Disclaimer.

Rien n'est à moi tout à J.K.Rowling

Rappel des personnages pour ceux qui ont tout oublié.

Sirius Black est marié à Lily Evans. Ils ont quatre enfants : Allula à Griffondor, Cassiopée et Eridan les jumeaux une à griffondor l'autre à Serpentard (5eme année) et enfin la dernière Ascella (Poufsouffle première année).

Nous avons Remus en prof d'animaux magiques, Rogue en DCFM, Lily en enchantement, MacGonagall aidée de Hermione en métamorphose, Stanislas Durkemberg en professeur de potion et en professeur de soin Fany Fistang.

Nous avons le quatuor infernal : Cassiopée et Eridan, mais aussi Vélary et Marco

Dans la même classe de Harry nous avons : Ginny, Allula, Rose, Elisa, Marie, Grace, Brian, Peter, Jack, Francis, et Luke. Je vous fais grâce des noms de famille.

Résumé précédent

Et bien Harry est tombé dans les pommes parce qu'il en a fait trop.

Chapitre 9 : Méandres

- Harry réveille toi, j'ai quelque chose de grave à t'annoncer

- Professeur Dumbledore ? Que se passe-t-il ?

Répondit d'une voix ensommeillée Harry

- Viens Harry nous devons discuter.

Harry inquiet regarda dans son dortoir, Ron son meilleur ami était toujours là. Il avait depuis la mort de Sirius un besoin constant de savoir si ses amis étaient là et heureux. Il n'arrêtait pas de se réveiller à cause des cauchemars infligés par Voldemort, et depuis la mort de Severus, Harry prenait une potion pour qu'il ne revive plus jamais ça. Cela avait l'avantage de lui donner des nuits normales mais en contre parti il était dans le flou total vis à vis des agissements de Voldemort.

Oui il peut tuer n'importe qui.

- Qu'est ce qui se passe ?

- Harry assied toi s'il te plaît.

Harry compris que quelqu'un était mort. Dumbledore ne prenait que très rarement cet air sérieux.

- Harry fit-il après s'être assuré que Harry était prêt, je dois t'annoncer que Remus Lupin est mort.

Harry se sentit défaillir. Il ne put que murmurer :

- Non c'est impossible

- Je suis désolé Harry.

Il était trop bête, il avait bien vu pourtant que depuis une semaine, Dumbledore semblait inquiet. Il aurait dû s'en douter.

Il répondit avec une voix qu'il ne lui ressemblait pas.

- Quand ?

- Et bien c'est délicat.

- Quand ?

- Nous ne savons pas vraiment Harry sûrement mardi dernier.

- Une semaine reprit Harry d'une voix aiguë.

- Remus était absent pour une mission et on n'avait aucun moyen de savoir ou il était et s'il était en vie.

- Il est mort comment ?

- Tué par des mangemorts, sûrement, ce n'est que des suppositions.

Les questions s'enchaînaient automatiquement, tel un automate.

- Qui ? C'est bellatrix ? Voldemort ? Qui ?

- On ne sait pas Harry

- Je dois savoir qui l'a tué.

- Harry on ne sait pas et de plus, tu ne peux pas le venger ce serait trop risqué.

- Qui ?

- Harry arrête. On ne sait pas. Je te le jure Harry, je ne sais pas.

Harry regarda ou plutôt dévisagea bizarrement Albus avant d'admettre le fait.

- Pourquoi est-il mort ?

- Tu sais, il n'y a pas toujours de raisons hélas….

Harry le regardait avec insistance, Dumbledore poussa un soupir.

- Il faut que je t'explique en quoi était sa mission avant sa mort. Tu veux bien ? C'est pour que tu comprennes tout.

Harry acquiesça.

- Bien Remus était à la recherche de Peter Petigrow.

Harry releva la tête brutalement.

Dumbledore le regarda avec ses yeux pleins de tristesse et continua.

- Il voulait venger Sirius, il avait une piste. Alors je l'ai laissé chercher Peter.

- C'est lui qui l'a tu ?

- Non, Peter est mort lui aussi.

Harry décida de ne plus interrompre le professeur Dumbledore. Toute cette histoire n'était pas claire.

- Hum, après moultes recherches, Remus a retrouvé Peter et a réussi à le capturer vivant. C'était mardi dernier, enfin je pense. Je dois t'avertir que ce n'est que des suppositions Harry, personne ne sait ce qui lui est arrivé à part ses agresseurs.

Harry hocha la tête et fit signe de continuer.

- Bien, Remus devait être très excité à l'idée de nous montrer Peter. Nous avions une réunion mensuelle dans un docker d'un port en Irlande. C'était une réunion de l'ordre. Seulement, j'ai eut un doute sur la sécurité du lieu. Le professeur Rogue était au courant et certaine personnes sont capables de lire certains renseignements dans le corps des morts.

Albus fit une légère pause.

- J'ai donc changé à la dernière minute le lieu de l'emplacement. J'ai prévenu toutes les personnes concernées. Remus n'a pas été prévenu du changement puisqu'il ne devait pas venir à la réunion. Mais ce que nous ne savions pas c'est qu'il avait trouvé Peter et il est donc venu nous avertir. L'ancien emplacement s'est avéré être pris d'assaut par les mangemorts, mais ils n'ont trouvé qu'une seule et unique personne : ……….Remus. Je suis désolé Harry c'est ma faute, j'aurais du le prévenir. Je n'ai pas pensé qu'il viendrait. Excuse-moi Harry.

Harry regarda le professeur Dumbledore.

Etait ce de sa faute. Oui il aurait du prévenir Remus, mais Remus aurait du se renseigner. Etait-ce vraiment de sa faute ? Etait sa faute si Sirius était mort. N'était ce pas la même chose ici.

Harry détourna la conversation, il n'arrivait pas à réfléchir.

Une seule image lui revenait en tête : Remus dans la salle seul face à un groupe de mangemort.

- Et pour Peter dit-il d'une voix encore étouffée.

- Remus l'avait enfermé dans une cage sous sa forme de rat dans son appartement. Il est resté coincé dans cette cage pendant une semaine sans eau : il est mort déshydraté. C'est de là qu'on a compris que quelque chose n'allait pas et on est allé vérifier l'ancien emplacement de réunion

- Il a souffert alors.

C'était simplement une constatation.

- Et Remus il a souffert ?

- Oui Harry ils l'ont torturé, il était difficile à reconnaître. Je suis sincèrement désolé.

Harry tenta de réfréner ses pleures, mais il était déjà trop tard.

Albus le prit délicatement dans ses bras.

- Je suis désolé Harry, si je pouvais, je t'éviterais tout ça. Si j'avais pu…

- Avec des si on referait le monde récita amèrement Harry.

Albus se tut et se contenta de bercer Harry.

Le grand Albus tenant dans ses bras le grand Harry Potter. Seulement il ne fallait pas voir cette scène de cette manière car à cet instant : c'était une personne pleine de remords qui tenait un garçon anéanti par la mort de Remus Lupin. Tout simplement.

Après un certain temps, Harry ne put dire qu'une seule et unique phrase, mais au combien importante pour Albus.

- Ce n'est pas votre faute.

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- Il est réveillé ?

- Non, mais ça ne va pas tarder. J'ai pensé que vous voudriez le voir Mr le directeur.

- Alors quel est votre diagnostic Pompom ?

- Je ne sais pas. Il faudrait que je l'interroge pour confirmer mes soupçons.

- Vous pensez à quoi ?

- Je pense à un épuisement magique.

- Magique.

- Oui et très grave. Je pense qu'il va s'en sortir, mais il s'en est fallu de peut, très peu rajouta-t-elle pour elle-même.

- Qu'est ce qui a pu provoquer un tel état Pompom.

- …

- Pompom ?

- Je ne sais pas. Je pense qu'il est comme ça depuis un certain temps. L'émotion de la petite Black à du être l'émotion forte de trop.

- Vous pensez à quoi ?

- …

Albus attendit que Pompom se décide

- Je ne sais pas, ce garçon me semblait en bonne santé il y a une semaine, je ne vois pas ce qui a pu l'épuiser autant en seulement une semaine. La seule possibilité c'est qu'il ait trouvé un ou des sorts très dangereux, des sorts qui ne sont que dans la réserve. J'attends de lui demander pour savoir. Mais il faut aussi songer que c'est peut être une tentative de suicide.

- Mais c'était pendant le match.

- Certaines tentatives ont une échéance de temps pour dire au revoir….

- Je vois…

Harry essayait de comprendre la signification de tout ceci. Il était dans un lit d'hôpital. Pourtant il venait à l'instant d'être dans les bras de Albus suite à l'annonce de la mort de Rem…

Non Harry, Remus est mort comme tous les autres. C'était encore un cauchemar.

Harry essaya de lever ses paupières.

- Ah il se réveille. Mr. Potter. Vous m'entendez.

Harry se contenta d'acquiescer.

- Buvez c'est de l'eau vous avez la gorge sèche.

- Bienvenu parmi nous Harry, vous êtes à l'infirmerie. Ca fait une semaine que vous êtes à l'infirmerie. Quelques jours de plus et on vous mettait à Ste mangouste.

- Mr. Potter, je vais vous donner une potion régénérante de force physique. Pour votre magie elle doit revenir par elle-même. Mais avant, pouvez vous nous dire ce qui c'est passé.

Harry regarda l'infirmière tranquillement.

Que s'était-il pass ? Mais il ne se souvenait plus. Attendez, ah si, il avait sauvé la vie de Cassy. Et, oui, Rose l'avait vu faire de la magie. Il avait utilisé le sort d'intrusion. Il avait pris un gros risque.

- M. Potter je suis désolé d'insister mais je dois savoir. Je ne sais pas comment vous soigner sinon.

- Je… J'ai fait, enfin j'ai tenté un enchantement de lévitation.

- Un sort de lévitation ?

- Oui Cassy tombait et je voulais la retenir.

- Ca n'explique pas tout, il aurait fallu que vous le fassiez une bonne cinquantaine de fois.

- J'ai … Je l'ai fait. Je voulais montrer que je pouvais faire de l'enchantement, je me suis entraîné tous les jours depuis deux semaines pour le réussir. Ca m'a beaucoup fatigué.

- C'est sûr , on n'a pas idée de faire ce sort à de nombreuses reprises et seul. Vous avez failli mourir M. Potter vous vous en rendez compte ?

- Je suis désolé.

- Allez Pompom, soyez indulgente on ne sait pas ce qu'on fait quant on est jeune et c'était pour sauver une jeune fille.

- Vous ne vous rendez pas compte Albus. Il serait tombé deux ou trois minutes plus tard et il mourrait.

En fait quelques secondes corrigea dans sa tête Harry

- Et bien il peut s'estimer heureux alors. Au moins ce n'est pas pour une mauvaise raison qu'il s'est épuisé rajouta Albus face à l'allusion du suicide.

- Humm, laissons le dormir. Il doit se reposer,

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- Harry ?

- Je suis prêt.

- Bien alors allons-y.

Tout le trajet fut silencieux

Une voiture les attendait à la sortie de Poudlard, elle les déposa juste devant le cimetière.

- Harry tu es prêt ?

Hochement de tête.

- Bien.

La cérémonie fut brève mais pleine d'émotion. La majorité des gens Harry ne les connaissait pas. En fait, il ne connaissait que les aurors et Dumbledore. De toute façon il n'y avait pas beaucoup de personnes. Pendant toute la cérémonie, Dumbledore garda sa main droite sur l'épaule d'Harry. Harry regarda tristement la cérémonie qui officialisait la mort de Remus Lupin.

Lorsque tout le monde fut parti, Harry se décida enfin à se séparer de l'emprise de Dumbledore. Il s'approcha doucement de la tombe, il s'agenouilla et déposa sa fleur : une marguerite.

- Puisses tu rejoindre tous ceux que tu aimes et vous regrouper dans un lieu merveilleux de paix et de bonheur.

Harry regarda longuement la marguerite silencieusement, en deuil.

Puis il se releva et regarda Albus l'air déterminé.

- Je veux aller sur la tombe de Peter.

Albus n'argumenta rien contre, il avait déjà prévu cette réaction.

La tombe de Peter avait été rouverte pour y introduire son vrai corps. Sur la pierre tombale il y avait encore les vieilles dates de décès. Harry les regarda tristement puis s'approcha de la tombe et déposa de la même manière une marguerite.

- Puisse tu comprendre tes erreurs et être pardonné par ceux que tu as trahis. Moi je ne te pardonne pas.

Puis tranquillement il se retourna vers Albus et lui fit signe qu'il était prêt à partir.

Dans la voiture Albus se risqua à une seule question.

- Pourquoi la marguerite Harry ?

- Car elle à une multitude de pétales qui se retrouvent tous ensemble autour d'un lieu merveilleux. Elle ressemble à l'au-delà.

Albus acquiesça lourdement puis rajouta.

- Poudlard a toujours paru pour moi le plus bel endroit du monde. Je prendrais soin de toi Harry je te le promets.

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- Bonjours Monsieur Potter bien dormi ?

- Hummm, oui, enfin, je crois

Harry avait du mal à revenir à la réalité.

- Vous avez de la visite.

- Oh.

- BONJOUR HARRY.

Harry eut juste le temps de voir une frimousse rousse se jeter sur lui.

- oucht

Dur retour à la réalité

- J'ai eut peur.

Enfin pas si terrible que ça.

Harry lui rendit un magnifique sourire.

- Cette demoiselle m'a harcelée tous les jours, alors je lui offre en premier le droit de visite, je crois que sinon elle m'en aurait voulu à vie.

Ascella prit un air gêné.

- Je m'inquiétais c'est tout répéta-t-elle piteusement.

Harry lui fit un magnifique sourire et la prit spontanément dans ses bras.

- Je t'adore petite Ascella.

- Moi aussi.

Un temps passa puis Ascella aborda ce qui la préoccupait.

- Tu vas bien ?

- Oui ça va. Je crois que ça va.

Ascella se mit d'un coup en colère

- Il n'y a pas idée aussi. On dit que tu as fait de la magie jusqu'à en être malade, il n'y a pas idée. Moi j'ai eut peur. Puis elle rajouta presque pour elle-même j'ai cru que je t'avais perdu.

- Bien sûr que non, petite lumière, tu sais bien que je serais toujours là pour toi.

- Je sais, mais j'ai eut peur.

- N'en parlons plus.

- N'en parlons plus, n'en parlons plus c'est facile pour toi tu as dormis toute la semaine, mais moi j'ai pas dormi. J'ai cru que…

- C'est fini petite lumière.

Harry avait pris à nouveau Ascella qui pleurait assommée par l'émotion de le retrouver.

Puis Ascella s'installa dans ces bras s'en rien dire. Le silence persistait mais l'un comme l'autre ils avaient besoin de ce contact.

Harry sourit Ascella était devenu sa famille dans ce monde. Tout comme Dumbledore dans l'autre monde. Harry chassa cette idée et se mis à étudier Ascella. Rousse avec des yeux verts, on aurait dit presque le sosie de Lily. Elle avait même le caractère de sa mère, enfin de Lily. Il aimait beaucoup être avec elle, il sentait pour la première fois des liens «familiaux ». Il avait une envie irrésistible de la protéger, d'être son grand frère. Seulement il devait faire attention, il n'était pas son grand frère. Enfin du moins pas officiellement.

Elle s'était endormie. Harry la regarda encore un peu puis s'endormit à son tour.

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- Professeur Dumbledore ?

- Harry, je suis désolé pour ta famille, on n'a pas réussi à les sauver.

- Je vais allez où alors. Il ne me restait qu'eux comme famille. Remus, Sirius, mes parents, mes grands-parents, les amis de mes parents, ils sont tous morts.

- Harry, je voudrais que tu restes à Poudlard cet été.

- Mais c'est impossible.

- Et bien, je me suis porté garant pour toi Harry. Il te reste une année avant la fin de Poudlard et tu vas avoir 18ans l'année prochaine. Tu n'as besoin d'un tuteur que pour ces deux mois. De plus il faut t'assurer une certaine protection. Poudlard est parfaite pour ça.

- Qui est mon nouveau tuteur, Mac Gonagall ?

- Non, fit-il avec un sourire, c'est ….moi. J'ai longtemps hésité. Mais je crois que c'est le mieux pour tous. On s'entend bien et ce n'est que pour deux mois. Je peux t'offrir une certaine sécurité et si tu le désires, je peux même t'apprendre certains sorts utiles, au cas ou.

Harry sourit devant l'ironie puis songea à un problème.

- Mais , ne va-t-on pas vous accuser de favoritisme.

- Humm, en fait, je crois que non, et puis j'ai bien le droit d'être le tuteur de quelqu'un. Mon fanatisme des bonbons à failli me discréditer, mais heureusement j'avais d'autres actifs à mon cursus.

- Je vois, mais je vous appellerais toujours professeur, n'est ce pas ?

- Bien sûr Harry ça ne change rien entre nous, enfin tu auras le droit à plus de bonbons si tu veux et puis tu auras une chambre pour l'été.

- Je ne dormirais pas dans la salle griffondor? Demanda étonné Harry.

- Et bien c'est trop grand et puis c'est assez loin. Je soupçonne pompom de vouloir me voler mes bonbons, si tu es trop loin tu ne pourras pas en avoir.

Harry essayait de faire abstraction du thème bonbon dans la discussion. Albus semblait passablement heureux et dans ses bons jours. Le thème bonbon était inévitable.

- Hum je pourrais voir Ron et Hermione ?

- Pas à Poudlard, mais je pense qu'une ou deux visites chez les Weasley ne me dérangeront pas, ainsi qu'une ou deux visites à prés au lard, j'ai mon stock de bonbons qui descend. Hier encore, Pompom a découvert ma cachette secrète n45. C'est dur de trouver des bons endroits maintenant.

- Si vous voulez j'ai des nouveaux bonbons des jumeaux Weasley.

- Que c'est une bonne idée. Je pourrais en avoir ?

- Oui je crois qu'il serait ravi de savoir ça.

- Ho je préfère rester discret, il ne faudrait pas que tout le monde sache que j'incite mes élèves à faire des bonbons. Quoique, il y a bien vingt ans, j'ai pensé à développer une école de bonbons, mais j'ai préféré être professeur. Je ne regrette pas mon choix, mais une école de bonbons cela aurait pu être bien.

Il n'aurait jamais dû le lancer sur les bonbons.

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- Alors le héros du jour est réveillé. S'écria une voix qui devait être celle de Brian.

Harry souleva ses paupières. Ils étaient tous là. Ginny, Allula, Brian, Rose et même Cassy Eridan,Velary et Marco.

Le quatuor infernal au complet. Non il manque Peter

- Où est Peter ?

- Il ne se sentait pas bien fit gênée Ginny.

Harry sentit qu'elle mentait mais n'insista pas.

- Qu'est ce que tu fais avec ma sœur dans tes bras Harry fit suspicieusement Allula.

Harry se rendit compte qu'il tenait toujours Ascella dans ses bras.

Donc on est toujours le même jour, je n'ai donc pas dormi à nouveau une semaine c'est déjà ça.

- On attend demanda Eridan.

- Oh et bien elle est venue prendre de mes nouvelles et puis elle s'est endormie et puis moi aussi enfin je crois.

- Super réveillé remarqua Brian.

Harry lui répondit par une mimique.

- Ouhais mais pourquoi elle est venue te voir. C'est nous les premiers. Pompom nous l'a assuré fit avec regret Cassy.

- Hum en fait fit remarquer l'infirmière qui avait entendu la remarque, il y a eut une personne avant vous, mais elle était là toute la semaine, je n'ai pas pu lui refuser l'entrée.

- Toute la semaine reprit impressionnée Ginny, et bien elle t'aime bien.

- Qu'as-tu fais à ma sœur demanda Eridan ?

- Rien on s'est rencontré dans le train tu sais c'est toi qui me l'as présenté et puis on a continué à discuter. C'est elle que j'aide avec ses devoirs.

- QUOI

- Pas la peine de crier si fort ma chérie

- Non mais tu as entendu, ma propre sœur va voir un inconnu pour ses devoirs.

- La dudit sœur s'est réveillée grâce à toi, merci Allula. Et pour ton information je suis allé voir Harry car il me l'a proposé. Et puis, je ne vois pas ce qu'il y a de mal.

- Ne t'inquiète pas Allula, tu ne penses quant même pas que je vois ta sœur comme une petite amie on a 7 ans de différence ?

- Heu. Allula réalisa d'un coup ses propos soupçonneux et quelque peu idiots, heu en fait non…en fait heu …je non, c'est vrai c'est bête, je ne pensais pas ça, bien sûr.

Harry souleva un sourcil ce qui acheva la teinte rosée d'Allula. Elle ne parla plus de tout le reste de la visite trop gênée d'avoir pensé une telle chose.

- Bon maintenant que le problème "sauvons Ascella d'un potentiel pervers est pass"

- C'est moi le pervers demanda surpris Harry

- Oups répondit avec un magnifique sourire Cassy, donc maintenant qu'on a découvert l'âme si généreuse de Harry,…

- Je préfère.

- Harry je tenais à te remercier.

Harry l'a regarda étonné un instant.

- On a appris reprit Velary pourquoi tu es dans cet état. Bref le fait que tu aies voulu la sauver, mais que tu as foiré.

- C'est l'intention qui compte fit Cassy.

Puis très solennellement elle fit un énorme bisou sur la joue de Harry.

- En plus d'être notre mascotte Harry tu es devenu mon Héros.

- Ah bon remarqua espièglement Eridan, mais il ne peut pas être ton héros, la place est déjà prise.

- C'est vrai rajouta Marco, c'est Marcus ton sauveur.

- Je dirais même plus reprit Vélary, c'est ton chevalier servant.

- Oh c'est bon je l'ai déjà remercié pour tout ce qu'il m'a fait répondit Cassy toute rouge.

- Oui c'était un tableau siiiiiiiii magniiifiqueeee

- Arrête Eridan je ne savais plus où me mettre.

- T'inquiètes pas je crois qu'il était encore plus gêné que toi.

- C'est vrai….

Harry regarda le trio commenter les remerciements de Cassy tandis que Brian lui expliquait les faits.

- En fait c'est un serpentard : Marcus Stemberg il est en cinquième année et il était sur le terrain au moment des faits. Il a fait un sacré piqué pour sauver Cassy. S'il n'avait pas été là, enfin tu comprends. Donc il l'a sauvé et elle est allée le remercier. Ils étaient trop marrants. Cassy l'a remercié devant toute l'école et Marcus lui il était tout rouge. Il essayait de lui dire que ce n'était rien, pour qu'elle parte mais elle n'a pas arrêté du repas de le remercier. C'était hilarant.

- A la fin continua Ginny il a du sortir de la salle tellement il était rouge. Et Cassy à dit tout haut « ben pourquoi il part, j'ai pas fini mes remerciements ». On a tous éclatés de rire.

Harry sourit à cette image.

Oui ce devait vraiment être marrant

Ils continuèrent à discuter de tout, de rien, de ce qui c'était passé durant la semaine.

- Oh fait, tu sors quand ?

- Heu je sais pas.

- Quoi tu n'as pas demandé ?

- Heu non, en fait j'arrête pas de dormir( Harry se mis à bailler) et je suis un peu endormis alors j'ai pas pensé à demander.

- Oh on te dérange peut être fit Rose.

- Non non, ça me fait du bien, c'est juste que je n'ai pas pensé à demander.

- POMPOM cria Cassy.

- Oui qu'est ce qui ce passe, Harry a un malaise ?

- Non non, on voulait juste savoir quant est ce qu'il sortira ? Il peut avoir des malaises ?

- Bien sûr, et je ne pense pas avant la fin de la semaine. Reprit-elle sur un ton ferme.

- Autant ? Cria Cassy.

- Oui M. Potter a trop forcé, il doit reprendre des forces. D'ailleurs les visites sont terminées.

- Oh non s'écria Ascella je peux revenir demain ?

- Si vous voulez, mais pas autant de monde la prochaine fois, vous faites trop de bruit et vous le fatiguez.

Harry voulu rouspéter mais il bailla à la place.

Il commença à s'endormir et ne pu entendre qu'un :

- Tu vois c'est ta faute si tu ne l'avais pas appelé, on aurait pu rester encore un peu.

- De toute façon Harry est crevé, il vaut mieux le laisser dormir.

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- Harry, Harry ça va ?

- Oui.

- Harry ne me ment pas, tu es à coté de ma chambre et je t'ai entendu hurlé.

- C'est juste des cauchemars.

- Quel genre de cauchemars ? Demanda soudain effrayé Dumbledore

- …

- Harry ?

- Toujours les mêmes, c'est Voldemort qui me les envoie.

- Mais on t'a donné une potion pour les réduire.

- …

- Harry ?

- Oui mais si je la prends, je ne peux pas savoir s'il y a un problème.

- Mr Harry James Potter, j'espère que vous ne jouez pas à votre héros. J'ai ordonné que vous preniez une potion la nuit pour vous éviter ces cauchemars. Ce qui se passe en dehors ça ne vous regarde pas.

- Ne me regarde pas ? Vous êtes bien placé pour savoir que si. La prophétie…

- La prophétie le coupa Dumbledore n'est qu'une prophétie, elle ne doit pas dicter votre vie. En temps que tuteur moi j'en ai le droit et je t'ordonne Harry de prendre cette potion.

- Comme si ça ne vous arrangeait pas que je vous dise où il y des attaques.

Un éclair de tristesse passa dans le regard d'Albus.

- Je suis désolé professeur.

- …

- Albus se risqua Harry, ce qui attira l'attention de Dumbledore. Je ne voulais pas dire ça. Je sais bien que vous ne voulez pas que je le fasse, mais…enfin…je peux supporter ça si ça peut aider.

- Harry fit-il dans un murmure. Je ne veux pas que tu aies cette vie là. Tu comprends ?

- …

- Je veux que tu profite de ta jeunesse. Oui il y cette prophétie, mais on s'en occupera plus tard. Pour l'instant tu as le droit de vivre ta vie d'étudiant. Tu n'as pas à sauver le monde. Et je le répète ce n'est pas une prophétie qui doit te dicter ta vie.

- Mais…

- Il n'y a pas de mais. Par contre reprit Albus d'un ton enjoué, en tant que tuteur, je crois qu'il est de mon devoir de t'organiser des sorties. Que dirais-tu d'une sortie à prés au lard. Mon stock de bonbon est au plus bas. Si tu veux, on pourrait t'en faire un aussi, je te prêterais même une de mes cachettes si tu veux

Puis prit d'une envie soudaine Harry prit Albus dans ses bras. Albus ne le repoussa pas.

- Merci chuchota Harry

Albus Dumbledore se mit à sourire malicieusement

- Ah et tu peux m'appeler Albus lorsqu'on est tout les deux. Professeur ça fait vraiment trop officiel. Je crois qu'on commence à se connaître assez pour s'appeler par nos prénoms, mais il faut que cela reste entre nous Harry, sinon on va m'accuser, ce qui n'est plus tout à fait faux, de favoritisme.

Harry se contenta de lui faire un merveilleux sourire

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Bonjour Mr Potter, une jeune fille vous attendait.

- Coucou Harry.

- Mais tu as attendu toute la journée.

Ascella acquiesça.

- Tu ne devrais pas. Je ne serais pas vexé si tu ne viens pas me voir tous les jours et puis-je sors dans une semaine.

- Je sais mais je voulais venir.

- Hummm

- Mais je ne t'ennuierais pas je te le promets.

- Comme si tu m'ennuyais. Allez assis toi à coté de moi. Alors comment c'est passé cette semaine.

- Ca va Julie et moi on s'est rapprochée. Je crois que je m'entends bien avec elle.

- Je suis content. Raconte-moi comment tu l'as rencontré.

- Et bien c'est après l'attaque.

Ascella mit sa main devant sa bouche et prit des yeux horrifiés.

- Ascella quelle attaque demanda anxieusement Harry

- Je ne dois pas te le dire.

- Pourquoi ?

- L'infirmière a dit que tu n'avais pas besoin de mauvaises nouvelles.

Harry dut prendre sur soit pour ne pas la bousculer et pour faire sortir les informations.

Mauvaises habitudes d'aurors ça.

- Ascella c'est trop tard, maintenant je serais encore plus anxieux si tu ne me le dis pas.

Elle hésitait.

- Ascella….

- C'est d'accord de toute façon j'aime pas te cacher quelque chose. Mardi…. Il y a eu une attaque au ministère. Un bon quart des personnes sont mortes.

Harry prit un air peiné mais dit pas un mot. Puis sentant qu'Ascella hésitait il dit :

- Continue, je sens que tu ne me dis pas tout. C'est Peter c'est ça fit Harry se rappelant qu'il n'était pas là.

- Ses parents sont morts tous les deux.

- Je vois.

Ascella était en larme.

- Julie aussi a perdu sa maman. C'est comme ça qu'on s'est rapproché.

- Chuuuuut fit Harry. Il payera pour tout ce qu'il a fait c'est certain fit Harry. Je te le promets.

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- BONJOURS

- Nous sommes si heureux que vous ayez pu venir.

- Ho Moly vous savez, c'est toujours un plaisir. Et puis Harry commençait à ne plus tenir à Poudlard.

- Alalala, pour les séparer ses trois l

- Et oui des amitiés se forment et restent pour la vie.

Harry laissa Albus parler avec Moly et s'esquiva doucement en direction de Ron qui n'osait pas interrompre Albus.

- Salut Ron

- Salut Harry.

Puis semblant hésité il sauta dans les bras de Harry.

- Trop content de te voir vieux frère.

- Moi aussi.

- Alors c'est vacances avec, et il fit un signe des plus discret en direction de Albus.

- Très discret Ron

- Hermione.

Ils s'étreignirent.

- Bonjour Harry, je suis très contente de te revoir.

- Oui n'empêche qu'on ne sait toujours pas si ses vacances se sont bien passées, rétorqua d'un air ronchon Ron

Hermione se contenta de soupirer. Et comme toujours Harry joua les intermédiaires.

- Très bien Ron, les meilleures de ma vie. J'ai pu faire de la magie, laisser voler Edwidge, je vous vois et enfin Albus est gentil.

- Albus cria Ron.

Hermione, elle, en oublia sa réplique cinglante pour Ron

- Oui, je… fit un peu gêné Harry,… il est mon nouveau tuteur.

- Oh félicitations Harry je suis ravie pour toi.

- Mais… Hermione…c'est le professeur Dumbledore. C'est notre directeur de notre école dans notre pays.

- C'est bon Ron je crois que j'ai compris et je ne vois pas ce que ça change.

- C'est que, enfin…

- Oui ?

- Je …c'est pas normal.

- Ah bon fit dangereusement Hermione . Et pourquoi ?

- Heu….

Ron, a enfin appris à se taire lorsque la furie Hermione commence à se lever.

- Tu sais Ron rajouta Harry, ça m'a fait un choc au début et puis on s'y habitue. C'est juste un tuteur. Il doit veiller sur moi, ce qu'il faisait déjà en fait. Après rien n'a changé. Enfin presque, on s'appelle par nos prénoms mais c'est parce que c'est plus commode, mais vous le gardez pour vous n'est ce pas ?

- Oui bien sûr Harry c'est évident et le professeur Dumbledore est parfait pour toi.

Puis devant le regard lourd de sous-entendus, Ron rajouta.

- Oui, oui, il est très bien, mais ça doit faire bizarre.

Harry se mis à sourire

Ses deux amis ne changeraient jamais.

Puis il aborda le thème bateau.

- Et vous vos vacances ?

Ils discutèrent un moment puis Harry entendit Albus l'appelé.

- Bien Harry c'est l'heure je te retrouve dans une semaine tu as ton pendentif ?

Harry acquiesça

- Bien. Et bien à dans une semaine Harry.

Dumbledore l'embrassa comme on embrasse un enfant puis s'en alla après avoir dit au revoir au reste de la famille Weasley.

- Ton pendentif demanda intriguée Hermione.

- Un porte-au-loin, juste au cas où.

Hermione acquiesça gravement.

- N'empêche remarqua Ron ça fait bizarre.

Hermione et Harry poussèrent un soupir. Ron ne changerait définitivement jamais .

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- Bonjour Harry

- Bonjour professeur Dumbledore

- J'ai vu que Miss Black venait souvent vous voir

- En effet.

- Elle est adorable.

- Oui confirma Harry.

- Bien je voulais savoir si vous alliez bien.

- Oui je vais bien.

- Bon, bon, c'est bien. Harry j'ai un certain problème. Vois-tu, tu as dit que tu as fait un sort de lévitation. Mais je ne me rappelle plus celui dont tu m'as parlé, exactement. Non pas que ce soit important mais je préférerais le mettre dans la section interdite, tu comprends.

Magnifique approche. J'ai été bête sur ce coup là. Aucun sort de lévitation ne peut enlever assez de magie d'un coup pour me faire passer aussi proche de la mort, à la limite évanouie mais pas plus. J'ai fait une erreur à moi de l'assumer.

- En fait je vous ne l'ai pas dit.

- Tiens donc fit faussement étonné Albus. Quel est ce sort alors ?

Tu ne m'auras pas. J'ai un atout dans ma manche Albus.

- C'est portare personare

- Ah bon fit Albus ? Mais c'est un sort que l'on n'apprend qu'en septième année.

- Oui je me suis entraîné pour que dans quelques semaines je puisse faire la surprise. Mais j'arrivais pas à bien prononcer la formule et à réfléchir à ce que je voulais en même temps.

Et voilà comment lancer mon piège.

- Oh vous aviez du mal ?

- Oui surtout avec les « rrrr » et les intonations.

- Oh

Albus prit un air illuminé comme s'il venait de comprendre quelque chose.

- Bien mon garçon je suis heureux que tu te remettes, je te souhaite bon rétablissement.

Puis Dumbledore partit comme si de rien n'était.

Trop facile de l'avoir. Portare personare s'il se prononce mal peut donner portaire pairsonarrre, sort très ancien qui permet à deux personnes d'échanger toutes leurs pensées, et surtout sort consommant beaucoup de magie. Pour un débutant il est facile de se tromper surtout pour un maladroit ayant des difficultés en enchantement.

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- Harry ?

- Oui ?

Harry chercha d'où provenait l'appel

- Pas si fort

- Quoi ?

- Mais c'est pas possible.

Ginny sortit discrètement de sa cachette pour le ramener brutalement avec elle dans sa cachette qui s'avérait être sa chambre.

- Ginny mais qu'est ce que tu fais ?

- Harry il faut que je te parle déclama-t-elle après avoir fermé la porte de sa chambre.

- Quoi répondit abasourdit Harry.

Ginny éclata de rire.

- Tu devrais voir ta tête.

- Oui et bien je suis désolé mais voir quelqu'un qui m'accroche et me fait valdinguer, je ne sais où, alors que je voudrais aller manger, c'est pas forcément dans mes habitudes.

- Oh désolé seulement il fallait que je te parle seul à seul.

- Je t'écoute patienta Harry

- En fait voilà c'est pour te parler de Hermione et de Ron.

- Que leur veux-tu ? Demanda sur la défensive Harry ?

- Et bien Hermione est là depuis une semaine et elle n'arrête pas de se disputer avec mon frère, pourtant je sais de source sur que Hermione aime Ron. Et comme je suis la sœur de Ron, je sais qu'il l'aime aussi. Alors je voudrais ton aide pour les mettre ensemble.

Ginny semblait au paradis.

- Non sans….

Mais Harry fut coupé par deux autres personnes.

- On te suit petite sœur s'écrièrent en même temps Fred et George.

- Vous nous espionniez fit Ginny en colère.

- Que veux tu, on pensait que tu allais déclarer ta flamme à Harry.

- Quoi ?

- Oui toi et Harry.

- Mais..mais…Mais…Mais…

- De toute façon ce n'est pas possible Ginny tu sorts bien avec quelqu'un non ?

- Plus maintenant s'écrièrent avec joie les jumeaux.

- Oui et bien vous devriez compatir à mon malheur plutôt que de vous en réjouir.

- Non il n'était pas assez bien pour toi. Par contre Harry….

- Arhhhhh laissez Harry tranquille. Et arrêtez d'inventer des histoires. Par contre rajouta malicieusement Ginny si vous voulez nous aider.

Des histoires ?nous ?

- Hey, je suis pas dans le coup moi, se reprit Harry.

- S'il te plaît Harry fit Ginny avec des yeux de merlan frit, s'il teeeeeplaiiiiit

- Regarde Fred compatit George, Ginny lui fait l'attaque merlan frit.

- Oui aucune chance d'y réchapper.

- OK,OK, je capitule, ça va.

- Merci Harry

Ginny lui fit un magnifique bisou sonore sur la joue et Harry se mit à rougir.

- Oh Harry rougit

- Que veux tu c'est le charme de notre sœur.

Ginny regarda un instant les dires de ses frères, c'est à dire un Harry tout rouge, puis secoua sa tête

- Bon revenons à nos moutons.

- Oui et puis, je rougissais pas.

C'est vrai quoi.

Ginny lui fit comprendre par un regard qu'il remettait le sujet sur le tapis.

oups

- Bien avez-vous un plan chef Ginny ?

- Oui, j'ai pensé à de fausses lettres. J'en envoie une à chacun avec écrit ce que pense l'autre.

- Hum oui pas mal.

- Je suis d'accord avec Fred, Harry ?

- Oui

- Bien Fred et George vous faites la lettre de Ron pour Hermione Harry et moi on fait la lettre de Hermione pour Ron.

- Ok

- Harry je viendrais te chercher ce soir.

Harry attendait patiemment dans son lit.

Mais qu'est qu'elle fiche

- Psttt

- Ginny ?

- Oui

Harry se leva silencieusement et sortit de sa chambre pour rentrer dans celle de Ginny

- Bien alors j'ai commencé un peu. Ca donne :

Cher Ron,

Nous sommes amis depuis notre première année. Je sais tu vas te dire en quoi est ce intéressant et pourquoi cette lettre alors que l'on habite dans la même maison. C'est par ce que c'est plus facile de te le dire par lettre. Surtout que cette lettre comme de nombreuses autres restera en fait dans mon bureau car je n'aurais pas la force de te la donner.

Enfin,…

- J'en suis là. Mais là je bloque.

- C'est très beau fit Harry.

- Oh arrête, comme si tu n'avais jamais reçu de lettre d'amour de ta vie.

- Heu non pas vraiment. Pourquoi toi, tu as l'habitude d'en recevoir ?

- Oh heu en fait un peu oui. Mais passons

- Ha bon tant que ça ?

- Harry on est là pour la lettre avec Hermione

- Je sais mais je suis intrigué combien ?

- Humm

- 2

- eh, je vaux plus que ça quant même

- 5

- …

- quant même pas 10

- 12 exactement, enfin douze personnes différentes car certains en ont écrit beaucoup.

- Ouha. Je ne pensais pas ça.

- Je ne suis pas assez belle ?

- Non, tu es ravissante c'est juste que je ne savais pas que des personnes écrivaient encore des lettres d'amour.

- Oh Harry voyons c'est de notre âge. Les lettres les rendez-vous, les petits amis,…

- …

Lui pouvait-il avoir tout ça ? Albus n'avait de cesse de lui dire de faire tout ça, mais pouvait-il le faire ?

- Harry ça va ?

- Oui Ginny faisons la lettre.

Ginny le regarda un instant mais ne dit rien sur le sujet.

- Ah fini. J'espère que ça va marcher.

- J'en suis sur. Affirma Harry.

- Sincèrement tu es doué pour les lettres d'amour, remarqua d'un œil connaisseur Ginny.

- Merci mais je ne crois pas que je mettrais ça en application. C'est pas vraiment pour moi.

J'ai une guerre à mener.

Ginny le fixa un instant puis continua sur un ton badin

- Ah bon ? C'est dommage tu sais tu es très doué. Et beaucoup de filles pourraient être intéressées. Ce serait…

Mais elle s'arrêta en fixant Harry

- Ce serait reprit Harry sur le même ton.

- Ce serait repris Ginny d'une voix très sérieuse, dommage que tu ne le fasses pas à cause d'une quelconque guerre.

Harry resta sans réaction devant l'audace de Ginny.

- Je suis désolé Harry, je ne voulais pas insister. Ca ne me regarde pas. Tiens, on a fini la lettre. C'est bien! Je vais pouvoir me coucher.

- Oui c'est très bien. Je vais allez pouvoir me coucher aussi, merci Ginny, tu recopie la lettre ?

- Oui pas de problème Harry, bonne nuit.

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- Hey, tu es là depuis combien de temps ?

- Heu depuis….deux heures environs.

- Ascella je t'ai déjà dit que…

- Je sais mais je veux être prêt de toi et puis je fais mes devoirs, que ce soit ici ou ailleurs…

- T'as pas fini tous tes devoirs depuis deux heures?

Ascella lui lança un regard assassin.

- OK, on va les faire ensemble alors.

- Non tu es fatigué et…

- Hey…Je dors toutes les deux ou trois heures, alors je crois que je vais rester éveiller un moment et puis c'est toi qui travail pas moi.

Harry commença à aider Ascella dans ces devoirs. Ils avaient à peine commencé que :

- Et bien je vais croire que vous êtes tout le temps en train de travailler.

- Melle Granger fit surprise Ascella, qu'est ce que vous faites l ?

- Et bien je me suis blessé au petit doigt. Et comme c'est l'infirmerie.

- Oh

- Mais maintenant que je suis là. Je voulais vous demander Harry, si ça ne vous gênait pas si on discute un peu, disons demain ?

- Oui, à propos de quoi.

- Oh c'est à propos de mes cours répondit gênée Hermione enfin je vous parlerais de ça demain.

- Ah et n'hésitez pas à me réveiller, je suis un vrai marmotte en ce moment. Ironisa Harry.

- Parfait.

Hermione disparut vers le bureau de Pompom pour réapparaître cinq minutes plus tard avec une main en parfait état.

- Ca fait bizarre de discuter avec elle en dehors des cours.

- Les professeurs sont des humains. Remarqua judicieusement Harry

- Oui mais ça fait bizarre. Enfin revenons à nos petits grimlins qui ont envahi l'Angleterre.

Harry éclata de rire

- Ce ne sont pas des grimlins mais des gobelins.

- Oh c'est bon ça prouve juste que j'ai besoin de toi.

Ils travaillèrent encore une heure, mais Ascella s'était endormie à ses cotés.

Harry en profita pour se dégourdir les jambes. Il prit Ascella dans ses bras.

C'est bon j'arrive à peu prêt à la porter. Mieux vaut utiliser la bonne vieille méthode moldue.

Harry utilisa un chemin assez cours et arriva jusqu'à la salle commune. C'était l'heure de manger, personne ne devait être à l'intérieur, il ouvrit la salle puis commença à déposer Ascella sur le canapé, puis se rappelant qu'il n'y avait aucune fille au dortoir il pouvait la déposer dans sa chambre même. Après l'avoir déposée, Harry se sentit fatigué et se dépêcha de retourner à l'infirmerie, sans oublier tout de même le bisou sur le front qu'il lui donnait discrètement tous les soirs avant de se coucher.

- Monsieur Potter où étiez-vous ?

- Je suis allé me dégourdir les jambes j'ai juste fait le tour de l'infirmerie. Je voulais me réveiller un peu.

- Vous ai-je autorisé à faire cela ?

- Non

- Alors pourquoi n'avoir pas demandé la permission.

- Je savais que je n'en avais pas pour longtemps et je voulais juste me dégourdir les jambes, je ne pensais pas à mal.

- Et s'il vous était arrivé quelque chose.

- J'avais laissé un message pour dire ou j'étais au cas où. Il est là. Ah il était tombé, tenez.

Harry avait placé un message sous son lit où il disait qu'il faisait juste le tour de l'infirmerie un alibi pour son escapade.

- Mouhais, ça ne change rien vous auriez du me demander , vous êtes encore fragile, peut être moins physiquement, mais magiquement si.

- D'accord acquiesça Harry tout en baillant.

- Allez vous coucher maintenant.

Harry ne se fit pas prier, son escapade l'avait grandement fatigué, il n'était plus habitué à tant d'effort.

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- Mais qu'est ce que c'est que ça.

Harry se fit tout petit mais regarda discrètement Ron. Il lisait la lettre et devenait de plus en plus rouge.

Harry décida de s'en mêler.

- Tu disais quoi Ron ?

- Heu non rien je dois aller quelque part.

- Ah.

Lorsque Ron sortit, Harry étalait un magnifique sourire.

Ginny avait raison, Ron était amoureux. Ah Ginny pourquoi m'a-t-elle dit ça ?

Puis se décidant à ne rien rater, il alla discrètement dans la chambre de Ginny.

- Alors je n'ai rien manqu ?

- Non c'est bon expliqua Fred, Ron à rejoint Hermione, elle a eut le temps de lire la lettre.

Ils étaient devant une télé. Ils avaient mis des caméras un peu partout entre les deux chambres pour ne pas manquer la rencontre.

- Tiens, tu veux des pop-corn rajouta George.

Devant la télé on pouvait voir un Ron et une Hermione tous rouge.

- C'est vrai ce que tu as écrit dans cette lettre demanda hésitant Ron

- Quelle lettre demanda Hermione ? Soudainement inquiète.

- Et bien celle là fit en colère Ron.

Hermione lui prit la lettre et la lut.

- Tiens cette lettre devrait t'intéresser. Tu es censé en être l'auteur.

Ron se mis son tour à lire.

- Mais c'est qui, qui nous a joué ce tour, c'est vraiment…

- Dégueulasse, je suis complètement d'accord, compléta Hermione.

FRED, GEORGE, GINNY, HARRY…

- oups je crois qu'on est découvert.

- Qu'est ce que vous faites tous ici dans la chambre de Ginny, c'est quoi cette télé, mais je ne le crois pas.

- Vous nous espionnez rajouta vexée Hermione.

- Bon cria par-dessus tout le monde Ginny, vous nous crierez dessus mais après avoir pris ça.

Et Ginny mis une pierre noire entre les mains de Hermione et Ron. Au contact des deux mains la pierre se mis à rougeoyer.

- Oh s'exclama Hermione tout en fixant Ron

- Quoi demanda Ron tu as perdu ta colère Hermione ?

- Non fit durement Hermione, puis redevenant douce elle regarda Ron, sais-tu ce qu'est cette pierre ?

- Non pourquoi ?

- C'est une pierre des amoureux, elle rougeoie lorsque les deux personnes qui la touche s'aiment.

Ron enleva sa main et la pierre redevint noire.

- Bon ben, on va vous laisser rajouta Harry vous nous passerez un savon plus tard.

Les quatre lascars s'en allèrent, laissant tout seul enfin le couple naissant.

Fini

Voilà. J'espère que cela vous a à plu. Ce chapitre était initialement deux fois trop gros donc je l'ai coupé en deux. La prochaine partie je la mettrais la semaine prochaine, car j'ai encore des petites retouches à faire.

J'espère que ça vous à plu.(je sais je me répète). Sincèrement j'ai pris beaucoup de plaisir à écrire ce chapitre et celui qui vient…

Ah oui j'ai fait une nouvelle mise en page dites moi si vous préférer comme ça ou avant ou si vous ne voyez pas de différence.

Réponse aux reviews

Virg05 : Je suis tout à fait d'accord avec toi. Harry ne sait jamais ou sont ses limites. Mais c'est pour ça qu'on l'aime enfin en tout cas moi c'est pour ça. Oui sincèrement j'espère que ça prendra moins d'un an avant que Ginny réalise que Harry est quelqu'un de bien sinon je crois que j'en ai pour des années à écrire. Et pour Rose…. Sincèrement Rose est spéciale mais je me plait à la trouver comme l'homologue féminin de Remus. Elle est réfléchie mais ne le montre pas trop. Enfin merci beaucoup pour tes commentaires, c'est franchement très sympa de voir que d'autre partage vos même idées.

Job3-14 : Harry vivant, oui, mais il faut le faire souffrir un peu pour qu'il sache qu'il ne doit absolument pas recommencer ça une autre fois. C'est trop dur pour moi de le faire si proche de la mort. MON Harry. Ho je crois que je m'égare. Pour les maladroits il faut dire que j'ai un énorme faible pour eux. Je trouve qu'ils sont criants de vérité et tellement plus sympathique que ceux qui se prennent la tête. Enfin comme je suis maladroite il vaut mieux que je m'aime aussi non ?

Pour Ascella j'ai pris mon plaisir dans ce chapitre et le suivant. Je l'adore trop, et elle est …enfin je trouve pas mais je pense que tu as compris.

Rose plus intéressante que Ginny ? Mouhais ça dépend du point de vue mais oui pour l'instant elle l'est. Mais bon, je ne peux pas critiquer trop Ginny donc passons sur le sujet.

Bah c'est pas grave pour la review, je dirais un merci anonyme. Tu ventes mon histoire. Quel honneur ! Merci, Merci, Merci et Merci, c'est vraiment gentil.

Et pour la dent cassé. Ouille ça doit faire mal, mais comment en vouloir un si petit être. Je compare un peu Ascella comme une toute petite et j'ai même tendance à oublier qu'elle a déjà 11 ans. C'est dur de les voir grandir. (auteur qui se prend pour la mère d'Ascella).

Xaebhal : Merci pour la review. L'auteur t'annonce donc fièrement que le prochain sera la semaine prochaine (j'en suis très fière). Mais ça ne sera sûrement pas comme ça à chaque fois. C'est trop dur en timing. Enfin merci beaucoup pour la review.

Alixe : franchement ? Je ne me lasse pas de le faire tomber de haut. Il est trop marrant. Enfin je me retiens de le faire tout le temps car sinon notre petit Harry va être complètement démoralisé. Oui c'est le message globale de ma fic : on n'est pas dans le même monde. Des choses semblent identiques, mais elles ne le sont pas. Pour la quiddich j'ai du me crever le cœur pour ne pas le faire participer, mais ça aurait paru complètement incohérent par rapport à sa maladresse. Notre petit Harry doit se résigner à jouer son rôle de petit maladroit ou bien prendre ses responsabilités et se montrer tel qu'il est…Mais ça semble mal partit. Hélas.

Kika : Merci Kika c'est vraiment très schématique mais au combien un merveilleux compliment. Tu aime ce chapitre et ma fic ?, que dire de plus : je te remercie énormément aussi d'aimer ma fic et de me le dire (ça rassure toujours autant et fait toujours naître en moi un merveilleux sourire)

Fandjo : c'est marrant tes remarques sont toujours très pertinente et près de ce que je vais faire. Allez un indice : en fait j'ai censuré car je me suis dit que tu trouverais tout, tout de suite. De toute façon je me méfie parce que si je te dit trop de choses tu vas tout découvrir avec ton intuition presque paranormale. Franchement c'est vraiment très marrant comme nos idées concordes. Pour le prochain chapitre une semaine à attendre ça ira ?

Mariecool : et bien je comprends ton surnom : une review dans le genre cool. Merci beaucoup franchement ça fait plaisir d'être rassurée sur sa fic. Merci et voilà.

Voili, voilou, voilà, la suite la semaine prochaine…