Coucou je suis donc de retour au bout de quatre semaines. Je tenais à m'excuser du retard, mais j'ai eu des examens et une semaine de ski à la suite (pas la même pénibilité soit dit en passant). Donc voilà pour mon retard.
Bon disclamer rien est à moi tout à J.K.Rowling qui va bientôt publier son prochain tome (trop contente)
Sinon un résumé s'impose : Alors Harry s'est fait avoir par certains serpentards. Enervé, il a déplacé un escalier de Poudlard sous les yeux de Dumbledore. Il s'est échappé avant qu'Albus n'ait le temps de dire quelque chose, et là Harry est bien décidé à se venger des Serpentards.
Chapitre 13
Seul au monde ?
Harry entra dans le dortoir. Il tenait une longue corde à la main. Il entra dans la chambre des garçons et attacha toutes les personnes concernées à la corde, puis il alla dans la chambre des filles après avoir enlevé la protection. Il attacha la corde à trois jeunes filles puis redescendit dans la salle commune, en tenant le bout de la ficelle blanche.
C'est bon encore trois secondes et…
D'un coup tout devint brillant puis Harry se sentit transporté. Il regarda autour de lui.
De la forêt, de la forêt, et encore de la forêt.
- Bien nous sommes arrivés, annonça satisfait Harry.
Devant lui tous les Serpentards qui l'avaient agressé il y a à peine quelques heures, étaient présent. Au total ils étaient huit : trois filles et 5 garçons. Réveillés par le déplacement ceux ci émergeaient doucement de leur sommeil.
- Mais qu'est ce que ! S'exprima Serena.
Par son exclamation, elle acheva de réveiller les autres. Tous furent sur pied en un rien de temps et regardaient apeurés autour d'eux pour finir par se focaliser sur Harry.
Lorsque celui-ci fut sur d'avoir l'attention de tous il commença.
- Bien j'espère que vous avez bien dormi car vous allez en avoir besoin !
- Qu'est ce qu'on fou là grogna Greg Hunter.
- Et bien vois tu Gregory, je n'ai pas apprécié, mais alors pas du tout le fait que vous m'ayez agressé comme cela, et devant mes amis. J'ai donc décidé d'en finir une bonne fois pour toute avec cette histoire.
- Et tu crois nous faire peur.
- Attends fit amusé Harry je n'ai même pas encore essayé de vous intimider, tu me diras ça plus tard.
- Tu te fous de notre gueule ou quoi ?
- Non fit-il sérieux, mais je ne veux plus que vous vous attaquiez à moi ou à un quelconque élève.
- Et tu crois qu'on va t'obéir, mais tu rêves.
Greg cherchait sa baguette et réalisa qu'il ne l'avait pas, au regard de ses amis il réalisa que tous étaient dans la même situation.
- Vous n'avez pas vos baguettes comme c'est dommage ironisa Harry.
- J'ai pas besoin de ça pour te foutre ta pâtée. Allez les gars on va lui mettre ça raclé.
Harry n'eut même pas le temps de les mettre en garde, qu'ils voulurent le frapper. Harry aurait pu utiliser la magie mais il fallait avouer qu'il avait une envie folle de les taper. Alors puisqu'ils le lui proposaient si gentiment…
Harry commença à se battre contre les cinq serpentards en même temps. Il en mit deux KO dès le départ. Puis lança un ou deux coups de poing bien placé sans se faire atteindre. Il continua à donner des coups.
Il se sentait enfin libéré. Cela faisait des jours qu'il mourrait envie de se venger. Un coup de poing, un coup de pied, et encore un autre…. Harry extériorisait sa fureur.
C'est à ce moment que Harry s'aperçut qu'un des Serpentard saignaient du nez.
Dommage remarqua Harry. Il sortit sa baguette et fixa les pieds de tous les serpentards avec une glu magique. Il s'était promis à lui-même, de s'arrêter dès que le sang coulerait. C'était comme une sorte de barrière pour ne pas se laisser aller et regretter son geste ultérieurement.
Harry soupira, il avait encore envie de se défouler, mais il devait se calmer. Trop énervé, il pourrait tous les tuer et il ne voulait pas cela. Il n'avait tué qu'une unique personne dans toute sa vie et cette personne était Voldemort. Ce serait la seule d'ailleurs de sa vie, il se l'était promis à lui-même. Même si parfois l'envie était très forte, comme aujourd'hui. Mais, s'il ne voulait pas les tuer, il allait leur en faire baver. Mais avant il devait faire passer un message.
- Bien maintenant qu'on a parlé la langue des brutes, peut-être pourrais-je entretenir un semblant de discussion.
- Tu n'es qu'un lâche, on t'aurait battu si tu n'avais pas ta baguette.
- Tu crois ça, fit passablement énervé Harry. Tu veux vraiment que je te montre ce que je peux faire aux gens qui me tapent sur les nerfs ?
- Que veux tu ? Le coupa une autre voix.
- Seréna toujours à réfléchir plutôt qu'agir, ce n'est pas comme ce gregory.
Le grégory en question se mis à l'insulter et Harry lui intima un silence magique.
Tous les autres se turent aussitôt ne désirant pas perdre à leur tour l'usage de la parole
- Bien continuons. Je disais donc que j'en ai marre. Et que je n'adhère bien sûr pas aux petites règles que vous m'avez imposées. Alors moi je vais les changer. La règle est simple vous n'attaquez plus personne dans cette école.
- Et tu crois qu'on va accepter cela fit une voix masculine.
- Bien je vais remettre les choses au clair fit Harry. Je suis plus fort que vous dans une bataille et en magie, vous n'êtes que des rats comparés à moi. Alors je n'utilise que la seule loi que vous connaissiez : la loi du plus fort. As-tu quelque chose à redire à cela ?
- …
- J'attends ta réponse ?
- Non fit-il faiblement.
- Bon que ce soit clair entre nous fit Harry. Je suis plus fort que vous et vous risquez gros à ne pas jouer mes règles est ce clair ?
- …
- Est ce clair ?
- Oui firent-ils en cœur.
- Mes règles sont simples. Insulter pourquoi pas, vous avez droit à votre réputation de mangemorts et puis vous seriez incapable de résister. Mais fit-il d'une voix froide, sachez que je ne supporterais plus une seule bagarre dans cette école.
- Et si on nous cherche ?
- Même chose je ne veux pas savoir qui a commencer, le résultat est le même. Une bagarre et vous êtes OUT. Est ce clair.
- Comment feras-tu pour savoir si on s'est battu ou non, c'est impossible ? remarqua judicieusement une serpentarde à coté de Sérena.
- Et bien tu n'auras qu'à tenter ta chance et puis on verra si je suis au courant ou non…
La Serpentarde arrêta immédiatement son sourire de vainqueur.
- Et si on n'obéit pas demanda un autre Serpentard ?
- Même chose : essaye et tu verras ce que je peux réellement faire à ceux qui me cherchent. Seulement, je ne suis pas sûr que tu puisses en témoigner après.
Le serpentard déglutit.
- On pourrait avertir Dumbledore.
- J'ai le regret de t'informer qu'il est déjà au courant et ceci grâce à vous. D'ailleurs je me demande ce qu'en pensera votre maître.
Les Serpentards restèrent silencieux.
- Allez décidez vous, je ne vais pas passer a nuit ici.
- Si on ne frappe plus personne tu nous laisse tranquille récapitula Serena.
- C'est aussi simple que cela fit Harry. Bien sûr vous ne révélez à personne ce petit accord.
- Bien entendu fit songeuse Sérena. Je pense qu'on n'a pas le choix de toute façon.
- Si ! Vous pouvez refuser, mais je vous le déconseille.
- C'est bon on accepte ton choix maintenant détache-nous.
- T'es folle Serena cria une camarade de classe.
- Ecoute-moi Bertane, il est très fort, à un point que tu ne peux imaginer. Ce marché est le plus juste. Il nous fou la paix et on lui fou la paix. Personne ne nous en voudra de l'accepter. C'est notre intérêt d'accepter.
- Tu es une traîtresse Serena.
- Non, nous ne devons jamais essayer d'intervenir hors de notre mission, tu te rappelle, or là on est complètement en dehors. Ce combat n'est pas le nôtre. Laissons le, à ceux qui peuvent s'en charger.
Ces amis méditèrent ses paroles.
- Hum vous vous êtes mis d'accord ?
Après avoir regardé ses camardes Sérena se répéta.
- On accepte. Maintenant libère nous.
- En fait, il me reste une chose à vous dire. Je suis très rancunier. Et ce que vous m'avez fait hier, pffft souffla Harry d'un air compatissant, je n'ai pas du tout, mais alors pas du tout aimé. Vous comprendrez bien évidemment que vous méritez une petite punition.
- Qu'est ce que c'est, fit calmement Séréna.
- Oh vous n'avez toujours pas deviné ?
- La forêt s'exclama quelqu'un.
- Exact. Vous allez rentrer par votre propre moyen.
- Mais on n'a pas nos baguettes.
- Et bien, c'est tant pis pour vous.
- On va sortir comment de cette forêt on ne sait pas comment se diriger.
- Je vais vous laisser une boussole.
Harry jeta la boussole par terre puis rajouta :
- Ah oui j'oubliais ne vous inquiétez pas, vous devriez arriver pile à l'heure pour le petit déjeuné, comme cela vous ne manquerez aucun cours.
- Et nos pieds, s'écria Sérena.
- Et bien le sort de glue sera remplacé par une chaîne qui va vous maintenir ensemble jusqu'à la sortie de la forêt.
- QUOI
- Oh allez, vous allez découvrir le travail de groupe. Répondit joyeusement Harry. Le sort de silence de votre ami, d'ailleurs, il se finira quand vous sortirez de la forêt. Je suis gentil je le laisse un moment comme ça, ça vous fera des vacances. Ah si rajouta menaçant Harry, notre pacte prend effet dès maintenant. Si vous faites allusion ne serait ce qu'une seule fois à ce qui vient de se passer…
Harry ne termina pas sa phrase, mais tous comprirent.
Sur ses paroles, Harry se lança dans la forêt.
Il ne fallait qu'une heure pour sortir de cette forêt, mais la boussole qu'il leur avait donnée devait normalement leur permettre d'en sortir seulement au bout de trois heures et en rencontrant de jolis spécimens.
J'ai peut-être été sévère de les mettre sur le passage des serpents venimeux !
Bah ça leurs fera les pieds.
Et puis à la sortie de cette ballade ils seront toujours en vie, c'est déjà cela. Au début si je n'avais pas rencontré Albus, je crois que j'aurais fait une énorme erreur.
Bon c'est pas le tout mais je me sens fatigué. Il n'y a rien de mieux qu'une bonne nuit de sommeil.
Dringggggg
- Harry réveille toi.
- hummmmmm
- Allez flemmard, debout.
- OK c'est bon j'arrive
Harry suivit docilement ses amis. Il était un peu fatigué mais rien de bien grave, il commençait à être habituer à ses excursions nocturnes. De plus il attendait avec appréhension le retour des Serpentards. Ils avaient accepté son marché, mais allez savoir avec eux. Aujourd'hui serait le test parfait pour savoir s'ils allaient ou non respecter leur accord.
Harry rentra dans la grande salle et s'assit en face de Ginny.
A peine fut il assit qu'une jolie carte se présenta devant lui.
Monsieur Potter vous êtes prié de venir dans mon bureau après le petit déjeuné.
Le directeur.
- Qu'est ce que c'est, fit interrogative Ginny.
- C'est une invitation pour aller dans le bureau de Dumbledore répondit Brian qui avait lu au-dessus de l'épaule de Harry.
- Merci Brian, mais je crois que c'était mon courrier. Tu n'as pas à le lire.
- Pourquoi tu es convoqué demanda inquiète Allula.
- Je ne sais pas.
- Moi je suis sur que c'est pour la bataille d'hier.
- Vous croyez demanda Brian. Au fait Harry Pourquoi tu es parti?
Brian reçu un coup de poing de Allula lui intimant de se taire.
- Ne l'écoute pas fit Peter, a ta place nous aussi on aurait craqué.
- Seulement fit Ginny, on est tes amis, et si tu as besoin de te confier, on est là. Il n'y a pas de honte à pleurer Harry.
OK on récapitule. Ils sont en train de croire que je suis parti en vitesse parce que j'avais envie de pleurer. Bah pourquoi pas, c'est une bonne excuse. Mais je me demande quand même ou ils vont pêcher toutes ces idées.
- Oui fit Allula. Et Harry je pense que tu dois en parler à Dumbledore, ce n'est pas une honte de lui parler que des gens t'embêtent. Si tu veux, je peux témoigner.
- On peut tous témoigner rajouta Rose, et parler avec Dumbledore te ferait du bien Harry rajouta Rose.
- Oui Harry, si tu veux, on vient avec toi. approuva Ginny
- Non c'est bon fit Harry. On n'est même pas sûr que ce soit pour cela. Si ça se trouve c'est pour le lapin.
- Oui c'est vrai fit Peter. Des fois on se demande comment tu fais pour que tant de choses t'arrivent.
- Oui d'ailleurs renchérit Ginny, je …
Mais Ginny ne termina jamais sa phrase.
- Attention Harry ! s'écria Rose.
Harry se retourna à toute vitesse et eut juste le temps de voir un poing s'approcher de lui. Il se pencha en arrière et pivota sur son siège afin de donner un coup de pied au niveau des genoux de son adversaire. Celui ci s'effondra net, et Harry appuya de tout son poids pour l'immobiliser au sol. C'est alors qu'il reconnut Gregory Hunter.
Il se retourna alors vers la porte et découvrit, les autres Serpentard à la porte les yeux rivés sur Harry. Ils ne s'étaient même pas changés. Ils étaient tous en pyjama, même si ceux-ci avaient plus des allures de haillons. Mais à cet instant ils n'en avaient cure. Ils regardaient effarés Gregory Hunter et Harry.
- D'autres volontaires fit glacial Harry ?
- Non réfuta Séréna anxieuse. Il a agi seul.
Harry la dévisagea un instant avant d'accepter sa réponse, puis se retourna vers Grégory Hunter. Harry entendit les Serpentards souffler de soulagements mais il s'en fichait, tout ce qui importait pour lui c'était que Greg Hunter en seulement deux secondes avait tout fichu par terre.
- Tu vas me le payer.
Harry lança alors une flopée de coup de poing, tous les uns plus terribles que les autres. Gregory Hunter saignait, les élèves hurlaient mais il s'en fichait. Il entendit cependant les voix de Rose et Ginny qui lui imploraient d'arrêter.
Il ne s'arrêta que lorsqu'il sentit qu'on l'avait immobilisé.
- MONSIEUR POTTER s'exclama MacGonagall.
Harry regarda le professeur, puis Dumbledore qui s'approchait doucement, tout en ne le perdant pas du regard. Harry regarda à nouveau Grégory. Il se défila des deux garçons qui le maintenait loin de Gregory et s'approcha assez près pour lui chuchoter.
- Je ne suis pas un assassin lui chuchota-t-il mais parfois j'en meurs d'envie. Tu as de la chance d'être dans la grande salle.
Harry fut reprit par trois garçons et ne pouvait plus se dégager. Grégory lui cria toujours étendu au sol :
- Je vais faire de ta vie un enfer.
Le silence dans la grande salle devint de marbre.
Toujours maintenu par les élèves, Harry s'était calmé. Il n'allait pas le tuer certes, mais il n'allait pas le laisser vivre dans Poudlard.
- Tu as de la chance qu'à l'avenir je ne te vois plus, sinon je crois que je n'aurais jamais pu me retenir lui répondit hargneux Harry
- Ca suffit vous deux fit MacGonagall qui essayait de les calmer pour comprendre ce qui s'était passé.
- C'est vrai affirma cette fois ci très calmement Harry au grand étonnement de tous. Grégory Hunter annonça-t-il d'une voix claire vous êtes viré de Poudlard à jamais.
- Je crois, intervint pour la première fois Dumbledore, qui se trouvait à ses coté maintenant, que ce n'est pas à vous de décider de cela.
- C'est vrai fit Harry.
Il se libéra de ses trois compagnons en promettant de ne plus se battre et s'approcha alors de l'épaule de Grégory et la souleva. Une marque de tête de mort ornée d'un serpent apparu.
Un énorme boucan éclata alors dans toute la salle. Tout le monde était sous le choc. Dumbledore n'en laissa rien paraître et Harry rajouta :
- Je crois que cela suffit à l'exclure non ?
Le professeur Dumbledore le regarda avec insistance puis annonça clairement
- Professeur MacGonagall, occuper vous de Monsieur Hunter. Professeur Black et Durkemberg pouvez-vous vous occuper de ramener les élèves dans leurs foyers ? Professeur Fistang amenez les élèves qui on besoin de soin.
Les professeurs approuvèrent tous.
Le professeur Fistang étonnée, vit alors qu'un bon nombre de Serpentards, 7 en tout, étaient en piteux état. Elle commença à les amener à l'infirmerie, lorsque Dumbledore rajouta :
- Sauf vous mademoiselle Mesnard (Serena) vous venez avec moi, ainsi que monsieur Potter bien sûr. Le Professeur Rogue nous accompagnera, enfin si vous le voulez bien rajouta plus gentiment Albus.
Severus acquiesça et les quatre personnes se mirent en route.
Arrivé dans le bureau de Dumbledore, celui-ci fit patienter Harry, puis interviewa Serena. Severus surveillait Harry.
Au bout d'une demi-heure il fit rentrer tout le monde.
- Bien Professeur Rogue vous pouvez raccompagner Miss Mesnard.
Dumbledore attendit qu'ils partent pour entamer la conversation.
- M. Potter nous avons plusieurs affaires à éclaircir. Je crois que nous pourrions commencer par la plus facile. Miss Mesnard m'a expliquée qu'elle s'était perdue elle et ses amis dans la forêt après un stupide pari, et qu'elle ne savait pas pourquoi, M. Hunter vous avait attaqué. Ne dites rien, je sais très bien que c'est faux. Alors corrigez-moi si j'ai faux. Hier vous vous êtes fait attaquer par un grand nombre de Serpentard et vous avez voulu vous venger. Vous avez décidé de les envoyer d'une manière dont je ne connais pas dans la forêt et de leur faire comprendre que vous ne vous laisserez plus faire. Ils ont tous acceptés en apparence, ce qui explique le témoignage de Miss Mesnard qui ne veut rien me dire. Cependant M Hunter n'a pas voulu coopérer, et il s'est attaqué à vous. Maintenant j'attend de vous que vous me répondiez la vérité ai-je tord ?
- Non fit simplement Harry.
Albus ne transmettait aucune émotion, mais Harry savait qu'il était soulagé et en même temps inquiet.
Harry avait décidé de ne plus cacher sa force, à Dumbledore.
De toute façon il doit bien le savoir maintenant.
- Vous êtes d'accord avec moi, c'est un début. Alors éclairez-moi, comment avez vous fait pour les amener là bas
- Porte au loin.
- Ce n'est pas aisé pour tout le monde.
Harry ne répondit rien à cette remarque
- Vous les avez amenez là bas pour les punir c'est cela.
Harry acquiesça.
Inutile de rentrer dans les détails.
- Vous auriez pu les tuer en les laissant dans cette forêt et pour cela votre acte est très grave.
- En fait le coupa Harry, je leur ai laissé une boussole magique pour qu'ils puissent se diriger, et cette boussole ne les a pas amener dans des cartiers dangereux.
- Je vois que vous connaissez bien la forêt M.Potter, seulement, sans baguette, la forêt est dangereuse partout. Ils auraient pu mourir.
- Vous oubliez les grintas, s'ils risquaient trop de mourir ils auraient été instantanément transportés dans l'école.
- Je vois que vous avez réponse à tous, mais cela n'excuse en rien votre geste.
- Comme le leur d'ailleurs.
- En effet.
Albus le regardait intensément. Harry savait que c'était dans ces moments que Albus prenait sa décision.
- Je pense que je vais mettre cela sur une bêtise d'enfant, même si je sais que ce n'est pas cela. Vous avez désobéit à de nombreuses règles et vous avez mis en danger la vie d'autre élèves même si ces dangers étaient minimisés. Cependant vous n'auriez jamais du être attaqué dans cette école. Je considère donc qu'un mois de détention, et 100 points suffiront. Quand aux Serpentards je crois qu'ils ont déjà eut leurs punitions. Etes vous d'accord avec cette décision ?
- C'est équitable.
- Bien fit Dumbledore imperturbable
Albus fit mine de ranger ses feuilles puis continua :
- Passons à un autre point. J'irais droit au but : comment saviez vous pour Gregory Hunter
- Il me l'a dit la fois ou il m'a agressé, il croyait me faire peur avec cela.
- Vous n'avez pas peur demanda quelque peu surpris Dumbledore ?
- Pourquoi, un mangemort ne signifie pas qu'il est fort pour autant.
- Mais il a l'appui de Voldemort.
Harry ne tressaillit pas et Albus ne put qu'esquisser un sourire
- Et alors ?
- Je vois fit doucement Albus prenant une posture pour mieux réfléchir. Vous êtes bien différent monsieur Potter du petit garçon que je croyais avoir inscrit dans cette école.
- Et vous le regretter demanda amèrement Harry.
Dumbledore fut surpris de cette remarque. Harry aussi, d'ailleurs. Cela lui avait échappé.
Il l'avait tellement aimé, et il avait été rejeté comme cela. Des fois il se disait qu'il aurait mieux fallu qu'il ne soit jamais sorcier, mais il y avait eu Ginny…
- Et bien vous ne cessez de m'étonner Harry. Je ne savais pas que mon avis vous importait. D'ailleurs je ne pensais pas que vous vouliez tant être dans cette école, mais cela prend un sens maintenant. Depuis le début vous jouer le rôle d'un étudiant qui a besoin de prendre des cours. Pourquoi M.Potter, pourquoi voulez-vous absolument être dans cette école. Vous savez tout comme moi que vous n'avez besoin d'aucun cours. Alors pourquoi ?
Se sentant obligé de répondre, Harry répondit laconiquement :
- Disons que j'aime cette école.
- C'est vrai qu'elle est merveilleuse…
Albus hésita une seconde puis reprit :
- …seulement elle est réputée être libre, et de n'obéir à personne.
Nous y voilà.
- On arrive au fait le plus troublant M.Potter. Je vous ai vu bouger cet escalier or personne ne peut le faire. Termina Albus.
- Il semblerait que ce soit possible. Vous savez avec la magie on peut s'attendre à tout. Répondit quelque peu nostalgique Harry
Albus le regarda étonné puis amusé. Harry ne lui offrait aucune méchanceté, seulement il gardait des secrets. Il ne semblait pas intéressé par le mal, mais ne semblait pas non plus intéressé pour le combattre. Alors qu'il aurait pu faire les deux !
- Vous savez, Monsieur Potter vous ressemblez à cette école. Vous êtes là, impassible, vous êtes fort pourtant personne ne s'en rend compte, personne ne se rend compte aussi de la rareté dont vous faite parti. Vous avez aussi de nombreux secrets et ne les révélez que lorsque vous y consentez….Et puis vous me menez par le bout du nez
Harry aimait bien cette comparaison et un sourire apparut sur ses lèvres.
Albus le détailla du regard puis rajouta plus pour lui même :
- Oui comme cette école…
Un silence s'installa. Un silence reposant.
Harry commença à se lever, mais au dernier moment Albus annonça à brûle-pourpoint.
- Monsieur Potter, qui êtes vous ?
Harry du prendre quelques secondes avant de comprendre le sens de cette phrase.
Devant son air étonné, Albus précisa sa question.
- Vous êtes un vrai mystère M.Potter, je vous ai mentit tout à l'heure, une personne peut interférer dans cette école. C'est le protecteur de Poudlard, c'est un elfe, or vous êtes un humain, alors qui êtes vous ?
Harry sentit qu'Albus avait fait un gros effort sur lui-même pour lui poser cette question. Il pouvait ne pas y répondre et le laisser mariner.
Bah si je lui répond je crois qu'il marinera encore plus.
- Qu'est ce qui vous fait croire que je ne suis pas l'elfe protecteur de Poudlard. fit plutôt amusé Harry.
- Et bien, se méfia Albus, j'ai rencontré une fois le protecteur, vis à vis de mon statut de directeur et il n'en existe qu'un seul, je sais qu'il est toujours en vie, et que de toute façon le protecteur est toujours un elfe. De plus j'ai regardé comme vous, un jour, qui était ou non humain et j'ai bien vu que vous étiez humain, même si votre aura est légèrement différente.
- Oh…
- Je dois dire fit hésitant Albus, que de toute ma carrière vous êtes la seule personne qui m'ai donné autant de fil à retordre.
- Même plus que Tom Jedusor fit impertinent Harry
Albus devint plus sombre et plus méfiant.
- Comment savez vous cela ?
- Et bien j'ai mes secrets. Mais ne vous inquiétez pas je ne désire aucunement devenir un mage noir.
- Je sais.
- Ah bon ?
- Poudlard n'offrirait pas sa confiance au mal.
- Oh vraiment vous croyez ? Vous êtes un peu idéaliste je trouve. Tom a appris la magie noire dans cette école à ce que je sache. Elle n'est donc pas si pure que cela, moi je dirais qu'elle est neutre.
- Comme vous ?
- Non pas comme moi le corrigea Harry.
- Et vous êtes ?
- Disons que j'ai mes opinions…
- Je vois. Vous n'avez cependant pas répondu à ma première question…
- C'est vrai, mais je ne suis pas obligé. Mais je vous laisse une chance posez une question et je vous répondrais par oui ou par non. Et je ne mentirais pas. Mais une seule.
Harry se rapprocha du choixpeau.
Dumbledore réfléchi puis posa sa question :
- Vous ne voulez pas que je sache votre identité et je le respecte, mais je dois savoir si vous êtes dangereux pour les élèves de cette école. Alors Monsieur Potter, êtes vous un danger pour ses élèves ?
Harry le regarda dans les yeux le plus sérieusement possible :
- Non je ne serais jamais un danger pour eux. Je l'ai promis et je le jurerais à nouveau s'il le fallait. Mais rajouta malicieusement Harry, je peux parfois leur faire la morale, pour qu'ils comprennent certaines choses
- Je vois. Je vais faire le choix de vous croire M.Potter.
- Merci Albus Dumbledore.
Harry regarda le choixpeau.
- Bonjour Harry, te revoilà. Tu es venu souvent dans ce bureau depuis le début de l'année
- C'est vrai j'aurais préféré l'éviter, mais bon, je n'ai pas pu cacher ma force.
- C'était évidant rajouta le choixpeau. C'est dans ta nature, tu ne peux y échapper.
- Choixpeau tu savais ! finit par dire dans un souffle Dumbledore qui regardait intrigué la conversation.
- Oui, je sais, je devais vous le dire, mais nous avions fait un marché, d'ailleurs Harry tu as repensé à notre accord.
Harry le regarda en souriant.
- Bien sûr choixpeau, mais sache que je le fais volontiers.
Harry se concentra pendant de longues minutes. Le silence était pesant seulement ni Albus ni le choixpeau ne le troublèrent.
Harry se mit à faire des gestes avec sa baguette tout en formulant des formules incompréhensibles. Petit à petit le choixpeau devint plus noir, plus neuf et des lettres fines s'inscrivirent sur le bas du choixpeau : « choixpeau grand ordonnateur des maisons fondatrices ».
Lorsque Harry ouvrit à nouveau les yeux il semblait soudain fatigué. Puis il prit le choixpeau et le mis devant le miroir.
- Oh c'est super, j'ai toujours rêvé d'avoir un titre. Grand ordonnateur… Ca sonne bien, ça me plait. Merci beaucoup Harry, c'est vraiment agréable de retrouver sa seconde jeunesse.
Harry reposa le choixpeau puis se décida à affronter Albus Dumbledore. Il présentait la même figure que pendant l'incident des escaliers. Il ressemblait à un poisson hors de l'eau.
- Vous savez professeur, je crois que je dois être une des rares personnes qui vous ai vu au naturel, et sûrement la seule a vous avoir étonné.
Albus reprit contenance puis afficha un sourire.
- En effet mon enfant tu me surprends de plus en plus et je suis étonné de tout ceci. Je suppose que je ne peux pas savoir qui tu es.
- Non vous avez tenté votre chance et vous n'aviez qu'une question, mais vous pouvez toujours chercher, mais je pense que vous ne trouverez jamais.
- C'est un magnifique défi que tu me proposes là et je vais essayer de le percer si cela ne te dérange pas. Mais je suis rassuré, je sais déjà que tu respecteras tes camarades.
Harry sentit un léger rappel sur le fait qu'il devait se tenir à carreau, mais Albus semblait plus amical.
C'est mieux ainsi. S'il ne passe pas son temps à vouloir m'empêcher de faire ce que j'ai envie c'est déjà cela. Quand à mon identité il ne trouvera jamais…
- Bien je crois que notre entretien touche à sa fin. Vous pouvez annoncer à vos condisciples que cette mâtiné est banalisée, mais que cet après midi les cours reprennent. Qu'ils ne viennent pas se promener vers les cachots par contre, ils encourraient de grave sections...J'espère que ce ne sera pas votre cas…
- Ne vous inquiétez pas, il n'est plus rien pour moi…
Harry se retourna et s'éloigna tendis que le choixpeau lui disait au revoir et merci en même temps.
Harry souffla un coup. Il restait encore tous ses amis à convaincre. Greg Hunter avait vraiment bouleversé son quotidien.
Lorsqu'il arriva à son dortoir; toutes les personnes étaient dans la salle commune, surveillées par MacGonagall.
- Monsieur Potter ?
- Le professeur Dumbledore a banalisé cette mâtiné, il a dit que les élèves pouvaient sortir tant qu'ils ne s'approchaient pas des cachots.
Elle le regarda un instant comme pour jauger de la véracité de ces dires puis acquiesça.
- Bien je vais voir les nouvelles pour l'instant vous restez là.
Harry grimaça. Il n'aimait pas qu'on ne lui fasse pas confiance.
Enfin elle a de bonnes raisons.
- Harry ça va ? demanda Rose
- Oui fit il alors que tout le monde écoutait.
Un silence imposant persistait et Harry cru bon de donner quelques détails.
- Bien que ce soit clair, je suis maladroit mais pas un âne bâté. Je sais très bien me battre, mais je n'aime pas la violence. Hunter n'arrêtait pas de me harceler et il m'a même menacé en me révélant qu'il était un mangemort. C'est comme cela que je l'ai su. Il n'a pas supporté que je sois plus fort que lui au combat et il a voulu me frapper à nouveau. Je déteste les brutes et j'ai un peu perdu les pédales. Je m'en excuse, mais je déteste les mangemorts sur patte qui pensent que la violence est la loi de cette école.
Lorsque Harry finit son discours quelqu'un se mit à applaudir, puis une autre, puis bientôt toute la salle commune l'acclama en liesse.
Harry fit un timide sourire.
Ginny le prit dans ses bras en le félicitant.
- Bravo Harry je suis fière de toi.
- Oui tant que tu ne recommences pas tant de violence continua Allula.
- Oh fait pas la rabat-joie, Harry a été formidable, il lui a foutu une de cette rouste. Fit admiratif Brian
- C'est vrai que tu as un sacré coup droit Harry fit Peter, j'espère ne jamais t'énerver.
- Oui fit simplement Rose.
Tout le monde le félicitait et Harry était complètement noyé par ces félicitations alors qu'il s'était attendu à toute autre chose. Il ne savait plus ou donner la tête lorsqu'une voix émergea.
- Qu'est ce qui se passe ici. Vous n'êtes quand même pas en train d'acclamer Monsieur Potter de ce qu'il a fait quand même. La violence ne résout rien. Allez vous pouvez sortir. Dépêchez vous avant que je ne décide d'enlever plus de point à Griffondor. Tout le monde se dépêcha de sortir.
Lorsque Harry passa à coté de Minerva il l'entendit néanmoins lui dire.
- Vous avez une sacrée droite mon garçon.
Harry ne put retenir un sourire et sortit de la salle.
Ils décidèrent de rester dehors. On était fin octobre et il faisait encore très beau pour cette saison.
Harry du expliquer où il avait appris à combattre. Il reprit l'excuse de l'instructeur.
Harry après se retournement de situation avait décidé de ne plus se prendre la tête.
Advienne que pourra, J'en ai marre de réfléchir au moindre de mes gestes…
Après une heure à expliquer ce qu'il avait apprit et montrant quelques démonstrations, Allula conclut :
- En tout cas Harry tu es quelqu'un d'étonnant
- Ca c'est sûr fit Brian. Mais tu aurais pu nous le dire que tu étais aussi fort.
- Je n'aime pas la violence fit modestement Harry.
- C'est vrai fit Ginny. Moi je préfère la non violence. Je suis sûr que beaucoup de conflits auraient pu se désamorcer sans aucunes batailles.
- Ah bon ? fit Peter.
- Oui beaucoup d'histoires se sont crées sur des malentendus.
- Oui enfin ils savent ce qu'ils font la plus part du temps. Quand il y a une guerre, c'est que c'est mûrement réfléchi.
- Ah bon ? Il n'y a qu'à regarder comment agissent les garçons de cette école fit Ginny. Ils pensent une chose et font tout l'opposé, alors pour un gouvernement gouverné que par des hommes…
- Je crois que tu t'égare Ginny fit Allula avec insistance. Et arrête avec tes sous-entendus, on ne comprend plus rien à la discussion de départ.
Quels Sous-entendu ? Harry était perdu. Il s'était passé quelque chose d'important mais il n'avait rien saisit. L'ambiance joyeuse était partie.
- Bien fit Peter alors pour clore le débat je dirais simplement que parfois on peut se tromper et qu'il n'y a que les idiots pour ne pas changer d'avis.
- Ca suffit fit mal à l'aise Allula en regardant Harry. Vous discuterez de cela à un meilleur moment. Moi maintenant je veux m'amuser.
- Et bien tu vas être gâtée alors ma chérie car on a toute la matinée et puis demain c'est Halloween. Alors…
- Mais c'est vrai la coupa Allula.
Elle se retourna s'attendant de voir des sourires sur les visages, mais Ginny et Peter bougonnaient tous les deux, Harry était devenu bien silencieux et Rose regardait avec réflexion la scène sous ses yeux semblant comprendre quelque chose de crucial.
- OK fit Allula. Ca te dit une ballade en amoureux, parce que là ils sont effrayants.
- Bien sûr ma chérie.
- Bon ben alors bonne matinée à vous tous.
- Harry ça te dirait de te promener avec moi fit Rose.
Harry regarda Ginny qui semblait toujours troublée par les paroles de Peter.
- Je… fit-il retissant de laisser Ginny dans cet Etat.
- Non laisse tomber Harry, j'ai des devoirs fit Rose quelque peu irritée.
- Moi aussi fit soudain Peter. Je t'accompagne.
Il ne restait plus que Harry et Ginny.
- Tu veux faire une partie d'échec demanda maladroitement Harry.
- Je… fit déboussolée Ginny. Non je suis désolée, mais j'ai des choses à faire je dois réfléchir… Je suis désolé Harry.
Harry la regarda ? Elle s'enfuyait presque.
Mais qu'est ce qui s'est passé. J'ai rien compris. Il s'est passé quelque chose mais je ne vois pas. Je déteste quand quelque chose m'échappe. Ca ne présume rien de bon.
Bon ben je suis seul. Qu'est ce que je fais ? Demain c'est Halloween fit morose Harry.
Je sors d'il y a à peine deux heures du bureau de Dumbeldore, je vais pas faire un nouveau projet de blague. Je pourrais espionner le quatuor infernal pour voir ce qu'ils font.
Harry n'était des plus motivés pour aller les espionner. Il les espionna un moment et modifia secrètement leur blague d'Halloween.
C'est pas une mauvaise idée comme blague, je pense que cela va plaire.
Harry les regarda et pensa aux jumeaux Weasley et à leurs blagues.
Je me demande ce que font les Weasley ici ? Ron qu'est-il devenu ? Un auror ou une personne banale ? Si ça se trouve il a plein d'enfants. Je me demande aussi ce que fait mon père murmura Harry.
Puis d'un coup une vieille potion lui revint en mémoire.
Mais oui !
J'avais oublié cette potion.
Harry se mit à courir furieusement et à se diriger près de salle secrète.
Il fouilla frénétiquement dans un livre de potion et trouva la potion qu'il désirait.
Bien il me manque un ingrédient et grâce à cette potion je pourrais savoir ce qu'ils font au moment même. Bon demain c'est Halloween donc j'ai toute la journée pour acheter ce produit. Au moins je n'aurais pas à passer toute la nuit à chercher un ingrédient.
Harry sourit en repensant à une excursion où il avait cherché pendant trois heures un maudit champignon, qui s'avérait être véreux.
Bon et bien il est l'heure d'aller en cours.
La fin de journée se passa rapidement et Harry était assez serein. Il allait enfin savoir ce qu'étaient devenus Ron, et Son père…
¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤
- Allez debout fainéant. Il est l'heure.
- Hum il est quelle heure bougonna Peter.
- Il est 8 heures. Annonça joyeusement Harry
- Mais on est samedi, c'est trop tôt. Et puis qu'est ce que tu fais debout réalisa soudain Peter, tu es toujours le dernier levé.
- C'est Halloween répondit Brian à la place de Harry.
- Ah oui. Fit songeur Peter. Bon ben quand il faut y aller, il faut y aller. Mais je vous rappelle que ce n'est que cet après midi qu'on va au pré au lard.
- Oui mais il faut faire nos devoirs ce matin fit Brian.
- Arhhhh
La mâtiné passa très vite et l'après-midi pointa le bout de son nez.
La garde pour les étudiants était aussi stricte que dans son monde.
Le village était bondé d'Aurors prêt au moindre éclat de bataille.
- Bon on organise comment la journée demanda Rose ?
- Humm fit Ginny. Je propose qu'on aille dans les lieux qui plaisent à tout le monde. Après on mange chez Rosmerta et puis on voit après.
- Parfait répondirent ils tous en chœur.
- Bon on va chez Berty.
- OK
¤¤¤¤¤
Cependant le plan de Ginny avait ses failles…
- Moi j'en ai marre du Quiddich j'ai pas envie d'aller dans le magasin et d'attendre pendant des heures que tu fasse ton choix sur un article que tu n'achèteras finalement pas. Fit Allula.
- Mais c'est le meilleur magasin de la rue. Répondit Brian
- Et bien pas pour moi.
- Et bien on fait un compris annonça Harry. On va au magasin et après on va dans celui de ton choix Allula.
- Je crois que se sera plus pratique si on se sépare juste pour une heure et on se retrouve chez Rosmerta.
- Moi j'aime pas cette idée Fit Brian .
- Oui mais il y a des gens qui ne veulent pas aller dans les mêmes magasins que toi.
- Bon on se donne 1h30, comme cela on a tout le reste de l'après-midi pour flâner et rester ensemble. Cela vous va ? reprit Ginny
Brian bougonnait un peu mais accepta. Harry n'avait rien dit. Ca l'arrangeait de pouvoir aller acheter ses potions.
- Bon Ginny tu veux voir les nouvelles robes de « Tendance » avec moi fit Allula.
- Non j'ai besoin d'aller acheter un livre.
- Moi aussi fit Peter. Je t'accompagne ? Enfin si ça ne te gène pas bien sûr
- Non fit Ginny. Ne dit pas de bêtise j'aime bien être avec toi.
Peter lui fit un magnifique sourire.
Un sourire un peu exagéré quand même râla intérieurement Harry.
- Rose ? fit Allula en détournant la conversation.
- Humm, elle regarda Harry puis se décida. Je t'accompagne, je n'ai rien à faire.
- Bon et bien il n'y a que Harry et moi qui allons au magasin de Quiddich résuma Brian.
- Humm, en fait, je voudrais aller voir un magasin moi aussi.
- Ah fit déçu Brian. Vous ne savez pas ce que vous manquer. C'est le meilleur magasin de toute la ville.
- C'est ça mon chéri fit Allula. Bon on se retrouve dans 1h30 dans le café.
Tous acquiescèrent et se séparèrent.
Harry repéra facilement ce qu'il cherchait (l'élément de sa potion) et se retrouva sans aucun but au bout d'une demi-heure. Se rappelant le regard déçu de Brian il décida d'aller le voir. Il était toujours dans le magasin.
- Alors tu trouves fit Harry.
- Ah Harry tu m'as fait peur. Tu as vu toutes ces merveilles !
- Oui fit gentiment Harry.
L'heure restante fut agréable pour Harry. Avec Brian il retrouva l'univers du quiddich. Voir le regard enfantin de Brian devant les articles l'avait ravi. C'était si rare de voir encore les élèves rêver. Dans ce magasin, la guerre était lointaine.
Lorsqu'ils se décidèrent à quitter le magasin, ils avaient dix minutes de retard. Ils retrouvèrent les autres dans le café. Rose et Allula le regardaient bizarrement. Elles semblaient mal à l'aise.
Harry s'assit et se prépara à demander ce qui se passait lorsqu'il vit les mains.
Deux mains l'une dans l'autre, une bronzé et l'autre tellement connue, blanche et fine.
La main de Peter et Ginny.
Harry releva la tête et découvrit des petits sourires timides de la part de Ginny et Peter et des regards compatissants de la part de Allula et Rose.
NON, NON C'EST IMPOSSIBLE ! ! !
Harry se leva brutalement et renversa sa chaise.
Il avait rêvé, ce n'était pas possible. Harry marcha mécaniquement. Tout ce qu'il savait c'est qu'il devait s'éloigner de cette place. Harry commença à marcher. Il entendait Allula lui parler mais il n'écoutait pas. Il marcha de plus en plus vite jusqu'à courir. Il devait fuir.
Cependant à peine 5 minutes plus tard, il se fit rattraper par Rose.
- Harry.
Il ne voulait pas l'entendre.
- HARRRY
Non il ne voulait pas entendre.
Harry se boucha les oreilles. Rose le regarda perplexe et lui lança une claque digne de ce nom. Cela sembla le faire revenir à la réalité.
- Harry.
- Ne dis rien, je ne veux pas l'entendre.
- Et bien fit-elle avec une pointe de colère tu vas devoir l'entendre quand même. Ginny et…
Harry bloqua de sa main la bouche de Rose. Elle s'échappa et finit sa phrase.
- …Et Peter sont ensemble.
- NON !
- Harry il va falloir que tu l'admettes bon sang.
- Non je ne veux pas fit en larme Harry. Non je suis près à tout entendre, mais pas ça.
- Ils sont ensemble et je le redirais autant de fois qu'il le faudra pour que tu l'acceptes Harry. Tu ne veux pas le savoir c'est tout mais ils sont ensemble.
- C'est pas possible. Il ne sortait pas ensemble il y a à peine deux heures. C'est pas possible s'accabla Harry.
- Harry ils s'aiment depuis longtemps remarqua gentiment Rose. Tu es ici depuis cette année, mais sache qu'il y a deux ans Ginny était très amoureuse de Peter et elle lui a demandé, mais lui, a dit non. Seulement il semblerait qu'il est dit ça plus par peur que par manque de sentiments. Ce n'était qu'une question de temps. Ils sont fait l'un pour l'autre. Ca se voit comme au milieu de la figure.
- Non c'est moi qui suis fait pour elle.
- Tu t'es regardé Harry. Ginny n'est pas un objet qu'on possède. C'est une personne à part entière et elle a ses propres sentiments, maintenant tu dois les respecter.
- Non je suis son âme sœur. Il ne peut pas en être autrement, elle a simplem…
- Harry le coupa rose, arrête. Tu ne vois pas que tu vis dans des illusions. Tu es arrivé ici et POUF comme par magie tu es tombé amoureux d'elle. Mais on ne peut pas tomber amoureux d'une image. Tu ne la connaissais même pas que tu voulais déjà la posséder. Harry c'est ridicule. Tu ne peux pas être amoureux d'une personne que tu connais à peine…
- Je la connais très bien… je la connais même mieux que quiconque. Je suis venu pour elle, juste pour elle. On devait vivre heureux. Ragea Harry.
- Arrête Harry tu me fais peur. Tu ne connaissais pas Ginny avant. Comment veux-tu être venu pour elle. Tu commences à perdre la tête.
- Tu ne comprends rien.
- Non je crois que je ne comprends rien Harry, mais c'est normal. Depuis le début tu ne vis que pour une image sans faire attention aux autres…Mais Ginny, n'est pas ta Ginny.
- Si justement elle est ma Ginny. Tu ne comprends pas. Je suis sa moitié. J'ai vécu avec elle, on a vécu ensemble, on s'est aimé et elle est MORTE, tu comprends, elle est morte. Je l'avais perdue. Il l'a tué et elle est morte. Et là j'ai découvert que je pouvais la retrouver, dans un autre monde mais j'allais la retrouver. Elle ne peut pas finir avec quelqu'un d'autre, on est destiné. C'est pas possible, on est destiné. Elle m'aime, c'est forcé fit presque dans une plainte Harry. C'est forcé se répéta Harry.
- Tu … Tu viens d'un autre monde ?
Mais Harry ne répondit pas il baragouinait. Il répétait toujours la même phrase recroquevillé sur lui même.
- Elle m'aime c'est forcé, elle m'aime…
Rose essayait d'assimiler le plus vite possible. Devant l'état de Harry, elle décida de mettre pour plus tard ses questions et accepta simplement les faits.
Elle se rapprocha de lui et lui murmura :
- Harry si j'ai bien compris, si tu viens vraiment d'un autre monde, alors Ginny, n'est pas ta Ginny. Elle lui ressemble, elle a peut être le même caractère que ta Ginny, mais elle ne te connais pas. Elle n'est pas ta Ginny. Je suis désolé Harry.
- Non gémit Harry, non…
Rose le regarda un instant gentiment puis le prit dans ses bras et le berça.
- Pleure Harry, ça fait du bien…
Alors Harry pleura.
Il pleura encore et encore jusqu'à ne plus avoir de larmes.
Il resta encore quelques temps dans les bras de Rose puis se releva.
- Merci Rose fit il penaud.
- De rien Harry.
- Je crois que je vais rentrer. J'ai besoin de réfléchir.
- Je comprends Harry, mais si tu veux je suis là.
- Merci.
Harry partit doucement les yeux encore rouges.
A peine rentré dans l'école il se réfugia dans sa salle secrète. Il voulait être seul.
Il y passa encore deux heures sans rien faire. A réfléchir sur les paroles de Rose.
Oui Ginny n'est pas ma Ginny, mais ça me fait si mal. C'est presque comme si je la perdais une seconde fois … J'aurais tellement voulu qu'elle ne meure pas. J'avais tant besoin d'elle. Et même si cette Ginny n'était pas exactement ma Ginny elle m'était si familière. Ca fait si mal.
Machinalement Harry mis sa main dans sa poche et sentit les herbes qu'il était aller chercher. Mécaniquement il les mis dans la potion et attendit de voir la couleur rosée. Il la regarda encore dix minutes puis se décida à la prendre. Il avait besoin de s'aérer l'esprit. Voir Ron ou son père lui ferait peut être du bien.
Harry s'assit sur un fauteuil puis bu la potion. Il se sentit alors transporté dans des vapeurs et cria Ronald Weasley très distinctement.
L'image d'un garçon roux accoudé à son bureau. Quelques papiers épars traînaient mais il semblait s'ennuyer particulièrement. D'ailleurs il essayait vainement de faire un château de carte mais les soldats de piques refusaient de lui obéir et commençait une rébellion. Un collègue arriva.
- Alors Weasley toujours pas de travail ?
- Non, de toute façon le patron a dit que je suis un incapable, et qu'il ne me confierait que les dossiers de moindre importance
- Oh c'est dur ça. Comment tu le prends ?
- Bah ça va, on s'y habitue.
- Et ton livre ?
- L'éditeur a dit que mon écriture était illisible et qu'il ne le publierait jamais.
- Je suis vraiment désolé.
- Bah de toute façon, c'était qu'un vieux rêve. Maintenant je peux me consacrer totalement à mon deuxième hobby
- A c'est quoi ?
- La construction de château de carte pardis.
- Ahah sacré farceur Weasley. Allez courage je suis sûr qu'un jour tu y arriveras.
- Ouhais enfin c'est pas pour bientôt….
Harry se sentit repartir.
Il cria James Potter.
Il se retrouva dans une salle du ministère son père était là dans son bureau. Il écrivait une lettre. Quelqu'un entra. C'était Lucius Malfoy.
- Salut.
James se leva instantanément et alla serrer chaleureusement la main de Lucius.
- Alors comment vas tu ?
- Bien et toi demanda Lucius.
- Oh je suis en train de faire quelques banalités.
Lucius s'approcha du bureau et lut.
- Pétition pour les droits de Loup-garou.
Lucius leva un sourcil.
- que veux-tu annonça fatigué James, il y en a qui n'ont toujours pas compris que les loup garous ça ne devrait pas exister et que c'est une erreur monumentale de la nature.
- Qu'est ce que tu vas faire ?
- Et bien comme d'habitude, je vais perdre cette pétition, et quand je la retrouverais ce sera au moment ou un malheureux loup-garou aura assassinée un pauvre petit enfant.
- Tu peux attendre longtemps fit Lucius, ils sont de plus en plus encadrés.
- Oh et bien on peut toujours provoquer la chance fit avec un sourire ironique James.
Lucius éclata de rire
- Tu as bien raison… De toute façon ça ne change rien au fait qu'ils soient des monstres.
- Exactement.
Harry était complètement écœuré et cria le nom de Peter Pettigrow.
Il ne savait pas pourquoi ce nom. Son père l'avait complètement écœuré, il était aussi « sang pur » que Lucius et il n'en pouvait pu. Ca lui avait rappelé l'horreur des actions de certains hommes tel que Peter.
Cependant ce que trouva Harry lui fit naître un sourire.
Peter était ouvrier dans un magasin de jouets magiques. Il devait donner de sa magie dans les jouer.
- Peter dépêche toi cria un homme. Tu es déjà la pire des recrues que j'ai jamais vu. Si tu n'étais pas de la famille, franchement je t'aurais déjà viré depuis longtemps. Franchement je me demande parfois si tu n'es pas le plus nul de tous les imbéciles.
- Oui
- Oui quoi ?
- Oui je suis sûrement un grand imbécile.
- Oh, et bien c'est bien la première chose sensée que tu dis de la journée.
Harry sourit à ce passage puis décida de revenir à Poudlard. L'image de son père serrant la main de Lucius persistait.
Bien fit Harry. Récapitulons. Ron est à un job tout à fait non gratifiant et semble se considérer comme un nul. Mon père est un parfait mangemort en herbe et semble être un grand ami de Lucius. Et Peter est resté ce qu'il était : rien. En fait c'est à peu près logique il n'a jamais rencontré les maraudeurs car mon père a mal tourné. Sirius et Remus n'ont pas du faire attention à lui.
Harry essayait d'enlever l'image de ces deux mains serrées mais il n'y arrivait pas.
Je n'aurais jamais du regarder. C'est pire qu'avant.
Maintenant je vois mon père serrer la main de Lucius et celle de Peter et Ginny enlacées.
Je suis venu pour la retrouver et je suis seul.
Je me sens si seul !
Il était 7heure. Normalement il aurait du être dans la grande salle. Harry décida de sortir de son laboratoire. Ses pas le menèrent d'ailleurs devant la grande salle.
Harry passa discrètement sa tête par la porte.
Le repas se passait dans un silence presque absolu excepté le bruit d'un film. En effet, sur les murs on pouvait y voir la projection d'un film d'horreur et une bande annonce au dessus : « cadeau d'Halloween de la part du quatuor infernal ».
Ainsi ils ont mis en application leur blague. Harry avait rajouté des effets de son assez importants ainsi que quelques effets réels, tel que la baisse de température,…
L'ambiance était des plus effrayante, mais pas trop quand même. Harry regarda les réactions des élèves. Il vit des visages ravi et terrifiés à la fois.
Soudain, il sentit un regard sur lui. Dumbledore le regardait. Harry lui fit un sourire et continua son inspection comme si de rien n'était. Lorsqu'il arriva au niveau des griffondors, son cœur se serra. Ginny tenait la main de Peter et se blottissait contre lui prétextant la peur.
Peter lui se faisait fier de la rassurer.
Harry les regarda encore quelques minutes puis se décida à partir. Il ne pouvait pas encore les affronter, il avait trop mal. Harry se mit en marche et alla respirer l'air pur. Il avait besoin de marcher. La marche aidait à réfléchir et avait toujours eut un effet bénéfique sur son moral.
Il commença un grand tour du parc. Après une heure de marche il décida de s'arrêter sous l'arbre ou il avait l'habitude de parler avec Ascella.
Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il y découvrit justement Ascella en pleur.
Instinctivement il s'approcha d'elle et la prit dans ses bras.
- chut petite lumière…. Chuttttt
Ascella explosa en pleur dans les bras de Harry, et le cœur de Harry se serra encore plus devant le désarroi de sa petite sœur.
- Qu'est ce qui se passe Ascella ?
- Je…
Elle renifla et prit son souffle.
- J'ai une amie elle s'appelle Cécilia, mais personne ne veut qu'on soit ensemble.
- Pourquoi ?
- C'est une Malfoy.
Attendant une réaction de dégoût de la part de Harry qui ne vint pas, Ascella se calma légèrement et reprit.
- Elle est très gentille. On est devenue amie, mais elle est à serpentard et moi à Poufsouffle. Mes amis ne sont pas content et m'ont abandonnés. Ils disent que tant que je reste avec elle ils ne resteront pas avec moi.
- Je vois, et toi qu'est ce que tu en pense ?
- Et bien c'est une Malfoy, mais elle n'est pas comme eux. Elle est gentille, elle est marrante, on a beaucoup ri hier ensemble. C'est une serpentarde mais elle ne ressemble pas du tout aux serpentards normaux comme Stéphanie Potter. D'ailleurs elle se fait embêter elle aussi. Personne ne veut que je reste avec elle.
Harry resta calme. Il avait déjà entendu parlé de Stéphanie Potter, s'était une première année à Serpentard et Harry ne doutait plus qu'elle soit la digne fille de James Potter, et donc sa demi sœur.
- Pourquoi tu t'éloignerais d'elle ?
- Et bien parce que mes amis ont dit que… Mais Ascella s'arrêta. Tu as raison Harry. Ce n'est pas parce que ce sont mes amis qu'ils ont le droit de regard sur qui je dois apprécier.
Harry lui rendit son sourire.
- Je crois que tu as parfaitement compris Ascella. Si tu crois en elle alors soit son ami et prouve à tes autres amis qu'ils se trompent.
- Je vais de ce pas le lui dire.
Ascella commença à partir, mais se ravisa à la dernière minute.
- au fait pourquoi tu es ici.
- Et bien je voulais me balader.
Elle le regarda suspicieusement, puis annonça lentement.
- Tout à l'heure j'ai vu Ginny et Peter, ils se tenaient la main.
- Je sais. Répondit lasse Harry.
- Je suis désolé fit Ascella.
Elle semblait hésiter entre rester et partir.
- Ce n'est pas grave, je vais bien tu sais. Va rejoindre Cécilia.
- Non fit cette fois déterminée Ascella. Cécilia peut attendre un peu elle comprendra. Je crois qu'à cet instant c'est toi qui à le plus besoin de moi.
Harry lui rendit un sourire ému.
Ascella s'assit à coté de Harry puis commença à lui parler de tout et de rien. Harry écoutait distraitement les banalités qu'énonçait Ascella.
Harry la regardait avec fierté. Elle était merveilleuse. Elle avait d'autres choses à faire mais elle préférait être avec lui, simplement pour être là lui dire qu'il n'était pas seul
En fait Ascella est la sœur idéale, ma sœur.
- Moi aussi Harry tu es pour moi le frère idéal, mon frère. Annonça avec conviction et plein d'amour Ascella.
Harry la regarda surpris puis compris qu'il avait parlé à haute voix. Il l'a pris dans ses bras et la serra le plus fort possible tout en pleurant.
Une seule idée lui traversa l'esprit :
Je ne suis plus seul.
Fini.
Voilà. Encore désolée pour le retard. Sinon je posterais dans deux semaines.
Ah oh fait : Bonne année et bonne santé. J'espère que votre noël s'est bien passé (pour ceux qui le souhaitent sinon j'espère que vos vacances se passent bien).
Réponse aux reviews.
Andryade : coucou comment vas tu ? Moi ça va comme je te l'ai dit dans mon mail. Tu as été surprise par la rapidité de la découverte de Harry ? Et ben ce chapitre a du encore plus te surprendre alors. Et les autres qui viennent je ne t'en parle pas. En fait j'ai passé la vitesse supérieure. On arrive vers la fin… Si, si il doit rester 4 ou 5 chapitres pas plus. Alors tout s'accélère c'est normal. Mais quand à l'identité de Harry, Dumbledore va devoir chercher car c'est pas donné qu'il trouve. Pendant ce temps Harry et bien il va arrêter d'être superman parce que je sais pas toi, mais je trouve qu'il est plus sympathique quand il ne maîtrise rien.
Pour la fin j'ai un peu honte… Je devais vous laisser attendre que deux semaines, donc je me suis dit que ça passerait alors que je vous ai fait attendre quatre semaines. Enfin on va arrêter de s'excuser tout le temps (j'applique ton conseil). Et sinon pour Ginny / Harry ou Harry/Rose je crois que tu as ta réponse. Enfin normalement sinon c'est que tu n'as pas lu ce chapitre èé. Voilà à bientôt
beru ou bloub : alala, si tu commence à rentrer dans mes délires je vais jamais m'arrêter moi. Déjà qu'on me dit que je suis un peu (euphémisme) bizarre… Enfin j'aime bien l'idée des sabres lasers. Quand à la sauce aigre douce j'aime bien. C'est à la fois aigre dons piquant et méchant, et à la fois douce comme une douce vengeance. J'ai toujours trouvé plus beau les vengeance froides qui s'enlise autour de la victime au point qu'elle ne peut plus s'en sortir. Moi psychopathe morbide, allons bon ! Non faut vraiment que j'aille à Saint Mangouste pour m'y faire soigner, enfin je veux dire à l'hopital, car Harry Potter n'est qu'une fiction, Harry Potter n'est qu'un fiction. Il suffit que je me le dise et c'est bon, dans deux ans j'aurais intégré ce haut fait.
Alixe En fait je me relis, mais j'aurais sûrement pu réduire de nombreuses coquilles en me relisant plus. Seulement pour "en bonne et due forme" et bien même avec une infinité de relectures je n'aurais pas trouvé. (J'ai sincèrement honte). Je suis sûr que si je me rendais compte de la piètre qualité orthographique de mon écrit je n'oserais même pas penser à le publier dans fanfic. Seulement je ne vois rien. Heureux est le mauvais en orthographe car il ne voit pas ses propres fautes… (encore désolé).
Lord Pot : T'es pas mort hein ? Parce qu'au final je t'ai fait attendre quatre semaines. Tu n'es pas mort hein. Si j'avais su que je mettrais autant de temps je n'aurais pas fait cette fin. Tu me pardonnes hein ? Allez soit gentil, tu me pardonnes ? Hein ? Enfin sinon j'espère que tu as aimé ce chapitre (auteur qui cherche à se rattraper).
Kika et bien merci de ton soutien quotidien. C'est toujours un plaisir de voir ton petit nom écrit dans les reviewer avec un mot de soutien.
Aragorn Merci beaucoup ça m'a beaucoup touché ce que tu m'as dit. Mais pour ce qui est question de la pub, je n'arrive pas à me vendre. Je sais bien que j'aurais peut être plus de lecteurs et encore c'est pas sur. Mais j'aime bien savoir que certains ne connaissent pas mon histoire et la découvriront peut être un an après que je l'ai fini. Oui oui, je t'assure je trouve ça charmant comme idée. Mais ilparaît que j'ai des idées bizarres.
Xaebhal Je poste pendant les vacances mais un peu en retard. J'espère que tu auras un semblant de réponse. Sinon soit patient, ou sinon c'est que j'ai oublié d'expliquer des choses et alors là je suis dans la m. Enfin j'espère que j'ai pas de coquilles dans le scénario (tu viens de me mettre la pression là, je t'assure). Et bien à dans deux semaines, cette fois ci ça devrait être bon.
Gandalf le Blanc AGC : oh je t'adore. (pas trouvé de meilleur réponse à ta review). Franchement c'est un compliment formidable parce que moi je considère qu'un livre est bon si on n'a envi de savoir la suite. Alors forcément ta remarque m'a plus qu'honorée. Merci merci.
Virg05 : Super extra méga génial Merci. Et bien tu as raison, parce que tu vois je n'ai pas écrit depuis trois semaines et là ça commençait sincèrement à me démanger de la plume. Comme quoi c'est devenu une vraie drogue.
Les maraudeuses : Tu peux pas savoir à quel point ça m'a démangé de faire cela, mais j'ai prévu autre chose, quelque chose qui me plaisait encore plus. Enfin je peux te dire que je m'amuse parfois dans ma tête à essayer de finir ma fic de cette façon. Mais Faire tout dévoilé d'un coup c'est un peu dommage je trouve. Il vaut mieux distiller comme cela on prend plus de plaisir.
Lieutenantlemir : Et bien tu pose un très bonne question… Oui en effet papa Potter est prévu pour le chapitre 15 je crois si ma mémoire est bonne. Et maman Lily va elle aussi réapparaître par période. Je ne peux hélas pas mettre tous les personnages en même temps dans un même chapitre, je suis obligé de tourner. Pour les chaptres flash back, tu n'es pas le seul à ne pas l'avoir aimé, je crois que je n'ai pas été assez clair et c'était frustrant pour le lecteur. Enfin c'est du passé, j'espère que ce chapitre de plaira plus.
La Folleuh : Tu as bien aimé le chapitre du cortège macabre, et bien je suis contente parce que beaucoup n'ont pas trop aimer. Sinon pour la régularité, ça m'a fait beacoup rire, parce que je suis régulière depuis le premier chapitre sauf pour celui-ci. Pas de bol pile au moment ou tu me félicite je ne suis pas à l'heure. Enfin j'ai cru comprendre que tu te le reprochait à toi aussi, alors tu dois me comprendre. 15 chapitres d'un coup. Tu as du mettre un temps fou pour tout lire. J'ose même pas imaginer le temps que tu as mis…. Merci beaucoup pour ta review.
Mariecool Ouhai j'adore ton plan… Mais pourquoi un sort d'oubliette à Dumbledore. On s'en fiche de se qu'il pense. On tue tout les serpentards, les mangemorts et Voldemorts et tant pis de ce qu'en pense Dumbledore… Enfin le seul problème c'est qu'Harry s'est promis de ne tuer qu'une seule personne : Voldemort. Alors à moins que j'aille effacer se passage dans mon histoire il va falloir trouver quelqu'un d'autre pour faire le sale boulot. On pourrais demander à Dumbledore, avec un sort impero ça pourrait marcher. L'auteur va réfléchir à cette possibilité.
SytEvol: merci beaucoup SytEvol pour ton encouragement, ça fait toujours plaisir de voir que de nouveaux reviewers.
Fizban : Fizban, Fizban, Fizban, tu n'aurais pas abusé du champagne pour les fêtes dis donc. Ou bien, un best of des inconnus ne serait pas venu en ta possession par hasard? Franchement j'ai vu ta review juste avant de partir au ski, ça m'a d'ailleurs bien fait rire et ça m'a mis de bonne humeur pour toutes mes vacances. Il faudrait vraiment que je me revoie ce sketch. Mais j'ai une question : Ginny a les yeux verts ? Non parce que je ne me rappelle plus… Enfin maintenant même si elle n'a pas les yeux verts j'en déciderais comme tel. Ta chanson mérite que Ginny ait les yeux verts (lol).
Voili,voilou, voilà.
A dans deux semaines.
