En réponse à Louange je tiens simplement à rappeler que je suis dans l'impossibilité d'updater mon site silence bleu car je n'ai tout simplement pas accès au ftp.

Pour l'update des fics, je dois bien avouer que je n'ai pas le temps d'écrire autant qu'auparavant, mais si j'ai quelque chose à dire c'est que je n'abandonnerai pas leur écriture et je pense que dès que je rentrerai définitivement en France, je prendrai plus de temps pour vous écrire les différentes fins

En tous les cas, je vous souhaite une bonne lecture sur cet avant-dernier chapitre qui je l'espère vous plaira !

Le syndrome de Stockholm

Chapitre 4

Merci à Luna pour sa correction.

« On ne bouge plus ! ».

Duo sursauta à cette entrée fracassante puis regarda avec stupeur Heero armé jusqu'aux dents s'avancer dans la pièce. Il se leva en même temps que le scientifique et ils le regardèrent avec divers stades de surprise sur le visage. Le brun les examina tour à tour puis fit signe au blond de quitter son bureau.

« Tu viens au milieu de la pièce et pas de faux mouvements sinon je te fais sauter la cervelle ! Compris ? ».

Duo ne répliqua rien, attendant de voir où son compagnon voulait en venir. Pourquoi Heero pensait-il que Naoto était dangereux ? Il avait parlé pendant plusieurs heures avec le scientifique et il en gardait une excellente impression. Il se leva à son tour, silencieux. Heero lui jeta un coup d'œil puis dit :

« Va voir le tableau où il y a un moulin...Tu devrais trouver quelque chose derrière ».

Duo vit Naoto se tendre subrepticement. Il observa les peintures et avisa celle où le moulin se trouvait. Il décrocha avec délicatesse l'œuvre et poussa une exclamation en révélant un coffre fort.

« Putain ! C'est du dernier cri ! Je crois même qu'il y a un dispositif d'autodestruction si on tente de l'ouvrir autrement que par le code ! ».

« Oui. Et si on fait trois erreurs de suite. On obtient le même résultat, n'est-ce pas Monsieur Moun ? ».

Duo le fixa avec stupeur et, s'approchant du scientifique, demanda :

« Mince ! Pourquoi vous avez cette chose ? Vous êtes qui réellement ? ».

Naoto le fixa sans répondre puis regarda vers Heero :

« Je devrais vous poser la même question...Vous entrez chez moi et me menacez d'une arme ».

Heero fit un sourire sadique. L'un de ceux dont Duo avait horreur.

« Parce que vous croyez que l'arme que vous entreposez dans ce coffre ne me menace pas ? ».

« Pourquoi croyez-vous qu'il y ait une arme dedans ? ».

« Parce que j'ai une excellente source d'informations ! ».

Les sourcils de Duo et du blond se levèrent et ils s'exclamèrent tous deux en même temps :

« Trowa ! ».

Naoto se tourna vers le natté avec stupeur.

« Vous... ».

Duo ne se préoccupait plus de lui mais regardait le brun avec colère. Il s'approcha de Heero.

« Ce n'est pas vrai, n'est-ce pas ? Tu n'avais pas de contacts avec lui ! ».

Heero sembla hésiter puis acquiesça doucement. Duo ne trouva rien à répliquer, sous le choc. Puis tout à coup, il éclata :

« Pourquoi ! ? Tu savais très bien que je m'en faisais pour lui ! J'étais mort de trouille ! Et là, tu m'annonces que vous correspondiez ? Que tu avais des nouvelles de lui ! Mais bon sang ! Pourquoi tu ne me l'as pas dit ! ».

Heero gardait son attention sur le scientifique ne voulant pas que l'autre tente quoique ce soit pour se sauver. Il répondit d'un ton neutre :

« Je n'ai eu des nouvelles qu'une seule fois et je ne voulais pas t'en parler au cas où quelque chose se serait produit. De plus, je savais que tu devais rendre visite à cet homme. Et si tu avais su que Trowa se trouvait ici, tu aurais perdu ta crédibilité. Il l'aurait tout de suite remarqué ».

Duo n'en revenait pas.

« Tu n'as pas confiance en moi. C'est ça ? Tu t'es dit que je me ferais remarquer si j'avais été au courant. Que je ne suis pas capable de sauver Trowa moi-même ? ».

« Cela n'a rien à voir avec ça ! Tu sais très bien que j'ai confiance en toi ! Mais l'occasion était trop belle. Si tu parvenais à retenir son attention, nous pourrions aisément infiltrer le bâtiment et...Ne bougez pas ! ».

Naoto se statufia et les regarda avec fureur.

« Que voulez-vous ? De l'argent ? Du pouvoir ? J'ai les deux ! ».

Une nouvelle voix s'éleva et Naoto recula d'un pas, devenant blanc comme un mort.

« Nous aussi nous avons tout ce que tu dis ».

Quatre pénétra dans la pièce puis regarda vers Heero.

« Ils lui ont injecté du Jouyouheki . C'est une faible dose, mais le problème est la pénicilline, comme tu le sais il y est allergique ».

Duo frissonna, devinant que son ami parlait de Trowa. Il connaissait son petit problème médical. Quatre se tourna ensuite vers lui.

« Il va bien, Duo. Tu n'as pas à t'inquiéter. Tu peux aller le voir, il se trouve à l'infirmerie. Suis les panneaux ».

Duo hésita puis jetant un coup d'œil à Naoto, il se précipita hors de la pièce. Quatre fit un petit sourire puis se tourna finalement vers le scientifique, un air sérieux rendant ses traits durs.

« Bien, maintenant à nous deux, je veux comprendre pourquoi tu as fait ça ».

OO

Trowa allait beaucoup mieux. Après avoir vu Heero et Quatre, son moral était remonté en flèche. Il avait révélé la plupart des informations nécessaires sur Shahel puis Heero l'avait quitté pour rejoindre le scientifique et mettre fin à la menace. Quatre était resté près de lui, l'examinant soigneusement et lui demandant ce qui s'était produit.

« Je crois qu'il a simplement besoin de parler avec toi... ».

Quatre acquiesça lentement du chef.

« Je comprends parfaitement ses motivations, mais je me souviens d'un homme calme et intelligent, pas un fou prêt à annihiler une colonie ! ».

Trowa fit un sourire puis dit :

« En fait, j'ai le sentiment qu'il a créé cette bombe dans le but de nous attirer... ».

Quatre fronça les sourcils.

« Que veux-tu dire par là ? ».

« Il savait très bien que tu étais un pilote de Gundam. Et il savait aussi que nous nous étions reconvertis dans la protection de la Terre et des colonies. Il s'est sans doute dit que s'il mettait en péril l'un ou l'autre, il nous verrait débarquer. Et ainsi, il pourrait te rencontrer et se venger ».

Quatre accepta ce raisonnement en hochant de la tête. Il caressa délicatement les cheveux emmêlés du châtain puis dit:

« Oui, c'est tout à fait possible. Je vais aller lui parler. Il vaut mieux que je me dépêche avant que Heero ne lui fasse sauter la cervelle de t'avoir fait du mal ».

« Oui...Tu as raison ».

Après que le blond l'eut aussi quitté, lui promettant de revenir très rapidement, il ferma les yeux et se mit à somnoler. Ce fut une légère caresse sur sa main qui l'éveilla. Deux améthystes inquiètes le fixaient. Et Duo se laissa pratiquement tomber sur lui pour l'étreindre.

« Oh ! Trowa ! J'étais si inquiet ! Je ne savais pas si tu allais bien ou pas ! Je suis si heureux de te revoir ! ».

La voix enrouée lui fit comprendre que Duo pleurait. Il entoura à son tour le natté de ses bras et tenta maladroitement de le consoler. Cela n'avait jamais été son fort.

« Chut...Tout va bien maintenant, je vais bien, je suis là ».

« Mais, ce type aurait pu te tuer ! ».

« Ce n'était pas son but. Il ne l'a pas fait exprès. Il voulait simplement me garder à l'œil et il ignorait mon allergie ».

Duo se recula et le fixa, une lueur étrange brillant dans les yeux.

« On dirait que tu le protèges ! Mais il t'a quand même injecté cette cochonnerie ! ».

« J'ai énormément parlé avec lui. Je sais beaucoup de chose. Et me tuer n'était pas son but ».

Duo fit un sourire puis le reprit dans ses bras.

Trowa était vraiment heureux de retrouver le châtain. Duo était toujours si amical, si doux et chaleureux, si différent de Heero. Bien entendu, revoir Heero lui avait fait battre le cœur plus rapidement, de même la douceur dans ses cobalts, mais avec Duo, le sentiment était plus fort, plus intense. Il murmura avec douceur trois mots qu'il ne lui avait jamais dit :

« Je t'aime ».

OO

« Asseyons-nous. Heero, range cette arme ! ».

Heero s'installa sur l'un des canapés mais garda le magnum bien en vu. Shahel prit une bonne inspiration puis s'assit face à Quatre, face à son demi frère. Il l'examina. Le blond n'avait pas beaucoup changé si ce n'est qu'il faisait beaucoup moins enfant que dans son souvenir. Ses traits masculins contrastaient avec ses boucles blondes. Il portait un uniforme de commando identique au fou au magnum. La seule chose qui n'avait pas vraiment changée était ce sourire.

Quatre fit la même observation. Shahel dans son souvenir était un homme sympathique, intelligent et attachant. Ils s'étaient tout de suite entendus quand son père l'avait plus ou moins adopté et Quatre l'avait longtemps écouté jusqu'à ce qu'il soit envoyé dans une grande université de L4. Ils ne s'étaient pas revus depuis, c'était il y avait une quinzaine d'années.

« Bien, je pense que nous pouvons parler entre personnes adultes et responsables. Pourquoi as-tu créé cette bombe ? ».

Shahel le regarda droit dans les yeux, le défiant délibérément.

« Pourquoi êtes-vous si certain qu'il y ait une arme ici ? ».

Quatre garda son calme et son sérieux et le fixa aussi :

« Et bien, peux-tu l'ouvrir pour nous ? ».

« Non...Il y a des objets personnels dedans, je ne veux pas que des inconnus y touchent ».

Quatre laissa passer la phrase et tourna ses turquoises vers Heero.

« As-tu le code ? ».

Heero se leva sans répondre et s'approcha du coffre. Shahel le suivit des yeux et serra les dents quand le brun commença à pianoter des codes, se demandant s'il connaissait réellement les chiffres secrets.

Le premier essai fut infructueux. Le second n'ouvrit pas non plus la porte. Heero se tourna vers Shahel et le fixa une lueur légèrement folle brillant dans ses cobalts.

« C'est mon dernier essai...Peut-être que mes numéros ne sont pas les bons...Peut-être que tout va sauter ».

Quatre lui fit signe de procéder et le scientifique se tendit légèrement. Heero tapa le premier chiffre et une voix s'écria rapidement :

« Une minute ! ».

La voix froide de Heero s'éleva :

« Pourquoi ? ».

« Vous ne connaissez pas le code ! Nous allons mourir inutilement ! ».

« Et bien, dis-nous ce qu'il y a à l'intérieur. Sinon il devra continuer, même si nous devons mourir ».

« Vous êtes dingues ! Pourquoi faites-vous ça ? A quoi cela vous mènera-t-il ? ».

« La protection des colonies est la seule chose qui nous préoccupe. Tu représentes un danger pour nous avec cette bombe ».

Shahel baissa la tête puis la secoua.

« Je...Je ne voulais pas vraiment m'en servir ».

Heero demanda, toujours d'un ton sans timbre :

« Alors pourquoi l'avoir créée ? ».

Le scientifique leva les yeux vers Quatre.

« Je voulais me venger ».

« De quoi ? ».

« De toi...Tu as tué notre père. Pourquoi as-tu fait ça ! ? ».

Shahel se leva promptement mais fut rapidement maîtrisé par Heero qui avait vu le coup venir. Le grand blond se retrouva à nouveau sur le canapé, maintenant secoué de sanglots.

« Il était si bon, si gentil ! Il n'aurait jamais souhaité que cette guerre se propage ainsi sur L4 ! Mais son propre fils lui avait désobéi et était devenu l'un des piliers de ce conflit ! Un pilote de Gundam ! Un destructeur de masse ! Pourquoi as-tu fait ça ? ».

Quatre respira un long moment avant de répondre, choisissant avec soin ses paroles.

« Je sais qu'indirectement je suis en effet responsable de la mort de père. Mais ce n'était pas en restant à l'abris sur notre colonie que l'on pouvait régler cette guerre ! J'ai pris une décision et je l'ai appliquée jusqu'à la fin, même si elle m'a apportée des souffrances. Maintenant, je ne regrette pas d'avoir fait tout ce que j'ai fait. Et sache que père a délibérément choisi de se sacrifier. Il voulait montrer au peuple de L4 qu'il fallait se battre. Je suis très fier de lui ! ».

« Il est mort... ».

« Oui, mais rien ne pourra le faire revenir. Shahel, il faut que tu rejettes cette amertume. Je sais que je suis coupable, mais ne crois-tu pas que nous avons assez souffert tous les deux ? ».

Shahel releva la tête.

« Tu as souffert ? ».

« Bien entendu ! Qu'est-ce que tu crois ? ! Je l'aimais autant que toi ! C'était mon père tout de même ! ».

« A cause de cette perte, il a détruit une colonie...et... ».

Quatre lui fit signe de se taire. Il ne voulait pas revivre ce passage. Il avait commis une véritable erreur et si Trowa n'avait pas sacrifié sa vie, il aurait sans doute détruit plus d'une colonie et d'un satellite.

« Tu as détruit une colonie ? Celle près de L3 ? ».

Quatre hocha lentement la tête.

« J'étais si accablé que j'ai perdu la raison. Mais, on m'a remis dans le droit chemin. C'est pour cela que je ne te juge pas. Je veux parvenir à te faire comprendre que tu commets une erreur et je veux te donner une seconde chance comme pour moi. De plus, tu n'as jamais tué personne. Ne commence pas ».

« Il a presque tué Trowa ! Je ne suis pas d'accord Quatre ! ».

Quatre fronça les sourcils en apercevant la lueur de tristesse dans les yeux de son demi frère.

« Shahel ? ».

« Ce n'était pas mon intention ».

Heero s'approcha de lui, l'air menaçant. Il posa son arme sur la tempe du grand blond.

« Tu lui as bien injecté cette drogue ? Tu crois que cela ne l'aurait pas tué à force ? ».

« Je... ».

Devant l'hésitation prononcée du scientifique, Quatre comprit immédiatement ce qui se passait.

« Syndrome de Stockholm inversé? Tu es amoureux de lui ? ».

Heero abaissa son automatique et ouvrit des yeux stupéfaits.

« Pardon ? ».

« C'est évident, Heero. Il voulait juste que Trowa reste près de lui. Et c'est un moyen comme un autre de le faire ».

« Mais...Si on aime quelqu'un on ne va pas le forcer ! C'est ridicule ».

Shahel baissa le menton et murmura :

« Vous dites cela parce qu'il vous a répondu... ».

Heero trembla légèrement puis reposa son arme sur le front du scientifique.

« Je vais vous faire sauter la cervelle. Tu as fini Quatre ? ».

« Heero ! Calme-toi ! Il n'est pas nécessaire de le tuer ! Il n'a fait de mal à personne ! »

« Il a fait du mal à Trowa, ça me suffit ! ».

Il arma le chien et Quatre se leva vivement pour l'empêcher de tirer.

« Arrête Heero ! ».

Le magnum s'abaissa doucement face à cette nouvelle voix. Heero se tourna vers l'entrée et croisa deux émeraudes.

« D'accord, si c'est toi qui le demande ».

Duo aida Trowa à s'installer sur le canapé.

Shahel n'osait pas relever les yeux. Le rouge avait remplacé sa pâleur du début. Il avait devant les yeux quatre des cinq pilotes de Gundam. Il avait compris que sa vengeance était stupide et que Quatre avait bien entendu autant souffert que lui de la disparition de leur père. Mais ce qui le gênait maintenant, était son attitude envers Trowa. Il l'avait fait souffrir, inutilement. Il devinait que Heero était l'un de ses compagnons ainsi que Duo. Cela se voyait facilement de part les regards qu'ils lui lançaient. Il frissonna quand la voix qu'il avait entendue depuis plusieurs semaines commença à parler.

« Shahel ? Je ne t'en veux pas, je comprends parfaitement ce qui t'a motivé et je pense que Heero peut aussi le comprendre... ».

Heero hocha de la tête puis s'approcha du coffre laissant les autres parler.

Shahel décida d'affronter le jeune homme. La douceur dans les émeraudes lui fit battre le cœur plus rapidement mais la main du natté dans celle de Trowa lui procura un sentiment de colère. Il ne lui appartenait pas, ne lui appartiendrait jamais.

« Shahel. Je t'aime beaucoup, mais je pense que mon sentiment est proche de celui de Quatre. Malgré le fait que j'ai été ton prisonnier tu t'es occupé de moi. Tu m'as beaucoup appris et je sens que je vais pouvoir mieux profiter de cette vie. Mais je ne veux pas que tu croies que j'ai eu d'autres sentiments pour toi autre que fraternels. Ils n'ont jamais existé. Tu as développé vis-à-vis de moi, quelque chose de fort, que j'ai tenté de faire disparaître par cette pseudo évasion. Malheureusement, je...je crois que cela a eu l'effet inverse, et j'en suis navré. Pardon ».

« Non ! Ne t'excuse pas ! Tu n'as rien à te reprocher ! ».

Shahel se leva et s'approcha de Trowa. Il lui prit sa main libre et la serra fortement. Duo voulut protester mais Trowa le fit taire en pressant sa main.

« Je te l'ai déjà dit. J'ai été un imbécile de croire que tu pourrais accepter de rester avec moi ! Surtout sachant que tu avais déjà quelqu'un dans ta vie. J'ai simplement agi en ne pensant qu'à moi. C'est moi qui te demande pardon. A tous ».

Shahel se releva et recula examinant les réactions. Quatre cligna des yeux en lui souriant avec tendresse. Mais Duo continua à le regarder avec un mécontentement tangible. Shahel avait l'impression de voir un lion protégeant ses petits.

« Mouais. Qu'est-ce qu'on fait de lui, alors ? ».

Un bip bruyant s'éleva et toutes les têtes se tournèrent vers Heero. Celui-ci avait ouvert le coffre et exhibait un gros container en acier dans lequel devait reposer l'arme biologique.

« On embarque cette chose et son propriétaire au QG ».

« Vous...Vous connaissiez le code ? ».

« Il se trouve que j'ai entièrement confiance en Trowa ».

Heero fit un signe de la tête puis quitta la pièce sans rien ajouter de plus. Quatre s'approcha de Trowa et Duo.

« Tu penses pouvoir aller jusqu'à la voiture ? ».

« Oui, avec de l'aide pas de problème ».

« Je m'occupe de lui. Toi, fais attention à ce type ! ».

Ils quittèrent l'immense building. Chacun perdu dans ses pensées.