toutes les questions indispensables pour se rendre aussi innocent que possible.
Frustré, Harry n'arrivait pas à déboucher sur quelque chose d'intéressant. Soit il passait par la nourriture, soit pour une lettre. Mais dans les deux cas il ne savait pas comment se justifier. Et il voulait une blague grandiose. C'était une décision des plus enfantine, mais quitte à être un Neuville il voulait l'être royalement.
N'aboutissant sur rien, il se décida cependant à se créer une salle pour pouvoir être tranquille.
Il l'a pris non loin de son dortoir et s'amusa comme un petit fou à la décorer. Les ingrédients nécessaire à ses blague il irait le chercher le lendemain tranquillement
Le soir venu il se rendit dans la salle commune pour prendre son souper. Il s'assit à coté de Peter, en face de Ginny.
Quitte à en profiter, autant se mettre en face de ma belle Ginny.
- Coucou Harry, on ne t'as pas vu de la journée tu faisais quoi ? demanda gentiment Allula
Harry avait prévue la question. Il avait longtemps hésiter a travaillé toute la journée éveillant les soupçons puis avait trouvé une raison des plus solides pour éviter toute suspicion.
- J'ai voulu découvrir un peu le château et je me suis perdu.
Ils faisaient tous des yeux ronds, même Rose.
Tient elle est plus souvent avec eux que je ne le pensai songea Harry après avoir remarqué la présence de Rose. Il faut absolument que je l'a situe. Je n'arrive toujours pas à savoir si c'est une simple amie ou une très bonne amie.
Harry retourna cependant à ces moutons ne voulant pas les faire attendre. Pour cela il prit un air désolé.
- Toute la journée demanda Brian
- Oui, je sais il n'y a que moi pour être dans un tel pétrin.
- Mais non, Harry, c'est arrivé à tous le monde au début, mais la tu es le seul nouveau de septième année alors tu ne t'en rend pas compte. C'est tout rassura Peter.
Les autres acquiescèrent gentiment. Même sa Ginny.
- Merci ça me rassure.
- Alors tu as vu quoi comme pièce intéressante demanda soudain une autre voix derrière lui.
- Bonjours Cassiopée.
- Appelle moi Cassy tout le monde m'appelle comme ça. Alors tu as découvert quoi, car ça m'intéresse grandement. Marco m'a dit qu'un jour il avait vu une salle remplie de fa..fleurs.
- Qu'allait tu dire ma chère petite sœur demanda sournoisement Allula, Fa….quoi, ne serait se pas Farce, le mot que tu allais dire.
- Mais non, que vas tu inventer ma chère grande sœur.
Le ton de Cassiopée ne trompa personne.
- C'est vrai demanda Ginny, s'il existe une telle salle, les jumeaux ne l'ont pas trouvé en tout cas. Tu en vu une comme ça Harry ?
- Heu non je m'en serrai rappelé.
Tous affichaient un air déçu.
- De toute façon, il ne saurait pas retrouver la salle rajouta Brian.
- Cassy s'assit à coté de Harry. C'est pas grave tu as du voir des salles intéressantes. Tu vois moi et d'autre (sous entendu le quatuor infernal) on voudrait faire un carte de Poudlard.
- et bien vous êtes pas rendu souffla Peter.
Cassy lui jeta un regard noir puis reprit son sourire de miel pour Harry.
- Alors tu pourrais me dire ce que tu as vu ?
- Heu et bien j'ai vu une salle rempli de pot de chambre.
- beurk
- Heu aussi une salle pleine d'armure.
- C'est pas normal d'avoir ça dans un château. S'écria Allula.
- Des armures de quelle époque demanda Peter.
- Pas maintenant Peter, Harry était en train de me donner un listing de se qu'il a vu. Les détails c'est pour plus tard.
- Une salle qui m'a beaucoup plus, c'est une salle avec plein de miroir et quand on regardait dedans on se voit plus vieux, plus gros, plus jeune, …. C'était assez sympa.
- Ah ouhais, ça peut m'intéresser s'esclaffa Cassiopée.
- Je croyais que l'on n'avait dit pas de détail.
- La ferme Peter.
- Avoue il t'a eut c'est tout rajouta Ginny.
- Bien si c'est comme ça je m'en vais, mais toi (elle désigna Harry) il faut que l'on ait une des discussions des plus sérieuses.
- Et tu n'aurais pas vu une salle représentant tout les peuples sur terre.
Tout le monde se retourna vers Rose.
- Alors demanda t elle gentiment, tu n'en aurait pas vu ?
- Heu non désolé. Ca ressemble à quoi ?
- C'est une salle ou tout les représentant de toutes les espèces pensantes existe. J'avais entendu une rumeur comme quoi elle existerait, ce n'est pas grave.
Harry voyait exactement de quelle salle elle parlait. C'était une salle magnifique une des plus belle de Poudlard, enfin selon lui. On pouvait, il est vrai, trouver toutes les espèces pensantes présentées sur terre, mais la magie de cette pièce était que l'on pouvait discuter avec elles et même si on était assez convainquant les convaincre de parler un peu de leurs peuples et où il se trouvait.
Harry aurait pu utiliser ça pour la guerre mais il s'y était oppos : pourquoi mettre en jeu des vies qui n'était pas responsable des agissements des êtres humains. Il avait déjà mêlé les elfes, ils ne pouvaient créer d'autres problèmes à ces peuplades qui étaient pacifiques. Il avait eut raison. Il avait tué Voldemort sans avoir besoin d'eux. C'était mieux ainsi. C'était cependant un des projets qu'il se réservait pour plus tard, parler et rencontrer ses différents peuples, juste pour les connaître sans rien attendre en retour.
Harry regarda Rose pendant que les autres essayaient de deviner ce que pouvait donner une salle comme ça.
Il y a quelque chose de différent avec elle, il en était persuadé. Il se concentra à nouveau. Puis cela lui sauta aux yeux. Il ne l'avait pas vu au départ car elle n'avait pas leur maintien, maintenant cette découverte faisait poser encore plus de questions à Harry. Que faisait une elfe ici à Poudlard. Ou plutôt une demi elfes. Son aura était trop en conflit, deux magies bien distinctes s'affrontait : les hommes et les elfes. Une aura réconfortante, mais à la fois forte. C'était très particulier comme situation. Il n'y avait que deux possibilités pour qu'elle se retrouve à Poudlard. Soit elle n'avait jamais vu ou même entendu parler de sa tribut, étant toujours cantonné au monde humain ce qui expliquerait le fait qu'elle ne possède pas leur maintien, soit elle le faisait exprès et là elle devait être très forte. Se pourrait il qu'elle soit une elfe en mission. Il avait entendu dans son monde qu'une elfe était à Poudlard pour voir si leurs peuples devaient ou non prendre part à la guerre. Leur messager était mort pendant le cortège macabre. Pourquoi pas dans ce monde ci aussi ?
Harry ne connaissait pas son visage. S'il elle était le messager cela expliquerait beaucoup de chose. Les deux hypothèses se tenaient. Il avait cependant un penchant pour la deuxième. Mais Harry ne voulait pas tirer de conclusions trop hâtives. Ce n'étaient que des hypothèses. Il devrait cependant se méfier d'elle elle pourrait découvrir plus facilement sa force. Il devrait aussi vérifier s'il n'y avait pas d'autres cas dans Poudlard.
Lorsque Harry émergea de ses pensées des plus Dumbledoriennes, il remarqua que la discussion avait dérivé sur une possible salle remplie de farces et bonbons.
Cette salle n'existe pas, mais ma salle va de toute façon bientôt devenir comme cela.
Harry émit un léger sourire.
- Qu'est ce qui te fait sourire toi.
- Oh j'imaginais que dans une sale comme ça je serais sûrement devenu tout de suite vert à pois rose avec des oreilles énormes car j'aurais pas pu évité de m'en mettre partout.
Et le prix du meilleur menteur est attribué à Harryyyyyyy Potterrrrrrrr !!!
- Des oreilles énorme c'est une idée.
Tous se retournèrent vers la personne qui avait parlé. C'était Eridan.
Décidemment !
- Et oui je vous espionne depuis tout à l'heur. Cassy m'a dit qu'il y avait une discussion des plus importante pour notre disons association et qu'elle s'était fait grillée.
Tous avaient le sourire aux lèvres sauf Allula, enfin elle essayait de le cacher.
- Tu n'as pas honte de nous espionner.
- Pas quand c'est pour le bien de mes camarades. Des longues oreilles quelle idées fantastique.
- Je suis désolé Eridan mais mes frères en ont déjà crée.
- Fichtre, encore un fois devancé par ces satanés jumeaux. Mais nous les vaincrons.
Puis aussi vite qu'il était apparu il parti avec un air de conquérant.
- Sans vouloir te vexer Loula (surnom affectif de Allula de la part de Brian) Des fois, je dis bien des fois, je trouve très frères et sœurs un peu bizarre.
- Si ce n'est qu'un peu, c'est que tu ne l'es connais pas encore assez. Hier je les ai vu tous les quatre, ils essayait de taper avec un révéliroir (une sorte de bâton qui peut dire s'il y a quelque chose derrière les murs). Ils essayaient tout les centimètre pour voir s'il n'y avait pas de passage secret. Je suis revenu deux heures plus tard ils y étaient encore. Mais cette fois ci ils disaient plein de phrases pour essayer de trouver le mot de passe d'un soit disant passage secret. J'ai du les forcer à rentrer sinon ils allaient dépasser le couvre feu. Je crois qu'ils sont irrécupérables. Cette carte de Poudlard leur monte à la tête.
- Ca dépend pour qui. Mes, frères les trouvent très prometteur.
- Oui, c'est vrai que si on les compare à tes frères.
-hey
- désolé.
- C'est pas grave, de toute façon tu t'y habitueras, et même que tu apprécieras à la fin.
- ah non pas question.
Son ton se voulait ferme mais tous avaient compris qu'elle avait déjà succombé. Il s gardèrent cependant le silence et se mirent en route vers leur salle commune.
Harry ne savait pas trop quoi faire on était Samedi soir, mais il sentait qu'il était encore une gène pour le groupe. C'est pourquoi il ne s'attarda pas plus longtemps. Il prétexta qu'il était fatigué et alla se coucher.
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Le lendemain matin Harry alla très tôt acheter ses fournitures. Certains pourraient penser que Harry ne trouverait rien le dimanche, mais ce que Harry recherchait était des farces et attrapes et le seul magasin concerné était Zonko. Or les enfants étant libre surtout le week-end, celui-ci ouvrait ses portes le plus longtemps possible. Harry modifia légèrement son apparence puis acheta tant, que de mémoire de vendeur c'était « du jamais vu ». Ce qui aurait pu se traduire aussi par : Harry a dévaliser le magasin. Enfin, tous ça pour dire que Harry passa une partie de sa matinée à acheter puis ranger ce qu'il avait acheté en vue de sa fabuleuse blague qu'il ne trouvait toujours pas cela dit.
Après avoir terminé sa « salle au farces », Harry alla aux cuisines chercher des éléments dont il aurait peut être besoin.
- Bonjour les elfes, puis-je avoir un assortiment de nourriture s'il vous plaît.
Pendant que Harry regardait les deux elfes s'afférer, une voix l'interpella.
- Harry ! Mais que fait Harry dans les cuisines. Il n'est pas content de notre travail s'enquit Figty inquiète.
- Au contraire, Figty, votre travail est toujours irréprochable et inimitable. Je n'ai jamais compris comment vous faisiez d'ailleurs ?
- C'est notre devoir d'être irréprochable sur notre travail, nous ne serrions plus de vrais elfes sinon.
- Et bien je dois dire que vous faites tous honneur aux elfes, alors. Je ne mange jamais aussi bien qu'à Poudlard.
Tous les elfes avaient pris une teinte rosée.
Les deux elfes étaient revenu de leurs expéditions et donnaient leurs butins à Harry.
- Bien je vous laisse à vos occupations alors, ce fut un plaisir de vous revoir Miss Figty.
Harry allait prendre congé lorsque Figty l'interpella pour la seconde fois.
- Est-ce que… Harry…. serait intéressé de venir au mariage de Figty. Ce serait un honneur pour…
Harry ne la laissa pas finir.
- Bien sur, et c'est moi qui en serait honorer. Tu te marie avec Herzo, c'est bien ça ?
- Oui, Figty est très heureuse, ça fait longtemps que Figty rêve de se marier avec Herzo.
- Et bien je crois que Herzo doit aussi se rendre compte de sa chance.
- Ohohoh fit d'une toute petite voix Figty vous êtes trop gentil.
- Quand cela se passera t il ?
- Dans quatre semaines, cependant je vous le rappellerais.
- Bien, nous faisons ainsi alors. Bonne journée Figty, bonne journée rajouta Harry à l'intention des autres elfes.
Un mariage elfe de maison. Quelle horreur. Harry se rappelait encore du mariage de Dobby, il n'avait pas mangé pendant les trois jours qui suivirent et encore, il n'avait pas pu bouger pendant deux jour tellement il était nauséeux. Dumbledore lui avait fait remarqué gentiment d'ailleurs qu'un mariage d'elfe de maison vous mettait toujours chaos pendant une petite semaine. C'était pire que le sort stupefix. Arme redoutable que Voldemort ignorait. Apres cette jolie remarque Harry avait essayé de rire mais n'y était même pas arrivé. Ill fallait qui se prépare un sort sinon il n'allait jamais s'en sortir. Un mariage elfe de maison une fois dans sa vie ça suffit. Il fallait absolument qu'il trouve une parade.
Harry retourna passablement démotivé dans la grande salle. Surtout qu'il devait aussi se résigner à faire de fausses recherches pour des devoirs enfantins. Enfin un après midi des plus ennuyeux. Vive demain !
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Nous étions Mardi matin. Harry avait réussi avec succès son cours d'animaux magique avec Lupin. Harry en avait été ravi et avait même perçu une certaine méfiance partir de Remus. Son Lundi s'était passé de la façon la plus parfaite qu'il soit.
Reste plus qu'a ce que ce soit la même chose aujourd'hui.
La journée d'aujourd'hui s'annonçait un peu plus difficile avec le retour du cours tant attendu d'enchantement, c'est à dire le cours avec sa mère.
Harry je te sens bien parti. Tu arrive à dire mère, je ne vois pas pourquoi tu n'y arriverais pas. Apres le cap « dire le mot mère pour qualifier madame Black » je crois que plus rien n'est impossible.
- Alors pas trop effrayé de commencer un cours avec ma mère.
- Non, non. De toute façon, la dernière fois, ça n'avait pas grand chose avoir avec elle s'était juste la fatigue.
- oui, oui fit Ginny.
- C'est vrai argumenta Harry, mais alors pas du tout convaincant.
- Dans ce cas un conseil Harry fit malicieusement Peter arrête de massacrer le bout de ton échappe, il manque déjà la moitié de la frange, que tu as méticuleusement arraché sur le trajet.
Oh non. Je vais jamais y arriver
- Heu merci.
Ils se retinrent tous de rire par politesse et Harry alla s'installer la où il pouvait c'est à dire devant.
- Bonjours tout le monde.
Jusque la je tiens. Jusque la je tiens
Bien je vois que monsieur Potter est de retour. Bon retour parmi nous monsieur Potter.
Jusque la je tiens. Jusque la je tiens. Harry répond lui, mais ne parle surtout pas, tu vas encore paraître pour un imbécile.
Harry se contenta d'acquiescer.
- Bien aujourd'hui nous allons continuer ce que nous avons commencé la dernière fois.
Harry commença à s'entraîner comme tous les autres.
Jusque la je tiens. Jusque la je tiens.
Bien si je m'entraîne comme ça, je vais réussir le cours. Je me fixe sur ce que je dois faire.
Monsieur Potter, vous vous trompez dans l'intonation de la formule il faut dire Fermêntâaa et non Fermenta.
- Heu oui madame. Fermêntâaa.
- Non, non vous ne faites pas le bon geste. Vous devez fixer la baguette comme cela.
Lily prit la main de Harry et le dirigea.
Pauuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Au secouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuurrr !
Le cerveau de Harry était en mode arrêt total.
Sa mère lui tenait la main. Sa mère lui tenait la main. Sa mère lui tenait la main. Sa mère lui tenait la main. Sa mère lui tenait la main. Sa mère lui tenait la main. Sa mère lui tenait la main. Sa mère lui tenait la main.
Lily sentit le malaise de l'élève. Celui-ci regardait sa main comme si c'était la dernière merveille du monde ou bien la pire des choses sur cette terre.
Cet enfant à un blocage des qu'on le touche pensa Lily. Il faudrait que j'en parle à Albus. C'est très rare et souvent significatif d'abus sexuel. Sûrement sa mère.
Lily n'insista pas. Elle prétexta de s'éloigner. Elle avait malheureusement remarqué que cela suffisait parfois à l'élève pour reprendre ses esprits. Elle l'éviterait pendant tout le cours. Elle espérait que cela suffirait. Il ne manquait plus qu'il lui fasse une nouvelle crise. Que sait ce qu'un enfant abusé ou pire même pourrait faire. Lily n'osa même pas imaginer ce que cet enfant aurait pu subir pour avoir un tel blocage.
- Monsieur Potter ce n'est pas encore ça, mais continuer.
Puis elle s'éloigna.
Harry mis bien 10 minutes à se rendre compte que sa mère ne lui touchait plus la main. Mais ne cessait de se dire intérieurement :
Elle m'a touché, elle a la peau douce, c'est ma mère, elle m'a touché, elle ….
Il se dépêcha cependant de faire le sort pour faire croire qu'il s'était exercé pendant les 10 minutes.
Lorsque le cours se termina, Lily remarqua avec tristesse que sa méthode avait march : Harry était plus calme. Elle devait absolument en parler à Albus.
Lorsque le cours se termina, Harry était des plus satisfait. Il avait survécu au cours de sa mère sans que personne ne se rende compte de son malaise. Il y avait bien eut ce passage de la main, mais il s'était reprit. Comme quoi lorsque l'on veut, on peut. Mission « supporter le cours de ma mère » réussit. Succès total !
Sur cette note joyeuse, Harry alla manger et continua sa tentative de rapprochement de sa Ginny.
Dernière étape : être avec Ginny.
- Et bien Harry, il semblerait que ce cours ce soit mieux passé que la dernière fois. Fit Ginny
- Oui je crois que c'était le trac, cette matière m'a toujours fait un effet bœuf.
- Oui, et puis tu as de la chance, ma mère n'est presque pas venue te voir. C'est bizarre
- Ah
Harry ne trouvait rien à redire. Lily ne l'avait pas ennuyé. Et si c'était parce que… non,…. Il voulait bien croire qu'il avait un lien avec elle mais de là a ce qu'elle ressente instinctivement ce lien maternelle, c'était quant même incroyable. Enfin tout est possible. Rien n'est impossible avec la magie.
Harry était sur son petit nuage. Il était dans un monde ou sa mère le reconnaissait ou enfin presque, sa Ginny s'inquiétait pour lui ou enfin presque et ou personne ne l'embêtait avec de affaire d'Etat ou des prophéties.
Il resta sur son petit nuage pendant le cours de MacGonagall, Harry n'arrivait pas à enlever son sourire, et s'était même autorisé un petit cours avec Hermione.
-Miss Granger, venez vous occuper de Mr Potter, il en a besoin et je ne peux plus perdre autant de temps.
Au moins cette phrase avait le mérite d'être clair. Mais bon, il la cherchait un peu. Cela faisait déjà 5minutes qu'il essayait de transformer un verre et tout le monde l'attendait. Enervé au plus au point, il semblerait que Minerva est relégué Harry au fond de la classe, avec Hermione, pour qu'elle puisse avancer avec le reste de la classe.
Minerva confia à Hermione :
- Il a un problème de visualisation.
- Bien Harry fit elle avec un minuscule mais alors vraiment indiscernable sourire. On va essayer de voir ce qui ne va pas.
- Fromage-fero
Harry essayait de transformer une éponge en fromage. Une sourie devait en tester le goût par la suite. S'il elle n'avait pas mal au ventre, c'était gagné.
- Bien tu prononces bien, et tu manies bien la baguette. L'erreur qu tu fais c'est que tu ne visualise pas assez le fromage.
Bien sur, l'erreur qu'il commettait était une erreur de visualisation. Il adorait cette erreur car un professeur avait beau faire tout ce qu'il pouvait il ne pouvait jamais l'aider pour cette étape. Et c'était bien sur aussi une de meilleure façon de faire enrager les profs.
- Heu
Harry recommença en ayant l'air des plus concentré. Ce qui donna une mi-éponge-mi-fromage qui puait le fromage.
Hermione mit en vitesse un sort de rafraîchissement et évita de se pincer le nez pour éviter de vexer son élève.
Harry se délectait de la situation
Il refit trois ou quatre mélanges dans le même genre. En fait Harry au fur et à mesure du cours avait changé d'objectif. Au début il voulait seulement embêter Hermione et Minerva. Cependant après sa 5eme tentative et le fait que Hermione répétait toujours le même discours Harry du admettre que Hermione était un piètre professeur. Elle connaissait certes par cœur le charme à faire, le mouvement les paroles, il était même persuader qu'elle était capable de le décrire au millimètre près. Le problème était qu'elle n'arrivait pas à cerner l'élève, elle était trop distante, elle ne s'adaptait pas à lui. Intuitivement elle lui demandait de s'adapter à elle. Elle devait devenir un peu plus psychologue. Le problème de visualisation était le problème parfait pour ça. Harry se demandait même si Minerva n'avait pas vu elle aussi ce problème.
- Je ne comprends pas. Affirma Harry. Je ne visualise pas comment est l'objet.
- Et bien répéta inlassablement Hermione tu ferme les yeux, tu…
- Non, ça tu me la déjà dit mais j'y arrive pas.
…
Silence.
…
Harry attendit. Hermione était affolé et il le voyait.
Ce n'est pas en une journée, qu'il arriverait à la changer.
- Mon prof d'avant il me donnait des trucs pour y arriver. J'ai toujours eut du mal. Ca et l'enchantement. J'y arriverais pas…
- Non, non, faut pas dire ça affirma gentiment Hermione. On y passera l'année s'il le faut mais je trouverais un moyen.
Et Hermione commença un autre discours des plus pompeux, avec une phrase presque identique à la précédente en ayant seulement changé certains mots par des synonymes.
Et bien c'est pas gagn.
Lorsque le cours se termina. Hermione avait fait des très beau discours, mais n'avait toujours pas compris que Harry demandait une méthode moins formelle, plus adaptée au difficulté de l'élève, enfin ses fausses difficultés. Il pouvait vraiment être machiavélique des fois. Il l'avait fait tourné en bourrique pendant une heure. Mais si elle n'avait pas trouvé le moyen de l'aider elle n'avait jamais abandonnée et ne s'était jamais énervé. Ce métier était fait pour elle mais il lui manquait quelque chose qui ne s'apprenait pas dans les livres.
Harry sortit en dernier et pu entendre Hermione éclater en sanglot devant Minerva, lui expliquant qu'elle n'avait pas réussit. Harry se sentit coupable, mais c'était un bien pour un mal. Il entendit cependant Minerva la consoler.
- Ne vous inquiétez pas Hermione, on est tous passé par la. C'est une chose difficile à trouver, mais après elle ne vous quitte plus. Vous êtes fait pour enseigner, il vous manque l'expérience. Je suis sur que vous allez trouver.
Hermione se calma. Harry se sentait un peu plus soulagé.
- Dis donc jeune homme ce n'est pas bien d'écouter au porte.
Harry se retourna brusquement.
Il avait juste devant lui un Dumbledore avec un faux air de méchant.
- Heu, c'est juste que ….elle paraissait gentille, je veux dire la jeune professeur heu
- Miss Granger ?
- Oui et elle a essayé de m'apprendre un peu, mais j'ai pas réussi et j'ai eut peur qu'elle ne soit fâchée alors…
Son excuse était bidon, complètement tarte. Il pouvait trouver des trucs tellement bidon des fois. Pourtant ce n'était pas loin de la réalité. Harry prit un air attristé et coupable en espérant donner du poids à ses paroles. Seulement Dumbledore le regardait avec un air triste. Pas du tout ce qui était prévu.
- Tu as peur qu'elle soit fâchée ?
- Heu et bien un peu, elle avait l'air gentille quand même.
- C'est la seule raison mon garçon ?
Mais ou voulait il en venir ?
Il l'emmena à sa surprise dans la salle d'a coté pour lui parler plus tranquillement.
-Harry fit le plus doucement Dumbledore.
Harry se sentait de plus en plus mal à l'aise. Il n'aimait pas qu'on le regarde dans les yeux comme ça. Surtout Albus, il n'arrivait jamais à lui mentir. Et lui n'utilisait cette méthode que quand il y avait quelque chose de grave.
- Est ce que tu à peur que Hermione te fasse quelque chose ?
- Heu
Harry était de plus en plus perdu.
- Ecoute mon garçon, Mme Black m'a expliqué qu'elle pensait que tu n'avais peut être pas eut une enfance heureuse.
Comment avait elle devinée ça ? Un lien l'unissait peut être à sa mère, mais là c'était plus du domaine de clairvoyance. Le lien pouvait il être aussi fort ? Harry décida de prendre quelque réserve. Si c'était ce qu'il pensait alors sa mère avait plus ou moins découvert qui il était. Harry se sentit tout à coup plus vulnérable et en même temps plus calme, presque heureux. Si sa mère l'avait découvert et s'inquiétait, elle pourrait peut-être être sa mère. Ce n'était pas ce qu'il avait prévu pour tout de suite, mais il pourrait le cacher à ses autres enfants puis ils s'habitueraient à lui. Ils formeraient une grande famille.
L'espoir venait de naître en Harry.
Un espoir fou.
Harry était perdu dans ses pensées.
- Mon garçon, mon garçon a tu été violenté ou quelqu'un à il voulu de toucher d'une façon bizarre ?
Harry revint tout de suite à la réalité.
- QUOI
- Je te demande Harry si tu as été abusé ou frappé. N'ai pas honte de le dire. Il n'y a rien de mal à le dire Harry si…
- Non, non, rien de tous ça.
Harry était tombé bien de haut. Les larmes lui venaient. En une fraction de seconde son rêve était partit, son beau rêve, si proche….
En une seule fraction de seconde…
Devant la mine perdue de Harry, Dumbledore insista
-Tu es sur Harry ? Mme Black m'a relaté un fait assez étrange, tu aurais comment dire été effrayé, lorsqu'elle aurait touché ta main. Tu ne dois pas avoir honte Harry. Tu peux tout me dire, je ne te punirais pas.
- Non professeur ne vous inquiétez pas, je n'ai rien subit de traumatisant dans ma vie. J'ai perdu mes parents quant j'étais jeune mais mon oncle et ma tante ont été merveilleux avec moi, ils ont été comme mes vrai parents.
Comme ça lui coûtait de dire cela. Il devait cependant rattraper son erreur du matin. Il rajouta :
- Ce matin, ce qui m'a perturbé, c'est que ma maman était prof d'enchantement, alors comme j'ai jamais eut, enfin j'avais un précepteur qui faisait toute les matière en même temps, pas un seul prof comme ma maman. Elle est, elle fait le même métier que ma maman et j'arrive pas à … enfin vous comprenez….
- Continue mon garçon…
- Je me demande seulement : Est ce que ma maman aurait été comme ça ? Elle a les mains douces madame Black et elle est gentille. C'est la mère d'Allula, je sais bien mais je ne peux pas m'empêcher de vous comprenez monsieur.
Et je rajoute un petit air suppliant pour parachevez mon œuvre.
- Bien sur mon garçon je comprends. Tu aurais du me le dire tout de suite.
- Je savais pas que ça fera ça.
Albus se contenta d'acquiescer.
- Bien j'en parlerais au professeur Black.
Prendre un air horrifier.
- Non ne t'inquiète pas c'est qu'elle se faisait du soucis.
- Je comprends, mais ça va passer, c'est juste qu'il faut que je m'habitue.
- Bien l'affaire est close alors, mais n'hésite pas à en parler à moi ou tout autre enseignant si tu en as besoin ou bien encore à l'infirmière.
Petit acquiescement pour finir son magnifique mensonge
Dumbledore s'éloigna de la salle.
Et c'est gagn.
Mais Harry n'avait pas l'humeur à se féliciter de son mensonge.
Merde s'écria Harry, je suis vraiment trop con. Comment j'ai pu croire une seconde qu'elle ressentirait un lien mère fils, comme si la magie permettait ça. Je suis vraiment trop stupide
Harry était en colère, en colère contre lui même. Il était censé être le plus puissant des sorciers et il se comportait comme un gamin. Toute la journée, il l'avait passé a rêver tout éveillé. Il fallait qu'il arrête de se leurrer. Je suis dans un monde parallèle pour être avec Ginny. Il faut que j'arrête de vouloir trop de choses. Je ne dois rien attendre des autres. Seule Ginny peut m'apporter ce que j'ai besoin et là avec mes bêtises c'est vraiment mal parti.
Je dois tirer un trait sur toute la famille black. Fini, seule Ginny compte.
Après cette magnifique remontrance faite à lui même, Harry décida d'aller manger.
Seulement, il n'arriva jamais dans la salle. Sur le trajet il s'aperçu qu'une petite fille pleurait dans une salle vide, et pas n'importe qu'elle petite fille.
Toutes les bonnes résolutions de Harry étaient parties en fumée. La famille Black ne le connaissait peut- être pas, mais lui les considérait tout de même comme sa famille. Et la petite fille qui pleurait n'était autre que la petite Ascella.
Harry ne pris même pas la peine de parler il s'assit discrètement à coté d'elle puis la pris dans ses bras. Elle le regarda un instant et résista puis se pelotonna dans ses bras pour pleurer à chaudes larmes.
Ses pleures durèrent longtemps et ne s'arrêtèrent que lorsque la jeune fille n'avait plu la force de pleurer.
Harry sorti gentiment un mouchoir et le lui donna.
- Tiens ça t'aidera à chasser ses vilaines larmes.
- Merci.
- Alors petite Ascella, pourquoi pleure tu ainsi ? Quelqu'un t'as fais des misères, parce que si c'est le cas, je vais aller le voir et lui faire regretter.
Un uppercut, puis un droit et puis…
Harry mimait difficilement ses gestes tout en gardant un bras autour de la jeune fille. Ce qui donnait un ensemble de plus pittoresque.
Devant les rires légers de la jeune fille, Harry se permit une remarque :
C'est assez grossier comme gestes, mais sur le feu de l'action je serais capable de faire ça bien, c'est vrai, mais je suis sur que je pourrais même le mettre chaos d'un coup.
- Toi, que tout le monde considère comme le plus maladroit de tout Poudlard ?
Ascella mit sa main devant sa bouche et exprima un air horrifié. Les larmes lui revenaient.
- Je suis désolé,…je
- Non petite Ascella je ne suis pas fâché. J'ai depuis longtemps admis que j'étais légèrement maladroit. Enfin très maladroit.
Son sourire revint.
- Tu sais je suis assez surpris que cette rumeur soit déjà là, souvent c'est après deux ou trois semaines que les gens comprennent, il faut dire que j'ai peut être commencé l'année assez fort. Mais tu veux connaître un secret petite Ascella ?
Elle acquiesça.
- Je ne fais rien pour lutter contre ça. Je trouve qu'il vaut mieux rire de moi que d'avoir peur. Quant dis tu ?
- Je crois que j'aimerais pas qu'on rigole de moi, mais encore moins qu'on ait peur de moi.
- Et puis ça a un autre avantage ?
- Lequel ?
- Et bien, avoir une réputation de maladroit, m'aide pour plaire au fille.
Ascella le regarda sceptique puis éclata de rire.
- Si, si je suis sur que malgré ma maladresse, je suis attendrissant.
Ascella ne cessait de rire.
- Tu vas me vexer là.
Elle se remit à rire encore plus.
- Bon je crois que je peux jeter ma méthode de drague alors. Je n'aurais aucune chance avec les filles. Harry prit une air théâtral des plus comique : Ma vie est finie.
Puis Harry la prit en pitié et lui laissa le temps de reprendre son souffle.
- Merci Harry je crois que je vais mieux.
- Ou alors ma maladresse est peut être un atout pour remonter le moral des jeunes filles en détresse.
Elle le regarda pensive puis lui fit un merveilleux sourire.
- Alors fit il plus hésitant tu veux bien me raconter tes tracas. Je pourrais peut être les résoudre. Je crois que ma maladresse est aussi un atout pour résoudre tous les problèmes possibles.
- Je suis pas douée, et la seule matière que je réussisse c'est l'enchantement et un peu la métamorphose. Les autres ils disent que c'est du favoritisme. Que je suis pas une vraie sorcière, que je suis ici que parce que je suis une fille de prof, et que sinon on m'aurais déclarée … cracmole.
Et bien elle avait exactement le problème inverse de lui. Des parents qui vous aiment, et qui créent un lien dont les autres élèves sont jaloux. Elle avait la famille qu'il rêvait et c'était pour elle un handicap. Comme quoi ce n'était pas facile d'être heureux sur cette terre. Lui aussi connaissait la différence, et le regard jaloux des autres. Pour une petite de 11 ans se n'était pas facile.
- Tu sais j'avais une amie qui allait à l'école et qui était la meilleure et tout le monde était jaloux d'elle. Toi c'est pareil. Ils sont jaloux parce que tu as une maman et un papa formidables et que tu es douée dans cette matière. Il faut pas que tu en ai honte tu sais. Et ça prouve bien que tu es une jolie petite sorcière et non une cracmole . Et puis tu sais ma maman était aussi prof d'enchantement, ça fait un point commun qu'on a. Seulement, moi, je suis très très nul dans cette matière. J'aurais beaucoup aimé être très doué pour que ma maman soit fière de moi. Je suis sur que ta maman t'aime très fort et doit être très fière de toi. Ce qui compte, c'est que les gens que tu aimes t'aiment en retour, et non ce que des gens jaloux et méchant disent. Et tu vois moi je te connais pas depuis longtemps mais je trouve que tu es une mignonne petite sorcière fort prometteuse. Si j'avais ton age je serais follement amoureux de toi.
Elle se mit à rougir fortement.
- On fait un pacte d'accord ? Je t'aide pour tes devoirs et en échange tu me dis tout tes tracas quant tu en as envie.
- C'est pas du juste, tu gagnes rien.
- Quoi je gagne rien moi fit outré Harry. Je gagne une petite sœur moi. Et puis je compte bien que tu vas m'aider à gagner le cœur de celle que j'aime. Mais il faut que ça reste secret.
Ascella prit un air de conspirateur.
- C'est qui ton amoureuse.
- Il faut d'abord que tu scelles le pacte. Es tu d'accord.
- Je suis d'accord, alors c'est qui.
- Et bien c'est Ginny Weasley.
- Ohhhh
- Mais faut pas le dire c'est un secret. Comme ça on se garde nos secret l'un pour l'autre.
Ascella acquiesça très sérieusement.
Cet épisode avait achevé de détruire toutes les barrières qu'il y avait entre Harry et Ascella. Celle-ci était si timide habituellement, mais elle avait réussit à s'ouvrir à lui. Harry était vraiment heureux. L'événement avec sa mère lui avait vraiment fait mal et pouvoir se rapprocher de la petite Ascella lui réchauffait le cœur. Il trouvait en quelque sorte un début de famille.
Lorsqu'il eurent finit de parler le repas était depuis longtemps fini. Les deux compères rentrèrent tranquillement au dortoir puis allèrent se coucher.
Harry souffla un bon coup.
Aujourd'hui comme depuis une semaine sa journée avait été lourde en émotion.
Fini
Voilà.
J'espère que ça vous a plu.
J'ai décidé de remettre des titres potables. Ca commençait à m'énerver de mettre à la question….
Enfin je remercie mes trois reviewers du chapitre 4bis :
Voldicheri : et bien voici la suite. J'espère qu'elle t'a plu
Fandjo : et bien, sans trop me trahir, je pense que je vais faire un truc dans ce genre. Je ne sais pas exactement si ce sera les vêtements mais oui. Mais pas trop tôt j'ai d'autre chose à faire faire à Harry avant. (air de conspirateur).
Lysbeth-Beriawen : Moi aussi je trouve ça trop mignon qu'il lui court après. Enfin le dénouement c'est TOP SECRET. Mais je peux te dire qu'il a pas fini d'en baver. -
Je remercie tous les autres reviewers et les silencieux.
Merci de m'avoir lue.
Le prochain chapitre ce sera (enfin) la blague de Harry. Promis, je ne me défilerais pas.
Voili, voilà, voilou.
